n° 16610 | Fiche technique | 67425 caractères | 67425Temps de lecture estimé : 39 mn | 26/01/15 |
Résumé: Ce samedi soir, mon mari a décrété que nous irons dans un sauna. Ayant rarement mon mot à dire, j'ai suivi le mouvement, comme il le dit si bien. | ||||
Critères: fhhh extracon inconnu sauna fellation pénétratio gangbang -totalsexe -bourge | ||||
Auteur : Patrik (Carpe Diem Diemque) Envoi mini-message |
Ce samedi soir, mon mari a décrété que nous irons dans un sauna. Ayant rarement mon mot à dire, j’ai suivi le mouvement, comme il le dit si bien. J’ai eu un geste de recul quand j’ai découvert juste à l’entrée qu’il s’agissait d’un sauna libertin !
Et comme toujours, j’ai suivi le mouvement…
Ça va faire presque huit ans que je suis mariée avec Luc, un avocat assez connu. Il parle bien, il présente bien, bel homme, belle situation, mais c’est quand même un tyran domestique. Au début, ça me plaisait d’être prise en main ainsi, j’étais littéralement subjuguée, mais petit à petit, j’ai découvert que mon homme manquait singulièrement d’ouverture d’esprit, et que seul lui a toujours raison. Même quand il a manifestement tort !
Je ne vois pas le mal, à trente-quatre ans, de n’avoir pas encore mis le pied dans un sauna libertin ! Franchement, ce n’est pas ma tasse de thé ! C’est alors que je tilte sur ce qu’il vient de me dire : « …et que tu n’as jamais mis les pieds dans ce genre d’endroit. » Donc, conclusion : lui, si ; il a déjà mis les pieds dans ce genre d’endroit ! Je préfère éviter de lui demander quand il a fait cette première découverte…
Après avoir payé et que la personne de l’accueil nous ait expliqué diverses petites choses, nous nous dirigeons vers les vestiaires. Je me change en quatrième vitesse et j’enroule aussitôt ma serviette autour de moi ; je ne tiens pas à en faire voir trop ! Luc rigole, sarcastique :
Je préfère éviter de répondre. Lui, il croit que je lui donne raison, et moi, ça m’épargne une longue leçon explicative, teintée de la morale de monsieur.
Les personnes que nous croisons ne se soucient pas de nous. Ce qui m’arrange. Une cabine avec porte opaque étant libre, je l’ai empruntée pour prendre une douche. Personne n’est venu m’embêter tandis que j’étais sous l’eau. Ce que disait la personne de l’accueil : c’est à nous de prendre l’initiative d’inviter les autres… Je crois qu’ils vont attendre longtemps s’ils pensent que je vais les inviter !
Je me détends petit à petit. Je viens de faire une séance de bain bouillonnant, c’est pas mal du tout ! Un petit tour au hammam, un peu étouffant, mais supportable. Bref, mis à part que je croise parfois des hommes nus et aussi quelques femmes en tenue d’Ève, c’est en effet comme dans un sauna normal.
Mon mari et moi, serviettes autour de la poitrine, nous nous baladons dans le sauna et ses lumières tamisées ; il m’explique à quoi servent certaines choses que nous croisons, depuis que nous nous sommes aventurés dans la partie plus tamisée du sauna.
Du bras, il ouvre une porte :
Je préfère ne pas répondre. Luc ne semble pas s’en préoccuper. Il poursuit :
Je me retourne vers lui, interrogative :
Soudain, je rougis ; je viens de comprendre.
Surpris, il me regarde puis il glousse :
Il n’en perd pas une pour se foutre de moi ; et moi, je lui tends trop souvent la perche. Soudain, il se plante face à moi :
Le regard noir qu’il me lance me dissuade de continuer ma plaisanterie vaseuse. D’un ton plus sec, il continue :
Sans m’avoir vraiment entendue, il s’éloigne de moi. Je suis persuadée qu’il va rejoindre quelqu’un au sauna. Une maîtresse ? Je n’y crois pas. Un ou une collègue, sans doute… Peu importe, je suis éjectée. Du coup, je refais le tour du sauna. Pendant que je déambule, je sens parfois certains regards sur moi ; il est vrai que je fais figure de femme seule et donc de proie. Mais comme d’autres femmes sont aussi présentes et qu’elles sont nettement plus accueillantes, on me laisse tranquille.
