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Temps de lecture estimé : 37 mn
16/02/15
Résumé:  C'est un choix, mais au moins c'est réel.
Critères:  fhh couplus extraoffre cocus handicap
Auteur : Ceci n'a aucun intérêt  (Paraplégique, ceci est une histoire de vie)
Ce que l'on peut faire à trois a toujours un prix

Ce que je vais vous raconter est la véritable histoire d’un couple qui, avec le temps, en est arrivé à faire une expérience de triolisme agréable, même si au départ la situation n’était pas prévue pour en arriver là.

Je ne suis pas un très grand conteur, vous m’en excuserez.





Paraplégique en 1988 à l’âge de dix-huit ans suite à un accident de moto, je suis resté de nombreuses années avec ma femme comme un couple standard, à deux.

Attiré par le sport, j’avais commencé à faire un peu de tennis. En chaise, les déplacements n’étaient pas faciles, très exigeants au niveau de la musculature. J’ai fait du tennis pendant un an et demi. Les exigences liées à ce sport m’amenèrent à en choisir un autre. Ce nouveau sport était le tennis de table. Ne trouvant pas de club accessible à mon handicap, j’en ai donc créé un.


Ce club, à ses débuts, comptait quatre équipes de quatre personnes, plus deux réserves dans chaque équipe. Les rencontres se déroulaient soit à domicile, soit en déplacement. Ma femme m’accompagnait chaque fois. En 1998, mes coéquipiers changent et je me retrouve avec un partenaire âgé de 45 ans, marié, deux enfants. Presque après chaque rencontre, nous repassions boire un verre, mon épouse, Grégory et moi dans un café de nuit à proximité de ma maison.


Lors de ces innombrables soirées qui duraient parfois jusqu’à cinq-six heures du matin, nous parlions de tout et de rien. L’intimité et le copinage faisant, nous en sommes arrivés à parler de relations de couple, de sexualité… Inutile de vous dire qu’à de nombreuses reprises nous sommes rentrés chacun chez nous dans des états qui nous auraient fait perdre beaucoup de points et d’argent si nous avions vécu en France… Avec le temps, Grégory nous avait expliqué les relations qu’il avait expérimentées avec son épouse pendant quelques années ; il en était même venu à parler des personnes avec qui il avait eu des relations à plusieurs, et comment cela c’était passé. C’était assez plaisant, et mon épouse était très attentive à tout ce que pouvait raconter Grégory.


Chemin faisant, j’avais constaté que mon épouse commençait à réagir d’une manière plus que positive à la présence de Grégory. Cette proximité avait pour effet de m’inquiéter de plus en plus. J’ai toujours été fidèle et, à l’époque, j’étais persuadé qu’il en était de même pour ma femme. Mais, sentant les désirs de mon épouse, je me suis dit qu’il fallait que je réagisse sinon je savais que je serais un jour ou l’autre cocu avec Grégory.


Lors d’une rencontre arrosée à domicile, et voyant toujours ma femme très souriante et très proche de Grégory, j’ai commencé par demander à Grégory de venir chercher un nouveau casier de bières à la cave avec moi. Dans l’ascenseur, je lui ai alors demandé :



En remontant, Grégory était gêné et s’interrogeait sur la conversation que nous venions d’avoir ces cinq dernières minutes. Nous avons donc repris nos activités normalement : matchs et bières. Quelques heures plus tard, tout est terminé et rangé. Je propose donc à mon épouse :



Étant légèrement éméchée également, elle me dit qu’elle est d’accord. Je propose donc, devant elle, à Grégory de prendre le dernier à la maison. Il répond avec anxiété par l’affirmative.


Ma femme était habillée normalement, c’est à dire en jupe (je n’aime pas les femmes en pantalons, et j’avais toujours exigé qu’elle soit en jupe en permanence avec moi) et en sweat shirt. Pour le reste, ma mémoire est quelque peu effacée. Pour nous les deux hommes, ce détail n’a guère d’importance. Comme je vous l’ai dit auparavant, nous avions pas mal bu tous les trois, et lors du retour je demandai à ma femme de se changer dès que nous serions à la maison.



Nous sommes donc arrivés à la maison et nous nous sommes installés à la table du living pour se prendre une petite poire. Je ne la voyais pas se hâter pour se changer. Je pris donc le taureau par les cornes et lui dis :



Elle partit donc se changer. Pendant ce temps, avec Grégory, nous parlions de tout et de rien et nous nous sommes resservi deux autres poires. Lorsqu’elle est revenue, elle s’était bel et bien changée ; elle portait une minijupe noire boutonnée sur le devant et un chemisier blanc du plus bel effet.

Nous avons alors pris le temps de prendre un verre ensemble. À un moment, je demandai à Grégory :



Il répondit évidemment par l’affirmative.



Sur ce, je demandai à ma femme de se lever pour aller chercher quelque chose ; j’ai oublié ce que c’était. Peut être un paquet de cigarettes ? Lorsqu’elle est revenue, je l’ai prise par la taille et lui ai demandé de m’embrasser. Lors de ce baiser, ma main est descendue insidieusement le long de ses fesses pour se retrouver à la limite de sa courte jupe. Elle s’est étonnée de ma hardiesse et s’est reculée un peu. Sur ce, je lui ai dit :



Ma main l’attire à moi. L’atmosphère était chargée d’un je ne sais quoi de peur, de désir, d’envie.



Sur ce, j’entreprends de déboutonner doucement les boutons de sa minijupe en la fixant dans les yeux. Elle ne réagit pas, et Grégory est très attentif à la situation, discret mais bien présent. La jupe tombe à ses pieds et nous fait découvrir un superbe string blanc ajouré. Je l’embrasse à pleine bouche pendant que je lui défais les boutons de son chemisier un à un. Je lui ôte son chemisier qui rejoint sa jupe à ses pieds. Elle apparaît dans toute sa splendeur en sous-vêtements assortis. Elle est rouge, confuse, un peu gênée. De son côté, Grégory n’a pas bougé, se demandant ce qui se passait, ce qui allait se passer. Je pris alors le taureau par les cornes et demandai à ma femme :



Elle s’est avancée lentement vers Grégory. Celui-ci s’est levé et ils se sont embrassés. Pendant qu’ils s’embrassent, je prends la main de ma femme et la guide sous le tee-shirt de Grégory afin de lui faire comprendre qu’elle devait le lui enlever, ce qu’elle fit. Je lui ai dégrafé son soutien-gorge et Grégory a pris ses seins en main. Pendant qu’ils se caressaient, j’ai ouvert le bouton du pantalon de Grégory et descendu sa braguette.


Brigitte, en string, s’est retournée vers moi pour m’embrasser à mon tour. J’en ai profité pour lui descendre lentement son dernier rempart. Grégory pouvait profiter d’une belle vue sur les fesses offertes de mon épouse. Elle se retourna sur Grégory et lui descendit son pantalon : l’émoi de Grégory était bien visible, et ma femme s’est mise à genoux pour lui descendre lentement son slip. Un sexe de bonne taille apparut juste devant le visage de ma femme. Elle se retourna, me regarda pour avoir mon assentiment et goba de la manière la plus naturelle qui soit ce sexe tendu pour elle.

