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Temps de lecture estimé : 57 mn
17/02/15
Résumé:  Cécile fait la servante pour les vacances. Les limites vont à nouveau être repoussées. De nombreux événements vont se dérouler qui vont bouleverser sa vie.
Critères:  nosoutif légume nosoutif légume f fh ff fff hh hhh fhh fhhh grp fbi hbi hplusag fplusag jeunes hépilé fépilée plage piscine sport magasin essayage sexshop caférestau anniversai train soubrette voir exhib nudisme noculotte fmast hmast facial fellation cu
Auteur : Zwico  (Tout le plaisir, tous les plaisirs)            Envoi mini-message

Série : Journal d'une jeune fille au pair

Chapitre 03 / 03
Journal d'une jeune fille au pair - PARTIE 3 - Débauche

Résumé des épisodes précédents : Cécile a trouvé un emploi de servante pour les vacances. Elle ne s’attendait pas à rencontrer des patrons aussi libérés au niveau sexuel, ils lui ont fait découvrir toutes sortes de pratiques libertines. Elle a ensuite fait connaissance avec leurs enfants qui eux aussi, mènent une sexualité débridée.





17 - Soirée entre amis



Samedi soir, les enfants sont partis, je suis à nouveau seule avec mes patrons, mais pas pour bien longtemps. Ils ont invité des amis pour la soirée et m’ont prévenue que je devais m’attendre à des situations assez chaudes. Cela ne me surprend guère, je commence même à y être habituée.


Pour l’occasion, Inès me demande de modifier légèrement ma tenue, elle me confie donc une nouvelle jupe et une paire de bas noirs. Je monte donc me changer dans ma chambre. Après avoir retiré ma jupe, je commence par enfiler les bas. Ils sont autofixants, montent à mi-cuisses et sont ornés d’une large bande de dentelle. Je les trouve très beaux et ne peux résister à l’envie de m’admirer dans la glace. Je suis vraiment très sexy, vêtue juste de mon chemiser transparent et ce ces bas, même carrément indécente. Je me saisis ensuite de la jupe, noire comme d’habitude. Elle est bien plus courte que me jupe habituelle, qui n’arrive pourtant qu’à mi-cuisses. En effet, c’est une minijupe, celle-ci ne cache rien de mes cuisses car elle descend à peine plus bas que mes fesses. Je m’observe à nouveau dans la glace, je me tourne pour observer mes fesses et voir ce que cela donne lorsque je m’incline en avant. J’aurai vraiment intérêt à faire attention à ma position car il suffit que je me penche un peu pour que je dévoile mes fesses, voire même ma fente si je vais plus loin. Ceci dit, c’est peut-être ce que recherchent mes patrons, que je sois exhibée aux yeux de leurs invités. Finalement, à bien y réfléchir, c’est une situation assez excitante, je pourrais même en jouer et en jouir.


Je me regarde à nouveau de face. Bien évidemment, les bas ne montent pas assez haut pour être recouverts par ma jupe, la dentelle est bien visible et la peau de mes cuisses aussi, ce qui, je l’avoue, me plaît énormément. Je devrais redescendre immédiatement pour reprendre mon service, mais je ne résiste pas à l’envie de me caresser tout en m’admirant dans la glace. Je prends une chaise que je place face à la glace pour voir. Dès que je m’assieds, ma minijupe remonte encore un peu plus, si j’écarte, même très peu, les cuisses, mes lèvres toutes lisses se dévoilent en toute impudeur. L’envie est trop forte, je m’introduis trois doigts dans mon intimité déjà toute détrempée, ce qui a pour effet de me faire jouir immédiatement. Reprenant mes esprits, je m’essuie avec application afin de ne pas tacher ma tenue, j’enfile mon tablier et je descends reprendre mon service.


L’interphone sonne, ce sont les invités. Je déverrouille le portail, ils seront là dans quelques instants. Lorsque l’on frappe à la porte, je me dois d’aller ouvrir. C’est la première fois que je dois accueillir des invités depuis que je suis au service de Patrick et Inès. Un couple entre alors, l’homme et la femme me dévisagent sans grande discrétion tout en me saluant poliment. Vêtue de mon chemisier transparent, d’une jupe courte et de bas, je me sens plutôt mal à l’aise devant ces deux inconnus qui ne se gênent guère pour mater mes seins et mes cuisses tandis que je les invite à pénétrer dans la maison. Mon patron, qui vient de prendre sa douche, arrive nu pour accueillir ses amis. Il les salue le plus naturellement du monde, ce qui a pour effet de me rendre plus sereine car leurs regards se détachent enfin de moi. Il embrasse la femme, celle-ci en profite pour le masturber brièvement, je ne m’étonne plus de rien. Les deux hommes se serrent ensuite la main, et l’invité prend aussi la bite de Patrick en main pour quelques allers-retours masturbatoires. Là je suis un peu plus surprise, la soirée commence fort. Patrick se charge alors des présentations, les invités se prénomment Gaétan et Giulia et sont de vieux amis.


Son prénom me fait supposer qu’elle est d’origine italienne, ce que sa chevelure brune et son physique opulent semblent confirmer, car elle vient de retirer son manteau, dévoilant sans gêne un corps aux formes superbes et généreuses. Elle n’est vêtue que d’un porte-jarretelles, une paire de bas et un soutien-gorge à demi-bonnets qui peine à maintenir en place une poitrine terriblement imposante. À vue d’œil, je pense qu’elle fait au moins du 105D, peut-être même plus. Je ne peux m’empêcher de mater ses seins tellement ils me font envie. Ses cuisses pulpeuses et ses hanches galbées attirent également mon regard. Cela m’inquiète un peu, je suis de plus en plus attirée par les femmes, serais-je en train de changer de bord ? Sa tenue de dentelle noire est magnifiquement assortie à sa chevelure brune aux boucles ondulées. Son pubis est tout lisse, je m’en doutais un peu, et je parierais volontiers que son mari est aussi intégralement épilé. C’est alors que ma patronne arrive et me tire de ma rêverie, elle est habillée à peu près de la même façon, bas et porte-jarretelles, sauf que, bien entendu, elle ne porte pas de soutien-gorge, comme à son habitude. Sa tenue de dentelle blanche contraste avec celle de son amie. Je ne peux résister au plaisir de les admirer tandis qu’elles se caressent mutuellement la poitrine tout en s’embrassant sur la bouche pour se dire bonjour.