Je me glisse dans le hammam pour m’offrir une sorte de petite pause. Soudain, cinq minutes après, j’entends des gémissements à l’autre bout de la salle. En plissant les yeux et en tendant le cou, je distingue trois formes visiblement entremêlées et très occupées. Sur la pointe des pieds, je m’éclipse…
Puis je refais un nouveau tour complet des lieux… puis un autre…
Je repasse une fois de plus devant cette cabine à trous ; ça m’intrigue. Je regarde autour de moi pour vérifier s’il y a quelqu’un ou pas. Comme personne ne semble venir, j’en profite pour aller jeter rapidement un coup d’œil dedans. Je ressors prestement. Ouf, toujours personne !
Il est vrai que la fellation ne m’a jamais fait peur, je dirais même que je préfère ça à un rapport normal. Il y a une grande jouissance à sentir le machin mou d’un homme durcir entre ses lèvres, l’exciter à fond pour qu’il se vide ensuite et redevienne tout flasque ! Côté toilette, c’est plus simple, car quand un homme vous en a mis plein la chatte, après ça, pour nettoyer tout ce sperme, ce n’est pas évident ! De plus, une pipe, ça dure cinq minutes et parfois moins, et une fois que Luc a tiré son petit coup dans ma bouche, il lui faut un certain temps pour récupérer, et moi, j’ai la paix, car quand monsieur décide de se la jouer amant du siècle, ça traîne en longueur et il me retourne dans tous les sens, voulant expérimenter une à une toutes les positions du Kâma-Sûtra ; enfin, celles que sa faible souplesse corporelle lui permet !
Bref, une petite turlutte ci et là, c’est très bien !
Je m’adosse au mur, songeuse, pensant à ce qu’il peut se passer quand quelqu’un est dans la cabine et que d’autres passent leur machin à travers les divers trous. C’est alors que j’entends juste derrière moi :
Surprise, je sursaute. Je pivote sur moi-même et je me retrouve nez à nez avec l’un des responsables du sauna, Didier, je crois, celui qui nous a expliqué comment ça fonctionnait ici. Torse nu et en maillot de bain, il a un seau en main et un racleur. C’est un assez bel homme, je dois le reconnaître…
Il se fend d’un large sourire, ce qui lui va bien.
Il me regarde, l’air surpris :
Ses accessoires toujours en main, il s’esclaffe :
Tiens, c’est vrai que je n’avais pas fait attention à ce rapprochement fortuit… Je m’étonne même que mon cher mari avec sa langue acerbe ne me l’ait pas fait remarquer ! Mais ce type en face de moi l’a dit nettement plus gentiment. Comme je reste silencieuse, il poursuit :
Je préfère éviter de répondre. Il me dévisage curieusement, puis soudain il lance :
Et sans attendre ma réponse, il s’éloigne à grands pas. Je suis assez intriguée, circonspecte, comme on dit dans le beau monde guindé de mon cher époux. J’attends quelques minutes dans un coin, regardant les gens passer, m’imaginant ce qu’ils allaient bien pouvoir faire ensuite. Puis comme convenu, je me dirige vers l’accueil. Il est bien là, à son poste, penché sur un grand cahier que je pense être celui des réservations.
Didier me regarde avec un grand sourire :
J’ouvre grands les yeux ; je ne m’attendais pas à celle-là ! Je m’entends néanmoins répondre comme dans un nuage :
Il referme son cahier des réservations, qu’il range sous le comptoir. Puis il me regarde posément dans les yeux. Curieusement, je supporte sans encombre son regard. Il expose les faits :
Intriguée, je le regarde :
Il s’accoude au comptoir, me fixant avec un large sourire :
Je pouffe malgré moi.
Embarrassée, je rougis sous l’allusion.
Je penche la tête par-dessus le comptoir, je regarde, puis je désigne du doigt :
Puis je suis retournée auprès de mon mari qui m’attendait au bar, verre en main ; j’avais l’esprit bien confus…
—oOo—
Le week-end est passé assez vite ; mon mari a été très satisfait de sa visite au sauna, mais il ne s’est pas empêché de me railler plus ou moins gentiment sur ma timidité en ces lieux humides et chauds. S’il savait !
Lundi matin, je suis partie au boulot, ne sachant pas quoi penser de tout ça. Soudain, dans l’après-midi, mue d’une pulsion subite, je me suis rendue au bureau des RH pour déposer une demande de congé jeudi après-midi. En sortant de là, je me suis traitée de folle !
Tant pis, advienne ce que pourra ! Dans la foulée, juste après, j’ai téléphoné à Didier :
Je me racle la gorge avant de poursuivre :
Un léger silence au bout du fil.
J’entends son rire contre mon oreille :
Je souris. Nous nous disons "au revoir".
