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n° 16606Fiche technique28932 caractères28932
Temps de lecture estimé : 17 mn
24/01/15
Résumé:  Une belle femme de 45 ans découvre qu'elle est attirée par un jeune homme.
Critères:  fh fplusag fellation cunnilingu pénétratio init -inithf -bourge
Auteur : Ermiphi      Envoi mini-message
Christine se transforme en cougar

Christine est une belle femme de 45 ans. Elle est blonde et a un corps encore superbe, aidé un petit peu par la chirurgie (contour des yeux, visage un peu tiré, seins redressés et quelques plis de cellulite supprimés sur les cuisses). De toute façon, elle en a les moyens financiers ; alors pourquoi se priver de rester en apparence plus jeune ?


Son ex-mari (ils sont divorcés depuis 5 ans), avec lequel elle a des relations courtoises, lui a laissé un superbe appartement en plein centre d’Orléans et de quoi ne plus travailler. Mais Christine a toujours aimé travailler, et depuis son divorce, elle est devenue une travailleuse acharnée. Elle a, en 5 ans, gravi tous les échelons de son entreprise pour être maintenant directrice et bras droit du PDG. D’ailleurs, depuis sa nomination, les bruits courent qu’elle est aussi sa maîtresse, ce qui est faux.


En 5 ans, elle a eu quelques amants, mais sa carrière comptait plus que tout. Son dernier amant, elle l’a quitté maintenant depuis 3 mois après une relation de 6 mois. Il était marié, et Christine a vite compris qu’elle n’était là que pour satisfaire la libido de cet homme ; et en plus ils ne faisaient que se cacher, car Orléans n’est pas une ville énorme, et avec leur métier (lui médecin) ils pouvaient facilement rencontrer une connaissance privée ou professionnelle. Alors, quand ils voulaient sortir ensemble, ils allaient à Paris. Elle finit alors par rompre. Elle savait qu’elle plaisait aux hommes, et dès que le besoin se ferait sentir, elle en trouverait un. Ce qu’elle ne savait pas encore, c’est le type d’homme qu’elle allait commencer à désirer. C’est le début de cette histoire.


Tout commença par une invitation, il y a 2 semaines chez Carole, sa meilleure amie. Elles se connaissent depuis l’école primaire. Carole aussi était divorcée. Elle a eu un enfant, un garçon de 18 ans. Carole a invité Christine pour la journée car son fils de 18 ans, Thomas, qui était parti depuis 5 ans vivre aux États-Unis chez son père, venait passer 3 mois chez sa mère. Carole savait que cela ferait plaisir à Christine de revoir Thomas. C’était la 1ère fois que Thomas revenait en France depuis 5 ans.


Carole passait, depuis que son fils était parti, la moitié de l’année aux États-Unis et l’autre moitié à Orléans. Son ex-mari avait offert à Carole une superbe propriété dans la proche banlieue d’Orléans avec piscine, jacuzzi et sauna. Carole n’a jamais travaillé de sa vie. Elle a rencontré le père de son enfant à 20 ans, et depuis elle se faisait entretenir, ce qui lui convenait. On peut dire que sa vie n’a été que douceur et plaisir.


Christine savait que son amie était une dévoreuse d’hommes, et que depuis son divorce son amie a eu un nombre incroyable d’amants. Elles en plaisantaient ensemble et Carole ne comprenait pas que Christine puisse se contenter d’une vie consacrée au travail. Christine se creusa la tête pour trouver un cadeau pour le fils de son amie ; quand elle le vit pour la dernière fois, c’était encore un grand gamin de 13 ans, mais maintenant il avait 18 ans et Christine n’était pas au fait des besoins des jeunes de cet âge. Elle opta pour une veste en cuir de printemps qu’elle trouva à Paris. Elle arriva ce jour-là chez son amie.



