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Temps de lecture estimé : 10 mn
02/02/15
corrigé 09/06/21
Résumé:  Tout à commencé dans les vestiaires d'une piscine. Je pensais pouvoir mater tranquillement ; en fait, c'était moi qui étais maté.
Critères:  hh inconnu piscine voir exhib hmast init
Auteur : Cécil            Envoi mini-message

Série : Aventure à la piscine

Chapitre 01
Aventure à la piscine

Bonjour ; je vais commencer par me présenter, je m’appelle Cécil (c’est le surnom que je me suis créé lorsque j’ai commencé à me travestir, l’absence du "e" final est volontaire pour symboliser le fait que je ne sois pas femme à 100%). Je mesure 1,80 m pour 90 kg, sportif et gourmand. Cette première histoire que je vous livre est réelle, d’autres viendront par la suite, notamment comment j’en suis arrivé à me travestir.

Bonne lecture.



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À cause de la mutation de ma femme dans la région bordelaise, nous avons dû déménager. Je passe la première semaine à tout mettre en ordre. Le vendredi arrive et le rangement est enfin terminé. L’appartement nettoyé, je décide d’aller à la piscine pour me détendre et soulager mon dos mis à rude épreuve à force d’avoir porté les cartons, monté les meubles et rangé tout seul. Je me rends à la piscine la plus proche de mon domicile (seul, car ma femme n’aime pas nager).


Arrivé à la piscine, je récupère un casier portemanteau après le passage en caisse et prends une cabine au hasard. J’en suis à mettre mon maillot de bain quand je remarque un trou dans la cloison qui sépare les cabines. C’est grâce à la disparition d’une vis fixant la butée de porte située à environ un mètre du sol que je peux observer mon voisin. Vous l’aurez déjà compris, je suis un peu voyeur lorsque l’occasion se présente. En collant mon œil, j’ai une vue plus que correcte sur le cul de l’homme qui est arrivé en même temps que moi. Lorsqu’il se tourne pour poser ses habits sur le portemanteau, je vois sa queue de profil. Elle me paraît épaisse mais plutôt courte, son gland décalotté dépasse à peine de son énorme touffe de poils. Il enfile son maillot sans que je n’aie pu en voir plus.

Je reprends mes esprits et commence à ranger mes affaires quand je m’aperçois que je bande. Sans même m’en rendre compte, la situation m’a excité. Je sors de la cabine le sexe encore gonflé et déformant mon maillot ; je le camoufle en portant ma serviette devant au moment de rendre le casier à la dame du vestiaire.


Après une heure de nage, je reprends la même cabine avec l’espoir que quelqu’un vienne se changer à côté. Malheureusement, personne ne se présente. Je rentre chez moi encore un peu excité par cette séance de voyeurisme et avec une grande envie d’aller plus souvent à la piscine.



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Les semaines passent, et tous les vendredis je suis à la piscine à 17 heures ; c’est devenu un rituel et je retrouve les mêmes habitués (surtout des femmes) avec qui je discute parfois au bout du bassin. Il se passe un long moment sans que je ne puisse mater un voisin de façon nette et prolongée. Pourtant un vendredi, alors que je suis sur le point de me revêtir, j’entends qu’on entre dans la cabine à côté. Je suis nu et j’attends un peu que mon voisin s’installe et se déshabille. Je colle mon œil à la paroi. Et là, j’ai la grosse surprise de voir non pas un cul ou une queue, mais un œil ! Surpris, je me relève, et après un court instant je me dis que je pouvais bien faire un petit plaisir à mon voyeur ; alors je commence à me branler doucement avec deux doigts. Mais mon séjour dans l’eau un peu froide de la piscine empêche ma queue de réagir comme je l’espérais, et elle ne se redresse presque pas. Je suis déçu et je me dis que mon voisin aussi car il est déjà en train de ranger ses affaires et sort de la cabine. J’ai fait au plus vite pour m’habiller, espérant le croiser, mais je suis trop long et je ne le vois pas.

Ce sera pour la prochaine fois…


C’était la première fois qu’on me matait et que je m’exhibais volontairement au regard d’un autre homme, j’en étais tout bouleversé. Le soir, je me suis enfermé dans la salle de bain et je me suis masturbé en repensant à cette expérience et à la façon de la faire évoluer.

Excité comme je l’étais, j’ai joui rapidement et en abondance.



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La semaine suivante, je sors de l’eau et me dirige vers « ma » cabine. Je suis presque prêt quand j’entends quelqu’un s’approcher. Je finis de lacer mes chaussures, mais avant de me lever je dégrafe le bouton de mon jeans et commence à le baisser sous mes fesses. Je me relève en tenant mon pantalon et mon boxer sur mes chevilles avec l’espoir que ce soit mon voyeur de la semaine dernière. Pendant mon ascension, je jette un regard vers le trou et je vois qu’on m’observe : c’est sûrement lui.