Mercredi, en fin d’après-midi, je lui téléphone à nouveau pour confirmer. Il est visiblement aux anges… Moi, je suis plutôt tremblante !
—oOo—
Quand je monte dans ma petite voiture pour me rendre au sauna, je n’en mène pas large ! Je me traite d’idiote, de folle, de cinglée, mais je conduis quand même mon véhicule jusqu’à la bonne rue. La voiture stationnée, je respire un grand coup. Je me sauve ? J’y vais ?
Je prends mon téléphone et j’appelle Didier :
Je soupire longuement.
Il rit posément :
Deux minutes plus tard, je rencontre Didier qui m’attend dehors ; il me fait entrer dans le sauna par une autre porte. Je suis à présent dans une sorte de local technique.
Un peu désorientée, je souffle du bout des lèvres :
Il pose sa main sur mon épaule ; curieusement, ce simple geste m’apaise.
Puis il part. Je décide de jouer le jeu ; je me déshabille entièrement, mets une grande serviette bleue autour de moi, puis j’ouvre un peu la porte.
Aussitôt, Didier arrive. Il me fait signe de venir, de m’approcher d’une grande fenêtre à côté d’une armoire. J’esquisse un mouvement de recul en découvrant des hommes dans le grand bain à bulles. Il me souffle à l’oreille :
Troublée, je murmure :
Je regarde à nouveau, et plus assidument. Je reconnais que j’ai vu nettement pire dans ma vie ; ça me change beaucoup de mon Luc de mari ! Tous bien baraqués, pas un poil de graisse, enfin, de ce que je vois. Soudain, deux se lèvent presque en même temps. Un me fait face, l’autre me tourne le dos, me présentant son beau petit cul bien ferme. C’est vrai que j’en mangerais ! Quant à l’autre que je vois à présent bien de face, c’est tablettes en chocolat et lance à incendie.
Didier sourit, me regardant du coin de l’œil.
Soudain, je m’inquiète d’un point de détail :
Didier pose sa main sur mon épaule dénudée, ce qui m’apaise aussitôt. C’est étrange, ce pouvoir qu’il a ainsi sur moi ! Il me désigne de son autre main les athlètes derrière la vitre sans tain :
Nous repartons dans le local technique, puis nous empruntons un couloir sombre et étroit. Une fois la porte du fond franchie, nous débouchons tout près la cabine blanche du glory hole. Inquiète, je regarde autour de moi. Didier me rassure :
Didier pose ses deux mains sur mes épaules :
Ça me fait sourire, bien malgré moi. Une fois de plus, il a eu un effet apaisant sur moi. Il m’inquiète, cet homme… Je m’allonge à demi sur le matelas qui sent en effet le propre. Je regarde autour de moi : les deux cloisons de droite et de gauche sont percées de divers trous, tandis que dans mon dos il y a comme une sorte de dossier. Oui, c’est assez confortable.
Ce que je fais aussitôt. Puis je me remets à la même place, essayant de trouver la position la plus confortable. Soudain je sens quelqu’un à mes côtés :
Mes yeux s’habituent à cette variation lumineuse.
J’affermis ma voix :
Puis il part ; ses pas s’éloignent. Je suis à présent plongée dans une semi-obscurité silencieuse et moite. Une minute s’écoule ; j’essaie de contrôler ma respiration. J’ai bien fait de me mettre nue sous ma serviette, il commence à faire un peu étouffant quand même, la cabine étant assez petite. Claustrophobie ? Angoisse ? Je ne sais pas.
Puis j’entends des pas venir ; mon cœur fait un bond. Je tente de me contrôler. J’entends un certain bruit à droite, puis à gauche, puis à travers les trous, je vois deux corps qui font tomber la serviette. Sous la porte en face de moi, je distingue deux mollets : ceux de Didier, je suppose. Je suis un peu rassurée, malgré le trac qui m’envahit.
Soudain, une tige de chair toute rose glisse à travers un trou ; je dois reconnaître qu’elle a plutôt belle allure. Je n’ai pas pour habitude de jauger un homme à son cinquième membre, mais je sens que je vais peut-être faire une petite exception pour aujourd’hui. Je m’approche un peu pour mieux la regarder de plus près.
Oui, elle est bien dessinée, formant un bel arc de cercle pointé vers le plafond. Un peu plus grande que la moyenne, je crois, mais pas surdimensionnée. Bref, un petit beau morceau.
Je décide de la prendre en main, histoire de voir quel effet ça fait. Aussitôt mes doigts autour de cette tige qu’elle palpite ; c’est très insolite, mais jouissif. C’est amusant comme un simple contact peut donner des envies !
