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Temps de lecture estimé : 71 mn
18/01/15
Résumé:  Du rock, une fille, sa mère, un été.
Critères:  fh ffh fplusag jeunes couple extracon ascendant alliance voisins nympho hépilé fépilée vacances danser voiture amour fsoumise jalousie cérébral revede exhib strip lingerie entreseins facial fellation cunnilingu pénétratio init
Auteur : Noisybird      Envoi mini-message
Mes deux nouvelles voisines : la fille ou sa mère ?

Ça y est, on a déménagé ! Mes parents ont fini par vouloir quitter Paris pour s’isoler en plein Jura, sur un plateau vallonné où l’on ne rencontre guère autre chose que des vaches et des chèvres. Évidemment, quand on est un jeune homme de 20 ans comme moi, on devrait râler, être déçu de quitter la ville et ses amis, insulter ses parents d’aller s’enterrer dans une zone si reculée de tout. Moi non, pour deux raisons : de toute façon, je suis étudiant, et je retournerai à Paris en septembre, dans mon nouvel appart ; de deux, je suis tout à fait heureux de passer mon été dans un endroit un peu plus frais.


Mes parents ont acheté une grande maison sur deux niveaux, où il y a à peu près suffisamment de chambres pour loger tous les gens du hameau s’ils devaient trouver refuge chez nous pour une raison ou pour une autre. En fait, je dispose plus ou moins de tout l’étage : j’ai ma chambre pour dormir, une chambre où travailler et une chambre que l’on a insonorisée pour que je puisse m’adonner à mes activités musicales sans gêner qui que ce soit. Guitares, synthés, batterie, tout y est.


À vrai dire, nous y sommes déjà depuis deux jours, et depuis deux jours, c’est rangement et nettoyage de 8 heures du matin jusqu’à 8 heures du soir. Je suis éreinté. Mais demain, après quelques dernières optimisations, on pourra enfin se sentir chez nous. Puis, en personnes bien éduquées, nous irons nous présenter à tous nos nouveaux voisins. Ce qui, vu qu’il n’y a que quatre autres maisons dans le hameau, devrait se faire rapidement.



Ma mère est quelqu’un d’adorable, mais se fiche strictement d’avoir de bonnes relations de voisinage. À vrai dire, elle est un peu asociale. Mon père et moi ne discutons pas et allons faire le tour du village.

La première maison, en face de la nôtre, abrite un couple de vieillards approchant fièrement des 80 ans. Gens un peu bourrus, ils sont de la région et se méfient donc un peu de nous, les Parisiens !


La seconde maison, un peu plus loin… Eh bien, ce sont encore des petits vieux. Un peu moins vieux cependant, la soixantaine environ. Beaucoup plus accueillants que les premiers. Mon père discute de longues minutes avec eux.


Encore un peu plus loin, troisième maison. Une femme d’une cinquantaine d’années nous ouvre et nous explique rapidement qu’il s’agit d’une résidence secondaire et qu’elle et son mari ne sont là que très rarement. Elle nous claque presque la porte au nez.



La dernière maison se situe à peu près à 300 mètres de chez nous. Elle est encore plus grande que la nôtre, et c’est sans doute la plus moderne du hameau. Nous y rencontrons un monsieur âgé d’environ 40 ans, un peu moins peut-être, très bien vêtu, un peu arrogant dans son allure, mais qui nous accueille cependant avec enthousiasme :



Nous le suivons donc dans sa demeure. Dans le salon, nous découvrons sa femme, Cathy, un peu de moins de quarante ans à vue de nez. 1,65 m environ, des cheveux châtains aux épaules, un débardeur à l’effigie de la langue des Rolling Stones laissant deviner une paire de seins plus qu’honorable et un jean moulant du plus bel effet. Des traits fins, des lèvres bien dessinées. Quand elle avait 20 ans, elle devait sûrement avoir du mal à choisir parmi ses prétendants. Il est évident que c’est le sex-symbol du hameau. La MILF dans toute sa splendeur.


Lionel vocifère trois prénoms. Quelques secondes plus tard, il semblerait qu’un troupeau d’éléphants attaquent l’escalier en bois menant au rez-de-chaussée. Pourtant il ne débarque que trois enfants. Ou plutôt deux enfants et une adolescente qui me regarde avec de grands yeux. Dans ce trou paumé, il y a fort à penser qu’elle n’a jamais eu un voisin mâle ayant plus ou moins son âge. Aussi petite que sa mère, elle lui ressemble d’ailleurs en de nombreux points, à l’exception de sa chevelure blonde qu’elle semble tenir de son père.



Je calcule dans ma tête. À priori, Cathy ne devait même pas avoir 20 ans quand elle a eu son premier enfant. Semblant voir nos airs perplexes, Lionel intervient :



Je constate que Cathy a l’air beaucoup moins enthousiaste à l’évocation de leur si longue relation.

Mon père et moi prenons congé après nous être présentés à notre tour. Nous discutons lui et moi de tous nos voisins que nous venons de découvrir.



Le soir, sous la douche, j’essaie de me rappeler son visage et son corps, mais c’est assez difficile. Je ne l’ai vue que cinq minutes, ce n’est pas suffisant. Je me demande comment je pourrais le revoir. L’esprit emporté par les caresses que je me procure, je me demande même s’il y aurait moyen que… ? Une petite mère de famille, épouse dévouée, couchant avec le fils de ses nouveaux voisins…


Le lendemain matin, après une bonne nuit de sommeil, je pense toujours à Cathy. Je trouve que c’est un peu idiot, mais cela s’explique aussi par le fait que c’est la seule femme baisable à dix kilomètres à la ronde. À Paris, avoir une aventure, ce n’est pas si difficile. C’est déjà plus facile d’avoir une copine. Puis si on n’en a pas, il y a parfois une ex qui veut remettre le couvert, une amie célibataire, elle aussi, qui vous fait comprendre qu’entre célibataires, on peut s’épauler. Sans compter les milliers de filles à draguer dans la rue, dans un café, n’importe où.


Non, ici, clairement, si je compte tirer un coup avant de retourner à Paris, je ne vois qu’elle. Sa fille est assez mignonne mais elle fait un peu trop jeune, et de toute façon je préfère les filles plus âgées. D’un côté, Cathy a peut-être de l’expérience grâce à son âge. De l’autre, si elle est avec Lionel depuis si longtemps, elle n’a peut-être pas eu d’autres hommes dans sa vie. Quel dommage pour elle. Il faudrait clairement y remédier si c’était le cas.



___________________________



Aujourd’hui, je dois aller au village le plus proche. Enfin, proche est un grand mot, vu qu’il est quand même à dix bornes. Et qu’on y trouve à peine une supérette, une boulangerie et une boucherie. Le reste, c’est à vingt-cinq bornes.

Ayant obtenu mon permis à Paris et étant citadin malgré moi depuis ma naissance, conduire sur ces petites routes désertes me change. Je ne croise aucune voiture, aucun humain. Ici, c’est tellement désert qu’il n’y a même pas de vaches.


Alors que je suis à mi-distance, je vois une voiture arrêtée sur le bas-côté. Une personne semble ausculter le moteur, capot relevé. Au fur et à mesure que je me rapproche, il ne fait aucun doute qu’il s’agit de Cathy. Un sourire pervers s’installe aussitôt sur mes lèvres, remerciant Dieu s’il existe de me faciliter la tâche à ce point-là. Je me gare quelques mètres derrière la voiture de Cathy et descends.



Et ce n’est pas facile. Parce que la petite dame porte une petite jupe noire qui ne lui arrive pas aux genoux et un petit top rouge écarlate avec un large décolleté dans lequel mes yeux se perdent allègrement.



Je vérifie sur le mien. Ce bled est vraiment paumé.



Je me retiens de lui répondre qu’à défaut de connaître le fonctionnement d’une voiture, je connais très bien celui du corps d’une belle femme.

Nous convenons finalement que je la conduise au prochain village, en espérant trouver un garagiste. Elle prend donc place sur le siège passager. En s’asseyant, elle croise les jambes, et il ne faudrait pas que sa petite jupe remonte à peine plus pour que j’aperçoive sa petite culotte. Elle a de très belles cuisses, lisses et bien formées. Étonnant pour une femme qui a trois enfants… Mais très excitant en tout cas…



Elle, en revanche, pas la moindre trace de sourire. Elle est bien foutue, mais ça n’a pas l’air d’être une comique.



Si elle est autant en manque de sexe qu’elle s’emmerde depuis dix ans, je me dis que j’ai honnêtement toutes mes chances. Je ne vois pas qui d’autre ici pourrait me faire de la concurrence, et pourtant je ne suis pas non plus Brad Pitt.



« Si tu veux que je te kidnappe et que je t’emmène dans mon appart, y’a pas de soucis ! »


J’ai un peu de mal à regarder la route. Sa jupe glisse irrémédiablement vers le haut de sa cuisse, elle ne peut pas ne pas s’en rendre compte. Et ses seins… Bien ronds, peau lisse. Elle a un joli visage, de beaux yeux noisette, et des lèvres délicatement vernies de rouge.



« Et une bonne petite voisine en prime… »



Je rougis légèrement. Me proposer de voir sa fille alors qu’à l’instant présent, je fantasme sur la mère… Mouais, bof.



« Si tu peux être ma mère, alors je vais avoir un violent complexe d’Œdipe ! »



Elle rit. Femme qui rit, à moitié dans ton lit…

Nous finissons par arriver au village. Pas bien grand, mais on y retrouve déjà un zeste de civilisation. Nous en faisons le tour pendant cinq minutes mais nous ne trouvons pas de garagiste. Nous nous garons sur la place de la mairie et allons à l’épicerie.



Cette dernière nous répond qu’il faut encore bien faire 15 kilomètres. Elle nous donne le numéro du garagiste, puis Cathy et moi déambulons dans la supérette afin de faire nos courses respectives. Je la reconduirai jusqu’au hameau, et elle s’occupera de sa voiture ensuite.


Ce n’est pas très excitant de faire ses courses, surtout dans une supérette de village. Sauf quand on croise Cathy accroupie devant un rayon et que, vue d’en haut, on devine parfaitement ses deux beaux seins magnifiquement formés. Ou quand elle se penche en avant pour attraper quelque chose situé en bas, et que vue de derrière, on peut admirer ses cuisses se dénuder au fur et à mesure que sa jupe remonte, espérant apercevoir un bout de string, de culotte, de shorty… Ou peut-être rien du tout, allez savoir… Ou quand on la croise dans un rayon tellement étroit que l’on est obligé de la frôler et de la toucher, presque malgré soi.


Nous nous retrouvons en voiture et nous rentrons jusqu’au hameau, discutant de banalités telles la météo (fraîche et pluvieuse malgré l’été) et les gens du voisinage :



Je n’ai pas pu m’empêcher ce petit compliment, et elle sourit encore une fois. En jetant un coup d’œil à sa poitrine, je me dis qu’il n’y a pas que ses 37 ans qu’elle porte bien.

Je la pose devant chez elle et je lui propose de l’aider à rentrer ses courses. Elle accepte, et je rentre avec plaisir chez elle.



« Si je t’avais sous mes draps, je te promets qu’on ne dormirait pas ! »


Dans la cuisine, Jessica est en train de prendre son petit déjeuner. Elle n’est vêtue que d’un grand tee-shirt gris et d’une petite culotte. Pas ce qu’il y a de plus glamour, mais pas vilain non plus. Elle ne semble pas très réveillée, et surtout étonnée de me voir entrer avec sa mère. Cathy lui explique toutes nos aventures matinales. Jessica me regarde comme si j’étais un OVNI. J’avoue être moi-même un peu gêné.



