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Temps de lecture estimé : 21 mn
21/01/15
Résumé:  Mon initiation par Nathalie, qui retrouve l'amour grâce à moi.
Critères:  fh fplusag amour revede lingerie fmast fellation cunnilingu 69 init -prememois
Auteur : Jake23
Nathalie

Mademoiselle Nathalie est une femme à la fin de la trentaine, vivant seule, chez qui j’allais régulièrement donner des cours d’informatique. Bien que physiquement agréable et très gentille, elle avait la réputation d’être une vieille fille, ce qui très vite me sembla être fort dommage. Malgré la quinzaine d’années nous séparant, nous avions fini par sympathiser. Très souvent, je la rejoignais et nous discutions durant plusieurs heures.


Sa peau beige, ses cheveux bruns frisés et les belles courbes que l’on devinait tant au niveau des fesses que de la poitrine révélaient qu’elle avait des origines métisses. Ce physique agréable était accompagné de vêtements toujours très classiques : pantalons ou jupes, sous lesquels on distinguait les contours d’une large culotte. Bref, Nathalie était jolie, mais sans pour autant chercher à plaire, ce qui reflétait bien sa personnalité, simple, joyeuse et franche.



oo00oo



Un soir d’hiver, en discutant, Nathalie me demanda si j’avais pris femme. Lui ayant répondu que non, jamais je n’avais trouvé de fille à mon goût et qui veuille de moi, hélas. Elle en fut attristée et me dit que c’était très dommage, qu’elle me trouvait très gentil et mignon. Après ces paroles, elle me regarda longuement, avec un regard de braise, comme si elle attendait quelque chose. Visiblement, je plaisais à madame (enfin, mademoiselle) mais je ne savais pas du tout comment m’y prendre. Sentant mon désarroi, elle s’approcha de moi, me regarda longuement, puis rapprocha sa bouche de la mienne et m’embrassa en fermant les yeux. Je finis par la serrer dans mes bras et lui prodiguer quelques caresses dans le dos, aucun d’entre nous n’osant interrompre ce premier baiser à la fois si long et si court.



oo00oo



La fois suivante, Nathalie avait mis un jean et un pull, et lâché ses jolis cheveux frisés sur ses épaules. Bref, des vêtements encore très classiques ; de toute façon, je sentais que, de par nos tempéraments, elle et moi mettrions beaucoup de temps avant qu’éventuellement quelque chose de physique se fasse ; ce n’était d’ailleurs pas ma priorité… Très vite, nous nous embrassâmes, puis je lui dis :



Nous nous assîmes l’un contre l’autre et commençâmes à discuter. Nathalie m’expliqua, sans entrer dans les détails, qu’elle avait eu un mari il y a une dizaine d’années mais que, très vite, celui-ci l’avait délaissée, si bien qu’elle obtint le divorce et ne put jamais vraiment se remettre de cette terrible déception. Elle me dit alors :



Elle osa ensuite ajouter à mi-voix :




oo00oo



Pendant plusieurs mois, nous nous vîmes donc fréquemment, aussi bien chez nous qu’en extérieur, sans aller au-delà des baisers et des caresses. Malgré cela, notre relation devenait toujours plus profonde et, un jour, Nathalie se confia en me racontant sa vie sexuelle. Très jeune, alors qu’elle vivait à La Réunion, elle était tombée amoureuse d’un homme mais se refusait à lui. Après qu’il eût trouvé un travail en métropole, elle le rejoignit. Quelques jours à peine après qu’ils se soient mis ensemble, il exigea d’elle qu’elle lui donne sa virginité. Sans aucun préliminaire, il la fit se mettre nue, allongée sur un lit, lui écarta les jambes et fit entrer son gros morceau d’ébène déjà dur en elle. Nathalie eut très mal et saigna, mais se dit que c’était dans l’ordre des choses… Il voulait qu’ils couchent ensemble tous les jours ou presque, toujours en missionnaire et sans préliminaire, puis il lui apprit sommairement à lui faire une fellation, en mettant son membre au niveau de son visage et en lui demandant de l’embrasser puis de le mettre dans sa bouche.


