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Temps de lecture estimé : 14 mn
30/01/15
Résumé:  Rencontre d'une touriste irlandaise à Lyon.
Critères:  fh hplusag frousses hotel caférestau douche amour cunnilingu hdanus nostalgie
Auteur : Romantik      

Collection : Les saisons de l'amour
Tome 1 : Le printemps




Printemps 2014



Nous étions le 17 mars, date que je ne peux pas oublier à plusieurs titres, d’une part parce que c’est ma fête (je me prénomme Patrick), et parce que je viens de trouver dans ma boîte une enveloppe provenant d’Irlande que je décachette avec fièvre et dans laquelle se trouve une carte représentant un trèfle à quatre feuilles d’un vert éclatant et au dos, ces quelques mots : « Je pense toujours à toi… » servant de conclusion provisoire à l’histoire qui va suivre.




Printemps 2013



Ce matin-là, j’ouvris les volets de ma chambre et, constatant qu’il s’agissait d’un matin particulièrement radieux, je décidai de prendre mon petit déjeuner sur la terrasse. Une bonne odeur de café frais emplissait déjà l’atmosphère grâce à la cafetière programmable. Il ne me restait plus qu’à mettre deux toasts à griller et à sortir le beurre demi-sel du réfrigérateur. Quelques instants plus tard, confortablement installé, je savourais le calme et la douceur de l’air qu’un printemps précoce avait apporté au cœur de la ville. Mon appartement se situant au dernier étage, je contemplais la nature généreusement dispensée dans cette bonne ville de Lyon.


Il fallait que je profite de cette matinée ensoleillée. Je pris une douche et m’habillai en observant mon reflet dans le miroir. Bien que quinquagénaire, mon visage est toujours agréable avec mes yeux bleus, mon front haut où foisonne une épaisse chevelure poivre et sel, mon corps resté svelte grâce aux heures de piscine et de VTT que je m’impose, ainsi que le régime associé, qui lui est plus difficile à tenir à cause de ma gourmandise, surtout dans cette capitale de la gastronomie et de la charcuterie, où tout est prétexte à faire bonne chère, les affaires se traitant souvent à la table d’un bon restaurant.


Je sortis et flânai le long des quais de Saône, le nez au vent, me demandant de quoi serait fait cette journée où tout était possible. Une silhouette, soudain, se dressa devant moi en brandissant un plan, tandis qu’une voix féminine teintée d’un charmant accent britannique me tirait de ma rêverie en me demandant :



Je détaillai rapidement mon interlocutrice. Un visage agréable aux yeux verts et rieurs, aux pommettes hautes et saillantes constellées de taches de son, surmonté d’une impressionnante crinière rousse toute bouclée ; un corps mince à l’allure sportive dans un ensemble pantalon clair. Je lui présumai une petite quarantaine d’années à cause des légères pattes d’oie qui renforçaient la profondeur de son regard.


Elle me tendit son plan pour m’indiquer l’endroit précis de son rendez-vous. Je constatai qu’il se trouvait proche d’une station du funiculaire que nous appelons affectueusement ici « la ficelle ». Je lui expliquai que le mieux, à cause des encombrements, était de se rendre en métro jusqu’à « Hôtel de ville » puis d’y prendre le funiculaire. Devant son air dubitatif, je décidai brusquement de l’y conduire.



Je sortis des tickets de mon portefeuille et lui en tendis un. Le sourire dont elle me gratifia alors me conforta dans mon rôle de guide (et accessoirement de chevalier servant). Durant le trajet, j’appris qu’elle était arrivée de Dublin la veille et qu’elle séjournait dans un petit hôtel derrière Ainay. Nous parvînmes à destination et j’allais prendre congé lorsqu’elle me prit par le bras.