Après l’avoir sucé un peu, je lui ai demandé de se coucher sur le dos sur la table. J’ai pu constater à cet instant que la situation l’avait excitée comme jamais. Je l’ai donc léchée quelques instants avant de céder ma place à Grégory. Il ne s’en fit pas prier. Il la lécha à son tour. Elle prit un réel plaisir à la situation. À partir de ce moment-là, je me suis effacé.


Ils se sont installés dans le divan et ont commencé une bonne pénétration. Étant à la table, je n’ai pas pu réellement profiter du spectacle. Mal installés dans le divan, ils ont décidé d’aller dans la chambre d’amis. Je sus par la suite qu’ils avaient déménagé car ils étaient gênés par ma présence. Sur ce, je suis allé dans ma chambre attendre que ma femme me rejoigne. Dès qu’elle eut finit, elle me rejoignit au lit. J’ai fait semblant de dormir.

Le lendemain, nous nous sommes levés comme si de rien n’était et n’avons plus parlé de cette aventure.


Ceci fut notre première expérience avec Grégory, situation qui pour moi était difficile car, dans mon esprit de fidélité, elle était presque irréalisable. Même si chacun a ses fantasmes, il en est tout autre de les réaliser. Un homme et deux femmes sont monnaie courante. Un homme qui accepte que sa femme se fasse pénétrer par un autre, c’est une toute autre histoire. Si j’ai franchi le pas à l’époque, c’était uniquement parce que j’étais persuadé que ma femme m’aurait trompé avec lui à mon insu. Ici, elle l’a fait en ma présence et j’étais au courant de la situation.


Ce ne fut que le premier épisode d’une courte série dont je vous narrerai la suite telle que je l’ai vécue. La finalité de tout ceci, vous le découvrirez, n’a pas été une réussite pour notre couple : d’autres problèmes sont venus se greffer sur la situation, et quelques années après la vie nous a séparés.



30 mars 2000


C’est la seconde fois que mon épouse et moi nous nous sommes pervertis. La situation n’était pas prévue mais s’est déroulée simplement. Mon épouse avait la passion des aquariums et des cichlidés. Passion qu’elle avait eue d’ailleurs quelques années auparavant au contact de Grégory, notre partenaire de notre première déviance.


Nous avions à la maison plusieurs aquariums, et l’un d’eux présentait un problème, je ne sais plus dire lequel. Il fallait donc le vider. Le problème a donc été exposé au ping-pong lors de l’entraînement. L’entraînement terminé, nous avons décidé avec mon épouse et Grégory d’aller vider l’aquarium pour sauver les poissons et tenter de résoudre les problèmes. Même si ma mémoire me fait quelque peu défaut, j’en ai heureusement gardé des clichés avec la date et l’heure des événements.


Je savais que ma chère et tendre ne portait pas de culotte et qu’elle était en jupe. Pendant la récupération des poissons (que j’ai photographiée), rien ne se passa, si ce n’est le travail proprement dit. La récupération et la sauvegarde des poissons de déroula bien. Mes premiers clichés me donnent une heure avoisinant les 21 h 40. Grégory a quitté le garage où se trouvait l’aquarium pour aller dans le living. Je profitai de cet instant pour demander à ma femme de lever sa jupe et de prendre une belle photo de son postérieur. Je fis une belle photo qui me permet encore aujourd’hui de me rappeler ces moments excitants.


Arrivés dans le living, on sert un petit verre à boire, comme d’habitude une bonne poire que nous dégustons en conversant sympathiquement de poissons. Je ne sais pas pourquoi, peut-être le souvenir de la soirée passée précédemment, je me sens chauffé. Handicapé et incontinent, j’ai un système de poche qui me permet de gérer les liquides. Je me dis qu’il serait intéressant de retirer ce système au cas où… Ce faisant, je m’excuse et je vais à la salle de bain pour ôter le matériel et m’injecter une dose de papavérine. La papavérine est un produit à injecter dans la verge afin d’obtenir une bonne érection. Le tout est fait rapidement, en cinq minutes. Je reviens donc au living voir mes deux partenaires qui sont sagement attablés l’un en face de l’autre.


Je ne sais plus comment nous en sommes arrivés là, mais toujours est-il que Grégory est debout en slip. Le temps de faire quelques photos, et Brigitte s’approche de lui afin de lui descendre ce dernier rempart en me regardant droit dans les yeux. Une belle érection se fait jour. Mon épouse la touche, joue un peu avec puis se relève pour se placer à côté de Grégory. Grégory prend la pose, déboutonne le chemisier de ma bien-aimée et pose la main sur son sein. La jupe tombe, quelques caresses s’égarent, ma femme s’agenouille et prend le sexe en bouche pour prodiguer une bonne petite pipe. Elle me fait également une petite pipe ; cela fait du bien, un peu d’attention !


On décide de changer de pièce ; on va dans la chambre. Je m’installe sur le lit, Brigitte s’empale sur mon sexe. Grégory prend quelques photos avant de monter sur le lit et de présenter son membre à la bouche de mon épouse. On s’amuse, on arrive chacun à l’orgasme, moi dans ma femme, Grégory dans la bouche de Brigitte. La soirée se termine comme cela et Grégory se rhabille afin de rentrer chez lui auprès de sa femme.

Ce fut une soirée improvisée mais très sympathique. Nous nous sommes bien amusés.



15 mai 2000


On fait un petit barbecue à la maison. Brigitte et moi invitons son amie Charlotte à venir manger. Elle accepte avec plaisir. On se prend un bon apéritif pendant lequel on parle de tenues vestimentaires. Charlotte est en pantalon, ma femme en robe courte. L’alcool aidant, on arrive à convaincre Charlotte que le pantalon n’est pas la tenue qui lui va le mieux et qu’elle devrait essayer des robes. Elle est d’accord, et Brigitte lui propose une petite robe près du corps du plus bel effet. Elles reviennent, et je constate qu’elle a du style dans cette belle robe. Juste un détail : la culotte se voit trop. Je le lui dis et lui explique que Brigitte n’en porte pas pour ne pas avoir de marque. On réussit à la convaincre, et elle rentre dans la maison pour enlever ses sous-vêtements.


Pendant ce temps, je téléphone à Grégory pour lui expliquer que nous mangeons un barbecue sur la terrasse. Il vient bien sûr immédiatement pour boire un bon verre de vin. Je fais photo sur photo pendant le repas. La conversation est basée principalement sur le sexe, et finalement Grégory se retrouve également en robe sans sous-vêtements. On mange, on boit, on boit, on boit beaucoup… À un moment, Grégory part avec Brigitte à la maison pour se changer et il revient avec comme costume un body rouge fendu à l’entrejambe par lequel passe son sexe rasé. On se fait une petite photo souvenir, Brigitte, Grégory et Charlotte.