Je me tourne vers lui et me branle franchement, et cette fois-ci ma queue se dresse ; je peux ainsi la lui présenter raide et le gland bien gonflé. Je tourne sur moi-même pour lui offrir une vue de mon cul que je caresse de ma main libre, je me cambre et écarte mes deux globes pour lui montrer mon intimité. Je commence un dernier « face-à-face » mais je l’entends qui sort de sa cabine. J’ai envie de le voir, alors je remonte vite mon pantalon, ramasse mes affaires et sors presque en courant de la cabine.


Il a été rapide et je ne le vois que de dos dans le couloir, puis très brièvement de trois-quarts quand il passe les portes qui séparent les vestiaires et le bord du bassin. Il doit faire environ 1,85 m, mince, avec des lunettes et un petit bouc. J’en ai vu assez pour pouvoir le reconnaître la prochaine fois et en profiter pour me montrer plus longuement à sa vue.


Je rentre chez moi très excité, bien plus que le vendredi d’avant. Je décide que la semaine prochaine j’irai à la piscine plus tard que d’habitude ; ainsi, je le croiserai peut-être en arrivant et en sortant. Je me mets à fantasmer sur lui en me branlant, et une nouvelle fois je jouis très fort.



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Les sept jours suivant passent trop lentement à mon goût. Le vendredi matin je me réveille tout excité à l’idée de ce qui se passera en fin de journée. Je me présente à la piscine une heure plus tard que dans mes habitudes en me disant que comme ça j’arriverai en même temps que mon voyeur. Je me change doucement, comme pour l’attendre, mais personne n’arrive. Un peu déçu, je me rends au bord du bassin où j’attends encore un peu avant d’entrer dans l’eau. Soudain je vois quelqu’un sortir des vestiaires ; c’est lui, j’en suis sûr. Mon cœur s’accélère et je sens que si je n’entre pas très vite dans l’eau, tout le monde va voir monter mon excitation.


En faisant mes longueurs, je le surveille du coin de l’œil. Je ne veux pas rater sa sortie. Après une bonne séance, je sors de l’eau ; lui continue à nager. Je reste sous la douche un long moment pour l’attendre. Quand il arrive, je fais semblant de faire quelques étirements. Je me penche en avant jusqu’à toucher le sol de mes doigts ; évidemment, je fais ça en lui tournant le dos pour lui offrir un avant-goût de ce qui se passera dans la cabine.


Je file récupérer mon casier, et une fois dans la cabine je me déshabille très vite et me sèche énergiquement. Je suis presque prêt quand il entre dans la cabine d’à côté. J’ai déjà enfilé mon tee-shirt, mon caleçon et mon short que j’ai laissés sur mes chevilles ; mes baskets sont lacées et mes affaires sont déjà rangées dans mon sac. S’il sort, je pourrai être dehors rapidement pour essayer de lui parler.


Après avoir vérifié qu’il me regardait, je commence à me caresser devant lui en exposant à sa vue le ticket de métro que je me suis fait spécialement pour aujourd’hui et pour lui. Je me branle doucement de ma main droite, et de la gauche je me caresse le ventre, les boules et les fesses. Comme la dernière fois, je me tourne et me cambre bien pour mettre mon cul en valeur. J’insinue un doigt dans ma raie et continue sa course jusqu’à titiller puis pénétrer mon petit trou. Je lui fais de nouveau face, je bande très fort, j’espère qu’il apprécie le spectacle autant que moi.


J’ai envie de savoir s’il bande ou pas. Je colle mon œil au trou ; le sien y est toujours, et quand il s’aperçoit que je regarde, il recule rapidement comme s’il avait peur d’être surpris et fait mine de ranger ses affaires. Si je veux le voir, il faut qu’il se lève. Alors je lui dis à travers la cloison, la voix tremblante : «Montre-la-moi ! »


Je vois comme du soulagement sur son visage, il esquisse même un sourire en jetant un regard vers moi. Il se met debout face à moi en tenant sa queue à pleine main. Il se branle un instant en plaquant son membre à ses abdos pour me dévoiler ses couilles gonflées, puis il se met de profil et lâche sa queue qui se colle presque à son ventre tellement elle est tendue. Elle doit faire un bon 20 cm pour peut-être 4 ou 5 cm de diamètre.


J’ai soudain une pulsion : je veux la toucher, la branler ; en bref, je veux sentir cette queue dans ma main. Tout en gardant mon œil collé au trou, je tente de passer ma main sous la cloison pour l’inciter à se rapprocher et poser sa queue dans ma main. Il n’a pas dû voir ma main car il a repris sa masturbation.