Pour l’instant, je me contente de faire des simples allers-retours classiques, afin de bien prendre en main cette verge offerte. Oui, belle verge, un beau morceau ! Je me demande comme est taillé l’homme qui la possède… Petit à petit, ce sexe vibre. Du bout du pouce, je taquine la veine palpitante tout en câlinant la fine peau de ce mandrin de chair, tandis que ma langue commence des petits jeux de léchouille et de succion. Finalement, c’est si simple !
Je constate avec satisfaction que l’inconnu de l’autre côté de la paroi aime ce que je lui fais. En effet, je sens confusément qu’il projette son corps en avant pour pouvoir passer un maximum de sa belle bite à travers le trou. J’accompagne au mieux les efforts, le capturant plus encore. Amusée par ma réussite, je me demande quelle sera la résistance de ce pieu avide de mes lèvres à mes provocations buccales…
Le résultat ne se fait pas attendre : un premier jet de sperme chaud s’aplatit sur ma langue. Déjà ? Je laisse ressortir quelques centimètres de cette tige frissonnante hors de ma bouche pour pouvoir mieux savourer la suite, qui ne manque pas de venir. De multiples jets tapissent ma bouche ; un sperme chaud et légèrement crémeux, pas désagréable au goût. L’homme jouit bruyamment, ça me fait plaisir de l’entendre. Gourmande et curieuse, j’avale, à l’évidente satisfaction de l’inconnu derrière la paroi.
On dirait bien que j’ai réussi mon entrée en matière. Je laisse cette bite molle s’échapper de ma bouche tandis que son propriétaire souffle fortement, comme pour reprendre son souffle après une longue course. J’entends une brève conversation, quelques bribes de mots, puis je vois surgir une nouvelle queue bien dressée à travers un autre trou. Celle-ci est un peu plus longue, mais plus fine.
Sans chichi, je capture en bouche afin d’en connaître le goût. Celui-ci est différent, mais pas mal du tout ! Je m’active comme j’ai pu le faire autour de cette tige de chair qui frémit de plus en plus, qui s’arque plus encore.
Je répondrais bien, mais comme le faire, bouche pleine ? Je me contente de répondre par une sorte de "hum-hum", sans lâcher ma nouvelle sucette. Il ne me faut pas non plus bien longtemps pour que celle-ci se vide en moi, à grands cris. Mais contrairement à tout à l’heure, l’affaiblissement de la tige est nettement réduit. Intriguée, je me recule, lèvres un peu souillées de sperme, pour contempler cette queue qui reste droite malgré une bonne bordée de sperme.
Amusée, je recapture cette longue et souple tige en bouche. Je dois reconnaître qu’elle reprend de la vigueur et de la dureté très vite. Je ne savais pas que certains hommes restaient durs comme ça. Il me semblait bien qu’une fois la quéquette vidée, il fallait attendre un peu pour qu’elle soit à nouveau fièrement tendue… quand son propriétaire en est capable, ce qui est souvent loin d’être le cas.
Tandis que je m’applique autour de ma sucette bien chaude, j’entends quelqu’un venir, au moins une personne. Une nouvelle voix retentit :
Aussitôt, je vois surgir une nouvelle queue à travers un trou. Celle-ci est plus trapue. Aurai-je droit à toutes les variétés de sexes masculins ? Je la capture du bout des doigts afin de bien la ressentir, puis je commence une petite branlette bien appuyée. J’entends des soupirs de satisfaction. Alors, fière de moi, je m’applique plus encore.
Puis il propulse plus encore son vit dans ma bouche. Je m’active plus encore.
Quelques secondes plus tard, un nouveau jet de sperme comble ma bouche, suivi d’autres. Je m’applique à bien nettoyer. Puis la longue tige fine s’évade de ma bouche pour disparaître derrière la cloison.
Sans cesser de branler la verge que j’ai en main, je pouffe :
Du bout des doigts, j’accélère mes mouvements de va-et-vient, puis j’enfourne posément ce nouveau sexe trapu. Autre goût, un peu moins bien que celui du dénommé Daniel, mais ça peut aller. J’entends un long soupir de satisfaction. J’offre quelques agaceries à ma façon puis, après quelques jeux de langue, retentissent les râles de l’homme en face. Pas très résistant, le Sam ! Il jouit en deux temps trois mouvements. J’en suis presque déçue !