Toujours amoureuse de ce rustre personnage, Nathalie arriva à le persuader qu’ils se marient. Hélas, ce triste sire devint vite colérique, et Nathalie commença à perdre tout sentiment envers lui. Au bout de trois ans, elle en eut assez et obtint le divorce. Depuis, une dizaine d’années s’étaient écoulées, et Nathalie n’avait pas réussi à connaître à nouveau un homme. Sa vie sexuelle se résumait donc à la masturbation, qu’elle pratiquait parfois lorsqu’elle en ressentait le besoin et qui lui permettait d’éviter d’être trop attirée par les hommes "pour le sexe".


Touché par ces confessions, je me livrai à mon tour. Adepte de la "Veuve Poignet", j’avais les mêmes attentes qu’elle et je voulais trouver une femme qui avait de l’affection pour moi. J’avais déjà fantasmé sur elle, mais c’était surtout son caractère qui me plaisait.


Après ce moment à la fois pénible et excitant, nous terminâmes la journée sans aucune allusion sexuelle qui eût été tout à fait déplacée. C’était surtout une relation affectueuse qu’elle recherchait, et elle l’avait trouvée avec moi, sans envisager d’aller plus loin pour le moment. J’espérais sans y croire que nous finirions par faire l’amour un jour, quand le moment serait venu, et souvent, le soir, je pensais à Nathalie lorsque je m’astiquais, l’imaginant dans différents actes et positions que j’espérais qu’elle m’apprenne…



oo00oo



Le climat se réchauffait, la belle saison approchant. Nathalie mettait des tenues plus légères, mais toujours très sages. Un jour de sortie, alors qu’elle avait revêtu un pantalon de toile beige et un débardeur assorti, lors de nos embrassades je décidai brusquement d’oser. Une de mes mains descendit plus bas que dans son dos (derrière Nathalie se trouvait un mur, personne ne pouvait voir mes gestes). Arrivant au niveau de sa ceinture, je la longeai alors que nous arrêtions notre baiser. Posant sa tête contre mon épaule, Nathalie poussa un petit soupir et me chuchota à l’oreille :



Je glissai alors dans la sienne :



Troublée, elle me souffla « Oui ».

Mes mains descendirent alors encore, l’une d’elles se posant carrément sur une de ses fesses, la seconde creusant ses reins. Après un instant d’arrêt, craignant que Nathalie ne manifeste sa désapprobation, je commençai à suivre avec ma main le contour de son fessier, rencontrant sous mes doigts la bordure de sa culotte, tandis que mon autre main parcourait ses reins en travers de son corps. Elle poussa :



Je lui demandai alors :



Elle me répondit :



Ma seconde main descendit de ses reins pour empoigner sa seconde fesse, que je parcourus lentement dans tous les sens.

Nathalie m’embrassa fougueusement, sa langue venant à la rencontre de la mienne, et croisa ses bras autour de mon cou. Je la sentais frémir à chacun de mes gestes, surtout lorsque je descendais en bas de son fessier ; j’essayais de contenir l’érection qui montait en moi. Après un long moment, nous perdions souffle ; Nathalie me dit :



Je sentis que nous avions franchi un pas important pour tous les deux, ce jour-là. Néanmoins il ne fallait pas se brusquer. Aussi, je ne suis pas allé plus loin, craignant de gâcher la relation que nous avions. Au moment de se quitter, Nathalie me dit :



Je lui répondis :



Elle ne me répondit pas, mais me fit un grand sourire.



oo00oo



Effectivement, lors de notre rendez-vous suivant où je posai sans vergogne mes mains sur ses fesses de son jean alors qu’elle m’enlaçait et me disait de continuer, Nathalie eut comme un déclic, se mettant à onduler sous mes mains et insister avec sa langue. Elle me proposa que nous nous voyions la fois suivante chez elle, sans en préciser davantage.


J’appréhendais ce rendez-vous, me demandant bien ce qui allait se passer, prêt à guetter tout changement en elle.


D’emblée, dès qu’elle m’ouvrit la porte et que je la suivis dans l’escalier, je fus fixé : contrairement à sa sobriété vestimentaire habituelle, elle avait mis un pantalon en tissu blanc très fin, sans poches à l’arrière et plutôt moulant, sous lequel mon regard alerté vit tout de suite un string blanc dessiner un superbe T arrondi. En haut, son décolleté vert clair laissait bien voir le haut de sa poitrine pour la première fois. Cette tenue me troubla immédiatement, tant par ce que je voyais que par sa connotation érotique, chose jusqu’alors absente chez Nathalie. Jamais je n’avais aussi bien vu la forme de sa poitrine, ni de ses fesses ; jusqu’où irions-nous aujourd’hui ? J’avais à la fois un peu peur tout en voyant un de mes fantasmes se réaliser, et ces premières minutes auguraient bien pour la suite…


Nous nous embrassâmes, mais j’étais intimidé et je n’osais réitérer l’innovation de la fois passée, hésitant, bien que me doutant que cette fois-ci, étant à l’écart des regards et sans la culotte pour obstacle, ses sensations seraient décuplées.