Je retourne alors terminer de préparer le repas. Quelques minutes plus tard ma patronne m’appelle. Je me dirige vers le salon où je la trouve en train de se faire lécher la chatte par son amie, cela me paraîtrait presque naturel. Inès me demande d’aller servir du whisky aux hommes, qui sont allés dehors. Tandis que je pose sur un plateau le flacon d’alcool et deux verres, je me demande pourquoi Patrick n’est pas venu lui-même me demander de le servir.


C’est en sortant dehors que comprends pourquoi. Les deux hommes sont occupés, eux aussi. Ils sont au bord de la piscine, allongés sur des matelas, nus, placés tête-bêche, en train de se sucer mutuellement avec application. Pourquoi pas après tout, je commence à avoir l’habitude de voir des mecs se sucer. Je n’ai pas le temps de profiter longtemps du spectacle qu’ils m’offrent, ils jouissent lorsque j’arrive à leur niveau. Satisfaits du plaisir qu’ils viennent de partager, ils s’allongent sur le dos en attendant que je les serve. Comme je m’en doutais, Gaétan est intégralement épilé. Son sexe, encore en érection, est de fort belles dimensions et est luisant de sperme. C’est lorsque je leur confie leurs verres et qu’ils me remercient, que je constate qu’ils ont encore du sperme dans la bouche, ce qui ne les empêche pas de déguster tranquillement leur verre de whisky single malt douze ans d’âge. Les deux hommes m’avouent alors avoir découvert depuis déjà quelques années que le goût du sperme se mariait idéalement avec les arômes de certains whiskies. Dorénavant, à chaque fois qu’ils se voient, c’est de cette façon qu’ils aiment prendre l’apéritif, enfin si les circonstances le permettent.


Je retourne alors au salon pour y ranger la bouteille de whisky. Les deux femmes sont toujours sur le canapé, elles sont maintenant en position de 69. Ma patronne, qui est dessous, lèche avec frénésie son invitée, celle-ci y prend visiblement beaucoup de plaisir, elle ne cesse de s’agiter et ses gros nichons, libérés de leur carcan de dentelle, s’agitent allègrement au rythme de ses mouvements. Je ne peux résister à l’envie de mater cette grosse poitrine qui me captive. Giulia s’en rend rapidement compte et elle m’invite alors à me joindre à elles. Sans plus attendre, je me place face à cette belle brune et me mets à lui peloter les seins sans retenue tout en triturant ses tétons. Ses gémissements m’incitent à aller plus loin, je m’approche de sa poitrine pour lui sucer les tétons, elle gémit encore plus fort tout en prenant ma tête entre ses mains pour me plaquer vigoureusement contre sa poitrine.


Tout aussi excitées les unes que les autres, nous finissons par changer de position. Giulia s’allonge sur le dos et pelote frénétiquement ses gros nichons tandis que je suis en train de lui lécher la chatte avec application. Quant à ma patronne, elle s’est placée sous moi et se charge de me lécher aussi. Finalement, nous changeons une dernière fois de position pour nous placer en triangle sur le tapis du salon, toujours vêtue, je n’ai qu’à remonter un peu ma jupe pour offrir ma chatte à la langue experte de Giulia tandis que je lèche ma patronne avec application. Chacune se chargeant de donner du plaisir à une autre, le plaisir monte rapidement en nous et nous ne tardons pas à jouir presque ensemble. Tandis que nous reprenons nos esprits, nous remarquons soudain que les deux hommes sont en train de nous regarder tout en se caressant mutuellement.


Je retourne alors à la cuisine pour finir de préparer le repas, un peu confuse, j’espère que rien n’a brûlé entre-temps. Durant toute la durée du dîner, je sens des mains passer sous ma jupette, des mains d’hommes comme des mains de femmes, de mes patrons comme de leurs invités. Tous vont me peloter les fesses ou insinuer quelques doigts le long de ma fente. Je suis le centre d’intérêt, tous me regardent et cela m’excite terriblement, je sens que mes tétons sont particulièrement durs et je mouille de plus en plus. Les deux hommes sont restés nus à table, les deux femmes ont conservé leurs bas et leur porte-jarretelles. Malgré ma tenue plus que légère, je suis encore celle qui est la plus habillée


Après le repas, mes patrons me confient leur caméscope afin que je filme la soirée. Cela commence très doucement, les deux couples se caressent côte à côte dans le salon. Puis ensuite les deux femmes sucent leurs maris tandis que ceux-ci s’embrassent, puis elles échangent leurs partenaires et reprennent de plus belle. Les deux couples montent ensuite dans la chambre de mes patrons, le lit est suffisamment grand pour accueillir tout le monde. Patrick s’allonge pour que Giulia se place sur lui en position de 69. Il lui lèche la moule tout en tripotant frénétiquement ses gros nichons qui se balancent. De leur côté, Inès et son invité font de même. Au bout de quelque temps, changement de position, les deux hommes s’offrent un petit plaisir mutuel tandis que les femmes se masturbent tout en les regardant faire. Plusieurs autres positions s’enchaînent jusqu’à la jouissance des deux hommes, chacun éjaculant dans la femme de l’autre, bien évidemment. Pour terminer, les deux couples se reforment, les hommes s’allongent et leurs femmes se placent sur eux en position de 69. Chaque homme lèche alors avec avidité le sperme qui s’écoule lentement du sexe de sa femme, donc le sperme de l’autre. Pendant ce temps, leurs femmes achèvent de leur nettoyer la bite, couverte d’un mélange de sperme de cyprine.