Tout de suite après, j’entends indistinctement divers murmures de l’autre côté ; tous mes sportifs se seraient donné rendez-vous ? Aussitôt, je voix surgir un autre sexe bien horizontal contre ma joue. Lutine, je me jette dessus, bouche avide, avalant celui-ci jusqu’au bout. Ce nouveau machin est plus gros ; il enfle rapidement entre mes lèvres insatiables. C’est du gros calibre, mais bien goûteux ! Une autre tige de chair surgit ; je la capture gloutonnement entre mes doigts pour jouer avec sans réticence. Une autre bite plus timide surgit de l’autre côté, je m’en empare aussitôt, la décalottant. Son propriétaire hoquète. Que c’est bon, une queue en bouche et une dans chaque main ! J’accélère encore mes allers-retours d’une main, mes agaceries de l’autre, ma grosse sucette bien en bouche. La petite chose timide vibre, tremble, je sens ses frémissements distinctement entre mes doigts. Un cri syncopé, un long jet fuse ; il vient s’aplatir contre ma joue. Sensation étrange mais excitante ! Quasiment synchrones, les deux autres bites se vident : un gros jet visqueux remplit ma bouche, l’autre jet éclabousse le haut de mes seins puis ruisselle vers le bas, tel du lait légèrement épais.
Je suis prise de frénésie ; il me faut des queues, encore des queues, toujours plus de queues à sucer, à lécher, à branler ! Oui, plein de queues pour moi, à moi !
Soudain, je me lève d’un bond, je me précipite sur la porte que j’ouvre. Je me retrouve nez à nez avec Didier qui est très surpris. Sans m’en soucier, je lui demande :
Les handballeurs, intrigués, commencent à former un cercle autour de nous. Je me masque le visage de mes mains : j’ai agi trop spontanément en sortant du glory hole. Didier prend les choses en main :
Un homme assez grand et chauve questionne :
Puis, mettant une serviette sur mes épaules, il m’entraîne loin de tous ces mâles en rut. C’est à la fois terriblement excitant et affolant d’avoir pour soi tant d’hommes plein de désir ! Nous arrivons à la salle de gynéco. Il allume la lumière, et se tourne vers moi :
Didier s’éloigne tandis que je m’assieds sur la table gynéco. Mon cœur bat à cent à l’heure ; j’ai des papillons plein de ventre, je me sens brûlante, et je sais que je mouille comme pas possible ! Je suis en train de vivre une expérience terriblement palpitante ! Peut-être la seule et unique de toute ma vie.
Arrivant à me calmer un peu, je m’installe au mieux sur la table. Didier revient quelques secondes plus tard, masques en main. Il se fige à l’entrée de la salle :
Je suis allongée nue sur la table, offerte, jambes largement écartées et bien levées, aidées par les étriers. Je lui réponds d’une petite voix :
Il m’aide à le mettre, puis il appuie ses mains sur la table juste à côté de mon sein droit. Me vient l’idée impromptue qu’il me le caresse…
J’incline un peu la tête vers lui :
Il ne répond rien, mais je vois nettement qu’il me sourit, un sourire comme j’en ai jamais vu chez un homme ; ça me transperce !
Je lui souris. Il baisse la luminosité de la pièce, puis il s’apprête à sortir. À la porte, il se tourne vers moi et m’interroge du regard une dernière fois. Je continue à lui sourire, alors il s’en va.
Puis les hommes arrivent, telle une marée, autour de moi qui suis offerte, exposée, exhibée sans frein ni lien, nue à leurs convoitises. Ils m’entourent, tel un mur, pour m’isoler du reste du monde et m’avoir pour eux. Une première main s’enhardit, caressant mon sein ; une autre intervient aussitôt, malaxant mon autre sein avec moins de délicatesse et plus de convoitise. Je découvre que j’aime ce côté avide et concupiscent des hommes, de ces hommes-là. Je découvre que je ne déteste pas être une pauvre petite brebis livrée en pâture aux loups affamés et voraces !
Une autre main s’aventure carrément sur ma chatte entrouverte et sans doute déjà bien humide. La caresse me fait frémir, mon corps ondule. J’entends comme un murmure de satisfaction autour de moi. Un premier sexe bien dur se pose sur mes lèvres. Sans honte, je fais glisser ma langue sur cette tige bien chaude puis, ouvrant mes lèvres, j’accueille un gland palpitant dans ma bouche câline.
Ce fut alors comme un déclic pour un aller sans retour !