Nous nous quittâmes sur ces mots pleins de promesses. Tandis que je faisais le chemin dans l’autre sens, je songeais que ce printemps était décidément porteur de tous les possibles et que la vie réservait son lot de surprises. La journée passa sur le souvenir obsédant de ma rencontre avec cette belle Irlandaise. Depuis mon divorce, je n’avais pas éprouvé le désir de ressortir avec une femme, mais cette rencontre imprévue, je dois le confesser, m’émoustillait. Puis, l’heure approchant, je m’habillai soigneusement, costume sport sur une chemise à col ouvert et mocassins italiens de cuir souple, puis me rendis à son hôtel.


La réceptionniste prévint mon amie de mon arrivée et me convia à m’asseoir dans un des fauteuils composant le hall en attendant. La porte de l’ascenseur s’ouvrit bientôt et Kathy en sortit, magnifique dans un tailleur cintré mettant ses adorables formes en valeur. Elle était très attirante et lorsque ses yeux brillants d’intelligence se posaient sur moi, j’en concevais une incompréhensible douleur.



Quelques instants plus tard, nous étions attablés dans un restaurant où j’avais mes habitudes. René, le patron, nous accueillit chaleureusement et nous proposa une table dans un renfoncement sous une voûte, propice à toutes les confidences. Il nous apporta deux kirs royaux à la pêche et nous tendit les menus. Nous trinquâmes et, tandis que Kathy appréciait le nectar, je lui expliquai en quoi consistaient les mets proposés sur la carte. Elle me gratifia de son sourire le plus enjôleur en me disant de composer le menu. Le dîner fut très convivial grâce à l’excellence des plats, la jovialité de René qui ne manquait pas de venir lui-même nous servir et, je dois bien le dire, du St Joseph, la cuvée spéciale du patron.


Je lui narrai des anecdotes piquantes sur la vie lyonnaise qui la firent sourire et même rire franchement, et en échange, elle m’apprit qu’elle était venue acheter de la soie pour l’entreprise de lingerie fine qu’elle dirigeait à Dublin. Cette remarque eut le don de porter mon esprit vers des pensées libertines que je pensais oubliées depuis longtemps. Après le café, et malgré les protestations de Kathy, je payai l’addition et nous nous retrouvâmes en train de marcher sur le trottoir.

La soirée était encore douce et je décidai de faire découvrir le vieux Lyon à ma nouvelle amie.


Nous nous dirigeâmes donc vers la Saône et traversâmes la passerelle menant à St Jean. Nous continuâmes à deviser aimablement chemin faisant. Nous arrivâmes bientôt à St Georges et repartîmes vers le Rhône.



Je lui pris le bras pour franchir le seuil du Sofitel et nous prîmes l’ascenseur qui nous amena au « Melhor », ce bar qui proposait de profonds fauteuils où nous nous assîmes devant une vue panoramique sur la ville. La nuit était tombée et les lumières des réverbères rehaussaient de mille éclats les monuments et les édifices se reflétant dans le fleuve.



Le serveur s’approcha et je lui commandai sans attendre une bouteille de champagne qu’il apporta sans délai.



Je l’observais intensément, ses yeux brillaient de plaisir. Sa grâce et sa distinction naturelle éclipsaient tout et rendaient cette scène irréelle. À cause de la profondeur des fauteuils, sa jupe était remontée très haut sur ses cuisses et j’avais bien du mal à en détacher mes yeux.



Nous continuâmes à deviser et ne vîmes pas le temps passer. Pourtant, il fallut se résoudre à rompre le charme. Je la raccompagnai jusqu’à son hôtel et lui saisit la main pour lui souhaiter une bonne nuit. À ce moment, elle serra la mienne très fort en disant :



Et elle m’entraîna vers l’ascenseur.