Épuisés, ils restent allongés sur le lit tandis que je me charge d’aller chercher quelques boissons fraîches. Lorsque je remonte, Patrick a déjà branché le caméscope sur le grand écran présent dans leur chambre. Tandis que la vidéo commence, il m’invite à m’asseoir au bord du lit pour profiter du spectacle. Les deux femmes ne tardent pas à s’installer de chaque côté pour me caresser délicatement tout en admirant leurs prouesses filmées. Leurs attouchements se font de plus en plus précis, elles me palpent les tétons tout en introduisant simultanément leurs doigts dans ma vulve brûlante de désir et détrempée par l’excitation. Pendant ce temps là, dans la vidéo, les deux hommes sont en train de se sucer mutuellement avec ardeur, c’est à ce moment précis que ma jouissance éclate. Une jouissance intense et bruyante, qui inonde de cyprine les doigts de mes amantes.


Heureuse d’avoir pu jouir à mon tour, j’attends la fin de la vidéo pour prendre congé. Mes patrons m’apprennent alors que leurs invités resteront dormir ici. Vont-ils réellement dormir ou bien vont-ils continuer à partouzer ? Je ne le sais pas, je suis assez épuisée et c’est avec satisfaction que je retrouve mon lit dans lequel je ne tarde pas à m’endormir.



18 - Récréation



Le dimanche matin, les deux femmes vont faire une partie de tennis sur le terrain privé situé au fond du jardin. Ma patronne est juste vêtue d’un débardeur moulant et d’une jupette de tennis, ça m’étonnerait qu’elle porte une culotte, elle n’en a pas. Quant à son invitée, sa tenue est un peu différente en raison de sa poitrine hors-normes. Elle a dû prendre un soutien-gorge renforcé spécial sport que l’on voit aisément à travers la chemisette en tulle transparent dont elle n’a fermé que les deux boutons du bas, offrant ainsi un décolleté très sexy à mon regard. Je les observe avec désir tandis qu’elles s’éloignent, leur jupette flotte au rythme de leurs pas. Même si je ne vois rien de particulier, cela m’excite déjà. D’ailleurs, je parierais volontiers que la grande brune ne porte pas de culotte non plus. Je me retrouve seule dans la maison, les deux hommes sont aussi allés dehors, mais beaucoup moins actifs que leurs femmes, ils se sont allongés au bord de la piscine, profitant des rayons du soleil pour parfaire leur bronzage intégral.


Les deux femmes m’ont demandé de leur apporter des boissons en cours de partie. C’est avec impatience que j’attends le moment où je pourrai enfin les rejoindre pour les voir jouer. Je ne suis pas déçue lorsque j’arrive sur le court, apportant de l’eau et des jus de fruits. Les jupettes de tennis, vraiment très courtes, ne cachent vraiment rien de leur intimité. Chaque fois qu’elles lèvent les bras en l’air, par exemple pour le service, je peux admirer leur fente toute lisse pour mon plus grand plaisir. Je pense qu’elles se doutent que je les mate et qu’elles apprécient cela car elles continuent encore à jouer un certain temps alors que je me suis assise pour les regarder.


Inès commence par boire de l’eau à même la bouteille. Elle n’hésite pas, pour se rafraîchir, à en faire couler sur son visage et son cou. L’eau se répand sur son débardeur, qui en devient transparent, la fraîcheur faisant alors pointer ses tétons. Sa partenaire se rafraîchit à son tour, mouillant copieusement sa chemisette, déjà assez transparente, on ne la voit plus lorsqu’elle se colle à sa peau merveilleusement bronzée.


Elles retournent alors terminer leur partie, et c’est avec regret que je dois les quitter, car c’est maintenant au tour des hommes d’être ravitaillés. Lorsque je pose la bouteille de whisky sur le plateau, l’étiquette « pure malt » me rappelle la scène de la veille et les explications de mon patron. Je suis donc plutôt surprise lorsque j’arrive à la piscine, qu’ils ne soient pas déjà en train de se sucer mutuellement. Mais cette fois-ci, Patrick me demande de lui enduire le dos de crème solaire. J’adore caresser le corps de mon patron, c’est donc avec un grand plaisir que je prends donc le flacon et fais couler de la crème dans le creux de mes mains. Je le tartine du cou aux chevilles tout comme je j’ai déjà fait la semaine dernière sous le regard de son ami.


Il me demande ensuite de faire de même à Gaétan, qui est allongé sur le ventre à côté de lui. Je recommence donc l’opération avec application. Lorsque j’ai terminé de m’occuper de son dos, il se place sur le ventre pour que je continue. Chouette, je vais pouvoir tripoter une nouvelle bite, me dis-je. Cependant, je m’efforce de ne pas aller trop vite en besogne afin de faire durer un peu le plaisir. Tout comme je l’ai déjà fait avec mon patron, je descends de son cou jusqu’à sa taille, puis je repars des pieds vers le haut. Mon patron est en train de me regarder faire tandis que mes mains remontent le long des cuisses de son invité. Je suis maintenant à la hauteur de son sexe. J’en fais le tour, sa peau est aussi douce et lisse que celle de mon patron. Je laisse encore quelques instants s’écouler, le désir monte en moi, j’ai de plus en plus envie de me saisir de cette grosse bite déjà bien gonflée.


Lorsque je la prends enfin en main, je la sens immédiatement grossir encore un peu plus entre mes doigts. Il ne me faut que quelques allers-retours pour rendre sa verge toute raide. Je me laisse alors aller à mon désir en continuant à le masturber allègrement. C’est alors que mon patron se penche vers son ami tout comme sa femme l’a fait avec lui la semaine dernière. Je sais ce qu’il attend de moi, je vais m’efforcer de faire pour le mieux. Le comportement de son ami me permet de deviner que sa jouissance est proche. Je ralentis mes mouvements, prends ses testicules en main pour les caresser, quelques instants s’écoulent encore, et puis je sens le membre de chair trembler entre mes doigts, signe que le jet de sperme arrive. Je me charge alors d’orienter correctement la grosse bite que j’ai entre les mains pour que les giclées de sperme aillent directement dans la bouche grande ouverte de mon patron. Et celui-ci apprécie visiblement puisqu’il se masturbe frénétiquement tandis que les jets de sperme se répandent sur son visage et jusqu’au fond de sa gorge. Lorsque je lâche le sexe que j’ai entre les mains, c’est pour faire le tour et me saisir de la verge de mon patron avant même qu’il ne me le demande. Visiblement satisfait de mon initiative, il me sourit tandis que le sperme s’écoule sur son visage.