Je ne sais plus combien de tiges palpitantes ont effleuré mes lèvres, combien d’entre elles sont venues dans ma bouche afin que je les câline de ma langue et de mes lèvres, combien ont frémi dans la chaleur de ma bouche, combien se sont vidées, tapissant mon palais de sperme bien chaud, combien de diverses semences j’ai pu avaler…
Combien de mains avides, à la fois dures et douces, ont caressé mes seins, ont titillé mes tétons, ont joué avec, les ont étirés ? Combien de queues ont glissé sur ma poitrine frémissante, ont maculé mes seins, les ont englués ?
Combien sur mon ventre frissonnant qui est devenu une plaine luisante et tiède ?
Combien d’hommes se sont glissés entre mes jambes largement écartées ? Combien ont plongé en moi, me faisant sentir leur grosseur, leur longueur, leur désir, leurs pulsions ? Certains ont été doux, d’autres plus hardis, d’autres emportés. Je leur étais offerte ; ils en ont tous profité, chacun à sa manière, chacun à sa façon…
Je ne sais plus. Ce fut comme un tourbillon dans lequel je me suis laissée complètement aller, telle une barque sur un océan déchaîné. Parfois, j’avais l’impression de me noyer, tant les sensations se bousculaient, me troublaient, me déconcertaient !
Mais j’ai joui, énormément joui, infiniment joui ! Je ne savais pas qu’on pouvait jouir autant, sans répit, sans honte, sans relâche, d’une façon si infernale, si… si tout ça ! Mon cœur parfois semblait décrocher ; je criais « Non ! » pour crier ensuite « Oui ! » ou « Encore ! » J’étais devenue un objet de plaisir pour ces hommes et aussi pour moi. Une garce, une salope, une pute ? Je m’en fichais. Je profitais de l’instant présent, de ces sensations voluptueuses et délicieusement perverses d’être une faible femme livrée à tant d’hommes avides !
Mes jambes se sont retrouvées écartées à nouveau, puis quelque chose de conséquent est entré en moi tandis que deux bites raides mais poisseuses cherchaient le chemin de ma bouche. J’ai ouvert les lèvres pour accueillir ces membres virils en moi afin de les choyer à nouveau. Dans un brouillard, j’ai entendu celui qui me pistonnait éructer des insanités tandis que je sentais son serpent s’agiter en moi et trembler. D’autres queues sont arrivées, d’autres mains. J’ai été à nouveau le simple jouet de tous ces hommes, et je me laissais faire. C’est alors que rien ne m’y prédisposait que j’ai eu un très long orgasme intenable, fulgurant, incroyable ! Quelque chose d’incroyable, mon corps était secoué de spasmes, je criais, je hurlais mon plaisir, comme si ce n’était pas moi, comme si c’était une autre qui jouissait comme une folle, inlassablement, outrageusement, démesurément…
Puis je me suis endormie…
—oOo—
Quand j’ai ouvert un premier œil, j’ai constaté que je n’étais plus dans la salle gynéco. C’est en me redressant que j’ai découvert que j’étais dans le local technique sur un matelas au sol. La grande serviette bleue collait sur mon corps ; je l’ai retirée, et je me suis machinalement frottée pour enlever quelques traces de sperme séché. Encore dans les brumes, je me suis accroupie, songeant à tout ce que je venais de faire. C’est alors que je me suis demandé quelle heure il pouvait être.
Je me suis redressée tant bien que mal, vacillant sur mes jambes.
En même temps, j’ai senti un bras me soutenir. À son contact reposant et au ton doux de la voix, je savais très bien qui c’était. Je me retourne ; ma nudité ne me gêne pas. De toute façon, il m’a vue nue, en long, en large et en travers.
Puis il me regarde rapidement de haut en bas, et m’indique alors de la main un petit renfoncement.
Je m’appuie sur le rebord d’une table. Face à moi, je le vois qui se dandine d’un pied sur l’autre. Il se jette à l’eau :
C’est à mon tour de me dandiner d’un pied sur l’autre. Je ne sais pas bien formuler ce que j’ai envie de dire, d’expliquer :
Il ne répond pas, se contentant de me sourire. J’aime quand il sourit, j’aime aussi quand il me regarde comme ça. Je ne saurais pas bien expliquer pourquoi… Nous nous contentons de nous regarder, sans rien dire, sans rien faire. C’est lui qui rompt le silence le premier :
Je mets ma main devant ma bouche pour m’empêcher de pouffer ; puis, redevenant sérieuse, j’annonce :
Et il part en m’adressant un petit signe de la main. J’en profite pour prendre ma douche. Je suis maculée de traces de sperme de la tête aux pieds ! Je me savonne de haut en bas ; j’aime l’odeur de ce gel douche. Je réalise plus tard que c’est sans doute celui qu’utilise Didier. Je reste longtemps sous la douche comme pour me purifier. Au bout d’un certain temps, je crois entendre quelqu’un entrer dans la pièce. J’appelle :
Il s’empare du gel douche, s’en met sur les mains, et sans complexe me savonne le dos. Malgré moi, ça me donne des frissons ; j’aime bien être l’attention d’un homme ! Ce n’est pas Luc, mon mari, qui daignerait s’occuper un peu de moi, oh non ! Pourtant, je ne demande pas grand-chose.