Elles s’embrassèrent chaleureusement. Christine suivit son amie dans le salon et Thomas arriva. Elle reçut un choc en le voyant. Il faisait maintenant plus d’une tête qu’elle, était devenu baraqué, et il portait une barbe de quelques jours.



Ils sortirent donc. L’apéro et le repas se passèrent très bien. La discussion tournait autour de Thomas : de sa vie là-bas, de ses études, etc. Christine se disait en elle-même qu’il était très beau, avec beaucoup de charme et d’humour. Il tenait cela de son père. Leurs regards se croisèrent souvent et Christine devenait de plus en plus troublée. Ce très jeune homme la magnétisait. À la fin du repas, il dit :



Il rentra pour se changer. Les deux amies refaisaient le monde. Il arriva alors en caleçon de bain, et Christine peut admirer son corps fin mais musclé. « Décidément, se dit-elle, je perds la tête. Voilà que je regarde de trop près un gamin et qui est de plus le fils de mon amie. N’importe quoi… Pense à autre chose, ma fille ! »


Il plongea et nagea. Christine n’arrivait pas à le quitter des yeux ; elle le suivait constamment du regard, profitant du fait que Carole était occupée depuis quelques minutes au téléphone. Carole revint 20 minutes plus tard, obligeant ainsi Christine à ne plus regarder Thomas aussi souvent. L’après-midi se passa ainsi et Christine décida de partir. Elle embrassa Thomas pour lui dire au revoir, et elle sentit ses mains se poser sur ses hanches. Elle frissonna. En embrassant Carole, cette dernière dit :



Puis elle partit, troublée. Son trouble dura jusqu’à ce qu’elle tombe de fatigue. Elle essaya de se raisonner, mais une moitié de son cerveau ne voulait pas. Jamais elle n’avait flashé sur un gamin. Que se passait-il ? « Je deviens folle ; et en plus, le fils de Carole. N’importe quoi ! »


La semaine fut longue. Elle attendait vendredi tout en essayant de se raisonner.

Arriva vendredi ; elle décida de mettre un tailleur turquoise qui arrivait à mi-cuisses et un chemisier jaune citron qui laissait bien voir la naissance des seins, l’obligeant à mettre des dessous jaune citron aussi. À midi pile, elle sonna à la porte de Carole. Thomas ouvrit la porte ; un merveilleux sourire éclaira son visage.



Il posa ses mains sur ses hanches et les laissa un peu trop longtemps pour que ce soit honnête. Elle entra et embrassa son amie. Elle posa ses affaires sur un petit meuble d’entrée et demanda où elle pouvait recharger son portable. Elle le coupa pour être tranquille ce midi, et Carole partit dans la cuisine avec le chargeur. Carole avait fait venir un traiteur. Le déjeuner était excellent et Thomas toujours aussi charmant. Elle remarqua plusieurs fois le regard de Thomas sur l’ouverture du chemisier et sur ses cuisses, car assise, la jupe du tailleur remontait assez haut. Il était l’heure de partir et Carole dit :



Elle embrassa Carole et Thomas, le cœur gros à l’idée de ne plus les voir (surtout lui) pendant deux semaines. Quelques minutes plus tard, elle se rendit compte qu’elle avait oublié de reprendre son portable. Elle fit donc demi-tour, se gara et alla sonner. Personne. Elle sonna encore de longs instants. Rien. Elle se dit que si Thomas était dans le jardin, il ne pouvait pas entendre. Elle fit le tour par l’extérieur et, arrivant devant un claustra, elle entendit un plongeon dans la piscine. Elle ne bougea pas et resta derrière cette barrière protectrice. Elle vit ensuite Thomas sortir de la piscine. Il était nu ; et la seconde chose qui la frappa, c’est que son sexe était complètement rasé. Jamais elle n’avait vu un sexe d’homme sans poils. Et en plus il semblait avoir un début d’érection. Il alla s’allonger sur une chaise longue et commença à se masturber.