Première photo : Grégory au centre des deux nymphes, la bite pendante, prend le sein de Brigitte en main pendant que Charlotte regarde ma femme avec le sourire. Seconde photo : Brigitte soulève le bas de sa robe et me montre sa petite chatte rasée ; Grégory a toujours la main sur son sein. Grégory pose la main sur le sein de Charlotte en dessous de sa robe. Troisième photo : Brigitte toujours la chatte à l’air et la main de Grégory sur son sein. Grégory descend doucement la bretelle de la robe de Charlotte. Charlotte a un grand sourire. Quatrième photo : Grégory me montre le sein de Charlotte. Celle-ci a un joli petit sourire gêné. Cinquième photo : tout le monde est très souriant. Grégory a un sein de chaque femme en mains, Brigitte nous montre son joli petit minou. Tout le monde se rassied souriant et de bonne humeur. Nous continuons à boire du vin et parler sexe. Brigitte et Grégory rentrent à la maison pendant que je reste seul avec Charlotte sur la terrasse. Je lui demande de venir près de moi ; elle hésite. Je lui explique que je ne lui ferai pas de mal.



Elle vient s’asseoir sur mes genoux. Je lui explique qu’ils doivent s’amuser à l’intérieur. Je lui demande de m’embrasser. Après quelques hésitations, j’ai le plaisir d’investir sa bouche de ma langue. Quel baiser ; qu’il est agréable ! Ma main passe sur son genou et remonte lentement sous sa robe. Elle se cabre, me dit non… Je continue, elle hésite. J’arrive à toucher sa toison. Elle se retire et me dit :



Dans le living, on découvre Brigitte nue, les mains attachées dans le dos. Une ceinture cloutée passe sur ses seins. Je leur demande s’ils s’amusent bien ; la réponse est évidemment affirmative. Grégory est debout, il a laissé tomber la robe. Il a un verre de vin à la main ; il est en semi-érection. Charlotte s’assied et les regarde. Grégory détache la ceinture de Brigitte et commence à frapper délicatement ses seins. Elle apprécie, elle sourit, elle adore. Charlotte est étonnée, et je lui explique que moi, je n’aime pas faire ça, que je laisse faire ça à Grégory. Nous expliquons à Charlotte que Brigitte aime la domination et le SM soft de temps en temps, que nous aimons l’exhibition, qu’elle devrait essayer. Elle n’ose pas, elle est trop timide. Au bout du compte, nous arrivons à la persuader. Elle se lève, remonte sa robe, nous montre un triangle noir clairsemé et rabaisse aussi vite sa robe. C’est sa première fois.


Nous ressortons sur la terrasse avec Grégory, les mains liées dans le dos, et Brigitte, nue. Grégory se penche sur la table ; alors commence une petite partie de flagellation sur Grégory administrée par ma femme. Ceci étant fini, nous rentrons tous à l’intérieur pour boire un dernier verre, se rhabiller et se dire au revoir.


Cette soirée a été d’un grand érotisme. Je ne sais pas si ma femme a bien profité de Grégory pendant que j’étais sur la terrasse avec Charlotte. Moi, je n’ai rien fait. Je regrette un peu de n’avoir pas pu convaincre Charlotte d’aller plus loin que ce petit baiser, mais j’ai toujours le souvenir de ma main qui remonte sous sa robe pour aller toucher sa toison. Un peu maigre, oui, mais quel érotisme durant cette soirée !

Ce fut la seule fois où une femme a été présente lors de nos activités.



19 mai 2000


Brigitte et moi sommes en congé ; nous décidons d’aller faire les courses ensemble. Je dois avouer que j’ai horreur d’aller faire les courses mais, pour une fois, je lui fais plaisir. On va à Colruyt, Aldi, et enfin Trafic textile. On fait un tour et on découvre de petits ensembles de sous-vêtements en solde. Nous craquons et prenons quelques exemplaires. De retour à la maison, on range les courses, ma femme va se changer et va mettre un exemplaire de ces nouveaux sous-vêtements et une mignonne petite robe rouge qui arrive à mi-cuisses.

La soirée devrait être bien tranquille, ce sera une soirée télé.


Vers 20 heures, on sonne à la porte. Brigitte va ouvrir : c’est Grégory. Il s’embêtait chez lui et a expliqué à sa femme qu’il venait à la maison pour les poissons. Personne n’est dupe. On prend un verre ensemble au living et, ce faisant, Grégory se retrouve nu ; il a apporté un collier pour mettre autour du cou. Je vous rappelle juste le goût de mon épouse pour la domination.


On discute de tout et de rien ; on explique notre journée, les courses et les sous-vêtements que l’on avait achetés. Je chambre Brigitte pour qu’elle nous fasse une petite démonstration de ce qu’elle portait. On s’amuse, on rit. Elle se lève et je prends mon appareil photo. La bretelle de sa robe tombe et dévoile son épaule. Elle soulève sa robe et nous fait découvrir un joli string jaune clair avec un motif à fleurs. Son string est quelque peu décalé et nous laisse apercevoir une de ses lèvres intimes. On découvre sur son ventre quelques signes de morsures. En effet, la veille on a fait l’amour comme des fous, et dans mon excitation je lui ai mordu le ventre.


Elle nous dévoile ensuite son soutien-gorge assorti au string. On s’amuse, on se moque gentiment de ses seins. Elle dégrafe son soutien-gorge et nous montre ses seins. Tout ce temps, dans la bonne humeur, je prends des photos. Brigitte vient se rasseoir en string. Je suis habillé et nous refaisons quelques photos assis autour de la table en buvant un bon verre de vin.


Soudain, à 22 h 45, on sonne à la porte. Brigitte et Grégory se rhabillent en quatrième vitesse. J’attends quelques instants que tout le monde soit en ordre vestimentaire décent, puis je vais ouvrir : c’est Estelle, la femme de Grégory. Je la fais entrer au living ; elle salue ma femme et son époux. Le drame : Grégory a oublié d’enlever son collier. Elle fait un tour circulaire de la maison et découvre le soutien-gorge de Brigitte sur le divan. Elle dit « Je vois… » et ressort aussitôt de la maison pour retourner chez elle. Le froid s’est installé. Que faire, que dire ? Tout le monde est sous le choc ; on s’est fait avoir. Après quelques instants passés à commenter ce qui vient de se produire, Grégory retourne chez lui. Brigitte est toute blanche. Je lui explique qu’on n’y peut rien : ce n’est pas nous qui avons menti à notre conjoint. Je la prends dans mes bras, l’embrasse et lui ôte sa culotte. Elle me montre ses fesses et me dit :



OK, on se calme et on va coucher. Les jours suivants sont tendus. On ne sait pas ce qui va nous arriver, ce qui va être dit. On revoit Grégory au tennis de table. Il nous explique et commente la mésaventure. Sa femme lui en veut : elle n’accepte pas ce qu’il a fait. Que lui a-t-il dit ? Qu’il ne s’était rien passé, mais que par goût de l’exhibitionnisme, il est vrai qu’il avait mis un collier dans l’espoir de créer une réaction d’interrogation de notre part quant à son collier et nous expliquer ce qu’il aimait. Pour le soutien-gorge, il était déjà là quand il était arrivé. On s’en est tous tenu à cette version, et la tempête est passée lentement.

Suite à cet événement, je me suis dit que nos petites parties d’amusement étaient terminées.