Je me laisse câliner de la sorte par ses mains qui parcourent mon dos du cou aux lombes. Parfois, ses doigts taquinent le bas de mon dos, dans le creux des reins. J’aime beaucoup ! Parfois aussi, ces mêmes doigts s’aventurent sur les côtés, voire à la base de mes seins, ce qui me fait frissonner.
Je me plais à souhaiter que Didier soit plus téméraire, mais quelque chose me dit que ce ne sera pas le cas. En effet, peu après, il s’arrête.
Je n’ose pas lui dire qu’il a oublié d’aller plus bas… Il reprend :
À nouveau il s’en va. Je suis amusée et intriguée : il est vraiment gentleman ? Timide ? Ou bien, finalement, je ne l’intéresse pas ? Peu importe : pour l’instant, je profite à nouveau à fond de cette délicieuse douche !
Quelques minutes plus tard, je sors de la cabine de douche ; je me sens pure et nette. Je me sèche avec diverses serviettes. Il fait chaud ici, je suis bien. Comme convenu, j’entrouvre la porte. Peu après, Didier est là. Il est surpris de me voir toujours nue.
Je m’approche de lui. Il me regarde avec un certain étonnement. Je tends légèrement les bras et je lui demande :
Pas besoin de le lui demander deux fois. En un clin d’œil, il me serre délicatement dans ses bras, ma tête sur son épaule, ses mains sur mon dos. Je me laisse câliner doucement ; je suis bien, reposée, tranquille, sereine… Je sens très bien que je ne le laisse pas indifférent : quelque chose sur le bas de mon ventre me l’indique clairement. Mais visiblement, il joue les gentlemen. Le temps passe…
Tout en me caressant délicatement le dos, il se racle la gorge.
Il me serre un peu plus contre lui.
Avant de répondre, il plaque une main contre ma chute de reins, tandis que l’autre s’enfouit dans mes cheveux.
Il me serre encore plus contre lui, presque à m’étouffer.
Il soupire, sans relâcher sa pression.
J’enfouis ma tête un peu plus contre lui.
Il soupire joyeusement, me serrant encore un peu plus, à m’étouffer, mais j’aime malgré tout être pressée ainsi contre lui. Tout contre lui ! Il murmure à mon oreille :
Je ris doucement.
Soudain je lève mon visage vers lui.
Mon visage toujours tourné vers lui, je soupire :
C’est alors qu’il m’embrasse.
Ce n’est pas la première fois de ma vie que je me fais embrasser. Ni la dernière ; du moins, je l’espère et je le souhaite. Mais là, ce baiser, c’est quelque chose ! Un truc à mouiller sa culotte si j’en avais une ! Ou bien c’est un virtuose du baiser, ou bien il me fait un effet monstre ! Je dois lui faire aussi de l’effet, car il s’enhardit encore plus, et sa barre plaquée contre mon ventre devient de plus en plus dure et imposante…
De mon côté, je ne reste pas passive, et c’est à qui de nous deux dévorera l’autre. Je suis comme folle ; je l’embrasse partout, lèvres, joues, nez, cou. Je deviens vorace ; je le mordille partout avant de replonger avec délectation sur ses lèvres, entre ses lèvres, nos langues entremêlées se caressant mutuellement.
On dit que le baiser est un simulacre de rapport sexuel. Si c’est vrai, alors ce n’est pas le septième ciel que j’atteindrai avec lui, mais le huitième ou le neuvième. Arrondissons allègrement au dixième : oui, ce type me fait un effet monstrueux ! Apocalyptique même… Et tant pis si je me damne et que je me brûle les ailes ! Décidément, aujourd’hui aura été la journée des révélations.
Il se débarrasse de ses vêtements en un temps record sans cesser de m’enlacer et de m’embrasser. J’ignore comment il a pu faire, seul le résultat compte. Il est à présent nu contre moi, tout contre ; je peux inlassablement profiter de lui, de son corps bien fait et tout chaud.