Christine restait là à le regarder se branler sans rien dire. Son sexe semblait gros et long car l’érection était devenue totale. Cette vision l’excita fortement. Lui continuait à se branler et finit par se faire jouir sur le bas-ventre. Christine était pleine de désir pour ce jeune corps et ce sexe vigoureux, mais elle ne bougea pas. Elle resta là encore quelques instants pour profiter du spectacle. Finalement, elle fit demi-tour, regagna sa voiture sans son portable et se dit qu’elle était en train de devenir perverse. Quelle idée d’avoir envie du fils de son amie d’enfance ? Quelle idée d’avoir envie d’un gamin de 18 ans ? Elle repartit vers sa société, et une fois arrivée, la tête à l’envers (pleine d’images quand même), elle se décida à téléphoner pour récupérer son téléphone. Elle espérait que Thomas décrocherait. Pas de chance, ce fut Carole.



L’après-midi fut long. Christine était dans tous ses états.



Puis une autre voix disait :



Christine était partagée entre ces deux voix. Quand elle arriva chez elle, elle alla dans sa garde-robe. Elle opta pour une robe blanche assez courte mais pas trop sexy, une culotte en dentelle blanche style slip brésilien et le soutien-gorge assorti. Puis elle alla prendre un bain pour se détendre. Elle ferma les yeux, puis l’image de Thomas sortant de la piscine lui revint. Elle décida de sortir du bain. Elle se regarda dans la glace et elle s’analysa : pas de rides sur le visage, des cheveux blonds naturels superbes, des seins 90 C qui pouvaient se passer de soutien-gorge (ce qu’elle faisait rarement), un ventre plat, des fesses attirantes, des jambes magnifiques. Elle sourit et pensa : vive la chirurgie ! Et puis son sexe blond parfaitement entretenu mais pas rasé complètement…


Elle enfila sa culotte et son soutien-gorge, puis un léger peignoir en satin rouge car Thomas ne venant que vers 20 heures, elle avait encore le temps pour la robe. Il était 18 h 30. Elle alla dans son salon pour se servir un Martini quand elle entendit frapper à sa porte. Elle fut très surprise. Cela ne pouvait pas être quelqu’un de l’extérieur car il fallait qu’on l’appelle par l’interphone pour qu’elle ouvre la serrure, et encore moins quelqu’un habitant dans l’immeuble. Il n’y a que trois appartements. Celui du rez-de-chaussée est occupé par une dame de 80 ans qui ne sort presque plus, et celui du premier étage par un couple qui vient de partir pour un mois en vacances.


Elle alla vers sa porte et regarda discrètement par l’œilleton. Et stupeur, elle vit Thomas. Il frappa à nouveau plus fort. Christine restait plantée là. Habillée comme elle était, si elle ouvrait la porte, elle savait qu’il penserait qu’elle voulait l’exciter. Et elle ouvrit.



Il entra. Christine se dirigea vers son salon. Thomas la suivit.



Il était juste derrière elle. Elle sentait sa présence.



Il se colla contre elle et l’embrassa dans le cou. Christine sentait les mains de Thomas qui glissaient partout sur son peignoir. Elle fermait les yeux et se dit que maintenant, c’était trop tard. Les mains de Thomas caressaient Christine partout : ses seins, son ventre, ses cuisses. Elle frissonnait. Il continuait à l’embrasser partout dans le cou. Puis sa langue arriva à son oreille droite et il commença à la lécher. Elle sentit qu’il essayait d’ouvrir son peignoir. Elle fit demi-tour pour lui faire face et lui dit :



Et il l’embrassa à pleine bouche. Sa langue violait la bouche de Christine qui lui rendit son baiser. Les mains de Thomas remontèrent le peignoir et il accéda à ses fesses qu’il malaxa avec force. Christine sentait chez lui un désir féroce. Ses mains la cherchaient partout par des caresses fortes et désordonnées. Ils continuaient à s’embrasser, puis elle s’écarta pour dire :



Il se retourna et s’exécuta. Il fit ensuite demi-tour pour s’asseoir, et Christine pu voir sa virilité complètement déployée déjà. Son érection était maximale.