Je quitte mon observatoire et regarde en dessous de la cloison ; je vois ses pieds et lui en touche un pour attirer son attention. Je lui lance un : « Approche ! » en ouvrant ma main bien à plat pour qu’il comprenne mon envie. Je le vois se mettre à genoux, se coller à la cloison, et après quelques secondes mon vœu est exaucé. Je sens enfin la chaleur d’une bite bien dure d’un inconnu dans ma main. Je referme doucement mes doigts sur ce membre raide et commence par faire des allers-retours dessus. Je suis surpris par la sensation de douceur malgré la dureté de ce sexe ; ça ne me fait pas ça quand je touche le mien. Je sens mon cœur battre à tout rompre, mes oreilles bourdonnent, ma gorge se resserre. Je ne me rappelle pas avoir déjà ressenti cela.


Je continue mes mouvements ; je sens que de son côté il ondule du bassin mais aussi qu’il contracte son périnée, ce qui fait encore plus durcir sa queue. Je lâche sa queue pour caresser ses boules et tenter d’atteindre son trou, mais malgré nos efforts communs je n’y arrive pas. Mon bras est coincé sous la cloison, et lui ne peut pas avancer plus. Je me contente de caresser ses couilles lisses qui sont contractées.


Je reprends sa tige que je recommence à branler lentement ; il se passe à peine 20 ou 30 secondes (peut-être plus, j’ai perdu la notion du temps) et je sens qu’il gicle sur ma main et je vois son sperme atterrir sur le carrelage. Je continue mes caresses ; je sens les contractions typiques de l’éjaculation puis je me fais plus doux jusqu’à ce qu’il commence à se ramollir. Je retire ma main que j’essuie dans ma serviette. Je jette un œil par le trou : je le vois en train d’essuyer sa queue redevenue flasque. Je bande très fort et mon gland s’est transformé en fontaine. Un filet de mouille coule de mon méat ; j’en récolte une bonne partie avec mon doigt que je lèche avec bonheur.

Je remonte mon short et sors de la cabine, le cœur battant encore à fond et certainement les joues rouges d’émotion.


Je quitte précipitamment la piscine, monte dans ma voiture, et ce n’est qu’une fois sorti du parking que je commence à me calmer et à reprendre mes esprits. Je me rends compte que je ne lui ai pas vraiment adressé la parole comme je le voulais, ni même remercié de m’avoir permis de toucher sa belle queue. Cette expérience ne quitte pas mes pensées, et c’est la queue encore raide que j’arrive à mon appartement.


Ma femme ne va rentrer que dans une heure, alors je me déshabille en vitesse et me jette sur le lit pour me masturber en pensant à ce qui vient de se passer. Très rapidement je jouis en grosse quantité et avec une pression énorme qui fait arriver la première giclée sur mon menton. J’ai le buste recouvert de sperme du nombril jusqu’au cou et la main engluée par les dernières giclées. Encore sous l’effet de l’excitation, je commence à lécher mes doigts puis à récupérer ma semence qui macule mon torse et ma queue. Je continue jusqu’à ce qu’il ne reste presque plus de traces, et ce n’est qu’à ce moment que les battements de mon cœur se calment enfin.

Je reste allongé à me refaire le film de cette fin d’après-midi, et je m’endors nu sur le lit. Le bruit de la clé dans la serrure me réveille en sursaut et je cours sous la douche pour effacer les dernières traces de ma jouissance sur mon torse.

Le soir, ma femme me trouve étrangement dans la lune et soucieux ; je lui réponds que c’est à cause de mon travail…



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Ensuite, mes horaires de travail ont changé et je n’ai pas pu aller à la piscine pendant un peu plus d’un mois. Quand j’ai enfin pu y retourner, je ne l’ai pas revu. J’ai pourtant passé beaucoup de temps à l’attendre à ses horaires habituels, mais il ne s’est plus représenté.


Les vacances d’été commencent ; je pense que je ne le reverrai pas car il y a trop de monde pendant cette période. J’espère qu’en septembre il reprendra ses habitudes, car j’ai très envie de le revoir. Cette fois, j’ai bien l’intention de lui adresser la parole pour le remercier de m’avoir laissé le branler et lui proposer de recommencer ou de se retrouver dans un endroit plus intime et partager un bon moment ensemble.

Je me fais plein de films en imaginant cette prochaine entrevue ; je finis immanquablement par me branler et jouir très fort. J’ai prévu de lui faire la surprise de porter un de mes strings féminins lors de mes prochains passages à la piscine ; je suis sûr qu’il aimera.



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Cette histoire s’est déroulée pendant le printemps ; malheureusement pour moi, la piscine à été fermée pour travaux après les vacances d’été. À cause de l’ampleur des dégâts de la vieille installation, la fermeture est définitive. Je ne pourrai sûrement jamais recroiser mon inconnu, et du coup ne pas lui refaire de show dans la cabine ni le rencontrer ensuite.


J’espérais pouvoir raconter un dénouement plus croustillant à cette histoire ; le sort en a décidé autrement. Mais on ne sait jamais…