À peine étions-nous entrés dans sa chambre qu’elle noua ses bras à mon cou et m’embrassa fougueusement, sa langue agile titillant mes lèvres avant de s’enrouler autour de la mienne. Elle s’interrompit et me lança, l’air coquin :



À mon tour, je l’enlaçai et lui rendis son baiser. Pendant qu’elle m’embrassait, elle ôta ma veste et déboutonna ma chemise. Je sentis ses mains frôler mon torse et caresser mes épaules, puis elles s’aventurèrent plus bas pour déboucler ma ceinture. J’enjambai mon pantalon après m’être déchaussé pendant qu’elle retirait son tailleur qu’elle déposa soigneusement sur le dossier d’un fauteuil, puis son chemisier. Elle m’apparut alors, grâce à la clarté de la pleine lune entrant par la fenêtre, dans de délicieux dessous sombres rehaussant sa peau pâle de rousse. Son soutien-gorge pigeonnant gonflait son admirable poitrine qui semblait vouloir en jaillir toute seule ; quant à son shorty de dentelle transparente, il dessinait son sexe et ses fesses rebondies plus qu’il ne les voilait. Elle portait des bas fumés qui tenaient seuls en haut de ses cuisses grâce à des bandes élastiques. La blancheur de sa peau était particulièrement mise en valeur par ses dessous qui crissaient sous mes doigts, me procurant des décharges d’électricité statique.


Je la fis tourner devant moi, appréciant tout ce que me dévoilait la lune indiscrète s’immisçant dans la chambre. Je l’embrassai à nouveau en l’entraînant sur le lit. Là, je lui picorai la peau de mes lèvres depuis son visage jusqu’aux pointes de ses pieds en m’attardant sur son ventre et sur l’intérieur de ses cuisses, tout en faisant doucement rouler ses bas. Sa chair ferme se piqueta bientôt de chair de poule. J’espérai que ce soit la conséquence de mes caresses plutôt que de la fraîcheur de l’air. Puis je revins à ses poignets que je léchai en remontant vers ses aisselles. À ce moment, je sentis son souffle s’accélérer. Sa poitrine se soulevait sur un rythme rapide. Je fis sortir ses fabuleux seins des bonnets du soutien-gorge ; leurs aréoles étaient très larges et sombres, contrastant avec la pâleur de la chair palpitante. Ils étaient ronds, fermes et souples à la fois, je les massais avec mes paumes et je sentis que les mamelons durcissaient puis, ne pouvant attendre davantage, je les pris dans ma bouche et les tétai alternativement.


Ma partenaire me caressait les épaules et les cheveux durant ce temps. Puis mes lèvres descendirent sur son ventre où elles jouèrent avec le nombril avant de continuer vers le sexe et les cuisses. Mes mains saisirent les bords du shorty et commencèrent à les faire glisser insensiblement. Mon amie se souleva pour m’aider à l’ôter. Ce faisant, sa vulve se rapprocha de mon visage, et je sentis sa chaleur animale et sa fragrance musquée.


Je repris mes baisers le long de ses cuisses fuselées tout en lui pétrissant les fesses. Son ventre ondoyait et au bout d’un moment, je sus qu’elle en voulait plus. Cette fois, ma bouche remonta jusqu’à sa fente tout en écartant les pétales odorants et trempés de sa vulve pour arriver enfin au clitoris. Je le heurtai à petits coups vifs de ma langue, m’appliquant à faire durcir le petit organe et le sortir de son capuchon protecteur. Mon amie gémissait et sa respiration saccadée montrait qu’elle appréciait mes caresses. Tout en continuant à lécher et aspirer son clitoris, je massais sa vulve qui semblait se creuser et vouloir envelopper mes doigts. Je dois dire qu’elle ruisselait, ce qui facilita l’introduction d’un, puis de deux doigts dans son vagin. À ce moment, Kathy se contracta sur mes doigts qui fouillaient toujours plus loin jusqu’à toucher son col de l’utérus. Après quelques pilonnages de mes doigts dans cet univers moite et bouillant, je cherchai un petit renflement de la taille d’une pièce de monnaie sur la face antérieure de son vagin que je stimulai doucement par de petites pressions. Aussitôt, mon amie se déchaîna, et plusieurs jets de cyprine jaillirent du fond de son vagin, arrosant copieusement mes doigts et mon visage. Ses mains voulurent écarter mes lèvres de son clitoris, mais je tenais bon, léchant, suçant et aspirant son petit bouton d’amour tandis que mon doigt continuait le massage sur son point G.