Elle continuait à le branler doucement. Ce sexe était très dur et épais et long. Elle ne se souvenait pas d’avoir déjà eu entre ses mains une telle érection. Elle savoura ce moment. Sa main droite commença à caresser ce corps encore très jeune mais musclé. Puis elle embrassa Thomas en continuant à le branler. Elle sentait son corps se tendre et arrêta de le masturber car elle pensait qu’il était prêt à éjaculer. Elle voulait qu’il profite du moment et pas qu’il crache sa semence tout de suite. Puis il dit :



Laisse baisser un peu la pression, et après c’est moi qui déciderai.


Puis elle continua à l’embrasser. Lui se laissait faire, les deux bras le long de son corps sans bouger. Sa bouche descendit sur ses pectoraux pour titiller ses tétons. Il grogna. Elle sourit et sa langue se dirigea vers les abdominaux. Elle vit alors de très près ce sexe fier et luisant. Elle sentit la main de Thomas sur sa tête exercer une pression pour la faire descendre vers son sexe et il dit :



Elle se laissa faire et ouvrit la bouche pour prendre ce sexe. Il grogna fort quand il sentit les lèvres de Christine en train de le branler. Christine le branlait doucement avec sa bouche. À chaque aller-retour, sa bouche quittait ce mandrin et elle passait sa langue sur le gland en le léchant très doucement. Elle entendait Thomas gémir et sentait son corps se tendre toujours un peu plus. Il allait éjaculer maintenant. Elle le sortit de sa bouche, et avec sa main reprit la masturbation. Elle lui dit :



Elle vit le sperme gicler. Elle sourit, un peu déçue parce que son ventre n’avait pas pu en profiter, mais quand même flattée de faire autant d’effet à un gamin. Elle continua à branler cette queue afin de la vider complètement de sa semence. Christine était impressionnée par la quantité de sperme, et Thomas gémissait fortement. Finalement, elle arrêta son mouvement et alla embrasser Thomas à pleine bouche. Puis elle dit sur un ton coquin :



Puis elle partit vers la salle de bain. Elle se lava les mains. Elle revint avec du papier pour l’essuyer. Il était toujours assis sur le canapé, il n’avait pas bougé. Elle s’assit à nouveau à côté de lui pour le nettoyer et elle dit :



Christine fut surprise par cette demande mais se leva, se posa devant lui et ouvrit son peignoir. À la vue du soutien-gorge et du slip brésilien il dit :



Elle s’exécuta et alla s’asseoir sur sa droite. Thomas commença à caresser ses seins magnifiques avec une main, puis il approcha son visage et avec sa langue lécha les tétons. Il fut surpris par leur dureté. Christine appréciait cette caresse buccale, puis elle sentit la main de Thomas passer dans sa culotte. Elle releva les reins et écarta les cuisses pour faciliter le passage. Elle sentait la vigueur de cette main sur son intimité et la pression exercée par la bouche de son jeune amant sur ses seins. Elle appréciait. Un doigt la pénétra violemment.



Thomas s’exécuta. Il se mit à genoux devant elle et lui enleva sa jolie culotte en dentelle blanche. Elle écarta ses cuisses, et avec ses deux mains elle écarta les lèvres de son sexe pour lui montrer son clitoris.



Thomas s’abaissa et commença à suivre les instructions. Au contact de la langue de Thomas, Christine reçut comme une décharge électrique. Son corps se cambra.