Jessica et moi rougissons comme des pivoines. Mais après tout, pourquoi pas ? Je ne compte pas passer plus de deux mois sans… rien. Je me dis qu’il est assez malsain de courtiser à la fois la fille et la mère… mais les deux me plaisent. Les deux se ressemblent. Jess a de beaux seins pour son âge, même si son grand tee-shirt les masque pas mal. Et ses cuisses sont aussi fines et lisses que celles de sa mère. Si je pouvais consoler la mère et initier la fille, ce serait merveilleux…



Jess est rouge de chez rouge, mais finit par répondre un timide « Pourquoi pas ? » Chose inespérée, Cathy se manifeste pour venir aussi :



Je n’ai effectivement aucun mal à imaginer Cathy en petite punkette, il y a 20 ans.



Jess est un peu surprise par le fait que je tutoie déjà sa mère, et ça me fait sourire.



Merveilleux. Je repars chez moi, le sourire aux lèvres et des idées cochonnes en tête. Je ne sais si j’arriverai à me faire les deux, ou qu’un seule, et laquelle en premier, mais je sais que je ne devrai pas m’y prendre de la même façon pour les deux. Je vais devoir me montrer assez mature avec Cathy, et apparemment Jess est une fille assez fleur bleue : je devrai jouer le grand romantique. Le problème est que Cathy s’apercevra probablement de quelque chose si je drague sa fille ; le contraire m’étonnerait. Je sais, c’est un peu machiavélique. Je suis peut-être un peu manipulateur. Mais elles me plaisent… et tous les moyens sont bons.


Ma mère tire un peu la gueule de devoir accueillir (déjà) des inconnues dans sa nouvelle maison, mais mon père est ravi de pouvoir socialiser un peu. Il discute un peu avec Cathy, et je pense que, n’étant pas son fils pour rien, elle lui plaît aussi.


« Mais toi, papa, tu as déjà une femme, ha-ha ! »


Comme il ferait un peu mauvais genre pour Cathy de s’éclipser tout de suite avec moi, elle accepte de boire le café avec mes parents tandis que j’emmène Jess dans ma salle de musique. Elle est assez jolie, même vêtue d’un simple jean et d’un sweat. Ses cheveux tombent dans la capuche de ce dernier. Assez jolie, ouais, même si son grand sweat cache encore une fois ses seins. Je la regarde analyser mes instruments… Elle a l’air timide. L’ado fragile typique. Puis je la vois s’attarder derrière un de mes claviers.



La petite sait jouer du piano, grande nouvelle. C’est pas Mozart, mais c’est assez mélodieux.



Moi derrière les fûts et elle assise derrière mon synthé, on se lance dans une impro vaguement jazz, un peu triste sur les bords, mais très agréable. Elle n’est pas seulement jolie, elle est aussi une bonne musicienne. Ça me fera une bonne raison pour l’attirer souvent chez moi…


Quelques minutes plus tard, Cathy débarque dans la salle, accompagnée par mon père qui redescend rapidement, étant malheureusement allergique au son puissant de ma batterie. Cathy s’adosse à la porte et écoute attentivement notre duo piano/batterie, le sourire aux lèvres.

Quand nous finissons, elle s’approche de moi :



Je lui laisse la place, et elle s’installe. Elle demande à sa fille de jouer quelque chose d’un peu plus gai, et elles se lancent toutes les deux. Et là, malgré la mélodie pop bien accrocheuse jouée par Jess, mes yeux ne peuvent pas se détacher de Cathy. Non seulement elle tient très bien le beat, mais en plus, une fille à forte poitrine qui joue de la batterie, c’est toujours sympa à voir. Un peu comme Meg des White Stripes. Personne ne regarde ce qu’elle joue, mais tout le monde sourit à la vue de ses seins qui se balancent tranquillement sur le tempo.


Et elle est toujours en jupe. Assise sur mon tabouret, Cathy tient bien le rythme sur la grosse caisse de son pied droit et le charleston de son pied gauche. Et sa jupe remonte. Mon côté voyeur prenant le dessus, il faut que je trouve une raison de m’accroupir. Je recule un peu, saisis ma basse, et me mets alors à genoux pour régler mon ampli avant de pouvoir jouer. Une fois à genoux, je tourne la tête vers Cathy et mes yeux remontent le long de ses cuisses jusqu’à ce petit triangle de tissu me cachant sa féminité resplendissante.


Entre ses seins qui ballotent, sa jupe qui remonte, sa petite culotte qui me nargue, Cathy dégage une véritable puissance érotique dans cette salle. Jess reste concentrée sur ce qu’elle joue, mais il me semble que Cathy me regarde bien directement. La lumière qui entre par la fenêtre derrière elle ne me permet pas de bien voir son visage, mais je suis quasiment sûr qu’elle me regarde, quasiment sûr qu’elle se mordille la lèvre inférieure dans un sourire.


Pendant que je branche une pédale disto sur ma basse, je continue de mater le spectacle que Cathy me livre malgré elle. Ou peut-être s’en rend-elle parfaitement compte et qu’elle en joue ? Toujours est-il que le résultat est absolument bandant, et je suis bien content d’avoir ma basse contre moi lorsque je me relève.

Je rejoins alors la musique et nous nous lançons dans un très bon bœuf que l’on fait durer une bonne demi-heure. Très bon moment avec ces deux jolies filles.


Lorsque vient le moment pour elles de s’en aller, Cathy descend la première pour retourner saluer mes parents. Je lui fais chastement la bise. Jess reste un petit peu dans ma salle et semble attendre je ne sais quoi.



Elle se contente de hocher la tête et s’approche de moi.



Sans savoir pourquoi je fais ça, alors que je viens de passer une heure à baver devant sa batteuse de mère, je la prends par les hanches et l’attire doucement vers moi. Je crois que le fantasme de l’ado timide et innocente vient de m’envahir. Nos visages s’approchent simultanément et nos lèvres se rencontrent, puis nos langues. Ce baiser ne dure que quelques secondes, très agréable. Ses hanches sont fines, son visage est doux, sa bouche est délicate. Un beau brin de fille.


Elle se recule ensuite tout en me regardant, l’air de se dire « Mais qu’est-ce que je viens de faire ? » puis descend l’escalier et s’en va avec sa mère.


Le reste de l’après-midi est beaucoup moins excitant. Il n’est pas 16 heures et j’ai pourtant déjà eu une journée riche en émotions. Toujours dans ma salle, je prends ma guitare folk et essaie de composer une nouvelle chanson, mais mon esprit revient aussi sec sur Cathy. Il faudrait que je la convainque de revenir jouer de la batterie, et sa fille du piano. Il me semble que Cathy ne bosse pas, sa fille non plus, moi non plus…



___________________________



Le lendemain matin, je me réveille vers 11 heures. Je souris à l’idée que les enfants de Cathy doivent probablement être en train d’émerger en même temps que moi. Je prends ma douche, j’avale un bol de céréales, et je retrouve ma mère au salon.

Mon père est banquier ; il bosse désormais à Neuchâtel (le cliché des banques suisses), ce qui lui fait pas mal de trajet chaque jour, mais il faut croire qu’il aime ça. Ma mère a quitté son emploi de secrétaire trilingue à Paris, mais elle ne semble pas s’en formaliser.



Ce qui fait que j’étais bon pour la supporter toute la journée. Passer l’été en tête-à-tête avec elle ne me tente guère et je lui dis :



Visiblement, ma mère pense que mon attrait pour nos deux voisines n’est que musical. Tant mieux. D’ailleurs, ce n’est pas entièrement faux : je trouve que ça sonnait très bien hier.

Je sors de chez moi, un petit peu anxieux. Je me demande comment va réagir Jess. A-t-elle raconté notre baiser à sa mère ? Est-ce que cette dernière va se méfier ? Suspense.

Quand j’arrive devant chez elles, c’est Mickael, l’intello de 10 ans, qui m’ouvre :



Oui. La grand-mère. Je l’avais oubliée. Je comprends aussitôt pourquoi Cathy ne l’apprécie pas. Je lui explique ma situation, et elle ne semble pas voir d’un très bon œil que sa bru aille jouer de la batterie chez un voisin. Heureusement, Jessica débarque dans leur hall d’entrée alors que sa grand-mère allait me remercier poliment :



Mamie ne semble pas très satisfaite, mais n’ose rien répondre.



Je suis la belle adolescente dans l’escalier. Elle n’a pas changé de look, juste mis un autre sweat. Je suppose qu’elle a un peu de mal à assumer sa féminité, c’est dommage. Nous arrivons dans sa chambre. Un vieux piano en bois trône dans un coin de la chambre. Jess va s’asseoir sur le banc et commence à jouer. Je vais me poser à côté d’elle, et je regarde le mouvement de ses doigts sur le clavier, ainsi que son visage concentré uniquement sur la musique. C’est un petit morceau de musique classique, et même si ce n’est pas mon genre, je savoure.

Nous sommes tirés de ce moment de grâce par Cathy qui entre à son tour dans la chambre de sa fille.



Je me lève pour lui faire la bise. Assez étonnant comme cette femme peut être sexy dans un coin pareil. Elle porte une chemise à carreaux bleue et blanche et une petite jupe en jean, mi-cuisses. Heureusement que ses fils ne sont pas ados, sinon les fantasmes incestueux seraient légion dans cette maison !



Et elle nous laisse seuls. Jess s’est levée à son tour et se rapproche de moi comme elle l’a fait hier. Cette fois, je n’ai pas besoin de faire quelque chose. C’est elle qui vient prendre ma tête entre ses mains et qui m’embrasse. Je me laisse faire. Ses lèvres se posent sur les miennes, sa langue part à la recherche de la mienne, et je finis par l’attirer contre moi. Notre baiser dure plus longtemps, cette fois. Elle embrasse de façon très douce, pas violente comme j’ai déjà pu le voir avec certaines furies. D’une certaine façon, cela va avec sa timidité. Mais je me demande tout de même ce qu’elle cherche. Mais le lui demander serait un peu direct, et je m’éclipse alors, tandis que son regard ne quitte pas mes yeux.


En début d’après-midi, Cathy et Jess débarquent chez moi. C’est assez étonnant comme elles se ressemblent d’une certaine façon, et pas du tout de l’autre. Mais indéniablement les deux me font envie.

Nous retournons dans la salle de musique, Cathy à la batterie, Jess au clavier, et moi à la basse.



Jess vire au rouge, mais accepte de travailler une de ses compos. Je lui installe un micro. Elle me regarde d’une façon étrange. Amoureuse, en fait. J’essaie de ne pas y faire attention. Oui aux aventures, mais pas de relations sentimentales pour l’instant.

La compo de Jess est sympa, en anglais, mélodique et entêtante. Je trouve rapidement mes lignes de basse et Cathy n’a aucun mal à trouver un rythme. Je la regarde jouer.


Outre qu’elle est aussi excitante que la veille, j’ai du mal à croire qu’elle n’a pas touché une batterie depuis 20 ans. Ses seins qui bougent en rythme sous sa chemise, sa jupe qui remonte tout doucement, ses cuisses qui se dénudent à vue d’œil. Jouant en face d’elle, je n’ai même pas à bouger pour apercevoir sa petite culotte. Si Jess n’était pas là, j’irais me mettre à genoux devant le siège de la batterie. Mais Jess est là, et elle chante au demeurant très bien. Mais j’ai toujours autant l’impression que sa mère me regarde. Et comme hier, elle se mordille la lèvre. Je me demande si jouer de la batterie peut procurer des sensations à une femme ? À méditer.