C’est alors que, pendant que je suis pleinement concentrée sur la masturbation que je prodigue, je sens des doigts s’insinuer sous ma petite jupe et remonter jusqu’à ma fente. Mon patron est en train de me mettre des doigts. Je mouille déjà alors qu’il vient à peine de commencer et j’écarte les cuisses pour lui faciliter la tâche. Je sens rapidement le plaisir monter en moi tandis que ses doigts me pénètrent de plus en plus vite. Malgré tout, je dois rester concentrée car je sens que sa jouissance est proche. Son ami s’est rapproché, prêt à tout recevoir lui aussi dans la bouche, et cela ne tarde pas. Les jets de sperme se mettent à fuser jusqu’au fond de la gorge de Gaétan, mais aussi sur son menton, ses joues, son front. Je regarde ces deux hommes couverts de sperme, cela m’excite terriblement et je jouis à mon tour tandis qu’ils s’embrassent voluptueusement. J’ai du sperme sur ma main, je ne sais pas de qui, peut-être des deux. Je le lèche sans hésiter tandis qu’ils me regardent faire.


Pendant ce temps-là, leurs femmes ont eu le temps de finir leur partie de tennis. Elles sont déjà au bord de la piscine et me regardaient faire tout en retirant le peu de vêtements qu’elles portent. La grande brune pousse même un soupir de soulagement lorsqu’elle retire son volumineux soutien-gorge de sport, je la comprends. Même si ma petite poitrine m’a déjà complexée à plusieurs reprises, je ne l’échangerais pas contre une aussi grosse, je serais obligée de porter un soutien-gorge en permanence, et maintenant que j’ai pris l’habitude de ne plus en porter, je ne sais pas si je pourrais revenir en arrière. Maintenant nues, les deux femmes font couler l’eau de la douche de plein-air placée au bord de la piscine et commencent à se laver tout en se caressant mutuellement. Visiblement excitées, elles continuent en se masturbant sous les regards complices de leurs maris qui sirotent tranquillement leur whisky aromatisé au sperme.


Pour servir le repas du midi, mes patrons m’ont demandé de changer de tenue sans plus de précision. J’ai carte blanche. Je monte jusqu’à ma chambre, perplexe. Que vais-je pouvoir mettre de différent ? Je regarde les étagères de mon armoire. Il est hors de question que je prenne mes anciens habits, je n’en ai pas le droit, et en plus je serais vraiment ridicule. Comme je ne vais quand même pas prendre une nuisette pour le service, j’opte pour une paire de bas blancs et un porte-jarretelles. Je remets aussi mon petit tablier, blanc lui aussi, je m’observe dans le miroir et je le remonte pour dévoiler un peu ma fente. C’est ainsi habillée, les seins à l’air, que je redescends à la salle à manger. Les convives, qui sont tous restés nus, me félicitent chaleureusement pour ma tenue osée. Pendant le repas, je sens régulièrement des mains sur mes fesses ou sur mes cuisses. Les hommes allant même jusqu’à insinuer leurs doigts jusque dans ma fente toute mouillée.


C’est au moment du dessert que je renverse par maladresse le dessert de Gaétan. La part de tarte tombe à côté de l’assiette, bascule sur le bord de la table, arrive sur son ventre et glisse jusqu’à ses cuisses. Je suis confuse et très gênée. Mes patrons m’incitent alors à me faire pardonner à leur façon, en nettoyant tout, mais sans les mains. Je passe donc sous la table et commence à le lécher. Une fois que j’ai fini d’ôter tous les fragments de tarte, l’envie me vient de continuer. Je prends alors son sexe en bouche et commence à le sucer, le membre de chair se met immédiatement à durcir, preuve indéniable qu’il apprécie ce traitement. Mon patron me dit alors que si je continue ainsi, il faudra que je m’occupe de tout le monde pour qu’il n’y ait pas de jaloux. J’acquiesce tout en continuant à sucer son ami. Ma fellation ne tarde pas à porter ses fruits, car je sens le sperme s’écouler dans ma bouche. Je change alors de place et me mets à sucer mon patron tandis qu’il est en train de manger son dessert. Je ne tarde pas à le faire jouir à son tour et c’est la bouche dégoulinante de sperme que je m’approche des deux femmes pour les lécher à tour de rôle jusqu’à ce qu’elles jouissent. Lorsque je ressors de dessous la table, j’ai le visage couvert de sperme, les convives me félicitent pour ma prestation.


Après le café, le repas finit en partouze. Je filme à nouveau les ébats des deux couples, mais cette fois-ci, je participe aussi et c’est alors moi qui suis filmée. Quant à mon patron, il se fait sodomiser par Gaétan. Par la suite, les hommes me gratifient d’une double pénétration. Placée à quatre pattes, j’ai mon patron dans la bouche tandis que son ami me prend en levrette. Pour terminer, je m’allonge entre les deux hommes qui se masturbent et se terminent en me giclant sur la poitrine, le visage et le reste du corps. Les femmes se joignent alors à leurs maris et tous me lèchent pour nettoyer tout ce sperme qui recouvre mon corps.



19 - Week-end camping



La semaine suivante, mes patrons m’annoncent que nous allons passer le week-end à la mer. Je m’attendais à ce qu’ils prennent un suite à l’hôtel ou qu’ils louent une belle villa, mais en réalité nous nous rendons dans un simple camping. Malgré tout, il ne s’agit pas d’un camping comme les autres, j’aurais dû m’en douter, c’est un camping naturiste. C’est assez surprenant, la première fois que l’on y va, de découvrir un lieu où tout le monde se balade nu sans que cela n’étonne quiconque.