Maintenant, ma maîtresse criait sans retenue et inondait les draps tout en tentant tour à tour de m’éloigner et de me rapprocher de son sexe. Elle enchaîna ainsi plusieurs orgasmes avant que je ne cesse lentement mes caresses. Son ventre arrêta d’onduler et sa poitrine se calma. Elle reprit doucement conscience et me regarda alors langoureusement en me disant dans un souffle :



Je m’empressai de lui obéir, tout en craignant ce qui allait suivre. Depuis quelques temps, mes érections devenaient hypothétiques et en tout cas beaucoup moins rigides, ce qui avait d’ailleurs contribué à mon divorce. Pendant que je donnais du plaisir à Kathy avec mes doigts et mes lèvres, ma verge était restée désespérément molle.

Kathy s’assit sur mes jambes (je sentais son sexe chaud et humide sur mes cuisses) et commença à me masser les épaules et le dos, ses mains montant et descendant le long de ma colonne vertébrale en englobant les fesses, tantôt effleurant, tantôt appuyant fermement sur ma peau. Je trouvai cela très agréable et commençai doucement à me décontracter pour savourer pleinement cet instant de profonde relaxation. J’en oubliai mes difficultés d’érection.



Docilement, je me retournai pour montrer à Kathy l’affligeant spectacle de ma bite flasque. Si elle s’en aperçut, elle ne le montra pas. Elle m’embrassa sur la bouche, savourant au passage l’odeur et le goût de son propre sexe, puis descendit lentement sur ma poitrine, titillant mes tétons au passage, puis continua vers mon ventre. De ses doigts fins elle saisit ma verge molle et débuta un lent va-et-vient tout en donnant des petits coups de langue sur mon gland. De son autre main, elle me massait délicatement les testicules. Sa bouche arriva sur le filet reliant le prépuce au gland et elle le tira sans ménagement vers l’arrière de ma verge qui, insensiblement, réagit à cette caresse et commença à s’ériger. Elle mit complètement mon gland découvert dans sa bouche, et serrant les lèvres elle fit tourner sa langue en insistant sur le méat. Au bout de quelques minutes de ce traitement, mes craintes s’évanouirent car c’était maintenant un pieu d’amour qui se tendait au bas de mon ventre.


Avec un sourire conquérant, elle libéra ma verge de sa bouche et se mit à califourchon sur moi en approchant sa vulve de mon gland. J’en sentis la chaleur avant qu’elle ne décide de les mettre en contact. Elle joua à écarter ses lèvres intimes de la pointe de ma verge puis à s’éloigner. Au bout d’un moment de ce supplice, je pris ses fesses et l’attirai sur moi, l’empalant doucement, mais sûrement sur ma verge qui se dilata encore au contact de cette chaleur moite et de ses chairs qui se resserraient tout autour. Kathy se levait jusqu’à l’extrême limite où l’on risquait de se désunir et se laissait tomber jusqu’à sentir ma queue au fond de son vagin. Un nouvel orgasme la prit juste avant que je sente ma sève monter.


Je pris alors l’initiative de la retourner et de la mettre en position de levrette. Je me mis à genoux derrière elle et cherchai son sexe de la pointe du mien. Dès qu’elle sentit ma verge, elle recula et s’empala dessus tout en saisissant mes couilles de sa main gauche en passant par dessous. Je la pilonnais rapidement en m’enfonçant dans sa fente le plus loin possible. Elle gémissait et criait son plaisir sans retenue tout en serrant mes couilles dans sa main à m’en faire mal. Ne pouvant plus me retenir, je laissai mon sperme monter et exploser en longs jets puissants au fond de sa chatte. Elle dut le sentir car elle pressa ses fesses contre mon ventre tout en contractant son périnée à plusieurs reprises, ce qui me fit à mon tour hurler de jouissance.