On s’interrompt quelques minutes plus tard, très satisfaits de notre bœuf. Mais comme dans toute salle de musique, la température monte rapidement. J’exulte lorsque Cathy conseille à sa fille de retirer son sweat. Jess semble hésiter, mais une fois qu’elle le retire enfin, je comprends pourquoi : elle ne porte pas de soutif sous son petit top noir. Et ça se voit amplement. Elle a de beaux seins pour une fille de son âge, et son haut est bien trop petit pour elle. Et les tétons pointent. Quel dommage de cacher de telles merveilles !



Je la regarde s’éloigner. Elle semble presque frêle, mais quelque chose de sauvage se dégage d’elle. Peut-être ses cheveux blonds en broussaille ? Elle est vraiment jolie. Mais mesquinement, aussitôt sortie, je n’ai d’yeux que pour sa mère qui, à mon grand désarroi, se relève pour rallonger un peu sa jupe.



Elle me sourit, elle qui est si avare en sourire, apparemment.



Dans ma tête, je me demande comment je pourrais l’approcher. C’est peut-être bien le genre de femme qui veut qu’on y aille franchement et pas par des sentiers détournés. Mais le gros souci, c’est que je ne sais pas si elle en a envie.


Jess revient, et nous jouons encore pendant une heure, au bout de laquelle Cathy décide de rentrer chez elle s’occuper de ses fils. Nous convenons de nous retrouver le lendemain à la même heure, tandis que Jess déclare vouloir que je lui apprenne quelques notions de batterie. Mais aussitôt la porte refermée, ce n’est pas sur la batterie qu’elle fonce, mais sur moi.


Comme ce matin, elle prend ma tête entre ses mains et m’embrasse langoureusement. Commençant à avoir l’habitude, et surtout à y prendre goût, je réponds à son baiser en posant mes mains sur ses petites fesses et à la diriger contre le mur, où je la plaque doucement. Dire que je l’avais presque regardée de haut la veille. Clairement, je préfère la mère, mais la fille fera aussi une très bonne mise en bouche.


Nos bouches ne se quittent pas, mais mes mains remontent doucement sur ses hanches et glissent sous son top. Le contact de cette peau nue que peut-être aucun garçon n’a touchée avant moi est doux et tiède, et commence à m’enivrer. Je sais que je ne serai pas dérangé dans cette salle. Sa langue et la mienne s’unissent tendrement, mes mains remontent, et bien que je ne pensais pas qu’elle serait vaincue si rapidement, elle lève les bras, quitte ma bouche et retire son top d’une façon délicatement féline.


Elle a clairement hérité de sa mère. Ses petits camarades de lycée doivent sans aucun doute baver devant elle et s’adonner à des activités très personnelles en pensant à ses seins. D’une belle rondeur. Et lorsque j’y pose mes mains, je découvre une fermeté délicate recouverte d’une peau délicieusement pure et lisse.


Alors que je caresse ses seins, Jess ferme les yeux et semble savourer. Je suis quasiment certain que c’est la première fois qu’elle se fait caresser ainsi par un garçon. Pas complètement ingrat et insensible, j’essaie de faire en sorte que tout se passe bien pour elle. Mes mains glissent doucement sur son ventre, ses hanches, ses seins, tandis que mon visage se colle au sien et parsème ses joues, son cou et sa nuque de baisers. Elle passe doucement ses bras autour de mon cou, je sens son bassin onduler légèrement. Très agréable, très sensuel, très doux.

Mes mains se posent sur ses hanches. Elle rouvre ses yeux. Je les contemple. Je n’avais même pas remarqué ses magnifiques yeux bleus.



Puis elle ajoute, bien que ce ne soit pas nécessaire :



Sans vouloir me vanter, j’ai eu un nombre assez satisfaisant de conquêtes féminines, mais le hasard a fait que je suis toujours tombé sur des filles qui avaient déjà de l’expérience. C’est la première fois que j’ai affaire à une petite vierge. Et cette pensée m’excite beaucoup.


Je l’embrasse de nouveau, puis ma bouche glisse le long de son cou et arrive prestement à son sein gauche que je prends aussitôt en bouche. Une fille de 18 ans avec des seins pareils ! Heureusement qu’elle est entre de bonnes mains comme les miennes. Je lèche doucement son téton avec de passer ma langue sur le reste de son sein, le reprends entre mes lèvres, aspire tout doucement. Je passe au sein droit, lui fais subir le même traitement, très lentement. Jess reste les yeux clos, les lèvres légèrement entrouvertes.

Puis elle se reprend. Avec un aplomb que je ne lui soupçonnais pas, elle me dit :



Comme c’était sûrement l’effet recherché, je reste con durant deux secondes :



Et elle va s’asseoir au même endroit qu’où sa mère était assise il y a quelques minutes encore. Je ne peux pas m’empêcher de faire le rapprochement : quels beaux seins ! Elles ont le même aspect un peu félin, étrangement sensuel et excitant.

Et elle commence à jouer, essayant d’imiter sa mère. Le résultat est franchement mauvais, mais mes yeux ont du mal à se concentrer sur ses baguettes.



Cette phrase me fait fondre. Elle recommence à jouer ; ses seins ballotent gaiement, nus, libres.

Mais elle joue quand même atrocement mal. Elle semble n’avoir aucun sens du rythme. Je me dirige alors vers elle et m’assieds derrière elle, sur le même tabouret. Je prends fermement ses bras et essaie de lui montrer le mouvement. Mais je suis déconcentré par son dos nu contre moi, par ses fesses si près de mon entrejambe, et par sa déclaration suivante :



Ne pouvant rien lui refuser tellement cette fille m’intrigue, je m’exécute et retire ma chemise. Sentir son dos nu contre mon torse est très agréable. Ainsi, je lui explique le fonctionnement d’une batterie. Puis elle se met à jouer un rythme simple. C’est toujours pas ça.



Je pose ma main sur sa cuisse pour schématiser ce que je dis. Quel délicieux contact ! Elle recommence à jouer ; je suis subjugué par ses seins, son dos, ses hanches, sa peau, ses cheveux blonds et fins qui me caressent le visage…

Alors, quand elle arrête de jouer, je ne peux pas m’empêcher de diriger mes mains vers son bas-ventre, de défaire le bouton de son jean et de descendre sa fermeture Éclair. Loin de me décourager, elle tourne son visage vers moi et attrape ma bouche dans un délicieux et humide baiser. Ma main droite se faufile entre ses cuisses et se pose sur sa petite culotte. Je la caresse du bout des doigts, je la laisse s’habituer à cette sensation nouvelle. Elle frissonne un peu, m’embrasse de façon désordonnée. Ma main gauche caresse un sein nu, puis l’autre.


Je sais que son sexe ne sera bientôt plus vierge dans quelques minutes, mais je tiens à faire ça bien. Au fur et à mesure que mes caresses se font un peu plus appuyées, je la sens plus chaude, plus humide. Je ne voudrais sûrement pas lui faire de mal.


Mon sexe commence à buter dans le bas de son dos, et elle s’en rend forcément compte. Mais ça ne la dérange pas : elle continue de m’embrasser, de profiter. Jusqu’au moment où elle se lève tout doucement, gracieusement. Elle veut faire glisser son pantalon, mais je m’en charge. Alors que je m’empare des bords de son jean, elle fait doucement gicler ses sandalettes de ses beaux petits pieds et je commence alors à descendre son jean.

Je le descends tout doucement. Je colle mon visage contre sa peau, sur ses hanches, je la respire, je la mordille, je l’embrasse. Je découvre ses fesses nues. Elle porte un string. Ses petites fesses, je les caresse du bout des lèvres, je les lèche.


Quelques secondes plus tard, son jean arrive sur ses chevilles. Elle l’envoie balader comme elle l’a fait avec ses sandales. Puis elle se retourne délicatement, m’exhibant son corps presque nu. Elle s’assied précautionneusement sur la caisse claire et pose ses coudes sur les toms. Si j’étais sûr que ma batterie tienne le coup, je la prendrais ainsi.

Elle me regarde, les yeux dans les yeux. Dans son regard, je lis beaucoup d’excitation, mais aussi beaucoup de timidité, et peut-être même un peu de peur. Pourquoi m’a-t-elle choisi, moi, alors que je l’ai rencontrée hier ? Elle a peut-être raison : quelque chose a dû se passer hier matin. « Merci, Cathy, de m’avoir présenté ta fille ! »



Je lui fais « oui » de la tête, puis ma main droite vient se poser à plat entre ses cuisses légèrement écartées. Sous le plat de ma main, je sens la chaleur d’un sexe qui attend qu’on s’occupe de lui, la féminité d’une ado qui s’apprête à vivre sa première fois et à devenir une femme. Je laisse ma main une petite minute comme ça, tout en la regardant. Puis je me mets à genoux devant elle. Et j’approche mon visage de son string. Je respire son odeur, j’emmagasine sa chaleur. Mon visage teste la douceur de ses cuisses. Puis je dépose un premier baiser sur son minou. Je pose mes mains sur ses fesses. Elle pose les siennes sur ma tête. Je savoure cet instant.


Je l’embrasse et la lèche quelques instants par-dessus son string quand elle me tire de ma torpeur en me demandant de lui retirer ce dernier obstacle à son plaisir. Je le saisis alors et le fais tout doucement glisser le long de ses jambes.


Son minou m’apparaît comme la plus belle chose que j’aie vue depuis longtemps. Elle prend soin d’elle, comme en atteste son petit ticket de métro. C’est à ce moment que je me sens réellement honoré d’être le premier. Une fois son string complètement retiré, je la regarde une dernière fois. Elle s’est installée sur ma caisse claire comme elle pouvait, mais ça semble lui convenir. Assez rock’n’roll comme premier cunni. Je plonge alors mon visage entre ses cuisses, je les embrasse, je les lèche. Et j’arrive sur son sexe.

Ma langue glisse le long de sa fente, revient par les lèvres extérieures, s’attarde sur le clitoris, redescend jusqu’à l’entrée de son vagin, remonte le long de sa petite bande de poils, revient sur le clito, le titille du bout de la langue, le suçote, l’abandonne, passe plusieurs coups de langue de bas en haut. Elle gémit, surprise par ce plaisir nouveau. Je laisse son corps s’habituer à son premier cunni, afin de ne pas la brusquer ni lui faire mal. Puis je plaque franchement mon visage entre ses cuisses, et ma langue commence un long duel avec son clitoris.


Elle me tient le visage entre ses cuisses, comme si elle avait peur que ce délicieux contact chaud et humide ne cesse. Je n’en ai aucunement l’intention, et continue de lui lécher le minou d’une façon qu’elle puisse s’en souvenir toute sa vie. Fièrement, je me dis qu’il y aura au moins une fille dans ce monde qui se rappellera avoir couché avec moi, et qui gardera ça comme un bon souvenir. Ses gémissements s’accentuent, mais ce n’est pas un problème : la salle est insonorisée.


Mes mains visitent et pétrissent doucement ses fesses pendant que je lui fais ce qui est le meilleur cunni de ma vie. Son sexe est délicieux, chaud, mouillé, salé. Le sexe rêvé, le cunnilingus parfait. Il semble que ma langue et son sexe étaient fait pour se rencontrer. Jess mouille de plus en plus, et ma langue s’aventure jusqu’à son vagin. J’essaie de la lubrifier du mieux que je peux. Je la lèche encore et encore, et elle crie de plus en plus fort. Elle s’agrippe à mes cheveux. Cette gamine que j’ai rencontrée hier alors que je cherchais vilainement à me taper sa mère… Deux beautés dont je n’ai sans doute pas encore tout vu.