8 juin 2000


À la suite de notre mésaventure avec Grégory et des quelques explications qu’il avait eues avec sa chère et tendre, Grégory a décidé de donner tous les vêtements un peu spéciaux et orientés SM et exhibition à ma femme. Brigitte essaya le tout avec moi. Il y en avait des spéciaux, dont un en particulier qui se composait d’une jupe en simili-cuir noir, d’un top et d’une paire de longs gants en cuir. Ma femme et moi étions tranquillement à la maison lorsque nous avons entendu le bruit d’une moto.


On sonne à la porte ; c’est Grégory qui vient nous dire bonjour. En effet, Grégory fait de la moto depuis de nombreuses années. Je le fais entrer et lui sers un bon verre à boire. Léger, il est à moto. On reparle de tout et de rien et on en vient à parler des vêtements qu’il a donnés à ma femme. La taille des seins est différente, sa femme en a de plus gros. On en vient naturellement à fantasmer sur des comparaisons. Je prends donc Brigitte à part et lui propose, connaissant ses goûts et les goûts Grégory, de passer l’ensemble en simili-cuir noir. Elle est d’accord si je suis d’accord.



Elle va donc se changer. J’explique à Grégory qu’il va avoir la preuve de ce que j’avançais sur la taille de ses seins. Brigitte entre dans le living toute souriante avec en main une sangle et s’approche de Grégory. Il est tout souriant et comprend que la situation va évoluer à son avantage. Elle lui bande les yeux, lui soulève son sweater, ouvre son pantalon de moto en cuir et en extirpe un bon gros sexe rempli de sang. Elle me regarde, souriante et gourmande. Elle sort une chaînette de je ne sais où et attache le sexe de Grégory avec. Évidemment, comme à mon habitude, je prends des photos. Elle lui attache les mains dans le dos. Après quelques légères douleurs exercées sur le sexe de Grégory, elle tire sur la chaînette et l’entraîne dans la salle de bain afin de l’attacher au radiateur porte-serviettes.


Il ne voit rien, ne peut que sentir. Je fais une photo du dessous de la jupe de ma femme pour m’assurer qu’elle a bien obéi à ma directive : elle a un string, je suis content. Elle frappe sur son sexe avec une ceinture, lui met une pince à linge au sexe, lui pince les tétons, lui fait endurer de légères souffrances. Ce n’est vraiment pas mon truc. La petite séance improvisée cesse.


Elle le fait revenir s’asseoir au living et commence à lui prodiguer une pipe magistrale tout en le frappant de temps en temps sur le gland. Elle le suce jusqu’à ce qu’il explose dans sa bouche. Elle avale tout. On reboit un verre, il se rhabille et repart à moto. Tout ceci n’a duré qu’une petite heure et demie, et n’était pas prévu. C’était très sympathique, bien que je l’aie dit : le SM, même soft, ce n’est pas mon truc. J’ai apprécié que ma femme m’écoute et garde son string. Je n’avais pas envie qu’il y ait de pénétration.

Ce fut encore une petite histoire très gentille et très agréable.



9 septembre 2001


Cela fait longtemps que nous n’avons plus fait de folies à trois. Ce soir, on part en déplacement pour un match de tennis de table dans un club ami avec lequel on s’entend très bien. On part comme souvent, Brigitte, Grégory et moi de la maison. Grégory joue toujours dans mon équipe, et quoi qu’il se soit passé, on s’entend bien et on n’en a aucun regret.


La rencontre de tennis de table se passe bien ; on gagne, et l’ambiance est au beau fixe. On boit, on boit beaucoup, beaucoup trop. Arrive l’heure de rentrer à la maison, tous les trois. Arrivés à mon domicile, nous sommes tous très chargés en alcool, mais je propose de prendre un dernier verre. Mal m’en prit : à peine entrés dans le living, Brigitte se rue sur le pantalon de jogging de Grégory et sort sa queue. Elle la prend en bouche et la fait gonfler rapidement. Je suis offusqué et je la réprimande : ce n’est pas comme cela qu’on fait ! Elle n’est pas habillée pour la circonstance. Grégory se couche sur la table, les jambes pendant dans le vide. Je sais qu’elle aime un peu d’autorité. Elle se déshabille et nous fait découvrir un ensemble string ouvert à l’entrejambe et soutien-gorge mauves. Elle reprend le sexe Grégory, et là je l’arrête encore en lui disant :



Obéissante, elle arrête à nouveau tout et va se changer. Je ne sais pas ce qu’il me prend ; voir ce sexe bandé là devant moi, moi qui suis purement hétérosexuel, je ne veux pas qu’il prenne ma femme. L’alcool aidant, je me dévoue et le prends moi-même en bouche. Il est surpris, mais il se laisse faire. Cela dure quelques instants ; je sens une contraction dans sa verge et me retire prestement. Je la prends en main et le finis à la main. Il éjacule, surpris.

Brigitte arrive en dessus blanc et bas noir. Elle s’approche de Grégory et constate qu’il a éjaculé. Elle passe ses doigts sur le ventre de Grégory, prend avec ses doigts le fruit de son plaisir et le porte à sa bouche. Grégory se rhabille et s’en va dans un état comateux.


Brigitte m’a expliqué plus tard qu’elle m’avait regardé m’occuper de Grégory. Si je l’ai fait ce soir-là, c’est parce que je ne voulais pas qu’il profite de ma femme.

Quelques années après, je ne suis pas trop gêné d’avoir sucé pendant quelques instants un sexe d’homme. Je ne l’ai plus jamais fait, et je ne sais si un jour je le referai. Toujours est-il que c’est un souvenir supplémentaire.



5 février 2002


Je ne sais plus comment cela a commencé ; j’ignore pourquoi ma femme était si bien habillée, mais ce dont je suis certain et ce dont je me rappelle très bien, c’est qu’à un moment Grégory était nu, accroché au radiateur de la salle de bain. Le sexe bandé, les yeux cachés par un bandeau, avec ma femme souriante occupée à lui fouetter le sexe avec une ceinture. Ensuite, Grégory – toujours nu – Brigitte et moi nous sommes installés à table pour boire un petit Bacardi. Comme d’habitude, nous avons parlé de tout et de rien.


À un moment, Grégory s’est levé et Brigitte s’est approchée de lui. Il s’est placé derrière elle et a commencé à lui déboutonner son chemisier, laissant entrevoir son soutien-gorge. Le chemisier déboutonné, elle écarte les bras, les met derrière son dos et laisse Grégory lui ôter son chemisier. Son soutien-gorge noir décoré finement avec de la dentelle blanche est magnifique. Elle sourit. Grégory s’attaque à sa jupe noire dont les boutons sont défaits un à un. La jupe glisse le long des jambes de Brigitte et se retrouve sur le sol, découvrant un magnifique string coordonné et des bas autofixants.


Le sexe bandé de Grégory est entre les jambes de ma femme. Elle passe ses mains dans son dos pour toucher la bite de Grégory pendant que celui-ci s’attaque au soutien-gorge et en descend les bretelles tout en caressant la pointe de ses seins. Il dégrafe le soutien-gorge qui s’en va rejoindre la jupe, puis ses mains descendent le long du ventre de Brigitte pour s’attaquer aux bas. Ils les faits glisser délicatement l’un après l’autre.