Ma verge retrouvant sa placidité naturelle, nous nous désunîmes alors en retombant sur le lit, épuisés, couverts de transpiration mais infiniment heureux. Je l’embrassai tendrement tout en caressant légèrement ses seins pour la remercier de m’avoir apporté un plaisir jamais rencontré avant. Quant à elle, elle faisait rouler négligemment mes testicules et ma verge apaisée entre ses doigts tout en me souriant d’un air de femelle conquérante et comblée.


Nous restâmes allongés un long moment à nous regarder et à nous caresser avant qu’elle ne se lève en me tirant par la main.



Je la suivis en admirant ses belles fesses bien rondes donnant envie de mordre dedans comme dans un fruit bien mûr. Nous entrâmes dans la douche. Aussitôt, elle ouvrit les robinets et l’eau bienfaisante nous ragaillardit. Je lui frottai doucement le visage avec le gel douche, descendis sur ses épaules, puis lui lavai consciencieusement la poitrine, le ventre, écartant la fente de son sexe pour y faire pénétrer un peu de mousse et de là à ses fesses qui me tentaient depuis le début. Je me redressai pour l’embrasser à nouveau lorsqu’elle me proposa un autre jeu :



Devant mon air ahuri, elle poursuivit :



Elle eut à nouveau ce sourire espiègle qui illumina son visage.



Ce que je m’empressai de faire. Elle prit une dose de gel douche et commença à me masser doucement les fesses, s’attardant bientôt sur mon anus qui finit par s’ouvrir lentement sous la poussée d’un de ses doigts. C’était la première fois qu’une femme me procurait ce genre de caresse et, pour l’instant, je dois avouer que je n’en tirais pas de plaisir particulier. Un deuxième doigt vint rejoindre le premier. Je me sentais dilaté et commençais à éprouver, toute proportion gardée, ce que pouvais ressentir une femme, du moins le pensai-je. Elle commença un va-et-vient léger sur une zone se trouvant juste derrière mon pubis. Au bout d’un instant je ressentis effectivement un plaisir certain à me faire caresser, mais sans érection, juste une sensation agréable qui partait de l’intérieur de mon anus et qui se dirigeait vers ma verge en transitant par mes testicules.



Elle s’appliqua alors à frotter encore plus doucement cette glande qui, décidément, révélait des surprises. De plus, de son autre main, elle prit mes bourses qu’elle caressa et pressa à leur tour. Cette fois, ce fut comme si ma verge venait de recevoir un signal et se mit à raidir. Au bout d’un moment, et sans que ma compagne ne touche mon gland, je ressentis un bienfait différent de l’orgasme tout en éjaculant un liquide clair en un long jet.

Mon amie me sourit alors, très fière de m’avoir enseigné une nouvelle façon de jouir.



Elle reprit une dose de gel douche pour cette fois me savonner sans arrière-pensée érotique.



Nous nous séchâmes et retournâmes nous coucher. Après un chaste baiser, nous nous endormîmes rapidement, repus du plaisir de l’autre.


Son téléphone réglé sur alarme nous réveilla dans la matinée. Le room-service nous trouva au lit et déposa nos copieux petits déjeuners sur une petite table. Dès le départ de la serveuse, nous sautâmes du lit pour reprendre des forces, d’autant que l’air embaumait le café (pour moi) et les viennoiseries.

Kathy, en bonne Irlandaise, se servit un thé. Le déjeuner englouti, nous nous remîmes au lit pour profiter une dernière fois de nos sens. Ce fut capiteux et langoureux, comme seuls peuvent l’être les ébats de personnes devant se quitter.


Tout en nous habillant, ma maîtresse me confia :



Nous nous sommes alors embrassés tendrement et longuement une dernière fois et je quittai définitivement cette chambre qui avait abrité nos amours.




Printemps 2014



Voilà, ami lecteur, tu partages maintenant mon secret. Sache que je n’ai plus eu de nouvelles de Kathy jusqu’à ce jour béni des dieux. Je n’ai pas eu non plus d’autres aventures, tant ce souvenir est resté vivace en moi. Cette carte, bien que laconique, est une belle promesse qui me laisse espérer qu’un jour, peut-être…