Je me relève alors, et je la regarde vaincue. Elle me regarde aussi, ou plutôt la bosse qui déforme mon pantalon.



J’enlève mes chaussures avec mes pieds, puis je défais mon pantalon que je retire tout en la regardant. Je suis en boxer face à elle. Je m’approche. Elle se relève. Mon sexe bute contre son bas-ventre, et sa main se dirige dans sa direction. Elle le caresse par-dessus le boxer. Très agréable de sentir sa main novice courir le long de ma queue. Je pose ma main sur son sein gauche ; je sens le battement de son cœur cogner rapidement. Nos lèvres se joignent à nouveau. Nos langues aussi. Je saisis fermement ses fesses dans mes mains, elle passe ses bras autour de mon cou, et je la soulève. Je sens son corps tout contre le mien, ses seins contre mon torse, son sexe nu contre le mien encore vêtu.


Ainsi, je contourne ma batterie, et très délicatement je l’allonge sur le moelleux tapis trônant au milieu de la salle. Elle écarte les bras et les cuisses, ses yeux me suppliant de lui faire l’amour. Je retire mon boxer, livrant mon sexe à son regard, et me mets à genoux devant elle. Je pose ma main sur son sexe pour être sûr de pouvoir y aller sans lui faire mal. J’attrape mon portefeuille, en sors un préservatif que j’enfile rapidement. Elle écarte ses cuisses au maximum ; j’avance mon sexe vers le sien. Le contact de mon gland sur son clito lui fait pousser un gémissement, puis mon sexe glisse doucement dans sa grotte. Je rencontre un petit obstacle qui cède vite ; elle ne grimace même pas. Je m’allonge alors sur elle.


Tout son corps est sous moi, et une partie du mien est dans le sien. Aussi simple que ça, mais tellement bon. Elle est étroite, chaude, mouillée. Je commence mes va-et-vient en elle et les cris commencent à sortir de sa bouche. Elle passe ses bras autour de mon dos, referme ses jambes autour de mes fesses. Je lui fais doucement l’amour, puis une fois que l’on commence à se sentir très bien tous les deux, j’accélère la cadence.


Ses mains caressent mon dos, descendent jusqu’à mes fesses, qu’elle tient fermement, comme si elle voulait que je reste profondément en elle. Elle semble apprécier ma présence dans son corps, et j’en profite. Je fais l’amour à cette belle adolescente, cette petite blonde à forte poitrine, lui offrant la première jouissance de sa vie.

Comme c’est sa première fois, je ne cherche pas à éterniser la chose. Je ne me retiens pas quand je me sens venir. Même si mon sperme ne glisse pas en elle à cause de la capote, je sais qu’elle sent mes spasmes au fond de son ventre. Elle semble définitivement aimer ça.


Je viens me coucher à côté d’elle et la prends dans mes bras. Elle se blottit contre moi. On reste ainsi de longues minutes, sans rien dire. Seules nos respirations saccadées percent le silence. Son corps contre le mien, sa peau chaude caressant la mienne. Mes mains se baladant dans ses cheveux. Un petit instant d’éternité.

Lorsque l’on se rhabille, elle me dit alors d’une voix mal assurée :



Je la raccompagne en silence jusqu’à chez elle. Elle dépose un furtif baiser sur mes lèvres avant de disparaître. J’espère qu’elle gardera un bon souvenir de sa première fois.


Je ne pensais pas que je réussirais à coucher avec Jess au bout de seulement deux jours. Ça m’est rarement arrivé de coucher aussi vite, d’ailleurs. Mais bon, à son âge, on est parfois un peu pressé. D’un côté, ça m’arrange. Et puis, le fait qu’elle ne veut pas que sa mère soit au courant de quoi que ce soit, ça fait aussi mes affaires. Je me vois mal draguer Cathy si elle sait que je couche avec sa fille.

Mais maintenant, j’ai aussi le risque d’avoir souvent Jess sur le dos. Il est évident que je dois être seul avec Cathy si je veux avoir une chance de l’approcher. Et avant tout, essayer de discuter avec elle, savoir comment va sa vie amoureuse. Et sa vie sexuelle, évidemment.



J’évite de rentrer dans les détails. Pas besoin de leur expliquer que Cathy ne m’excite pas que musicalement. Pas un mot non plus sur ce qui s’est passé avec Jess. Les parents font parfois des gaffes très lourdes.



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Le lendemain matin, je me lève encore une fois tard, prenant les mauvaises habitudes de mes voisins. L’après-midi, je monte dans ma salle de musique en réfléchissant à comment je pourrais draguer Cathy. Mais aucune idée ne m’est encore apparue. Quand elles arrivent, je suis assis derrière la batterie, regardant ma caisse claire avec extase, repensant à hier.


Cathy change de tenue tous les jours, mais est toujours fichtrement sexy. Elle porte une petite jupe à motif écossais, une sorte de kilt en fait, et un tee-shirt noir moulant qui fait ressortir sa poitrine autant qu’il la cache. Jess est toujours vêtue dans le même style, mais elle enlève aussitôt son sweat. Aujourd’hui, elle a mis un soutif. Sans doute pense-t-elle que cela ferait plus discret. D’ailleurs, en présence de sa mère, elle continue à être aussi timide qu’avant. Et elle m’ignore presque. Elle devrait faire gaffe à ne pas en faire trop : Cathy n’est pas non plus née de la dernière pluie.


Nous jouons encore pendant une bonne heure, travaillant un nouveau morceau de Jess. Elle a du talent. Mais Cathy me subjugue. Elle joue parfaitement, tout en me dévorant des yeux. Du moins, c’est l’impression que j’ai. Je devrais changer la batterie de place pour ne plus avoir ce putain de contre-jour derrière elle. Mais sa jupe qui remonte tout au long de l’heure, sa petite culotte rouge et noire, je les vois bien. Dire que sa fille était au même endroit hier, quelques minutes avant me sentir en elle…


À la fin de l’heure, Cathy me demande si elle peut bosser un peu sa batterie. Je la laisse donc dans la salle et sors avec Jess, que je raccompagne chez elle.



Sa main frôle la mienne et mes doigts se referment sur les siens. Arrivés devant sa maison, elle se colle contre moi :



Je ne réponds rien, la prends par les hanches et l’embrasse. Et je la laisse rentrer chez elle. Oui, on a tout l’été.

Flatté par son compliment, je rentre chez moi. Derrière la batterie, Cathy a fait tomber le haut. Elle est en train de jouer, sa jupe bien remontée, ses seins magnifiquement mis en valeur par son soutien-gorge en dentelle rouge. C’est vraiment ce qu’on appelle une poitrine avantageuse. Quand elle s’arrête de jouer et m’aperçoit enfin, elle se croit obligée de s’excuser :



Comment ne peut-elle pas comprendre ? Elle comprend parfaitement. Aucune mère de famille ne se baladerait à moitié nue dans la salle de musique du fils de ses nouveaux voisins à moins d’avoir sérieusement envie d’aller voir ailleurs que chez son mari. Je me pose sur le tapis et la regarde jouer. Bon, OK, je la regarde tout court. Ses seins qui sautent, cette petite culotte que je pourrais lui arracher. Évidemment qu’elle attend que je fasse quelque chose. Mais comment s’y prendre ?


Et le temps que je réfléchisse, elle décide qu’il est temps pour elle de rentrer. Merde ! J’aurais dû aller me mettre derrière elle et lui prendre les seins fermement, plaquer mes lèvres contre les siennes. Je suis sûr qu’elle aurait suivi. Je dois passer pour un pauvre puceau qui n’ose pas y aller, maintenant.

Elle se rhabille et sort de la pièce, l’air jovial, sans doute frustrée de ma timidité. Je la suis avec un air idiot, et je la raccompagne elle aussi. Ça m’occupe. Et surtout, j’essaie d’engager la conversation pendant les 300 mètres qu’on a à couvrir, histoire de ne pas perdre la face. Mais elle me devance.



Quand on passe devant la maison des octogénaires, je devine la vieille nous regarder d’un air choqué. La tenue de Cathy n’est pas vulgaire, mais disons qu’elle détonne un peu avec le paysage environnant.



« Ici, aussi, ma belle, mais j’ai pas envie de choisir : je veux les deux… » me dis-je sournoisement… avant de me rappeler que je viens de rater une occasion en or.



C’est très lourd. Elle doit me voir venir à des kilomètres. Tant pis.



Elle rit.



« Et ton nouveau bassiste… ? »


Nous arrivons chez elle. Je ne sais pas pourquoi, je la suis à l’intérieur. Le hasard fait bien les choses ; la grand-mère a laissé un mot sur la table de la cuisine :


« Ai emmené les gosses faire une promenade sur les hauteurs. Rentrons vers 19 h. »


Je regarde ma montre : il est à peine 16 h. Son mari rentrant tard, Cathy est donc seule pendant plus de trois heures. Le destin me sourit et me donne une deuxième chance. À moi de ne pas la rater.



Je rougis, un peu comme Jess hier, mais finis par accepter. Des occasions comme ça, c’est un rêve. Elle sort deux petits verres, du Coca et une bouteille de Jack Daniel’s. Le pied. Je me pince pour vérifier que c’est bien réel. Elle me donne un verre rempli à ras bord, et je m’assois sur le canapé. Elle s’assied en face, dans un fauteuil. Elle remonte son pied gauche pour le poser sur la table basse qui nous sépare. Une vue magnifique sur son entrejambe, amplifiée par ses petits mouvements de cuisses. Sa jupe est bien remontée… Ce petit triangle de dentelle rouge et noire est tellement alléchant…



Nous portons nos verres à nos lèvres et commençons à déguster notre mélange. Délicieux, d’ailleurs.



Alors que ses cuisses, ses seins, tout son corps me provoquent, son visage reste neutre et indifférent, comme si elle était vêtue de façon tout à fait conventionnelle.



Comme 90% des étudiants, à cette question je réponds :



Elle a déjà vidé son verre à moitié. Impressionnant. Belle descente.



Préférant jouer le jeu, j’acquiesce. Et nous vidons le reste de nos verres d’un trait. Ça arrache un peu, mais une fois passé, vous vous sentez des ailes. Plus efficace que le Red Bull. Et elle aussi se sent pousser des ailes : alors que je pose mon verre, elle se lève soudain, grimpe sur la table basse, en redescend de mon côté, pose ses genoux sur le canapé. Se pose à califourchon autour de mes cuisses. Et me plaque contre le dossier du canapé. Si je n’étais qu’à moitié dur, là, maintenant, je bande franchement. Elle prend ma tête entre ses bras. Maintenant, je sais d’où Jess tient cette façon de se jeter sur moi. Cathy écarte les cuisses. Sa petite culotte frôle la bosse de mon pantalon.


« Je vais coucher avec une MILF, je vais coucher avec une MILF, je vais coucher avec une MILF… »


Alors qu’elle plaque ses seins contre mon torse, elle prend la parole. Et là, ça me paraît un peu compromis :



Pendant qu’elle dit ça d’une voix faible, elle passe cependant sa bouche sur mon visage, dans mon cou, dans mes cheveux ; elle frôle mes lèvres. Drôle de façon d’associer ses paroles et ses gestes. Je bande comme un fou. Cette petite maman aguicheuse, collée contre moi…- Comment résister ?



