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n° 16631Fiche technique20874 caractères20874
Temps de lecture estimé : 13 mn
09/02/15
Résumé:  Après nos aventures en Mer Rouge (récit n°16579), j'ai une nouvelle fois l'occasion de mettre ma délicieuse épouse à l'épreuve. Et, une nouvelle fois, la coquine ne va pas me décevoir.
Critères:  fhhh couplus uniforme forêt voiture voir exhib pénétratio fdanus jeu
Auteur : Fantasio
Ruby et la police




Deux mois plus tôt, durant nos vacances au bord de la Mer Rouge, et pour la première fois en cinq ans de vie commune, j’avais entraîné Ruby dans une aventure libertine qui m’avait fait découvrir un nouveau côté de la personnalité de ma délicieuse épouse. Et si au cours des huit semaines qui avaient suivi notre escapade égyptienne, nous n’en avions jamais parlé ni évoqué la possibilité de recommencer, nos nuits d’amour avaient bien souvent été bercées par le souvenir de cette première expérience.


Et puis un soir, alors que nous revenions d’une soirée ennuyeuse que nous avions passée à avaler des flûtes de champagne en faisant des commentaires désobligeants sur les trois-quarts des invités, j’ai eu brusquement envie de goûter une nouvelle fois aux parfums de l’Égypte.



Elle m’a regardé, et dans ses yeux brillants j’ai compris qu’elle avait autant que moi envie de vivre une nouvelle expérience. Alors elle s’est déshabillée en silence pour finir par m’offrir l’éclatante beauté de son corps dénudé, parcouru par un délicieux frisson d’angoisse et d’excitation.


Normalement, le trajet aurait dû nous prendre tout au plus vingt minutes. Mais j’ai choisi d’emprunter le chemin des écoliers, et au détour d’une petite route départementale je me suis enfoncé sur une centaine de mètres dans un sentier forestier. J’ai coupé le moteur, éteint les phares et je l’ai serrée dans mes bras, embrassant son corps brûlant, sentant du bout des doigts le frémissement humide de sa petite chatte.



Elle m’a traité de fou, de malade, mais les spasmes qui traversaient sa petite chatte tandis que je la serrais dans mes bras ne me laissaient aucun doute quant au succès de mon entreprise. Je n’ai donc pas dû insister bien longtemps pour qu’elle consente enfin à sortir de la voiture, posant précautionneusement un pied devant l’autre et s’éloignant peu à peu en laissant échapper tantôt un « Aïe ! », tantôt un « Merde ! » sonore jusqu’à ce que la silhouette pâle de son corps dénudé disparaisse complètement.


J’ai attendu de longues secondes avant d’allumer les phares, imaginant qu’elle devait me traiter de tous les noms en tremblant d’inquiétude au milieu de cette forêt peu hospitalière. Lorsque la lumière intense des phares a éclairé les bois, son corps s’est matérialisé comme une apparition divine, tremblant derrière un bouquet d’arbres, me fixant de ses yeux inquiets et brillants d’excitation.



Tandis qu’elle s’avançait prudemment dans ma direction, j’ai sorti mon téléphone pour immortaliser ce superbe spectacle, si bien que je n’ai pas remarqué qu’une voiture s’était arrêtée au début du chemin et que deux hommes avançaient dans notre direction. Ruby n’en était pas plus consciente, aveuglée par les phares de la voiture et dansant comiquement d’un pied sur l’autre pour préserver ses pieds nus. Je n’ai réalisé que lorsqu’ils se sont trouvés à ma hauteur, tout aussi fascinés que moi par le merveilleux spectacle qui s’offrait à nous.



C’est à ce moment que Ruby a découvert les deux policiers qui la regardaient, appuyés contre la voiture. Elle a poussé un « Oh, mon Dieu ! » de surprise qui a résonné dans la forêt et elle s’est précipitée en courant dans l’habitacle pour s’y couvrir de son chemisier et de sa jupe.