À un moment, Nathalie me proposa à boire. Ayant répondu oui, elle se pencha lentement pour saisir un verre. Je pus alors voir pour la première fois à travers l’échancrure de son décolleté deux gros globes appétissants, puis lentement elle se tourna pour accéder à une autre étagère où elle fouilla bien longtemps, et là aussi je vis sous ses reins creusés les deux belles courbes beiges de ses fesses affleurant sous le fin tissu devenant à leur contact quasi transparent, tandis qu’au milieu plus que jamais on voyait les contours galbés du "T" blanc qui me donnait la barre ; c’était probablement volontaire de sa part…


Un tel spectacle me donna des effets qui m’enhardirent. Très vite, je la complimentai sur sa tenue, puis je me mis debout et je l’embrassai. Lentement, je descendis mes mains le long de son dos, puis sur sa ceinture. Après un long moment, je me décidai enfin à les poser sur ses fesses sans rencontrer d’obstacle excepté le fin tissu du pantalon, puis les caressai sur toute leur surface, les empoignant à pleines mains et m’amusant à suivre le contour de son string. Effectivement, cette fois-ci elle percevait encore mieux mes caresses, si bien qu’elle m’embrassait plus fort que jamais, poussa de petits gémissements et dit à voix basse, alors que nous nous serrions dans nos bras :



Je répondis :



Elle me lança encore un regard ardent puis elle posa sa main sur ma braguette, caressant longuement le paquet qui se trouvait en dessous.


Nathalie me relâcha puis me dit :



Elle me dit qu’elle se sentait prête à passer à l’action, je lui répondis que j’étais tout à elle, à sa disposition. Nous reprîmes les caresses et baisers, debout, puis nous nous allongeâmes sur le canapé. J’osai mettre une main sur un de ses seins, ce qui lui fit plaisir puis l’embrassai.

Elle se redressa, je mis mes deux mains sur sa poitrine, la palpant avec joie, puis sur ses épaules et son ventre. Je lui disais qu’elle était très belle et que j’avais beaucoup d’affection pour elle, elle me dit que c’était réciproque et qu’elle ferait tout pour notre bonheur.


Pendant plusieurs quarts d’heure nous nous embrassâmes tendrement et la température commença à monter ; le moment de consommer notre union approchait.

Nous remettant debout, nous nous embrassâmes une fois de plus. Nathalie me dit :



Elle m’amena dans sa chambre et se mit à déboutonner ma chemise, puis me l’enleva alors que je lui caressais d’une main les fesses et de l’autre les seins. Après de longues minutes de caresses, elle descendit à ma ceinture et la défit. Les pupilles dilatées, les yeux brillants, les lèvres gonflées, tout comme les mamelons que je vis pointer sous le décolleté, elle me dit :



Lentement, elle ouvrit mon pantalon puis le descendit. Après l’avoir enlevé, je me retrouvai debout, en slip, face à elle. Elle caressa longuement ma bosse tout en m’embrassant puis se recula un peu, admirative. Au bout d’un moment, elle se décida à abaisser mon slip et libéra mon chibre qui instantanément se tendit vers elle, puis passa à nouveau plusieurs minutes à regarder alors qu’il continuait à grossir. Elle me dit : « C’est prometteur tout ça… »


Elle descendit ses mains le long de mon corps, puis soupesa mes différents attributs et commença à les caresser. Elle entama ensuite des va-et-vient avec sa main droite qu’elle referma sur mon membre bien durci, ce geste que j’avais pourtant fait si souvent me donnant cette fois-ci des sensations bien plus intenses, alors que j’avais posé mes mains sur ses seins toujours emprisonnés et que nous nous échangions de langoureux regards et baisers.