Je me demande si elle sait quelque chose pour Jess et moi. Mais je m’en fous un peu, car à cet instant précis, c’est elle que je veux…



Je ne peux m’empêcher de la prendre par les hanches et de caresser doucement ces dernières. Elle a beau dire, elle ne me repousse pas.



Elle pose ses lèvres contre les miennes. Elle ne sait vraiment pas ce qu’elle veut. Typiquement les femmes, ça. Décidant de l’avoir par surprise et allant contre ses recommandations, j’embrasse ses lèvres puis glisse une main sous son kilt. Je plaque mes doigts entre ses cuisses.



Quel contact savoureux ! Hier, je caressais et léchais sa propre fille. Les femmes de cette famille sont délicieusement sensuelles et coquines, dirait-on.



Elle met ses bras autour de mon cou et plaque mon visage contre ses seins. Même à travers son haut et son soutif, je devine leur chaleur, leur fermeté. Ses beaux seins que tétait Jessica il y a une vingtaine d’années, alors que j’étais moi-même en train de jouer au bac à sable. Je continue de glisser mes doigts le long de ses petites lèvres que je devine sous sa culotte. Je sens sa respiration s’accélérer, ayant la tête sur sa poitrine. Son rythme cardiaque augmente aussi.



Cette pensée ne me calme pas, et je continue de la caresser.



Pour toute réponse, elle plaque encore un peu plus mon visage contre elle.

Alors que je m’apprête malgré tout à glisser mes doigts sous sa petite culotte, elle s’écarte soudainement de moi et se retrouve aussitôt debout. Elle essaie de se composer un visage un peu plus acceptable.



Elle continue de loucher étrangement en direction de mon sexe bandé sous mon pantalon… Sur le ton de la confidence, toujours debout, elle m’avoue :



Je me lève alors, mais avant de rejoindre la porte, je me pose devant elle, et sans hésiter je fais passer ma main sous son kilt, sur son minou mouillant sa petite culotte.



Ne lui laissant pas le temps de réagir, je sors de chez elle, très frustré, très excité, mais aussi convaincu que j’arriverai à la faire céder d’ici septembre.


Le soir, dans mon lit, je me dis que je n’ai peut-être pas été très malin en révélant à Cathy qu’il s’était passé quelque chose entre moi et Jess. Cathy a un moyen de me faire chanter ; elle va sûrement accepter que je fréquente sa fille pour que je ne me montre pas trop insistant envers elle. Pourtant, il est évident qu’elle en meurt d’envie. Mais une fois qu’elle acceptera pleinement l’idée de l’adultère, de somptueuses parties de jambes en l’air m’attendront.


En attendant, il va falloir que je fasse gaffe. Cathy ne dira pas à sa fille qu’elle sait quelque chose. Car, dans ce cas-là, je pourrais me venger en racontant ce qu’il s’est passé cet aprèm’ sur le canapé. Déchirement familial : la fille et la mère ne se parleraient plus, scandale. Cathy n’a rien à y gagner, et moi non plus. Donc, autant continuer en faisant comme si de rien n’était.



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Le lendemain et les jours qui suivent, nous passons tous les trois une à deux heures par jour dans ma salle de musique. Cathy, toujours aussi sexy, sa fille toujours aussi timide, ne sachant pas que sa mère sait déjà. Assez drôle, quand on y pense. Pendant toutes les répètes, je bande en regardant Cathy, ses seins bien mis en valeur, ses minijupes, ses petites culottes ou ses shorties. Et après les répètes, je fais profiter Jess de l’érection provoquée par sa mère.


Je l’initie lentement. Souvent, on croit que les filles comme Jess ont plein d’a priori sur le sexe, mais ce n’est pas son cas. Le premier jour après ma petite altercation avec sa mère, je lui fais tendrement l’amour, sobrement, comme la première fois. Même si elle prend la pilule, je préfère mettre une capote. Non pas que je ne sois pas sûr de ma santé, mais on sait jamais : Cathy grand-mère, ce serait dommage, effectivement.

Alors que nous sommes tous les deux allongés après l’amour, sur le tapis, elle collée contre moi, un bras autour de ses épaules, Jess me demande :



Oui, c’est mal de mentir. Mais en l’occurrence, ça lui permet de se jeter sur moi en m’embrassant et en prenant mon sexe en main. S’ensuit un délicieux baiser langoureux rythmé par ses va-et-vient manuels autour de ma queue. Elle est un peu maladroite au départ, mais s’y fait vite. Et alors que je reste allongé béatement sur mon tapis, ses baisers se mettent à parcourir mon cou, mon torse, et continuent de descendre avec l’empressement d’une jeune fille pressée de découvrir une nouvelle sensation. Jess se retrouve rapidement allongée à plat-ventre, sa tête au niveau de mon sexe, qu’elle prend doucement en bouche. Encore une fois, je ressens une petite fierté à être le premier garçon à pénétrer son corps de cette façon.


Elle le prend doucement en main, se met à lécher mon gland d’un air curieux et timide, puis semble se faire au contact. Sentir sa petite langue novice me titiller le bout me fait redurcir à fond, et cela semble l’encourager à bien avaler ma queue tout en me branlant énergiquement. Pas mal du tout pour une débutante. D’habitude, je ferme les yeux pour savourer, mais cette fois je ne peux m’empêcher de contempler son visage angélique travailler avec plaisir sur mon sexe.

Elle me suce de façon très agréable, mais je ne pense pas qu’elle ait encore la maîtrise nécessaire pour me faire jouir dans sa bouche sans que je ne lui donne un petit coup de main.



Étonnée, mais obéissante, elle se met à genoux. Je me lève à mon tour. Un beau brin de fille. Quand elle sera à la fac, ça va y aller. Mais pour l’instant, elle n’est qu’à moi, et j’en profite. Son visage est toujours curieux, mais aussi un peu dubitatif. Je me mets debout devant elle, mon sexe arrivant pile au niveau de son visage. Je lui passe doucement mon gland sur le visage, elle tire la langue pour le caresser au passage. Dieu, qu’elle est chou !



Elle semble hésiter, puis finit par opiner du chef, excitée et enthousiaste tout autant qu’inquiète. Tenant sa tête de ma main gauche et ma queue de la main droite, je commence à me branler énergiquement. Elle me regarde faire, comme fascinée. Son visage innocent sur son corps si excitant contribue à me donner beaucoup d’inspiration ; et, de toute façon, je n’ai pas envie de la faire poireauter comme ça trop longtemps. Au bout de deux minutes, je lui dis :



Elle les entrouvre dans un léger sourire ravissant et je positionne ma queue juste devant sa bouche, me donnant le coup de poignet final.

Une première giclée de sperme chaud bute contre son palais. Quand elle sent venir la seconde, elle fait glisser ses lèvres autour de mon sexe afin de n’en pas rater une goutte. Tenant toujours sa tête, mon sperme se déverse dans sa bouche. Dieu, que c’est agréable ! Elle avale doucement. Lorsque je me retire, elle passe sa langue sur ma queue pour me la nettoyer consciencieusement. Vierge il y a encore trois jours… Elle devait avoir de sérieuses prédispositions !

Je sais que les filles n’aiment pas cette question, mais pour une première fois, je m’autorise à la lui poser :



Elle se relève et vient m’embrasser. Un petit goût salé persiste dans sa bouche, mais à n’en pas douter, elle a bien tout avalé.

Après ce petit baiser, je lui tends une bouteille d’eau, puis elle me demande :



Une petite pensée pour Cathy, dans son salon, s’imaginant bien que je suis en train de sauter sa fille alors qu’elle-même aimerait tant que je glisse mon visage entre ses cuisses, sans oser céder.


Je raccompagne Jess chez elle. Quand Cathy vient nous ouvrir, vu son visage rouge, sa respiration rapide et sa jupe mal remise, je suis persuadé qu’elle était en train de se donner un peu de plaisir. La belle-mère et les gosses ne doivent pas être là pour qu’elle s’autorise ce petit extra. Jess me dit d’attendre dans le salon, le temps qu’elle aille chercher un texte qu’elle a écrit ce matin. Je me retrouve seul face à Cathy, qui me demande simplement :



Quand Jess revient quelques secondes plus tard, nous discutons tranquillement tous les trois, Cathy faisant semblant de ne pas savoir, Jess pensant que sa mère ne sait pas et ne sachant pas que sa mère et moi fantasmons l’un sur l’autre, moi faisant genre « Ici, je ne baise personne et ça ne me vient pas à l’idée ». C’est en faisant semblant que ça peut marcher.



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Les jours qui suivent ressemblent aux précédents. Musique. Cathy sexy sur son tabouret de batterie, ses seins ballotant toujours plus hypnotiquement, ses cuisses nues, sa petite culotte sans doute chaude qu’elle doit s’empresser de retirer quand elle rentre chez elle pendant que moi et sa fille faisons mille folies de nos corps…


Aujourd’hui, alors que je remonte dans ma salle après avoir raccompagné Cathy jusqu’à la porte d’entrée, je retrouve Jess assise sur le tabouret de batterie, adossée au mur, entièrement nue, les cuisses écartées au maximum, son minou déjà bien humide qui n’attend que de se faire lécher. Je retire mes vêtements un peu à la façon Hulk et cours m’agenouiller devant cette princesse.



Ultra-excité, je m’exécute et commence à la lécher avec passion. Je lui mange sa petite chatte alors qu’elle referme ses jambes autour de mon cou, tout en prenant ma tête entre ses mains. Un peu soumis, n’ayant aucune possibilité de quitter son sexe trempé et salé, je lui broute son petit minou sans demander mon reste. Tellement excitant quand c’est la fille qui ose assumer son désir et son plaisir et qui en redemande. Exactement le côté sauvage qui m’excite chez une fille. Son sexe est bouillant, son clito glisse sous ma langue, mon visage est rempli de cyprine.


Voilà ce dont Cathy aurait besoin : un bon cunni bien farouche, un peu brutal, passionné. Tout en léchant sa fille, je repense à son sexe que j’ai brièvement pu toucher l’autre jour par-dessus sa petite culotte. Dire que de ce sexe est sortie une enfant, maintenant une belle gamine, la même gamine qui est en train de gémir sous mes caresses buccales.

Je la tiens par les hanches. Mon visage est totalement imbriqué entre ses cuisses, contre son sexe. Ce que c’est bon !


Quand elle parvient à un orgasme clitoridien délicieusement bruyant, je me relève, ne lui laisse pas de répit, la prends dans mes bras, la positionne à quatre pattes sur le tapis les cuisses légèrement écartées, et je la prends en levrette sans lui demander son avis. Un petit viol consenti, délicieusement excitant. Je la tiens fermement par les hanches et m’enfonce profondément en elle. Délicieusement étroite.

Comme un goujat, j’imagine Cathy à quatre pattes, à la place de Jess. J’imagine mes mains sur ses hanches, ma queue entre ses cuisses, ses fesses butant contre les miennes. Mais je me contente amplement de sa fille. Déjà une semaine que je couche tous les jours avec elle. Déjà une semaine, et la première levrette. Déjà plein de cunnis, plein de fellations. Bientôt une éjac faciale, je m’arrangerai. Et bientôt Cathy.

« Tu me plais énormément Jess, mais la prochaine fois que je prends quelqu’un en levrette ici, ce sera ta maman… »


Et pendant qu’elle se caresse à l’autre bout du hameau, c’est à Cathy que je pense, en éjaculant pour la première sans préservatif dans le minou de sa fille. Pendant que mon sperme s’écoule entre les cuisses de Jess, je pense au sexe de sa mère il y a environ 18 ans, alors qu’elle avait mon âge actuel. « C’est parce que ta mère était une petite coquine à 19 ans que tu es là, ma Jess, à me combler de bonheur depuis que je suis arrivé ici. Et il est temps que j’aille remercier ta petite maman. »


Ouais, mais voilà : plus facile à dire qu’à faire.