À peine arrivés, Patrick et Inès sont impatients de se déshabiller. C’est sur la terrasse du chalet qu’ils ont loué qu’ils retirent leurs vêtements, m’invitant à faire de même. Je suis maintenant assez habituée à la nudité et je n’ai aucune difficulté à les accompagner dans le camping. Mes patrons y retrouvent de nombreux amis qu’ils saluent chaleureusement. Je reconnais immédiatement Gaétan et Giulia. Comme nous sommes dans un camp naturiste, la belle Italienne ne porte pas de soutien-gorge, ses gros nichons se baladent donc en liberté et nombreux sont les hommes, et aussi les femmes, à admirer avec plus ou moins de discrétion cette merveilleuse poitrine.


Maintenant que je connais un peu mes patrons, cela ne m’étonne pas trop qu’ils pratiquent le naturisme. Par contre, je me demande si tous les amis qu’ils ont croisés dans le camp sont aussi intimes que Gaétan et Giulia, bref s’ils ont aussi des rapports sexuels ensemble. Cela ferait du monde. En tout cas, ce qui est sûr, c’est que ce n’est pas ici qu’ils se suceront mutuellement au bord de la piscine tout en prenant leur apéro : il y a ici des familles, des enfants, et certainement aussi des naturistes qui ne sont pas libertins.


À bien y regarder, si je puis dire, j’ai l’impression que les naturistes se répartissent en deux groupes : ce qui s’épilent le sexe et ceux qui restent naturels, et j’ai l’impression que les "vrais" naturistes plutôt sont ceux qui gardent leurs poils. Donc, comme le point commun aux amis de mes patrons, est qu’ils sont tous intégralement épilés, hommes comme femmes, je les place plutôt du côté des naturistes libertins. Même si ce n’est pas forcément un signe de ralliement, c’est malgré tout un indice fort.


De retour au chalet loué par mes patrons, je peux enfin en découvrir l’intérieur. Confortable et spacieux, avec une cuisine toute équipée et un salon doté d’un canapé confortable et d’une télévision grand écran. Par contre il n’y a qu’une seule grande chambre avec deux lits doubles et le cabinet de toilette est assez exigu. De toute façon, Inès m’assure que nous n’aurons pas à utiliser le cabinet de toilette car les blocs sanitaires du camping sont bien plus spacieux et conviviaux. Quant à la chambre unique, elle me dit que c’est également pour des raisons de convivialité, car il y a aussi des chalets deux chambres. J’acquiesce tout en me disant que convivialité rime certainement avec sexualité dans l’esprit de ma patronne.


Tandis que je suis en train de ranger les vêtements que je sors des bagages, je tombe sur un godemiché au fond de la valise. Inès, qui n’est pas loin de moi, prend immédiatement la parole :



Je lui réponds alors spontanément sans réellement mesurer la portée de mes propos :



Sans plus attendre, et avant que je n’aie eu le temps de changer d’avis, Inès va chercher son mari. Lorsqu’il arrive dans la chambre son sexe est déjà en train de se redresser. Sans plus attendre, il me pénètre avec douceur, effectuant de lents va-et-vient tout en me caressant. Il sait s’y prendre avec les femmes, sa bite est bien raide et il sait merveilleusement s’en servir, c’est vraiment dommage que son fils ne soit pas monté comme lui. Pendant ce temps, Inès nous regarde faire tout en se masturbant. J’avais déjà sucé mon patron la dernière fois, mais cette fois-ci il me pénètre et c’est largement meilleur.


Ses coups de bite font rapidement monter mon plaisir et je finis par jouir tout en pensant à son fils. Sentant sa jouissance imminente, il se retire de moi et termine en éjaculant sur moi. Ses giclées de sperme s’étendent de mon nombril à mon menton, couvrant généreusement mes seins. Inès se joint alors à nous et lèche le sperme de son mari tout en me caressant. Ce pervers de Patrick ne résiste pas à la tentation de venir lui aussi lécher son sperme. Mes patrons terminent en s’embrassant amoureusement tout en caressant mon corps couvert de semence.


Le reste de l’après-midi s’écoule plus calmement. Nous allons à la piscine du camping pour nous baigner et bronzer. Nous y retrouvons Gaétan et Giulia. Allongée sur un transat, les yeux cachés derrière mes lunettes de soleil, je mate les autres baigneurs et baigneuses tandis je me fais mater moi aussi.


L’après-midi se termine, nous sommes de retour au chalet. Gaétan et Giulia arrivent peu de temps après pour prendre l’apéro avec nous.


À peine sont-ils ensemble que Patrick et Gaétan commencent à se masturber mutuellement tout en se caressant. Patrick semble obligé de se justifier :



Ce que confirme son ami Gaétan :



Cela semble être un signal entre les deux hommes. Ils vont directement s’allonger sur le lit et se placent en position de 69 pour se sucer mutuellement avec tendresse sous le regard bienveillant de leurs femmes.

Alors qu’il est en train de lécher avec application la bite bien raide de son ami, Patrick lui fait tout naturellement une proposition étonnante :



Giulia, qui suivait la scène avec intérêt, se charge alors d’apporter un préservatif à son mari, elle le déroule avec soin sur sa bite déjà toute raide. Pendant ce temps-là Inès applique du gel lubrifiant sur l’anus de son mari, n’hésitant pas à y introduire un doigt pour le préparer à la sodomie. J’assiste alors à une nouvelle scène de sexe entre hommes. Ils savent s’y prendre, les bougres et leur coït aurait même tendance à m’exciter. Patrick s’est d’abord placé à quatre pattes et Gaétan le prend par les hanches pour le pénétrer en levrette. Par la suite, son plaisir montant, Patrick se redresse pour que son ami puisse lui caresser les pectoraux tout en l’enculant. Finalement, lorsque Gaétan sent qu’il est au bord de la jouissance, il se retire de son ami et ôte son préservatif. Les deux hommes se replacent en position de 69 pour le plaisir de s’éjaculer dans la bouche afin de pouvoir enfin déguster les verres de whisky que je leur ai préparés.


Après le repas, la soirée va se prolonger par une partie de cartes. Rapidement des gages sexuels se mettent en place pour les perdants et cela finit bien évidemment en partouze. Après avoir commencé en filmant leurs ébats, je vais finir par y participer aussi pour mon plus grand plaisir.