À genoux, il embrasse les seins de ma femme en lui caressant les fesses, puis il descend le string lentement par derrière. Elle me tourne le dos pour que je puisse bien voir ses fesses. Lorsque le string arrive au niveau des genoux, il s’empare à nouveau de ses seins ; elle apprécie, et se tourne de trois quarts vers moi pendant que Grégory fait descendre le string jusqu’au sol. Il lui caresse sa petite chatte rasée, fait glisser son doigt pour vérifier l’état de Brigitte qui, sans surprise, est trempée.


Brigitte s’allonge sur le dos sur notre table de living. Grégory présente son sexe à l’entrée de sa grotte d’amour et la pénètre. Doucement, lentement, les allers-retours commencent à apporter du plaisir à ma douce qui se pince les seins. Après quelques minutes de ce traitement, elle lui demande de se coucher sur la table ; il s’exécute. Elle monte à son tour sur la table et, lui tournant le dos, s’empale sur son membre. Je suis en face et contemple la scène ; je vois ce sexe entrer et sortir de sa petite chatte.


Elle s’arrête, se retire et lui pose un préservatif : en effet, nous avons un désir d’enfant. Le préservatif installé, elle le suce avant de reprendre la position et de s’empaler à nouveau sur la bite de Grégory. Elle aime ; elle a bon, elle jouit. Elle récupère un instant et lui refait une petite pipe, puis se remet sur le bord de la table. Grégory essaie de la pénétrer une fois de plus, mais cela dure depuis longtemps et le sexe de Grégory a besoin de se reposer. Peu importe ; Grégory la doigte, la lèche, va trouver son bouton d’amour jusqu’à la faire exploser encore une fois.


On se reprend un petit verre, puis Grégory se rhabille et repart chez lui. Il n’a pas joui cette fois-ci, mais je pense que tout cela lui a bien plu. De mon côté, j’ai apprécié voir ma femme se faire déshabiller devant moi ; la voir se faire pénétrer par un autre m’a également plu. La lenteur des différentes scènes a également été très agréable : cela a duré deux heures et demie. Cela valait la peine d’attendre aussi longtemps avant de recommencer.

J’ai comme à mon habitude pris le tout en photos : 169 en tout. Vive le numérique !



25 mai 2002


Journée calme et tranquille. Ce soir, on sort pour un dîner en faveur de l’enfance handicapée avec le club de ping-pong. En attendant, nous profitons de notre après-midi pour faire l’amour. L’avantage d’être en chaise roulante et d’utiliser de la papavérine, c’est que cela dure, dure, dure, de faire l’amour au bon plaisir de mon épouse. On peut faire l’amour pendant des heures.


On sonne à la porte pendant que nous sommes en plein acte. Nous arrêtons. Brigitte enfile rapidement une jupe grise et un petit top blanc et va voir qui est à la porte. Évidemment, c’est Grégory ; il vient en avance pour le dîner car il s’ennuie chez lui. Donc, on s’attable et on se prend un verre. Il nous explique qu’il a eu un accident de moto ; il a deux doigts de la main gauche endommagés ainsi que la clavicule cassée, et sa belle Ducati est explosée. À la sortie d’un virage, un tracteur était sur sa trajectoire et il a dû coucher sa moto, a glissé et a touché un petit muret avec son épaule.


Je prends une photo de ma petite femme qui est installée à table. Grégory doit voir que Brigitte ne porte pas de soutien-gorge ; il le fait remarquer. Je lui explique que lorsqu’il a sonné à la porte nous étions occupés à faire l’amour et que nous ne nous attendions pas à de la visite. Nous nous sommes donc rhabillés en urgence. Sur ce, Brigitte se tourne vers moi et je constate qu’en effet, il est évident qu’elle ne porte pas de sous-vêtements, d’autant plus que face à moi, elle écarte légèrement les jambes et je peux voir sa petite chatte bien lisse. Je prends une autre photo et je lui demande de se lever et de montrer à Grégory qu’elle s’est bel et bien habillée rapidement. Elle se lève donc tout sourire et remonte sa jupe pour faire découvrir à Grégory que je ne suis pas un menteur. Je demande alors à Brigitte de soigner Grégory. Celui-ci comprend immédiatement ; il se lève et vient se placer près de Brigitte.



Brigitte s’empare de l’attache de sa ceinture, s’agenouille et la lui détache ; elle s’occupe également des boutons de son jeans. Elle passe derrière Grégory qui a déjà le pantalon aux genoux et attrape son sexe qui est déjà bandé. Elle le sort du slip, le caresse, puis descend le sous-vêtement. Sa queue s’érige bien droite. Elle s’accroupit pour descendre les vêtements de Grégory et me remontre encore une fois sa petite chatte nue sous sa jupe. Derrière lui, elle lui caresse le torse et son membre puis revient devant Grégory, s’agenouille et prend sa bite en bouche. Elle s’approche de moi, descend mon pantalon et me fait également un petite pipe. Elle nous masturbe lentement.


Grégory s’assied sur une chaise ; Brigitte relève sa jupe jusqu’au nombril et s’assied sur ses genoux. Grégory lui relève son top et empoigne ses seins. Brigitte prend en main le sexe de Grégory et le dirige vers son antre de plaisir où il entre progressivement. Quelques allers-retours ; la position est inconfortable. Brigitte se relève et se couche sur la table. Grégory s’approche, frotte sa queue sur la petite chatte qui, gourmande, ne demande qu’à l’avaler. Elle entre, elle sort, elle entre, elle sort… On rit, on s’amuse. On arrête le jeu. Brigitte est assise sur la table ; Grégory est devant elle, le sexe toujours bien droit. Nous restons là ensemble à nous amuser, à parler et à rire, puis nous nous habillons et nous apprêtons pour nous rendre au dîner – qui était excellent – mais nous n’avons rien fait d’autre ce soir-là.


Cette expérience a été à nouveau un pur plaisir. Le plaisir de voir ma femme déshabiller un autre homme et s’en occuper de la manière que je vous ai contée a été pour moi d’un érotisme très fort. Le fait qu’aucun de nous n’arrive à un orgasme quelconque et d’avoir tout misé sur l’érotisme, la nudité et quelques caresses a été pour moi un des meilleurs et des plus intenses moments de cette relation.



1er novembre 2002


Match de tennis de table en déplacement. Comme d’habitude, je joue avec Grégory et un autre ami. Le match terminé, on repasse boire un verre et manger un morceau dans un café de la région qui reste ouvert toute la nuit. On discute longtemps au café et vient le temps de nous quitter. Grégory revient à la maison chercher sa voiture. Il est près de cinq heures du matin, et nous travaillons le lendemain. Malgré tout, on se prend un dernier verre à la maison…


Brigitte fume une cigarette ; Grégory est assis à table en jogging. Elle s’approche de lui et s’assied sur lui en lui tournant le dos. Grégory pose les mains sur ses seins. Elle le laisse tirer sur sa cigarette pendant qu’il écarte son gilet, défait les boutons de sa blouse et lui enlève son gilet. Il lui dénude les épaules et descend les bretelles du soutien-gorge. Il fait descendre en une fois la blouse et le soutien-gorge : les seins de Brigitte apparaissent. Il en caresse les bouts, puis elle pose les mains sur ses seins et attrape ses tétons qu’elle tire bien fort. Il attrape ses seins, les caresse.