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Trois jours après cette délicieuse levrette, Jess me fait comprendre en arrivant dans ma salle que c’est la mauvaise période du mois, et que malheureusement je devrai prendre mon mal en patience pendant quelques jours. Damned !


Pendant qu’elle s’installe derrière son clavier et que sa mère est encore en bas à échanger quelques banalités d’usage avec la mienne, je réfléchis. Cathy, en voyant sa fille ne pas rester aujourd’hui, comprendra peut-être que sa fille n’est pas en état de faire quelque chose. Donc, Cathy pourrait rester. Mais ça ferait un peu gros. Jess est consciente que sa mère plaît. Donc, non. Ça ne marche pas. Bordel !


Aujourd’hui, aux drums, Cathy semble faire tout ce qu’elle peut pour m’exciter, comme si elle savait que je n’aurais que ma main pour me consoler dans les jours à venir. Sa minijupe en jean est vraiment mini. Son décolleté, lui, serait plutôt… maxi. Bien plongeant. Qui donne furieusement l’envie de s’y glisser. Alors que Jess reste concentrée sur les touches de son clavier, sa mère m’envoie des baisers, me tire la langue avec un regard coquin. Entre deux morceaux, elle fait glisser la pointe de sa baguette sur son petit string rouge en se mordillant la lèvre. J’ai beau lui lancer des regards exaspérés, elle joue avec moi, elle me nargue. Mais rira bien qui rira le dernier.


Mais les mauvaises nouvelles s’amoncellent. Au moment de s’en aller, reprenant son attitude de mère de famille tout à fait respectable, Cathy me dit :



Je décide de les raccompagner, mais avant je leur dis qu’il faut que je passe rapidement dans ma chambre. Elles descendent alors l’escalier pendant que je fonce sur mon bureau. Je prends une feuille de bloc-notes et un stylo et écris rapidement : « OK, tu veux pas tromper ton mari. Dans ce cas, une solution : un plan à trois avec lui et moi. Tu sais que c’est réalisable, avec un peu de bonne volonté… » Et je finis en lui donnant mon numéro de portable. Que Jess n’a même pas, d’ailleurs. Quel goujat !


Et pendant que nous discutons musique sur le chemin du retour, où je découvre que Cathy a une culture rock ahurissante, alors que Jess se défend très bien en soul et en funk – et sans me soucier des éventuels voisins qui pourraient nous épier (c’est toujours curieux, un voisin) – ma main droite se pose sur les fesses de Cathy, qui me lance un regard noir, mais ne peut rien me dire. Comme sa jupe n’a pas de poches, je n’ai pas d’autre choix que de faire passer mon petit mot en glissant ma main sur sa peau nue. Quelles cuisses, quelles douces fesses nues ! Je ne peux m’empêcher de les caresser quelques instants avant d’insérer mon bout de papier sous l’élastique de son string et de retirer ma main, innocemment…


Le soir, frustré, alors que je m’apprêtais à aller m’amuser tout seul sous la douche, je reçois un SMS d’un numéro que je ne connais pas :


Il ne se passera probablement rien entre toi et moi, encore moins en trio avec mon mari. Cathy.


J’analyse son message. « Probablement », ça ne veut pas dire « jamais ». Et j’en déduis aussi que quitte à tromper son mari, elle préfère le faire dans son dos plutôt qu’en sa présence consentie. Je lui réponds :


N’empêche, tu ne dis pas non à un truc rien que nous deux…


Quelques secondes plus tard, réponse :


Si ça peut te permettre de fantasmer…


Elle joue avec mes nerfs, mais je ne me laisse pas abattre. S’ensuit un long échange de SMS :



  • — Tu fais quoi là ? Toujours en minijupe ?
  • — On regarde une connerie en famille à la TV. Et je dois dire à Lionel que j’écris à une copine…
  • — Jess n’est pas trop triste de n’avoir pas succombé à mes caresses aujourd’hui ?
  • — N’imagine même pas que je sois jalouse…
  • — Si tu venais seule, demain ? Elle peut garder tes fils, non ?
  • — Je ne suis pas certaine que ça l’enchante.
  • — Putain, tu me gonfles ! Arrête de me chauffer comme ça si tu veux vraiment rien !
  • — C’est mignon comme tu t’emportes. Ça m’encourage à continuer.
  • — Un jour, je vais te violer doucement.
  • — Va savoir… Demain, je vais au village. Je pars à 10 h 30 de chez moi. Les gosses restent à la maison. À toi de voir si tu veux passer me prendre.


Ce dernier message me laisse perplexe. Se fout-elle de moi ? Ou alors est-elle sincère ? Ça vaut le coup d’essayer. Demain, 10 h 30, Cathy sur le siège passager de ma 206…



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Naturellement, à 10 h 30 tapantes, je suis devant la maison de Cathy. Mais c’est Jess qui sort et qui marche jusqu’à ma maison :



« Oh oui, Cathy, choisis bien tes vêtements… »


Puis, alors que je suis adossé à ma voiture, Jess vient se blottir contre moi, la tête sur mon torse. Ce n’est pas vraiment le moment, mais je me sens bien obligé de la prendre dans mes bras.



Ce qui n’est pas entièrement faux non plus. Elle dépose un baiser sur mes lèvres puis retourne chez elle. Trente secondes plus tard, voilà Cathy.

Toujours aussi belle, mais aujourd’hui habillée un peu plus chastement. Sa jupe beige lui descend cette fois juste au-dessus des genoux, et sa chemise blanche ne dévoile pas vraiment trop ses seins à mon regard. On dirait un peu une secrétaire, mais ça lui va pas si mal. Sûrement pour me faire rager qu’elle a décidé de se couvrir un peu plus.

Nous nous faisons la bise et nous nous asseyons chacun à notre place. Je commence à rouler, et une demi-minute plus tard, je prends la parole :



Elle rigole puis répond :



Je soupire un grand coup et lui dis :



Je plante un grand coup de freins, franchement énervé :



Pour toute réponse, je me prends une bonne claque.

Et Cathy sort de la voiture en faisant claquer la portière. Je sors à mon tour. Heureusement, il ne semble y avoir personne dans les environs. Je lui cours après et lui attrape le bras. Elle se retourne et j’ai peur de me reprendre une nouvelle baffe.



Finalement, nous remontons dans la voiture, silencieusement. Elle m’énerve, mais elle m’excite. En fait, elle ne sait pas plus que moi comment s’y prendre. Nous arrivons au village, et je me gare une nouvelle fois devant la mairie. Mais aucun de nous deux ne sort.



Comme réponse, cette fois, je ne me prends pas une baffe, mais une bouche qui fonce sur la mienne, une langue qui se glisse entre mes lèvres, deux mains autour de ma tête ; bref, un gros baiser langoureux comme je n’osais plus en rêver. Je savoure cette langue interdite pendant quelques instants, puis Cathy se rappelle que tout le village peut nous observer :



Nous faisons finalement nos courses, toujours sans solution. Sur le chemin du retour, Cathy semble se détendre et recommence à être la joueuse qui m’excite tant. Elle remonte doucement sa jupe, et j’ai du mal à me concentrer sur la route et non pas sur ses belles cuisses qui se dénudent. Quand sa jupe est entièrement remontée, me révélant une simple petite culotte blanche, elle commence à faire glisser son index entre ses cuisses en me lançant des regards et des sourires plus qu’explicites. Une bonne érection s’empare de moi.


Alors que nous ne sommes plus qu’à un kilomètre du hameau, je quitte la route principale pour prendre un petit chemin s’enfonçant dans les bois. Cathy semble amusée et continue à faire glisser ses doigts sur sa petite culotte en se mordillant les lèvres. Une fois à l’abri des regards et des voitures qui pourraient passer, je gare la voiture, défais ma ceinture de sécurité. Cathy fait de même.


Nous nous embrassons passionnément ; j’attrape un sein de ma main gauche, le caresse, le malaxe. Enfin. Ne pouvant me freiner et sachant qu’elle en meurt d’envie, je recule son siège au maximum et l’incline légèrement pour qu’elle soit confortablement installée. Je quitte alors ma place et me mets à genoux devant elle. Elle écarte les cuisses autant qu’elle le peut. Elle défait aussi lentement les boutons de sa chemise. Dieu, qu’elle est sensuelle ! La laissant s’effeuiller, mon visage s’avance entre ses cuisses. Je les caresse du bout des lèvres, les laissant glisser jusqu’à sa petite culotte, m’en éloignant, commençant à passer ma langue dans le creux de ses cuisses, me rapprochant progressivement de son minou…


Je pose mes mains sur ses hanches nues, maintenant que sa chemise est défaite. Très beau soutien-gorge blanc rehaussant parfaitement sa belle poitrine. J’embrasse sa petite culotte, sentant son sexe chaud trop longtemps ignoré par son mari, son sexe prêt à succomber à la tentation de l’adultère.


Puis Cathy se soulève légèrement, fait glisser sa culotte sur ses cuisses. Je la lui retire rapidement afin qu’elle puisse écarter les cuisses autant qu’elle le veut, puis contemple le fruit de mon désir. La petite mère de famille prend soin d’elle : un beau minou sans poils, bien lisse. Les lèvres légèrement écartées, déjà humides. Cathy et moi échangeons un long regard. « Savoure-le bien, ma belle… »


Ma langue vient se poser sur son sexe. Je pense rapidement que Jess est en train de mourir d’amour à un kilomètre d’ici pendant que je m’apprête à la tromper avec sa petite maman. Je la lèche lentement, de bas en haut, la laisse reprendre goût à ces sensations depuis trop longtemps enfouies en elle. Sa première langue depuis des années. Je devais être à peine né lors de son dernier cunni.


Je l’entends susurrer un petit « C’est bon, continue… » et je plaque alors mon visage sur sa petite chatte. Certaines femmes sont parfois un peu gênées, mais c’est pourtant tellement bon de se perdre entre les cuisses d’une femme, de la savourer, de la sentir, de l’avaler, de la manger. C’est ce que je fais avec Cathy. La chaleur humide de ma langue se mélange avec celle de son sexe, son clito gonfle doucement sous les passages de ma bouche. Son clito et ma langue entament un délicieux match d’escrime et Cathy ne retient pas ses gémissements, sachant que personne ne peut l’entendre. À part peut-être d’éventuels promeneurs s’imaginant que nous sommes un jeune couple n’ayant pas pu attendre d’arriver chez lui pour s’adonner aux joies de la chair.


Mon nez glissant sur son clito, ma langue s’amuse à pénétrer l’entrée de son vagin. Sa mouille me coule sur le menton ; je savoure cette chaude substance salée me signifiant son plaisir. Comme sa fille l’avait fait il y a quelques jours, Cathy referme ses cuisses autour de mon cou. Je les sens se presser contre mes joues, ses jambes empêchant mon visage de quitter son minou. Mais je n’ai nullement l’intention de le quitter.

Psychologiquement, le fait que ce ne soit pas une autre conasse parisienne de 20 ans que j’ai sous ma langue, mais une belle mère de famille en manque de sexe, une femme dont je couche avec la propre fille, m’excite encore plus. Et elle, Cathy ? Elle doit sûrement être flattée de pouvoir partager un garçon de 20 ans avec sa fille.