Christine gémissait et après quelques instants elle lui dit :



Il fit ce qu’elle lui demandait ; il entendit Christine gémir de plus en plus. Il allait la faire jouir. Alors il décida d’arrêter de la sucer pour la lécher à nouveau. Puis il la suça et il alterna les deux méthodes. Le corps de Christine se tendait, et elle savait qu’elle prendrait son pied. Quand Thomas introduisit son majeur dans le sexe trempé de Christine, elle fut possédée par un orgasme violent qui la secoua et cria son plaisir très fort. Thomas, lui, se redressa afin de présenter son sexe redevenu très dur devant ce sexe merveilleux et il empala cette femme qui lui faisait tellement envie d’un seul coup de reins puissant en grognant. Christine fut surprise par cette pénétration violente ; elle n’avait pas encore repris ses esprits. Ce sexe en elle la remplissait complètement.



Christine a toujours aimé se faire insulter quand elle faisait l’amour, et ce jeune avait sans le savoir appuyé sur le bon bouton.



Thomas accentua la cadence, et à chaque coup de reins Christine criait. Il labourait ce sexe tant qu’il pouvait, heureux de donner du plaisir à cette femme et heureux de prendre énormément de plaisir aussi. Christine eut un second orgasme violent et elle hurla son plaisir. Deux coups de reins plus tard, Thomas se vida en elle en grognant aussi puis il retira son sexe et le posa sur le ventre de sa maîtresse. Christine le prit avec une main et le branla encore un peu.


Quand il a joui en elle, elle a senti comme une vague puissante de sperme tapisser son vagin. Jamais elle n’avait eu cette sensation, ce qui provoqua chez elle comme un trouble d’avoir découvert ça à son âge ; et puis, cela faisait des années qu’elle n’avait pas vu un homme jouir deux fois, et sa surprise fut énorme au moment où il l’a pénétrée car elle pensait qu’avec sa première jouissance il se serait arrêté là. Il faut dire qu’elle n’a jamais fréquenté de véritables étalons, et des jeunes non plus. Elle lui demanda en reprenant ses esprits alors qu’il était revenu s’asseoir :



Elle embrassa Thomas et alla à nouveau à la salle de bain car elle commençait à sentir le sperme couler entre ses cuisses. En la voyant de dos, Thomas lui dit :



Elle sortit quelques instants après, remit son peignoir. Thomas n’avait pas bougé.



En servant les deux verres, elle lui dit :



La raison faisait dire cela à Christine, mais son esprit pensait le contraire. Il se leva, s’approcha d’elle. Elle sentait sa présence dans son dos. Il posa ses mains sur les hanches de Christine et l’embrassa dans le cou. Christine ferma les yeux. Elle appréciait cette douceur. Puis les mains de Thomas commençaient à redevenir baladeuses. Il la pelotait partout à travers le satin du léger peignoir. Sa langue trouva l’oreille gauche de Christine. Elle frissonna. Il se colla à elle pour qu’elle sente son érection renaissante. Cette femme l’excitait terriblement. Il la trouvait très belle et désirable. Il a toujours fantasmé sur les femmes mûres. Maintenant il bandait à nouveau et dit :



Elle posa ses mains sur le bar. Elle se cabra et sentit le sexe de Thomas se présenter. D’un seul coup il la pénétra. Il posa ses mains sur les hanches de Christine commença à la besogner. Ses va-et-vient devenaient plus vigoureux. Christine sentait cette queue qui allait et venait.



Ce petit dialogue l’excita comme un fou ; il allait encore jouir et il jouit. Christine sentit de nouveau cette queue se vider en elle. Elle n’en revenait pas : il avait joui trois fois. Elle aimait cette vigueur, elle aimait ce corps jeune, elle aimait quand il l’insultait en la baisant (elle a toujours aimé ça), elle aimait l’exciter, elle aimait quand il la baisait, mais il fallait qu’ils arrêtent. La situation était trop tordue. Ils devaient s’arrêter là. Christine se retourna et lui dit :



Il s’habilla et partit. Christine avait le cœur serré, mais l’expérience lui disait que la sagesse devait l’emporter.