Au bout d’un moment, poussant des râles de plaisir, je l’embrassai, puis elle s’arrêta et me lâcha, s’éloigna légèrement, rejeta bien ses cheveux en arrière, et lentement elle s’agenouilla face à moi tout en me regardant. D’une de ses mains, elle dégagea bien mon gland en repoussant ma peau en arrière, puis entrouvrit la bouche et se passa la langue sur les lèvres alors que j’avais une vue plongeante dans son décolleté. Je lui dis alors :



Elle me répondit, avec des yeux brillants :



Puis lentement elle amena ses lèvres charnues contre moi et les posa un petit moment.

Ensuite, elle me fit un petit bisou, puis deux, puis trois, puis elle entrouvrit la bouche et fit dépasser sa langue, qui vint prendre contact (ce fut comme une décharge électrique) puis se mit à tournoyer autour de moi.

Elle me parcourut ensuite plusieurs fois sur toute la longueur, lentement, avant de revenir au point de départ. Cette fois-ci, lentement, ses lèvres s’entrouvrirent tout en descendant sur moi.


Sa bouche formait un anneau qui s’élargit progressivement autour de mon gland, avant de marquer un temps d’arrêt puis de remonter. Lentement, elle recommença plusieurs fois puis se décida à descendre plus bas, elle engloutit une partie de mon membre, alors que ce qui était en elle était parcouru par sa langue. Elle fit des va-et-vient avec sa bouche et sa main et m’enfonça progressivement jusqu’à mi-longueur.

Ayant posé mes mains sur ses épaules, je l’admirais me prodiguer ces douceurs tout en ayant toujours une vue plongeante sur son décolleté. Rapidement, je me sentis au bord de défaillir, et je lui criai : « Arrête ! »


Heureusement, elle réagit vite car peu après je ne pus me retenir, laissant échapper mon sirop d’orgeat sur le sol. Nathalie semblait toute contente de ce qu’elle m’avait fait. Elle se remit debout ; je l’embrassai et lui dis :



Elle me répondit :



Lentement, je lui enlevai son débardeur et déboutonnai son pantalon. Après avoir passé ma main sur ses fesses bien rondes, son pantalon s’abaissa de plus en plus et elle finit par l’enlever. Elle se retrouva face à moi, portant seulement un soutien-gorge blanc, sans dentelle, et le string assorti ; ces dessous immaculés la mettaient bien en valeur malgré (ou grâce à ?) leur simplicité. La serrant contre moi, je parcourus son corps sur toutes ses faces, l’embrassant dans le cou, puis dans le dos, puis sur les fesses. Je lui fis la remarque :



Elle me répondit :



Puis elle se retourna, exagérant un peu sa cambrure pour encore mieux faire ressortir ses formes. Je l’admirai puis passai mes mains sur son dos et ses fesses, suivant le creux de ses reins et le triangle arrondi de tissu. Ensuite, je l’embrassai dans le cou, le dos et sur les fesses, puis tentai de lui dégrafer son soutien-gorge, mais il fallut un petit moment pour que j’arrive à bien le défaire. Pendant ce moment-là, ma queue frottait contre ses fesses nues, et elle passa une de ses mains derrière elle pour l’agiter et caresser mes attributs.


Je me remis alors face à Nathalie, lui enlevant son soutien-gorge pour libérer sa lourde poitrine, que je pris dans mes deux mains pendant que je lui embrassais le cou. Ensuite, alors que je reprenais de la vigueur, je lui caressai puis embrassai les seins, aux formes bien arrondies, posant ma tête entre eux. J’embrassai chacun de ses bruns mamelons, puis passai ma langue autour d’eux dans le sillon creusant le milieu de sa poitrine, chacune de mes mains sur un de ses seins.


Embrassant son ventre, je descendis peu à peu ma bouche jusqu’au bord de son sous-vêtement sans oser ôter celui-ci, le contournant en lui embrassant l’aine et les cuisses. Après de longues minutes, Nathalie écarta un peu les jambes, se décida à enlever son string et me dévoila un abricot tout lisse, déjà bien dilaté par le désir.


Émerveillé par cette première vision, je lui dis :



Voyant que j’étais intrigué, Nathalie me dit :



Elle s’assit au bord du lit, écarta bien les jambes et les remonta, posant ses pieds sur le matelas tandis qu’elle tendait un bras en arrière pour s’incliner. Avec sa main libre, elle me montra en détail comment elle était faite, et me confia que depuis quelques années elle s’épilait intégralement pour avoir davantage de sensations lorsqu’elle se donnait du plaisir, chose dont elle me fit une démonstration en me disant qu’elle l’avait déjà fait en pensant à moi.