C’est avec un profond soupir de satisfaction que je le sens entrer en moi. Oh oui, je veux être toute à lui, rien que pour lui ! Je veux qu’il me prenne, qu’il me fasse décoller, que j’aie plein d’étoiles dans les yeux et plein de papillons dans le ventre ! Je m’agrippe à lui ; tant pis pour son dos, pour ses bras. Je le veux plus encore en moi tandis qu’il me pistonne férocement, qu’il essaie d’être encore plus profondément en moi.
C’est fou ce que je suis en train de vivre ! Je suis comme secouée de tas de mini-orgasmes qui explosent les uns derrière les autres. À peine le temps que s’évapore le plaisir qu’un autre prend sa place, légèrement plus intense. Je commence à avoir du mal à respirer ; mes yeux se brouillent, mon corps me semble étranger, mais totalement irradié de ravissement.
Je pars dans un long cri ; je tombe dans un puits sans fin, je tourbillonne sur moi-même, je ne sais plus où est le haut, où est le bas : il n’y a plus que ma jouissance et lui, Didier, lui toujours en moi, pour moi, rien que pour moi, rien qu’à moi !
Je meurs, aspirée par un vaste maelström ! Puis je renais, plus éclatante que jamais. Nouvelle femme, docile objet de plaisir, de désir, de tant de choses inconvenantes… Je meurs ainsi bien des fois ; je renais ainsi bien d’autres fois, prenant mon plaisir, donnant du plaisir, loin de toute considération morale. Et tant mieux si je me damne et que je me brûle les ailes ! Décidément, aujourd’hui aura été la journée des révélations !
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Étendue sur le matelas au sol, fesses à l’air, tête enfouie dans mes bras, je me laisse câliner par les mains si douces de Didier. J’adore son contact, sa délicatesse, la sensation d’être fragile, ce qui contraste singulièrement avec ce que j’ai pu vivre dans la salle de gynécologie… À bien y réfléchir, ces deux extrêmes sont très bien, même si j’ai une nette inclination pour les caresses de Didier.
Actuellement, c’est mon dos et mon petit cul qu’il caresse très voluptueusement pour en essuyer les dernières traces de savon. J’adore ça ! Je me laisserais bien faire de la sorte indéfiniment ! Et puis ça me procure de doux frissons bien délicieux… Le temps s’écoule agréablement, puis soudain, il dépose de façon très appuyée de doux baisers sur mes fesses frémissantes.
Il s’agenouille sous mon nez.
Je me redresse sur mes bras, lui mettant sous son nez à lui mes seins qui n’attendent que ses lèvres. Pas besoin de le lui dire de vive voix : il comprend tout seul comme un grand ! Après quelques délicieuses agaceries sur mes tétons, il m’avoue, l’air chagrin :
En souriant, agenouillée face à lui, je pose mon doigt sur ses lèvres que je caresse délicatement.
Fougueusement, il m’embrasse. Ardemment, je réponds à son baiser. Mais a-t-il réalisé que ma phrase avait un petit côté ambigu ?
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Didier me presse pour clarifier la situation ; il aimerait que je divorce pour venir vivre avec lui. Je ne sais pas si c’est un bon plan. Notre relation est justement pimentée par le fait que je ne suis pas libre, et que nous nous voyons épisodiquement au sauna ou chez lui. Tandis qu’au quotidien…
Et puis, avec mon mari qui est avocat, dans pareil cas, c’est moi qui serais roulée dans la farine sur toute la ligne, avec tous les torts de mon côté ! Non, il faut que j’attende une circonstance favorable, voire une faute de mon mari. Et ça, Didier a fini par l’admettre.
Ah, mon Didier… Si doux et si fougueux à la fois !
Sans parler de tous ces autres hommes, ces beaux sportifs non moins fougueux, que je me fais un plaisir de revoir tous ensemble de temps à autre. C’est mon petit grain de folie que je m’offre à m’offrir ainsi à leurs convoitises. Bien que Didier se montre un tantinet possessif et même presque jaloux, mais c’est ainsi que notre histoire à nous deux a commencé ; c’est l’événement initial, mon fantasme, grâce auquel je viens me jeter dès que je le peux dans ses bras tout câlins.
Aujourd’hui, c’est enfin le bon jour pour se voir. Et c’est même très bientôt l’heure. J’attrape mon sac et je quitte prestement les lieux. Je saute dans ma petite voiture et je me dirige vers le sauna. Nous avons environ deux heures devant nous.
Comme on le dit vulgairement : j’ai hâte d’être saillie et salie par Didier, puisqu’il me lave et me nettoie complètement sans oublier un seul centimètre carré de mon corps afin d’être pure et innocente comme avant…
Et le plus souvent possible !