Je continue de la lécher. Elle me caresse les cheveux d’une main. De l’autre, je la devine en train de faire sortir ses seins de son soutif pour se triturer doucement les tétons. Une femme est tellement belle quand elle fait ça… Ma langue s’active de plus en plus sur sa chatte, ne laissant jamais son clito en paix, lui bouffant le minou comme un fou, ce sexe qui me narguait depuis deux semaines.


Deux minutes plus tard, ma langue caressant toujours son sexe avec frénésie, Cathy est prise de spasmes ; ses gémissements se transforment en cris, elle ferme les yeux, la tête légèrement en arrière, ses mains se pressent sur l’arrière de ma tête, son sexe se mouille de plus en plus. L’orgasme. Le premier de cette façon depuis 20 ans.

Elle desserre alors son emprise, refermant doucement ses cuisses bien humides. Moi-même essoufflé, je me repose quelques instants, la tête sur ses genoux, puis je la regarde : toujours les yeux fermés, ses seins nus se soulevant au rythme de sa respiration saccadée. Puis je me relève et vais m’asseoir sur la banquette arrière, juste derrière Cathy. Ma main gauche caresse alors enfin ses seins nus, doucement, passe sur ses tétons qui pointent. Ces tétons qui ont nourri Jess. Ces deux femmes vont me rendre fou…


Je plonge mon visage vers le sien. Elle me remercie du baiser le plus passionné que j’ai dû connaître de toute ma vie. « Si elle manie sa langue aussi bien dans ma bouche que sur un sexe d’homme… » Avant qu’elle ne se rhabille et qu’on reprenne la route, elle me dit, me tenant la tête contre la sienne :



Je repasse alors au siège conducteur, elle renfile sa petite culotte, remet ses seins à leur place, reboutonne son chemisier, remet sa jupe comme il faut puis, se regardant dans le miroir, se remet un trait de maquillage. Alors que je m’apprête à redémarrer, toujours sans avoir dit un mot tellement je suis fasciné, elle rigole :



Une fois arrivés devant chez elle, elle me demande :



Je retourne chez moi et vais me prendre une douche pour reprendre mes esprits. Quelle femme ! Il m’aura fallu deux semaines, mais j’y serai enfin parvenu. Le reste devrait suivre naturellement. Cet aprèm’ ? Cathy avait l’air certain que oui, mais comment réagira Jess, qui s’imaginait sûrement quand même venir chez moi pendant que sa mère garde les gosses ? Dilemme.


Une demi-heure plus tard, me voilà chez Jess et Cathy. Je n’aime pas les gosses, mais je devrai bien supporter les deux garçons si je veux avoir une chance d’emmener leur mère batifoler avec moi l’aprèm’. Je fais chastement la bise à Jess, qui ne sait plus trop quelle attitude prendre, surtout devant sa mère et ses frères.

Nous nous mettons à table et dégustons une salade composée préparée par Cathy. Aussi légère et délicieuse qu’elle. Jess, sur ma droite, me fait doucement du pied, semblant me dire « Attends voir la semaine prochaine… » Cathy, en face, fait de même. Je prie pour que leurs pieds ne se touchent pas ; ce serait l’accident diplomatique. Je regarde l’air innocent des deux garçons qui n’ont aucune idée de ce qui se trame ici, et ça me fait sourire.



Jess rougit comme d’habitude, puis opine du chef.



Bien, tout est réglé. C’est aussi simple que ça. Le repas à peine terminé, j’emmène donc Jess chez moi, espérant qu’elle souhaitera vite rentrer chez elle. Je me pose sur le canapé en cuir du salon. Jess vient s’y étendre, la tête sur mes genoux. Aujourd’hui, elle a mis un petit haut noir assez décolleté. Couchée comme ça, j’ai une belle vue plongeante sur ses jeunes seins généreux. Je ne peux pas retenir ma main d’aller les caresser doucement, comme ça.



Et là, mon cerveau a beau me dire « Non, non, tu ne seras pas en forme pour honorer sa mère, refuse ! », mon sexe se durcit légèrement, me disant d’une voix sournoise « Oh oui, une petite pipe sur le canapé en cuir ! » Jess le sent évidemment et se redresse. Elle passe la paume de sa main sur mon bas-ventre.



En vérité, elle ne me laisse guère le choix. Et quelle raison pourrais-je invoquer ? Aucune qui soit valable. Je ne vais pas lui dire « Non, ma belle, tout à l’heure je compte finir ce que j’ai entamé ce matin avec ta mère. » Alors elle défait mon pantalon, je le descends, elle baisse mon caleçon sans ménagement, affamée, et alors que je m’enfonce dans le canapé, ses lèvres fondent sur ma queue qui bande instantanément dans sa bouche. Elle me branle énergiquement, me suce à rythme soutenu, essaie de prendre ma queue profondément entre ses lèvres, passe sa langue tout le long de mon sexe en me regardant avec gourmandise.


En dix jours, elle est devenue une pro de la fellation. Je sais qu’elle peut me faire jouir sans que je l’aide comme la première fois. Mais cette fois, je ne dois pas jouir, il ne faut pas. Et en même temps, je sais que je ne pourrai pas tenir très longtemps. Concentrée sur ma queue, Jess ne voit pas que ma main saisit mon portable, laissé dans le creux du canapé. Je compose le numéro de la maison, et quelques secondes plus tard, le téléphone fixe sonne énergiquement.



Et je m’enfuis comme un voleur à l’autre bout du salon, le sexe à l’air, le pantalon sur les pieds, cachant mon téléphone portable dans une main, décrochant le fixe de l’autre. Je commence à simuler une conversation improbable avec mon banquier. Mais Jess s’en fout, se relève, retire son petit haut, dégrafe son soutif noir lui aussi, me révélant son avantageuse poitrine. Je bugue sérieusement à la vue de ses seins parfaits. Et elle se remet à genoux et se remet à me sucer, comme si de rien n’était.

J’abandonne mes téléphones, vaincu, et me laisse branler et sucer par cette jeune fille en manque.



Quitte à être obligé de jouir, autant le faire bien. Elle lâche mon sexe ; je le reprends en main. Elle penche la tête en arrière et ferme les yeux. Il me suffit de fixer son visage innocent et ses seins de jeune femme sexy pour m’exciter, et en une minute je me sens venir. Je tiens sa tête de la main gauche et y dirige mes premiers jets de sperme, puis les oriente vers son cou et ses seins, comme elle me l’a demandé. Une fois que j’ai fini de jouir, je contemple le tableau : son nez, ses joues, un filet de ma semence glisse entre ses seins. Je me mets à genoux devant elle. Jess se lèche le contour des lèvres tandis que j’étale mon sperme sur sa poitrine, la massant délicatement. Elle semble apprécier et elle s’allonge à même le sol. Je me mets à califourchon sur elle et continue ce petit massage spécial tandis qu’elle attrape mon sperme sur son visage avec son doigt, qu’elle met ensuite dans sa bouche avec plaisir, comme une enfant qui tremperait son doigt dans un pot de miel. Ses seins sont maintenant bien glissants, bien chauds. Ma petite Jess toute salie. J’ai bien fait d’avoir cédé.


Quelques minutes plus tard, je la laisse se relever ; elle va prendre une petite douche. C’est vrai qu’elle en a besoin après le traitement que je viens de lui faire subir. Je me lave les mains, récupère mon téléphone et envoie un SMS à Cathy :


Jess ne devrait plus tarder, mais ne sois pas pressée. Ta fille aussi était en manque.


Je reçois rapidement une réponse :


Laisse-m’en un peu. Quelle dure vie…


Une fois Jess sortie de la douche, nous nous reposons sur le canapé, côte à côte, elle sa tête sur mon épaule.



« Si tu savais… »


Nous discutons de tout et de rien, et au bout d’un quart d’heure je la raccompagne chez elle.



Je suis un peu triste pour elle dans le sens où elle semble me faire vraiment confiance, mais peut-on vraiment faire confiance à un mec de 20 ans qui ne pense qu’à ça ? On est bien trop naïve à 18 ans.

Et je repars dans le sens inverse avec Cathy. Les voisins qui me voient faire doivent se demander ce que je fous. Cathy a toujours les mêmes fringues que ce matin, toujours ce petit côté secrétaire auquel il ne manquerait que les lunettes à grosses montures. Et un chignon à la place de ses beaux cheveux châtains traînant sensuellement sur ses épaules.



Arrivés chez moi, nous allons dans ma salle de musique. Assise derrière la batterie, elle défait sa chemise promptement, me dévoilant sa belle poitrine. Elle me regarde dans les yeux, même si elle sait pertinemment que je regarde autre chose. Elle se prépare à jouer, mais je ne suis pas satisfait. Je m’approche d’elle, je me mets derrière elle, debout ; mes mains descendent jusqu’au milieu de son dos et lui dégrafent son soutien-gorge en dentelle… Elle se laisse faire, me laissant glisser les bretelles le long de ses bras, lentement. Quelques baisers dans la nuque, puis je la laisse, m’éloigne et elle commence à jouer, seulement vêtue d’une jupe beige et d’une petite culotte que j’ai déjà eu le plaisir de retirer ce matin.


Ses seins, enfin entièrement nus, peuvent bouger librement sur le tempo. Cette jeune maman, presque nue, en train de jouer de la batterie… Impensable mais vrai. Une nouvelle érection s’empare de moi. Comme toujours, sa jupe remonte doucement. Qu’est-ce qu’elle est sexy ! Mon regard se faufile entre ses cuisses, effleure son sexe, remonte sur son ventre, embrasse ses seins. J’ai jamais autant rêvé d’être une grosse caisse de toute ma vie. Je laisse durer un peu la tension, mais qu’est-ce que j’aimerais la prendre, là, tout de suite…

Quand elle s’arrête de jouer, je m’approche d’elle de nouveau.



Je prends un certain plaisir à la rendre un peu jalouse, et elle réagit de manière surprenante :



C’est la première fois qu’une fille me demande comme cela de me déshabiller, mais je n’ai pas envie de refuser. Tandis qu’elle recommence à jouer sans rien dire de plus et qu’elle me regarde cependant d’un air avide, j’enlève ma chemise, mon pantalon. Lentement, il n’y a pas de raison qu’elle ait plus rapidement que moi ce qu’elle désire. Elle me fait signe qu’il reste encore quelque chose. Je retire alors mon boxer, étonné par la façon dont elle me demande ça, et je me retrouve entièrement nu, le sexe déjà bandé, à quelques mètres d’elle.


Elle s’arrête alors de jouer, se relève légèrement pour faire descendre le tabouret de la batterie, et me demande de me rapprocher d’elle. Elle se tourne en ma direction. Ingénieux… Quand j’arrive devant elle, mon sexe arrive juste au niveau de sa bouche.

Ma queue bandant férocement devant son visage, Cathy ouvre grand la bouche et avance doucement sa tête afin de faire coulisser mon sexe entre ses lèvres. Premier contact, délicieusement chaud et doux. Elle me regarde dans les yeux, sa langue me caresse doucement. Ce petit bout de femme, seins nus, ses beaux cheveux châtains s’emmêlant anarchiquement sur son visage. La mère de ma copine. Sa première fellation depuis des lustres.


Ses lèvres glissent dans l’autre sens, jusqu’à ne plus avoir que mon gland en bouche, qu’elle suçote délicatement tout en le titillant avec sa langue qui ne semble nullement avoir perdu son agilité. Puis libérant mon sexe de ses lèvres, elle plaque ses mains sur mes fesses et me rapproche encore d’elle. Sa langue glisse le long de mon sexe, n’en rate pas un centimètre. Je sens sa bouche s’affairer sur mon engin, mais je ferme les yeux. Se faire sucer debout, comme ça, surtout après avoir déjà joui il y a moins d’une heure, c’est décontenançant.