Alors que Nathalie avait déjà poussé quelques gémissements de plaisir en fermant les yeux, elle me proposa d’imiter ses gestes. Je me baissai et lui prodiguai quelques caresses d’abord en survolant sa fente avec ma main et en passant mes doigts sur ses grandes lèvres et son pubis, puis j’approchai ma tête et lui embrassai le bas du ventre, puis de plus en plus près de la cible glabre, devant laquelle je finis par m’agenouiller.


Nathalie poussait de petits cris alors que ma langue frôlait ses petites lèvres puis entrait en elle, d’abord timidement, puis avec plus de confiance, remontant aléatoirement vers son bouton d’amour et essayant de tourner autour de ce dernier.


Elle me dit :



Je continuais cet apprentissage du cunni, me plaisant surtout dans un cadre si propice. Nathalie me caressait la tête et criait de plus en plus fort alors que mon membre s’était à nouveau durci, à nouveau prêt ; je n’osais le toucher de peur de me répandre prématurément.

Après plusieurs minutes d’extase, nous nous arrêtâmes, épuisés. Nathalie me dit que cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas eu autant de plaisir ; comme récompense, elle me proposa de me refaire une fellation. Elle me dit de m’allonger sur le lit et de me laisser faire. Elle se mit alors à quatre pattes en travers au-dessus de moi et m’expliqua que c’était sa position favorite pour se donner du plaisir, seule, le soir, sur son grand lit, comme elle l’avait déjà si souvent fait en pensant à moi, mais qu’aujourd’hui enfin ce serait bien mieux.


Elle commença à se caresser, puis lentement elle descendit sur ses cuisses, se retrouvant finalement agenouillée, sa tête et une de ses mains au niveau de mon membre, tandis que sa deuxième main naviguait entre ses jambes bien écartées. Sa main saisit la base de mon membre tendu, ses doigts caressant mes boules, alors que sa bouche vint l’engloutir puis y monter et descendre alors que je lui caressais le cou, les seins et le dos.

Cette fois-ci, je fus plus endurant et pus m’arrêter à temps. Nathalie me dit alors :



Les choses sérieuses commençaient enfin. Elle se redressa, pivota et vint se mettre à califourchon sur moi. Tout en m’embrassant longuement, elle tendit un de ses bras à côté de ma tête et passa son autre main derrière elle pour attraper mon membre et bien me positionner. Elle m’embrassa puis se redressa et commença à s’agiter : je compris alors que j’étais en elle, et qu’à chaque à coup elle s’ouvrait et s’enfonçait un peu plus. Elle vint avec concentration lentement s’empaler sur moi, sa main me lâcha, poussant un long gémissement puis me disant :



Nathalie était très concentrée et fermait parfois les yeux, posant ses mains sur mes épaules alors que j’avais les miennes sur ses cuisses. À chaque va-et-vient, elle gémissait et me faisait découvrir des plaisirs jusqu’alors inconnus pour moi et qu’elle semblait redécouvrir.


Sentant peu à peu que ça montait en moi, je la prévins :



Elle me dit :



Elle interrompit ses va-et-vient, puis les reprit, criant de plus en plus fort, se redressant et se cambrant bien. Elle appuya fermement une de ses mains sur mon épaule tandis qu’avec la seconde elle se caressait le clito. Au bout d’un moment, elle hurla :



Peu après c’était mon tour de découvrir une extase jusqu’alors inconnue : je sentis d’un coup ma tête tourner et s’effondrer sur le lit alors que mon membre soudainement serré eut un mouvement de décharge.

Nous nous embrassâmes puis Nathalie finit par dire :



Nous en restâmes là pour cette inoubliable journée, épuisés, nous serrant de longs moments dans les bras.



oo00oo



Nous nous revîmes plusieurs fois ensuite. Nathalie me prévint qu’il ne fallait pas se brusquer, nous avions tant de chose à apprendre ensemble. Après s’être lentement déshabillés mutuellement et embrassés partout, nous passions aux préliminaires manuels puis oraux, debout, assis ou allongés, puis Nathalie me demandait de m’allonger et venait se mettre à califourchon, me faisant dos ou face, ondulant des reins et tendant ses bras sur mes épaules, mes chevilles ou vers le plafond jusqu’à ce que nous ayons atteint suffisamment de plaisir, même si elle n’atteignait pas toujours l’orgasme.



oo00oo



Après plusieurs séances de cet "entraînement", Nathalie me dit :



Elle se mit sur le dos et écarta les jambes, se tenant prête. Je me mis sur elle en veillant à ne pas l’écraser, puis lentement, tâtonnant, j’entrai en elle, entamant un lent va-et-vient. La température montait progressivement, Nathalie me serrant dans ses bras et poussant des cris de plus en plus forts alors que je variais la cadence. Je sentis ma tête tourner, puis je me blottis contre elle, effondré.