Le lendemain, nous nous rendons à la plage, une plage naturiste bien évidemment. Pour y aller, Inès ne m’a confié qu’une robe en tulle légèrement transparente. Elle insiste pour que je la porte sans rien dessous. « Pas besoin de mettre un maillot puisque nous allons nous mettre nus à la plage… », me dit-elle. Après m’être habillée, je m’observe dans le miroir de la chambre, je devine mon corps à travers le tissu léger, mes seins sont nettement visibles, ma fente se laisse même deviner. En fait, j’ai l’impression d’être nue malgré cette robe, mais puisque nous allons directement à la plage, cela peut aller. Quant à Inès, elle s’est vêtue d’une robe qui descend à mi-cuisses et lui laisse le dos et les flancs complètement nus jusqu’aux fesses. Seule une bande de tissu léger masque sa poitrine et est maintenue en place par une cordelette passant derrière son cou. Bien entendu, elle ne porte rien dessous, comme d’habitude. Quant à Patrick, il a mis une chemise en lin et un pantalon ample également en lin sans rien dessous.


En fait, nous n’allons pas directement à la plage, mes patrons veulent d’abord faire un tour en ville. Je ne sais pas s’ils l’ont fait exprès pour me mettre à l’épreuve et me faire ressentir de nouvelles sensations, mais je sens bien les regards des hommes et aussi des femmes qui ne peuvent se retenir de mater mon corps à peine voilé par le tissu léger. Patrick aussi ne cesse d’en profiter pour me mater autant qu’il peut, quelquefois je sens ses mains caresser mes fesses, celles d’Inès aussi. Je me laisse faire avec plaisir, j’aime bien être caressée, même en public.


Nous reprenons ensuite le chemin de la plage. Après nous être garés et avoir marché pendant quelques centaines de mètres nous finissons par arriver sur l’étendue sableuse. Ici tout le monde est nu, il y a quelques semaines cela m’aurait intimidée, maintenant cela me semble tout à fait naturel. Plutôt que de nous installer sur la plage, mes patrons prennent la direction de la dune. Nous nous y installons au milieu des arbustes. Mes patrons me demandent de me placer entre eux. Des hommes nus passent régulièrement, la plupart ralentissent tout en nous regardant, certains ont leur bite toute raide. C’est la première fois que je me dénude devant autant d’inconnus. Je sais que je les excite et j’aime cela.


Je m’absente alors car j’ai besoin de satisfaire un besoin pressant. Je pense que le stress engendré par cette situation malsaine y est aussi pour quelque chose. En circulant parmi les arbustes, je découvre d’autres couples qui s’exhibent aussi. Il y a aussi quelque gays et même un couple de lesbiennes. Tous se caressent sans se soucier de tous les voyeurs qui circulent le sexe en érection et qui n’hésitent pas à se branler dès qu’il y a quelque chose à voir. Certains en sont même à un stade plus avancé, un couple fait l’amour, deux gays sont en train de se sucer mutuellement. Après avoir enfin trouvé un coin tranquille pour uriner, je retourne tranquillement vers là où nous sommes installés, tout en croisant quelques mecs la bite en l’air sans réellement y faire attention. Je découvre alors mes patrons en train de se caresser mutuellement tandis que plusieurs voyeurs sont en train de les observer tout en se masturbant. Finalement, après ce que je viens de voir, cela me paraît presque naturel. Me voyant de retour, ils s’écartent pour que je puisse reprendre ma place entre eux.


Patrick me demande alors de lui étaler de la crème solaire, ce que je vais faire de bonne grâce car j’adore prendre en main son sexe tout doux. Les voyeurs sont restés, ils me regardent faire avec un vif intérêt. Après m’être occupée de son dos, il se retourne me donnant enfin accès à l’objet de mon désir. Comme d’habitude, je commence par les épaules et descends lentement jusqu’au ventre. Arrivée à la limite du pubis, je repars des pieds et remonte les cuisses jusqu’à enfin atteindre son sexe déjà redressé. Je le prends en main et le masturbe vigoureusement tandis qu’il m’introduit ses doigts dans la chatte. Patrick, déjà très excité, ne tarde par à jouir. Son sperme se répand copieusement sur son ventre, je termine donc en étalant consciencieusement son jus intime sur son buste imberbe.


C’est ensuite au tour d’Inès de me solliciter pour la crème solaire. C’est avec les mains encore couvertes du sperme de son mari que je commence à lui enduire le dos. Elle se retourne ensuite et je parcours son corps de la même façon que son mari, terminant par sa vulve dans laquelle j’introduis mes doigts tout en jouant avec son clitoris et ses seins. Ces sollicitations ne vont pas tarder à la faire jouir. C’est alors que je remarque qu’il y a encore plus de voyeurs que tout à l’heure. Ils regardent avec intérêt le spectacle que nous leur offrons.


Mes patrons me proposent alors de m’enduire de crème solaire à mon tour. Je me place donc sur le ventre et ils commencent à s’occuper de moi. Ce massage à quatre mains est réellement très agréable. Je déconnecte et me mets à rêver tranquillement. Lorsqu’ils me demandent de me retourner, je le fais sans hésiter, et je continue à me laisser faire, les yeux mi-clos, profitant avec plaisir du moment présent. Leurs mains parcourent mon corps, mes seins, ma fente. Je ne sais pas qui m’introduit des doigts, mais c’est très agréable.


C’est lorsque j’ouvre les yeux que je prends conscience de la réalité. Cinq hommes sont face à moi, juste dans l’axe de ma vulve, à quelques mètres, et se masturbent frénétiquement tout en me regardant. Ma pudeur instinctive reprend subitement le dessus. Gênée par cette situation, je ne peux résister à l’envie de remonter et resserrer mes jambes pour cacher mon intimité à ces pervers. Mes patrons me prennent alors chacun un genou et m’écartent les cuisses avec douceur et fermeté, m’exhibant sans pudeur aux regards de la bande de pervers qui me fait face. Ils recommencent aussi à introduire leurs doigts dans ma chatte pour me masturber simultanément tout en me pelotant les seins. Finalement je cède, car je commence à ressentir du plaisir à être ainsi exhibée comme un objet. D’ailleurs, je ne tarde pas à jouir, criant mon plaisir sans retenue, tandis que les voyeurs éjaculent à tour de rôle.