Elle se lève ; il fait descendre la blouse et le soutien-gorge le long de ses hanches. Ses mains s’arrêtent à hauteur du sexe de Brigitte, sur lequel il exerce une pression de ses doigts. Ayant attrapé le string et le pantalon de ma femme, il les fait descendre lentement.


Brigitte nous dévoile sa petite chatte ; pour une fois, elle n’est pas rasée complètement et il lui reste juste une petite touffe de poils au-dessus de ses lèvres intimes. Il continue de la déshabiller et passe ses mains entre les lèvres de ma compagne. Elle apprécie, et soulève une jambe afin d’enlever définitivement le pantalon qui la gêne dans ses mouvements. Grégory en profite pour introduire un doigt dans son antre d’amour. Il la caresse, la masturbe. Elle se penche sur la table et lui présente ses fesses ; il attrape une cuillère et lui frappe les fesses avec. Il caresse son dos, ses fesses. Elle se retourne, et il découvre le sexe de Brigitte. Il lui attrape les seins et les caresse, mais elle se lève et va à la cuisine. Ses fesses sont marquées par les coups de cuillère : de petites taches rouges sont apparues.


Lorsqu’elle revient, Grégory la saisit par derrière et lui attrape les seins ; elle se cabre. Elle se retourne et lui descend le pantalon. Bizarrement, il ne bande pas beaucoup ; Brigitte s’en étonne et commence à jouer avec son sexe qui prend forme, puis elle s’allonge sur la table. Lorsque Grégory s’avance et se positionne pour s’introduire dans ma femme, je lui précise que ce n’est pas le moment de se laisser aller en elle car nous essayons d’avoir un enfant. Évidemment, il comprend. Il commence par frotter son sexe contre celui de Brigitte, mais elle le prend en main et le masturbe. Changement de ma femme : elle oblige Grégory à se masturber sur elle. Il se branle devant la chatte de ma femme et éjacule sur elle. Lorsqu’elle s’assied sur la table, le jus de son amant coule sur son corps. Elle sourit, Grégory sourit, je souris. Grégory remonte son pantalon et repart chez lui.


Il est cinq heures vingt du matin : dans peu de temps on travaille. On se rafraîchit et on va se coucher. Sans être exceptionnelle, la soirée a quand même été sympa. Comme toujours, j’ai pris plaisir à voir ma femme se faire déshabiller ; c’est vraiment ce que je préfère. Cette situation est d’un érotisme très fort ; l’acte en lui-même m’importe peu. L’érotisme de la situation et la manière dont on y arrive sont d’excellents souvenirs.



6 novembre 2002


Débutée à trois heures et demie du matin, terminée à cinq heure et quart ; pas grand-chose à en dire, si ce n’est que Grégory nous a fait un petit malaise. Je reviendrai peut-être sur cette soirée.



27 novembre 2002


Brigitte et moi avons rencontré des problèmes de compréhension par rapport aux expériences que nous avons connues. J’avais soumis l’idée de changer de partenaire, d’inclure éventuellement une femme pour moi ou pour elle ; elle n’a pas été d’accord. Elle m’a expliqué qu’il n’y avait que Grégory, et qu’elle ne supporterait pas que je touche à une autre femme ou qu’une autre femme me touche. Vous comprendrez mon étonnement ! Il n’était plus question dans mon esprit de simple plaisir charnel, mais bien d’un désir de relation suivie avec une seule et même personne. Le fait que mon épouse soit jalouse d’une éventuelle partenaire m’était incompréhensible. Je pensais à l’époque à un couple ou à une sortie en boîte échangiste ; toujours est-il que l’ambiance à la maison n’était pas au beau fixe.


Au courant de la situation, Grégory vint à la maison après le tennis de table. Nous avons parlé ensemble de la situation en tentant de faire comprendre à mon épouse qu’il était anormal que les droits ne soient acquis que pour elle. À la suite de la conversation, les choses étant mises au point, je demandai à Brigitte de se mettre nue afin de prouver que je n’étais en rien fâché. Brigitte se déshabilla et tenta de se frotter à Grégory ; mais bien qu’elle se colle à lui et mis la main dans le pantalon pour prendre son sexe, il se refusa à elle et retourna chez lui.


Mon sentiment fut très mitigé. Je n’avais pas eu de plaisir particulier ce soir-là. Je me suis longuement interrogé quant à la position de ma femme qui acceptait qu’elle puisse faire ce dont elle avait envie, alors que moi, tout m’était interdit.

Je reste là sur une grande déception et une grande incompréhension de la jalousie que ma femme pouvait connaître, et l’inégalité de traitement au sein de mon couple.



18 décembre 2002


C’est mon anniversaire ; nous le fêtons au tennis de table avec les autres équipes du club. Nous buvons et faisons quelques matchs entre nous. Même Brigitte joue ce soir-là ; d’ailleurs, elle se blesse à l’épaule ou au dos, je ne sais plus. Enfin, la fête terminée et tout rangé, nous décidons de prendre, comme d’habitude, le dernier verre à la maison. Comme c’est mon anniversaire, Grégory nous accompagne.


Il est deux heures du matin. On s’assied à table et on se prend une petite poire tout en discutant. Brigitte se plaint de la douleur à son épaule. Grégory se lève, se met derrière elle et commence à lui masser l’épaule. Comme on peut s’en douter, le tee-shirt gêne. Il le lui enlève et recommence son massage, mais il constate que la bretelle du soutien-gorge gêne aussi : il le lui ôte. Sa main descend devant et caresse le sein de Brigitte. Il lui masse plus les seins que son épaule, à présent, puis il se rassied et allume une cigarette. Brigitte, assise à ses côtés, passe sa main sur son pantalon pour tester la marchandise. Ravie de l’effet, elle descend ce vêtement et sort sa queue. Elle est bandée.


Brigitte se penche sur la table ; je lui remonte la jupe, lui descends ses bas et son string : la splendeur de ses fesses nous apparaît. Elle ne bouge plus. On lui caresse les fesses. Grégory humidifie sa cigarette au sexe de Brigitte avant de la porter à sa bouche et d’en profiter, puis il se place derrière elle, présente sa bite entre les fesses et la frotte sur son bouton d’amour. Elle sourit, apprécie, puis s’allonge le dos sur la table. Grégory se place au niveau de sa tête pour se faire sucer. De mon côté, je lui enlève ses bas, son string, et je me délecte du goût de sa chatte.


Grégory vient me remplacer. Il la pénètre. Lentement, longtemps il la baise. Je m’approche, prends la queue de Grégory en main et la place entre les fesses de Brigitte. Elle ne veut pas. Je la redirige donc dans ce bon nid chaud. Il ne tient plus, et éjacule partiellement en elle ; le reste est expulsé sur sa chatte. Mon épouse est aux anges. Elle a aimé. Il replonge son membre dans son intimité pour y dégonfler lentement. Brigitte passe la main sur sa chatte et se lèche les doigts. On se relève ; dans un dernier élan, Brigitte nettoie le sexe de son amant, puis s’assied sur la table et l’embrasse Grégory avant qu’il ne se rhabille et retourne auprès de sa femme. Nous, nous allons nous coucher. Il est deux heures et demie, et tout est terminé.