Ruby était recroquevillée sur son siège, serrant son chemisier et sa jupe contre elle sans même penser à les enfiler, n’osant pas regarder les deux hommes qui faisaient courir le faisceau de leur lampe-torche sur ses chairs largement dénudées. J’aurais sans doute pu leur dire qu’ils outrepassaient leurs droits et leur demander d’arrêter de mater mon épouse, mais cette visite inattendue m’avait donné des idées.



Alors que je sortis de la voiture, l’inspecteur m’a adressé un clin d’œil discret auquel j’ai immédiatement répondu. Comme je l’avais espéré, nos amis de la police nationale étaient visiblement disposés à profiter de l’occasion qui leur était offerte, et lorsque le sergent a ouvert la portière de Ruby, elle n’a pas eu d’autre choix que de sortir en essayant d’enfiler ses vêtements.



Elle m’a regardé d’un air furibard, et mon petit sourire n’a pas arrangé les choses. Un bras pressé contre ses seins, une main glissée entre ses cuisses, mon adorable épouse est finalement venue se presser contre moi en se demandant où cette histoire allait nous conduire. Pour ma part, je trouvais cette petite aventure tout à fait amusante, et j’avais une furieuse envie de revivre notre aventure égyptienne.



Les mains appuyées contre le capot, les jambes largement écartées, Ruby tremblait d’effroi autant que d’excitation en sentant l’haleine chaude de l’inspecteur lui caresser le cou. Les boucles blondes de son buisson scintillaient dans la lumière des phares, et on pouvait distinguer des larmes de plaisir accrochées aux dentelles irisées de son petit minou tandis que les mains du policier lui malaxaient les seins.



Je me tenais aux côtés de Ruby, appuyé contre le capot, et j’avais bien du mal à cacher mon excitation. Ma tendre et douce était visiblement aussi excitée que moi, même si elle se serait fait couper la langue plutôt que de l’avouer.



Je l’ai attirée vers moi pour lui dévorer la bouche et laisser mes mains courir sur sa peau brûlante. Elle avait beau jouer à la vierge effarouchée, à l’innocente victime d’un abus de pouvoir de la maréchaussée, l’enthousiasme avec lequel elle a répondu à mon baiser et les frissons de plaisir qui lui ont brusquement électrisé les chairs ne laissaient aucun doute sur l’excitation intense qui lui bouleversait le corps et l’esprit. Et je n’ai pas dû m’appliquer bien longtemps pour sentir les larmes de sa jouissance couler entre mes doigts.



Alors qu’il était censé fouiller notre véhicule, le jeune homme ne pouvait détacher son regard du corps nu de Ruby, brillant dans la lumière des phares et tremblant de plaisir sous l’intensité de mes caresses. À la vue du sergent s’astiquant le poireau devant l’impudique exhibition de ses chairs dénudées, Ruby a laissé échapper un long gémissement d’extase tandis que sa petite chatte se mettait à couler à gros bouillons.



Elle m’a regardé de ses yeux brillants avant qu’un délicieux sourire complice ne se dessine sur ses lèvres. J’ai à peine eu le temps de l’embrasser une nouvelle fois avant que l’inspecteur ne refasse son apparition, les mains emballées dans de fins gants de latex.



Le superbe cul de Ruby se dressait dans toute sa majesté, brillant dans la lumière des phares comme la plus éblouissante des lunes. Nous nous sommes approchés, rejoints par le sergent Varnier qui ne voulait pas rater le spectacle. Ruby a senti notre présence derrière elle et son corps s’est mis à trembler à l’idée de l’indécent spectacle qu’elle était en train de nous offrir.



Je me suis donc mis à assouplir le petit orifice de Ruby d’un, puis de deux doigts trempés des liqueurs qui s’écoulaient sans discontinuité de sa petite chatte, et lorsque l’inspecteur y a glissé les siens, ma tendre et douce les a accueillis avec un long râle de plaisir.