Nathalie m’embrassa tendrement en me disant :




oo00oo



Un jour j’osai lui demander :



Elle me confia que non, et qu’heureusement son ancien mari n’en avait jamais eu l’idée. Bref, même si elle me faisait déjà confiance, ce ne serait pas pour de suite : cela l’effrayait encore un peu. Par contre, elle me proposa d’essayer autre chose, qui nous ferait aussi un effet accru. Nathalie vint de suite s’allonger sur le lit, puis releva ses jambes en me disant :



Je lui fis d’abord un long cunni, embrassant ses grandes lèvres si belles et si lisses, glissant ma langue dans sa fente, puis je me mis au-dessus d’elle, tendant mes bras de chaque côté de sa tête alors qu’elle posait ses chevilles sur mes épaules. Avec sa main, elle me guida face à son entrée, devant laquelle je posai mon gland, tout en me regardant dans les yeux. Puis je lui demandai :



Et je m’enfonçai d’un coup en elle, plus serrée que jamais. Alors que j’entrais en elle, je ressentis un point un peu plus dur dans le passage ; elle poussa un léger cri : j’avais trouvé son point G. Je continuai mes va-et-vient alors que nous nous regardions dans les yeux jusqu’à l’orgasme.



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Un autre jour, sagement vêtue d’un jean et d’un pull-over, je la déshabillai, découvrant qu’elle n’avait pas mis de soutien-gorge et qu’elle portait un string ficelle. Pour lui faire plaisir, je m’étais coupé les poils du pubis. Cela lui plut beaucoup, trouvant que je semblais ainsi encore plus volumineux et que ça l’aiderait pour me faire des gâteries.

Aussitôt dit, elle s’agenouilla devant moi, glissa mon membre entre ses deux gros seins, puis l’agita ; par moments, elle me relâchait puis m’engloutissait dans sa bouche, en s’enfonçant encore plus que d’habitude, jusqu’au plus profond, pour bien humecter ma queue et continuer cette première branlette espagnole, pour laquelle elle avait des formes vraiment appropriées.


Restant agenouillée, elle se cambra en arrière, me montrant sa fente devant laquelle je me suis agenouillé, la soutenant par ses reins, lui embrassant ses grandes lèvres puis glissant ma langue entre elles pour atteindre son clito. Ensuite je me relevai avant de m’enfoncer en elle, la soulevant par les fesses. Ce genre d’acrobatie semblait lui plaire, vu les cris qu’elle poussait, et elle atteignit vite le septième ciel.



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Plusieurs semaines après, c’était l’anniversaire de Nathalie. Je lui demandai ce qui lui ferait plaisir, en ajoutant que je voulais aussi lui donner un orgasme comme cadeau. Elle me répondit :



Ce jour-là, elle portait une robe noire et avait fait un chignon avec ses cheveux frisés.

Je lui soulevai la robe, dévoilant un tanga en dentelle noire ainsi que le soutien-gorge assorti. Loin d’être minimalistes, ces sous-vêtements la mettaient bien en valeur et soulignaient la maturité de la femme qu’elle est.

Alors qu’elle restait debout, je lui enlevai son tanga et m’agenouillai devant elle pour lui faire un baiser sur son pubis glabre.

Nous tentâmes d’abord un 69 puis elle me dit de m’asseoir pour que je reçoive sa fellation ; agenouillée devant moi, elle se caressait en même temps. Sentant que je commençais à venir, elle s’arrêta puis me laissa dégonfler un petit moment de manière à être plus endurant pour la suite.


Elle s’agenouilla sur le lit puis se mit à quatre pattes, se cambrant bien, appuyée sur ses avant-bras. Elle me lança un regard plein d’amour, puis je la rejoignis en me mettant derrière elle, dressé sur mes genoux, mon membre tendu devant moi et plus gonflé que jamais.