Cette soirée a été un cadeau d’anniversaire bien sympathique. La situation a évolué très rapidement dès que le massage a commencé. Le fait qu’il éjacule en elle m’a ennuyé ; il m’expliquera plus tard qu’avec l’alcool il n’avait pas su se retenir, et que dans l’excitation, après s’être retiré, il s’était réintroduit dans Brigitte par pur plaisir.

Je l’ai bien compris, car cette soirée a été une grande soirée.



21 décembre 2002


Il est 18 heures ; je viens de rentrer du travail. Grégory arrive pour dire bonjour et prendre un apéro. Ce n’est pas une heure habituelle pour faire des folies ; néanmoins, Brigitte oblige Grégory à descendre pantalon et slip. Surpris, il s’exécute et ma petite femme s’approche de lui. Elle lui prend les mains, les attache dans son dos et joue avec sa queue. Grégory et moi parlons de tout et de rien pendant que ma femme le masturbe. On en vient à parler des photos que nous avons prises par le passé ; je m’approche de l’ordinateur pour les lui montrer. Il vient à mes côtés, pantalon et slip aux chevilles ; son sexe bande à quelques centimètres de moi. Tout en lui montrant les photos, je commence à le masturber et jouer avec son sexe pendant que Brigitte joue à la photographe, puis je me retire et elle prend ma place.


Elle s’agenouille, débute une petite pipe, puis se relève, détache les mains de Grégory et se positionne devant lui. Elle est vêtue d’une jupe et d’un gilet, tous deux boutonnés sur le devant. Elle recule jusqu’à s’asseoir sur la table. Grégory s’avance et déboutonne son gilet ; apparaît alors une belle guêpière. Il ôte complètement le gilet et s’attaque aux boutons de la jupe. Brigitte porte un superbe string. L’ensemble string et guêpière est noir avec des pois blancs ; elle porte des bas autofixants.


Grégory sort les seins de la guêpière et commence à les masser, les caresser pendant que son sexe frôle l’entrejambe de ma femme. Je passe la main sous le string de Brigitte, qui me regarde en souriant. Je lui écarte le string, attrape la bite de Grégory et la frotte contre le sexe de mon épouse, puis la dirige et la fait s’introduire dans Brigitte. Elle n’est pas assez dure ; elle ne rentre pas. Il essaie alors lui-même. Ayant écarté le string et poussé une bonne fois, il entre un peu mais sa queue fléchit. On rit. Subitement, on sonne à la porte, ce qui nous fait sursauter. On se rhabille prestement et je vais ouvrir : c’est un bon copain à moi. Je l’invite à entrer. Dans le living, Brigitte et Grégory sont assis à table. Très calmes, ils discutent de tout et de rien en prenant un verre. Notre nouvel arrivant s’installe à table également et nous prenons tous ensemble un bon petit verre.


Ce fut là notre dernière expérience. Le fait que nous ayons commencé tôt, que nous ayons eu le temps de jouer et que nous ayons été interrompus a été très spécial : nous avons eu peur d’être découverts. Nous avons continué à nous rencontrer avec Grégory, mais sans que quoi que ce soit ne se passe plus jamais. En deux ans, nous n’avons vécu que les expériences que je vous ai contées. En 2004, je surpris ma femme avec quelqu’un entre ses jambes qui n’avait rien à voir avec moi. Nous nous sommes séparés et nous avons divorcé.


Ceci est la véritable histoire vécue d’une personne qui, ne croyant pas trop en elle-même et en ses capacités, a tout fait pour amener dans son couple un peu d’exotisme et de fantaisie.


Aujourd’hui, je ne regrette rien. Il y a des jours où je me dis que nous aurions dû faire cela plus souvent. D’autres jours, je me dis que les différentes situations que nous avons rencontrées ont toutes été improvisées, et de ce fait très agréables : rien de tel que l’inattendu. Prévoir tel ou tel événement et créer des mises en scène, je n’y crois pas ; cela ne fait pas naturel. Ma compagne actuelle est fermée à tout cela ; ce qui n’est pas plus mal. Je ne sais pas si je referai ce que j’ai fait. Si vous avez la chance un jour de connaître une situation érotique telle que celles je les aie vécues, profitez-en : cela ne se reproduira peut-être plus jamais.






Comment j’en suis arrivé à divorcer


Brigitte, deux amis et moi devions nous rendre à un dîner politique. Nous attendions donc tranquillement Alban et Eva sur la terrasse ; il faisait vraiment beau. Mes amis sont arrivés et nous avons bu rapidement un bon verre de porto ; l’ambiance était vraiment bonne. Je dus leur expliquer que je devais conduire ma mère à l’aéroport pendant la nuit parce qu’elle partait en Thaïlande, et que je ne boirai donc pas d’alcool ce soir. Brigitte était habillée avec goût ; elle portait comme d’habitude une jolie jupe et un chemisier. Nous sommes partis dîner.


Brigitte et mes amis boivent de nombreux verres et les esprits commencent à se griser. Dès le repas terminé, je peux constater que Brigitte et mes deux amis sont saouls. Nous parlons avec de nombreuses personnes, dont un bourgmestre que nous connaissons bien et avec qui nous entretenons d’excellents rapports amicaux. Lui aussi a bu un sacré verre… Le dîner se termine tôt ; on s’amuse, on rit, et arrive l’heure de rentrer. Brigitte, qui est restée longtemps en compagnie de Laurent, propose à ce dernier de passer boire un verre à la maison ; il accepte, mais explique qu’il ne connaît pas le chemin pour s’y rendre. Brigitte se propose alors de l’accompagner dans sa voiture pendant que j’amènerai Eva et Alban à la maison, et nous prenons la route.


Arrivés à la maison, j’attends Brigitte et Laurent ; ils tardent à arriver. Il faut bien avouer que dans l’état où ils sont, il vaut mieux rouler doucement. Mes amis et moi nous nous installons à table, et je leur sers un bon verre de vin alors que moi je suis au Coca. Après une vingtaine de minutes, ils arrivent enfin. C’est vrai qu’ils sont dans un drôle d’état… Sans malice, je leur offre également un verre de vin ; l’ébriété augmente chez tout le monde. Je décide de partir conduire ma mère à l’aéroport. Je les salue et conseille à Alban et Eva de dormir à la maison ; ils sont d’accord et occuperont la chambre d’amis. Je me rends donc chez ma mère.


Arrivé chez elle, elle me demande si j’ai pris les films photo qui sont dans mon frigo. Je les ai oubliés. Étant en avance, j’explique à ma mère que je retourne vite à la maison les rechercher : j’ai le temps de parcourir trente kilomètres en roulant vite.