Ruby n’était pas en mesure de répondre. Elle s’est contentée de gémir en balançant lascivement son adorable derrière au rythme du va-et-vient des doigts de l’inspecteur au fond de ses entrailles.



Ruby s’est relevée, le visage brillant, me regardant de ses grands yeux troublés par l’excitation qui lui enflammait les chairs. Elle est allée s’allonger, les fesses posées sur le bord du capot, les jambes largement écartées, sa petite chatte brillante frémissant de désir sous le faisceau des lampes-torches des deux policiers.


Nous nous sommes approchés du magnifique animal pour admirer ses chairs irisées sur lesquelles brillaient des perles de plaisir. Mais lorsque l’inspecteur a approché les doigts pour se livrer à sa dernière visite, ma coquine a brusquement refermé les jambes.



J’étais littéralement scié. Jusque là, et depuis notre escapade en Égypte, j’avais été celui qui prenait l’initiative. Et même si elle était mon inspiratrice et qu’elle prenait un évident plaisir à me suivre dans mes délires, Ruby était plutôt passive, préférant s’offrir à mes caprices que prendre la main. Et là, pour la première fois, voilà qu’elle avait décidé de changer la donne. C’est elle qui donnait les ordres.


Les deux policiers n’étaient visiblement pas aussi troublés que moi ; et tout en équipant sa matraque de l’enveloppe de latex réglementaire, l’inspecteur m’a regardé, soucieux de s’assurer de mon assentiment. J’aurais eu mauvaise grâce à priver ma chérie de ce nouveau délire dans lequel elle avait choisi de nous entraîner, et je me suis contenté de lui sourire en haussant les épaules, l’air de dire « Ce que femme veut… »


Alors il s’est avancé vers le sexe brillant de Ruby, appuyant ses mains sur le capot de part et d’autre de son corps dénudé, jusqu’à ce que sa queue finisse par disparaître dans la fournaise, accompagnée par un long râle de plaisir.


L’inspecteur n’a pas tenu plus de deux minutes avant d’exploser dans son préservatif et de céder sa place au sergent Varnier, de vingt ans son cadet et équipé d’une matraque bien plus imposante que celle de son supérieur. Ruby l’a accueillie en poussant un « Ouiiiiii… » sonore qui a résonné durant de longues secondes dans la forêt.


Elle a enroulé ses jambes autour de la taille du pandore, et celui-ci lui a offert la fouille la plus minutieuse et la plus approfondie qu’elle ait pu imaginer, passant du capot à l’intérieur de la voiture sans que le vigoureux représentant des forces de l’ordre ne montre le moindre signe de faiblesse. Il a fallu que l’inspecteur le rappelle à ses devoirs pour qu’il finisse par décharger à son tour, abandonnant une Ruby pantelante de plaisir et reprenant son souffle sur la banquette arrière de la voiture.



Ils se sont éloignés en riant et j’ai rejoint Ruby qui reprenait lentement ses esprits sur la banquette arrière. Mais je n’avais pas l’intention d’attendre qu’elle se soit remise de ses émotions et, à peine avais-je refermé la portière, je me suis jeté sur elle comme un fauve en rut enfin libre de consommer sa femelle en chaleur.


Nous n’avons pas vraiment suivi les instructions de l’inspecteur, ne quittant le sentier que près de trois heures plus tard, après une acrobatique séance de Kâma-Sûtra dans l’habitacle étroit de la voiture. Nous avons roulé en silence durant de longues minutes. Ruby avait fermé les yeux, appuyant sa tête contre mon épaule, l’esprit encore transporté par le souvenir de ses dernières extases.



Elle m’a embrassé tendrement, chaleureusement, comme pour me remercier de l’avoir rassurée, de lui avoir fait comprendre que, quoi qu’il arrive, notre couple serait toujours le plus fort. En même temps, c’était comme si elle me donnait carte blanche, comme si elle m’invitait à l’entraîner encore plus loin dans nos aventures.