Tout en me tenant fermement de la main gauche, Cathy saisit mon sexe de sa main droite et se met à le branler doucement tout en me suçant le gland de manière insistante. Elle le lèche, glisse jusqu’aux bourses, les prend en bouche, mon sexe reposant sur son joli petit nez. Elle profite, elle savoure. J’imagine que je ferais pareil si je devais passer 20 ans sans faire de cunni, et je comprends à quel point elle doit être en manque.


Je commence à avoir un peu de mal à rester sur mes deux pieds, le sexe enfoui entre les lèvres de Cathy, qui me suce maintenant énergiquement, faisant de rapides va-et-vient avec sa main et avec sa bouche. Excité et usé comme je suis, je sais que si elle ne s’arrête pas rapidement, je vais inonder sa gorge de sperme, mais ce n’est pas là que je veux jouir. J’ai déjà fait une éjac faciale à sa fille il y a une demi-heure. Non, ma Cathy, c’est son sexe que je veux, son ventre, sa féminité, ne faire qu’un avec elle, lui faire l’amour, pouvoir vulgairement baiser cette petite maman négligée par son mari.


Elle aussi doit en avoir envie. J’imagine la chaleur humide de son sexe, j’imagine la façon dont elle va retirer sa jupe et sa petite culotte, la façon dont je vais la prendre en levrette, la tenant fermement par les hanches. Elle me suce tellement bien que j’ai presque l’impression que ma vue se trouble. Je distingue des gouttes de sueur perler sur son front, collant ses cheveux sur sa peau. Quelle félinité, quelle animalité, quelle féminité, quelle beauté…


Elle ralentit alors le rythme, progressivement, tout en me regardant, puis finit par lâcher mon sexe, l’air satisfait de l’état dans lequel elle vient de me mettre. Mon sexe est tellement bandé qu’il m’en fait presque mal, mais je connais un très bon endroit pour le soulager. Je me laisse tomber à genoux, devant elle ; je m’approche, je la prends dans mes bras. J’enfouis mon visage entre ses beaux gros seins, les lèche, suce les tétons. Je goûte sa peau, ma langue glisse sur son corps, son ventre, ses hanches. Quelle peau douce, légèrement salée… Je remonte sur ses seins, dans le cou, jusque dans sa bouche dans laquelle elle se glisse. Nos visages collés l’un contre l’autre, nos langues se mélangeant, la sueur de nos peaux faisant de même.


Cet instant de communion avant l’acte dure quelques minutes à peine où je savoure son corps, sa bouche, son désir qui monte jusqu’à ce qu’on n’en puisse plus ni l’un ni l’autre. Je finis par me relever, et elle fait de même. Nous sommes debout face à face, elle encore légèrement habillée. Ses seins se soulèvent rapidement au rythme de sa respiration saccadée. Je l’attire fermement vers moi en la tirant par la jupe. Ses seins butent contre mon torse, et nos bouches se retrouvent de nouveau dans un ballet de langues. Je plaque mes mains sur ses fesses et fais glisser sa petite jupe qui finit sur ses pieds. Elle m’embrasse, passe ses mains autour de mon cou pendant que ma queue bute contre sa petite culotte, dernier obstacle à notre plaisir, que je m’empresse de faire glisser à son tour. Dix secondes plus tard, ce petit bout de tissu tombe sur ses pieds, que Cathy remue légèrement pour faire valser ces derniers vêtements.


Nous nous retrouvons nus, l’un contre l’autre, ma queue butant maintenant contre son minou. Elle se colle contre moi, écarte légèrement les cuisses. Je sens la chaleur humide de son sexe contre mon gland ; ce contact m’enivre littéralement. Je prends fermement ses jolies fesses bien formées entre mes mains. Cathy s’accroche bien à moi. Nos langues se chamaillant toujours, elle lève une jambe que j’attrape fermement et que je plaque contre mon bassin. Elle fait de même avec l’autre jambe. La voilà entièrement dans mes bras. Je la tiens bien sous les fesses et la plaque alors contre le mur le plus proche. Ma queue butant contre l’entrée de son vagin, je m’enfonce alors en elle en un coup de reins.


Une sensation indescriptible s’empare de moi. Mon sexe disparaît entre ses cuisses, entre les lèvres chaudes et humides de son minou. Je fais enfin l’amour à ma belle voisine, cette si belle femme. Cathy s’accroche bien à moi tandis que je tiens solidement ses fesses entre mes mains. Je sens son ventre contre moi, ses seins généreux, ses cuisses, sa peau brûlante. Sa chatte emprisonne ma queue, m’accueille dans ce sanctuaire si intime, si féminin, si interdit.


Cathy ne semble avoir aucun scrupule à tromper son mari, à trahir sa fille et à coucher avec un gamin qui pourrait être son fils. Ma queue entre et sort lentement de son sexe ; je savoure l’acte que je suis en train d’accomplir. Ma bouche attrape la sienne, nos langues se mélangeant dans l’anarchie la plus totale. Elle gémit, sentant mon sexe glisser dans le sien. Sa mouille s’imprègne sur ma queue, son bas-ventre est si chaud, si doux ; elle est si belle, comment aurais-je pu résister ?


La prendre ainsi, contre le mur, je trouve ça assez rock’n’roll, et ça lui va carrément bien. Cette femme a 37 ans, mais dans sa tête, elle en a toujours 20. J’embrasse son visage, la lèche, je sens sa sueur, ses cheveux se collant sur sa peau, cette peau douce, chaude et trempée. Mon corps glisse dans le sien, de plus en plus vite. Il fait de plus en plus chaud, l’atmosphère est de plus en plus moite. J’aime bien ça, quand ça devient physique, du vrai sport, mais pas n’importe quel sport : un sport où l’enjeu est le plaisir de ton partenaire.


Je n’ai jamais d’ailleurs jamais pris une fille comme ça. Quand on regarde bien Cathy, on comprend que ce n’est pas n’importe quelle fille. Une telle puissance sexuelle se dégage d’elle… Perdu au fond de son ventre, je pourrais devenir fou. Elle ne retient pas ses gémissements, elle ferme les yeux, elle s’accroche à moi, elle me griffe presque le dos. Ses jambes aussi sont fermement rabattues autour de mes fesses, elle ne veut pas que j’arrête de la limer, elle ne veut pas que je la laisse dans l’état de frustration qui était le sien depuis 20 ans. Comment peut-on négliger une fille pareille ?


Quand on est dans une fille et qu’on est à fond dans l’acte, des pensées tordues vous traversent l’esprit. À l’instant où ma queue s’enfonce de plus en plus rapidement dans la chatte de Cathy, je pense à son mari, cocu : bien fait pour sa gueule ! À Jess, parce que c’est tellement excitant de coucher avec la mère de sa copine… Et à Cathy. Je me dis qu’elle pourrait bien être ma mère. C’est presque incestueux ce qu’on fait, et à ce moment précis, ça ne m’excite qu’encore plus.


Je ralentis la cadence. J’ai envie de la faire mariner. Je vais plus doucement, je reprends mon souffle. En bougeant ses jambes, elle me fait comprendre qu’elle veut que je continue. Je profite de l’instant ; je sens son ventre contre le mien, ses seins magnifiques butant contre mon torse. Je pétris doucement ses fesses. J’ai envie de changer de position. Je pourrais la prendre dans toutes les positions possibles. Je me retire provisoirement. Elle redescend ses jambes doucement jusqu’à se retrouver debout, face à moi. Nue, vulnérable, sauvage, excitée.


Elle a une façon de me regarder droit dans les yeux… Je me sens flatté, et en même temps je me sens tout petit. Elle me contourne, ondulant du bassin et tortillant des fesses comme c’est pas permis. Elle s’avance sensuellement vers mon tapis puis me tourne le dos, se pose à genoux, se penche, se stabilise sur ses avant-bras, les fesses toujours relevées, les cuisses bien écartées. Le minou bien en vue, les lèvres prêtes à m’accueillir de nouveau. Elle retourne la tête vers moi, qui étais resté planté vers le mur, la bouche ouverte comme un con, et elle me dit en minaudant :



Ça me laisse coi, mais je réponds quand même, moqueur :



Elle me dit ça tout en remuant du bassin.



Je m’approche d’elle tout en la dévisageant. Je me mets à genoux derrière Cathy, et je n’ai même pas besoin de viser pour me retrouver de nouveau en elle. Elle pousse un gémissement de soupir, et moi aussi. Je suis incroyablement bien. Je pose mes mains sur ses fesses et commence de longs va-et-vient entre ses cuisses. Quelles fesses, d’ailleurs !



Évidemment que c’est malsain. Mais dans ces moments-là, tout paraît possible et rien n’est tabou.



Elle me dit cela pour m’exciter, et évidemment que ça m’excite. Une jolie maman et sa fille en train de s’amuser. Ça a l’air de l’exciter elle aussi, cependant, sinon elle ne me dirait pas ça.



Sa voix est chevrotante. Entendre ses propres fantasmes incestueux dans ces circonstances me fait accélérer sévèrement la cadence dans son bas-ventre. Je la tiens par les hanches, et ses fesses viennent claquer énergiquement sur mes cuisses. Sa chatte est trempée, dégouline de mouille tiède. Ma queue glisse à la perfection dans son minou, entre et sort de sa petite grotte avec un plaisir intense et partagé.



J’imagine tellement la scène… Jess à quatre pattes, la tête perdue entre les cuisses de sa mère. Cathy qui décuplerait le plaisir de sa fille en s’occupant de son clito pendant que je prends cette dernière en levrette. La mère et la fille, l’une sur l’autre, leurs corps nus, leur peau se caressant, leurs seins glissant sur le ventre l’une de l’autre, chacune s’occupant de l’intimité de l’autre.


Je jouis. Longuement. Je m’enfonce profondément en Cathy et l’inonde de plusieurs jets de sperme chaud. Elle ferme les yeux, se mord les lèvres, savoure ma semence au fond de son ventre. J’aimerais savoir ce qu’une fille ressent quand elle reçoit ces jets au fond de son minou. Ça a l’air d’être agréable en tout cas.


Cathy est là, toute souillée. Je reste un instant en elle pour l’admirer ainsi, vaincue, puis je me retire. Elle se couche sur le ventre, reprend son souffle quelques instants. Je vois bien son sexe trempé ; je vois surtout ses fesses bien rondes, bien douces et fermes à la fois. Une autre fois, je les lui prendrais bien…


Puis elle se retourne sur le dos. Quel visage, quel cou, quels seins, quel ventre, quelles hanches, quelles cuisses, quel sexe ! Elle me fait signe de venir m’allonger vers elle, et je m’exécute. Je me couche, la prends dans mes bras ; elle pose sa tête sur mon épaule. Comme Jess la première fois…


On reste quelques instants sans rien dire, puis, doucement, elle se relève et s’allonge entièrement sur moi. Ma queue ne tarde pas à rebuter contre son minou, mais je ne la reprends pas. Je la prends dans mes bras et la serre simplement contre moi. Tout son corps pèse contre le mien. J’aime bien sentir la fille comme ça après l’amour, profiter de sa peau une dernière fois, mêler nos corps pleins de sueur encore un peu. Quelque chose d’à la fois sale et romantique. Cathy et moi nous embrassons langoureusement pendant quelques minutes.