Je posai mes mains sur le haut de ses fesses, entre lesquelles je calai mon membre, et lui caressant le bas des reins. Elle se mit à faire de lents va-et-vient avec son arrière-train pour me "chauffer". Après quelques minutes, la sentant prête, je bougeai mon bassin pour mettre mon membre toujours aussi dur en face de son orifice ; pour m’aider, elle l’entrouvrit avec une de ses mains. Je posai l’extrémité de mon gland sur son entrée puis elle retira sa main, se mettant bien à quatre pattes et cherchant la bonne hauteur pour passer à l’acte.


Je lui demandai : « On y va ? » Elle me répondit qu’elle était enfin prête, notre premier rapport "doggy style" pouvait commencer. Lentement mais d’une seule lancée, je m’enfonçai en elle jusqu’à la garde. Elle poussa un cri : « Oh, c’est bien ! » puis j’entamai les va-et-vient, suivant ses instructions, mes mains sur ses hanches, mon pubis contre ses fesses. À chaque mouvement elle gémissait, parfois si fort qu’elle en bougeait sa tête. La voir ainsi, avec son chignon secoué, m’excitait encore plus.


J’avais posé mes mains sur ses hanches, je voyais les siennes se crisper sur le matelas. Au bout d’un moment, j’osai en glisser une sur son ventre, puis plus bas, lui caressant son lisse pubis ; écartant mes doigts, je parcourus ses grandes lèvres et titillai son clitoris, puis posai mon autre main sur une de ses épaules. Par moments, je m’abaissais pour lui embrasser la nuque et lui caresser le dos et les seins avec mes mains. Parfois, maladroitement, mon membre sortait : avant de le renfoncer en elle, je lui frottai son clitoris avec pendant quelques instants, pour varier un peu son plaisir et pouvoir durer encore plus.


Lors d’une de ces pauses, elle se releva sur ses bras et se cambra encore plus, alors que je m’appuyais sur une de ses épaules. Elle était encore plus serrée que d’habitude, je me sentis prêt à éjaculer, aussi je lui proposai si elle voulait encore continuer. Alors je me retirai quelques instants pendant lesquels je continuai à la besogner mais avec mes doigts et caressai le creux de ses reins, puis je me réintroduis, sentant que mon envie de gicler était passée pour un bon moment.


Rapidement, elle eut un orgasme, mais, en équilibre sur mes genoux, je continuai mes va-et-vient, empoignant ses deux seins. Sentant que ses gémissements se rapprochaient à nouveau, je glissai mes deux mains vers son pubis, lui caressant l’aine, les grandes lèvres et le clito. Elle eut un second orgasme, mais je n’étais toujours pas calmé.


Elle me proposa alors de ne plus bouger : ce serait elle qui allait me faire jouir. Elle s’appuya à nouveau sur ses avant-bras, serra ses mains et ferma les yeux puis, haletante, se mit à faire des va-et-vient alors que je restais immobile, lui caressant le dos et les seins. Elle avait un air vraiment décidé, presque sévère, serrant les lèvres, accentué par ses cheveux tirés en arrière par le chignon ; je la sentais vraiment concentrée sur ce qu’elle faisait.

Bien qu’ému par ses efforts, je sentais que ça ne venait toujours pas, mais que par contre, pour elle, un troisième orgasme beaucoup plus violent était en vue : passant mes doigts sur le pourtour de son orifice, sentant ma tige à travers, elle poussa un grand cri et finit par s’effondrer sur le lit.


Elle se recroquevilla en repliant ses genoux sous son ventre et se laissa faire, inerte, criant juste. Je restai en elle, ayant passé mes jambes à l’extérieur des siennes, et vins me coller à son dos, calant ma tête entre son épaule et son chignon et lui embrassant le cou. Cette fois-ci, c’était moi qui donnerais le rythme pour enfin pouvoir me vider. J’avais presque mal à force… Ondulant, je sentis la sève commencer à monter en moi, j’accélérai la cadence, et d’un coup mes yeux se brouillèrent. Je mis plus d’une minute à me vider totalement en elle, avant de m’immobiliser enfin. Et de lui redire :



Après quelques instants elle me dit :



Depuis ce jour inoubliable, nous vivons ensemble et allons nous marier. Pour la nuit de noce, le programme est déjà prévu…