Arrivé à la maison, je me dirige vers le living où il y a encore de la lumière. J’ouvre la porte, et là, je découvre ma femme couchée sur la table, la jupe retroussée, le string à terre et Laurent pantalon et slip baissés occupé à faire minette à ma femme. Ils sont surpris : je n’aurais pas dû revenir. Laurent s’agenouille et se cache tandis que ma femme se relève prestement et saute sur sa culotte qu’elle remet en vitesse. Je ne dis rien et me dirige vers le frigo. Je prends les films en expliquant que je les ai oubliés et retourne directement à ma voiture en disant que je n’ai pas le temps. Brigitte me suit, la jupe relevée et le string mal remis dévoilent sa chatte. Elle s’approche de moi, mais je lui dis que je n’ai pas le temps. Elle s’excuse en pleurant. Je passe une main entre ses cuisses et découvre l’humidité qui y règne. Je lui dis seulement :



Alban et Eva, eux, étaient couchés. Je repars chez ma mère, lui donne les films, et comme si de rien n’était la conduis à l’aéroport sans parler de ce que je viens de vivre ; je ne veux pas lui gâcher ses vacances. En rentrant, je passe chez ma belle-mère, la réveille et lui demande où est mon beau-père : il est au travail. Ma belle-mère s’inquiète de mon passage ; je lui explique que sa fille a 48 heures pour partir de la maison sinon je la tue. Elle est ébranlée et me demande ce qu’il s’est passé ; je lui réponds qu’elle a juste à le demander à sa fille, puis je pars voir mon beau-père à son travail. Tenant le même discours, je lui dis qu’elle a 48 heures pour dégager.

J’ai disparu de la circulation pendant 48 heures avant de revenir chez moi : Brigitte m’avait écouté et a quitté la maison.


J’ai essayé d’imaginer ce qu’il s’est passé. À la fin du dîner, Brigitte se propose de guider Laurent. Elle entre dans sa voiture. Nous partons. Laurent est au volant, Brigitte est à ses côtés. Ils sont tous les deux complètements saouls. Brigitte guide Laurent lentement. Elle rit avec lui et est apparemment très excitée. À un stop, Brigitte pose la main sur la cuisse de Laurent ; celui-ci s’étonne et se tourne vers elle. Elle avance ses lèvres. Ils s’embrassent fougueusement. Brigitte remonte sa main le long de la jambe de Laurent. Elle arrive à son entrejambe. Elle lui caresse le paquet par-dessus le pantalon. Laurent défait les boutons du chemisier de Brigitte et lui caresse les seins. Elle aime et ouvre le pantalon de Laurent. Elle passe la main dans le slip et en sort la bite bandée de Laurent. Elle commence à le masturber. Ils s’embrassent comme des fous. Ils se caressent avec rage. La main de Laurent glisse entre les jambes de Brigitte. Il caresse le bouton d’amour de ma femme. Ce petit jeu dure une dizaine de minutes. Ils doivent repartir pour nous rejoindre. Laurent essaie de remettre sa tenue en état. Brigitte l’en empêche. Elle se penche sur sa queue et la prend en bouche. Ils démarrent et roulent doucement. Laurent explose dans la bouche de mon épouse. Elle avale tout. Elle remet les outils de Laurent en place après les avoir nettoyés. Brigitte se rhabille correctement également.


Ils arrivent à la maison. Alban et Eva sont assis côte à côte. Brigitte et Laurent s’installent également côte à côte en face de mes amis. Je débouche une bouteille de vin et m’en vais. Eva et Alban sont complètements saouls et vont se coucher, laissant libre cours à nos deux tourtereaux. Nos deux amoureux se replongent dans la luxure. Brigitte embrasse Laurent, et directement se dirige vers son pantalon. Elle sort son sexe et le prend en bouche. Laurent la relève, lui écarte son chemisier, sort ses seins de son soutien-gorge et les prend en bouche. Il lui suce les seins pendant que Brigitte le masturbe. Elle râle. Mes amis qui sont couchés se rendent compte de ce qui se passe dans le living mais ne bougent pas. Laurent assied ma femme sur la table et lui ôte son string. Elle se couche sur la table. Il commence à lui lécher la chatte. Elle râle de plus belle. Ils sont tellement saouls qu’ils ne se soucient pas de mes amis ni du bruit de ma voiture qui vient de s’arrêter devant la maison. Ils n’entendent pas que je rentre. Lorsque j’ouvre la porte, il leur faut un certain temps pour se rendre compte que je suis là. Je leur dis :



Laurent, ébahi, plonge sous la table. Brigitte se redresse en se demandant ce qu’il se passe. Elle se relève et enfile rapidement son string. Je vais prendre les films dans le frigo. Je sors. Brigitte me suit, la jupe relevée et le string mal remis qui me dévoile son sexe. Elle court près de moi en s’excusant.



Je passe ma main entre ses cuisses et constate l’humidité de sa chatte. Je repars en voiture. Brigitte rentre à la maison et retrouve Laurent, qui a l’air un peu con, dans le couloir. Il a remonté son pantalon et est fort ennuyé de ce que j’ai vu. Brigitte est sous le choc également. Laurent, à la vue du string de Brigitte – et surtout de la manière dont il est placé – sourit malgré tout. Il s’approche de Brigitte et la prend dans ses bras. Elle se love en larmes contre lui. Elle l’embrasse. Il descend ses mains le long de ses hanches et lui descend son string. Elle lui sort le sexe et le caresse, le masturbe afin qu’il reprenne vigueur. Il soulève Brigitte et la presse contre le mur. Elle croise ses jambes dans son dos. Elle descend sur sa queue. Il la pénètre. Tout en étant en elle, il la conduit vers la chambre. Il s’arrête à l’entrée de la chambre, et contre la porte de la chambre d’amis fait des allers-retours dans ma femme. Les deux amants ne se rendent pas compte qu’ils sont occupés à faire l’amour contre une porte derrière laquelle dorment mes amis. Ils changent de position ; Brigitte entre dans la chambre, et à quatre pattes sur le lit lui présente son arrière-train. Il s’empresse de monter sur le lit, et la queue bien droite se présente sur la chatte de Brigitte. Il se réintroduit en elle avec vigueur et la pistonne jusqu’à ce qu’il explose. Brigitte est fourbue. Elle a la tête dans l’oreiller. Elle commence à se rendre compte de la situation. Elle panique. Laurent, voyant cela, s’excuse, retourne au living, récupère ses affaires, se rhabille et s’en va voir sa future épouse. Brigitte se lève du lit, rabaisse sa jupe, et d’un coup sort de la chambre et va dans celle d’Eva et Alban. En pleurs, elle saute sur le lit et dit à Eva :



Brigitte s’en va, va prendre une douche, et toujours sous l’effet de l’alcool va se coucher. Elle ne se rendra vraiment compte de ce qu’il s’est passé que le lendemain, lorsque inquiets, ses parents l’ont contactée pour l’informer de mon passage. Elle a cherché après moi. 48 heures plus tard, je rentrais chez moi ; elle avait disparu avec toutes ses affaires et une partie des miennes. Quelques mois après, nous étions divorcés.


Par la suite, j’ai appris que nombre de mes connaissances avaient pendant dix-sept ans profité des charmes de ma compagne.