Le reste de la journée se passe sur le même rythme. Je vais prendre du plaisir à me masturber devant les voyeurs, comptant à chaque fois combien se sont arrêtés et combien ont éjaculé. Je vais aussi retourner plusieurs fois voir les autres couples, faisant la voyeuse à mon tour. Je croise à chaque fois des hommes la bite en érection qui ne passent qu’à quelques centimètres de moi, c’est assez impressionnant d’être entourée d’autant de sexes dressés. Mais ce que j’ai le plus adoré, c’est quand les deux gays qui faisaient un 69 ont éjaculé en même temps, avalant goulûment le sperme qui se déversait dans leur bouche.


Finalement, ce week-end se termine bien trop vite à mon goût. J’aurais aimé pouvoir en profiter bien plus longtemps. Je repense à tout cela pendant que nous rentrons à la maison. J’apprécie de voir des hommes se faire gicler dans la bouche. Je pense que cela remet à sa place le sexe prétendument fort. Je pense que si tous les hommes pratiquaient la fellation et avalaient, ce serait un grand pas vers une vraie égalité des sexes.



20 - Petits plaisirs simples



Florian me manque. Cela ne fait que trois jours, mais cela me semble bien long. Je me demande bien ce qui peut m’attirer vers un garçon qui a une si petite bite alors que depuis plus d’un mois je goûte sans retenue aux plaisirs du sexe, alternant sans vergogne de nombreuses bites dans tous mes trous.


C’est mon jour de congé, je profite d’être en ville pour oser me rendre dans un sex-shop, probablement le seul de cette petite ville de province. Je n’ai jamais fréquenté ce genre d’établissement, c’est donc avec une certaine surprise que je découvre les lieux. Je suis épatée par la variété des gadgets disponibles et carrément étonnée par la dimension de certains engins. Finalement, je ressors de la boutique avec des boules de geisha et un œuf vibrant télécommandé. Curieuse, je ne tarde pas à déballer les boules de geisha, j’en ai déjà entendu parler à plusieurs reprises mais je n’avais jamais eu l’occasion d’en essayer. L’avantage de ne pas porter de sous-vêtements, c’est qu’il ne me faut que quelques instants pour me les introduire dans le vagin, celui-ci étant déjà tout lubrifié par l’excitation. L’inconvénient, c’est que si elles ressortent malencontreusement, il n’y aura rien pour les empêcher de tomber au sol, j’espère bien que cela ne se produira pas. En tout cas, dès mes premiers pas, je ressens le plaisir intense procuré par les petites boules.


Plus je marche et plus je ressens du plaisir, je me balade en ville juste pour profiter des sensations que m’offrent les boules. J’observe les gens autour de moi. Je n’y avais jamais vraiment fait attention jusqu’à présent, mais en été, de nombreuses femmes ne portent pas de soutien-gorge sous leurs vêtements, je vois leurs seins bouger sous le tissu et leurs tétons qui pointent. L’excitation monte en moi, renforcée par l’effet des boules de geisha.


Du coup, je pars faire d’autres magasins à la recherche de nouvelles tenues pour sortir, celles présentes dans mes bagages me paraissant maintenant bien trop sages. J’essaie donc des vêtements plus ou moins sexy, je ne sais trop que choisir, tout me fait envie. Mon choix se porte sur un haut à bretelles, le tissu est assez léger pour que les aréoles de mes seins se devinent à travers, j’aime bien. Je prends aussi une robe faite dans le même tissu transparent, mon corps se dévoile délicieusement lorsque la lumière vient de derrière. J’ai aussi trouvé une chemise également dans le même tissu léger. J’ai eu beaucoup de mal à en trouver une sans poches au niveau des seins mais je voulais vraiment que mes tétons puissent se voir à travers le tissu. Contrairement aux hauts à bretelles, qui sont moulants, la chemise est assez ample et je peux pleinement profiter des sensations agréables procurées par la caresse du tissu à chacun de mes mouvements. J’ai aussi pris un pull, a priori ce n’est pas une tenue très sexy, mais pourtant celui-ci a retenu mon attention. Blanc et très fin, il laisse légèrement deviner ma poitrine, mais surtout il est très échancré, ce qui fait que dès que je me penche en avant, il est très facile de voir mes seins par l’encolure.


Je me rends ensuite dans un magasin de lingerie pour y essayer des bas. Finalement, j’en ressors avec une guêpière et des bas. Je sais bien que chez mes patrons, la guêpière me sera plus utile qu’un pull à col roulé.


Comme il me reste encore du temps libre avant de rentrer, j’en profite pour remplacer les boules de geisha par l’œuf vibrant. Grâce à la petite télécommande, je peux le mettre en route ou l’arrêter à volonté. Il est totalement silencieux et me procure d’agréables sensations. Attablée à la terrasse d’un bistrot, je m’amuse à essayer les divers programmes de l’appareil. J’ai bien du mal à rester discrète mais l’envie est trop forte.


Dans le courant de la semaine, Mes patrons me proposent, à titre de prime, une séance chez l’esthéticienne pour profiter d’une épilation intégrale et définitive. Je ne vais pas hésiter bien longtemps, je connais le prix assez élevé d’une telle intervention et je pourrai enfin cesser de me raser plusieurs fois par semaine.


Le vendredi soir Florian et son ami Franck me proposent de passer la soirée avec eux, ce que mes patrons acceptent de bonne grâce. Ils semblent plutôt rassurés que leur fils s’intéresse enfin aux filles. Follement heureuse de pouvoir revoir Florian, je m’efforce de choisir une tenue aussi sexy que possible. Mon choix se porte sur le haut à bretelles que j’ai acheté lundi et une petite jupe mi-cuisses. La jupe paraît un peu sage mais je ne me sens pas encore prête pour sortir en ville en minijupe sans culotte dessous, j’ai encore un peu peur que l’on voie ma fente, cela me dérange moins que l’on devine mes seins, c’est plus fréquent. Me voilà donc prête pour sortir, je prends mon petit sac à main et vérifie son contenu. Les boules de geisha attirent mon attention, je me les introduis dans la vulve, me voici fin prête. J’ai choisi de faire le trajet à pied, j’ai bien fait car les petites boules ne vont cesser de m’exciter tout au long du parcours. Je suis déjà toute mouillée lorsque j’arrive dans le bar du centre-ville où ils m’ont donné rendez-vous. Ils sont déjà attablés et je les embrasse à pleine bouche l’un après l’autre sous les regards intrigués de certains clients.


De jeunes artistes se produisent le week-end. Nous nous asseyons donc côte à côte sur une banquette pour mieux profiter du concert et les deux garçons pour mieux profiter de ma chatte. La table masque leurs gestes, ce qui leur permet de me tripoter en permanence. Leurs doigts s’insinuent entre mes cuisses, caressent ma fente, s’introduisent dans mon intimité. C’est alors qu’ils découvrent la présence des boules de geisha, ce qui augmente leur excitation et aussi la mienne. Ils voudraient bien aussi me caresser les seins, mais ce n’est pas assez discret. Par contre, ils n’hésitent pas à remonter ma jupe, allant jusqu’à dévoiler mon intimité au serveur qui passait à ce moment-là. Même si je trouve qu’ils ont un peu abusé, j’ai ressenti tellement de plaisir à être ainsi exhibée que je ne leur en veux pas. Ils vont continuer en s’amusant à enlever puis remettre mes boules de geisha. Ces deux cochons vont même réussir à me faire jouir deux fois au cours de la soirée, n’hésitant pas à exhiber à nouveau ma fente toute lisse dès qu’un client un peu curieux passe près de nous tout en jetant un regard intéressé vers mon entrejambe.


Lorsque nous sortons du bar, ils ne résistent pas à l’envie de passer leurs mains sous ma jupe pour me peloter les fesses. Dès que personne ne nous observe, ils vont même jusqu’à me caresser les seins par-dessus et par dessous mon débardeur, l’un devant moi et l’autre derrière. Ils jouent aussi avec mes tétons, les faisant rouler entre leurs doigts, prenant un malin plaisir à les faire pointer à travers le fin tissu de mon débardeur.


La soirée se termine évidemment dans leur appartement. Excités comme ils sont, ils bandent déjà, même si la bite de Florian est ridiculement plus petite que celle de Franck. Après nous être caressés, léchés et sucés mutuellement, je me laisse prendre en levrette par Franck qui s’affaire dans mon petit trou. Pendant ce temps, Florian se place face à moi pour que je le suce tout en me confiant un godemiché. Il s’allonge alors sur le dos et je me charge de le sodomiser avec l’engin de latex tout en le suçant en même temps. La soirée se finit en apothéose lorsqu’ils me prennent simultanément. Franck pénétrant mon cul tandis que Florian s’installe confortablement dans ma bouche. Après m’avoir bien fait jouir, c’est à leur tour de se faire plaisir et ils me remplissent les entrailles et la gorge de leur bon sperme onctueux. Franck suce ensuite la bite de son copain pour goûter à son sperme tandis que Florian fait de même en m’embrassant.


Cette soirée va marquer le début d’un week-end mémorable puisque le samedi soir, c’est avec mes patrons que je vais passer la soirée. Inès adore voir son mari offrir du plaisir à d’autres femmes et leur remplir le sexe et la bouche de sperme. C’est donc durant cette soirée très chaude que Patrick va m’offrir la pénétration vaginale que je n’ai pas pu avoir avec son fils, qui en a une trop petite, ni avec Franck, qui préfère la sodomie.


Tandis que je suis allongée, Patrick me pénètre avec fougue et sa femme me pelote les seins tout en les suçant. Je me laisse faire, totalement offerte au plaisir que je reçois, jusqu’à temps de ressentir de puissants jets de sperme s’écouler dans ma vulve. Je rouvre alors les yeux et vois Patrick ressortir son sexe luisant de sperme et de mouille. Après avoir joui en moi, il se place entre mes cuisses et se met à lécher avec avidité son sperme qui commence à s’écouler de mes lèvres. Il est rapidement rejoint par sa femme. Je les observe avec intérêt, c’est une impression curieuse de voir mes patrons affairés à me lécher la chatte avec application. C’est ensuite moi qui me charge de nettoyer la bite de mon patron du sperme qui reste encore dessus. Il a un goût bizarre. C’est logique, car il est mélangé avec ma cyprine, ce qui en rend le goût un peu plus amer.


Pour terminer en beauté ce week-end de sexe, dimanche après-midi, Audrey, Cédric et Corentin nous rendent visite. Décidés à profiter de la piscine, ils ne tardent pas à se mettre nus pour aller plonger dans l’eau tandis que mes patrons décident de partir faire une marche à pied dans la campagne pour nous laisser tranquilles. Inès me confie qu’ils adorent faire l’amour en pleine nature, et c’est aussi pour cela qu’il est bien plus pratique de ne pas porter de culotte. Elle est ainsi toujours disponible pour recevoir un bon coup de bite, quel que soit l’endroit, dès qu’elle ou son mari en ont envie.


Audrey, qui est en train de se faire caresser dans l’eau par ses deux copains, me propose alors de les rejoindre. Je n’hésite pas bien longtemps, retirant rapidement ma tenue pour plonger dans l’eau. Nous commençons alors à nous caresser tous les quatre. Très excités, nous sortons de la piscine et continuons à nous caresser sur les transats, nous sommes les seuls dans la maison, autant en profiter. Rapidement, les caresses se transforment en léchouilles. Je me retrouve en position de 69 avec un des garçons, puis avec l’autre. Nous alternons régulièrement les positions et je finis par ne plus savoir qui je suce ou qui me lèche.


Pour terminer, Audrey se fait prendre en levrette, je me glisse sous elle pour que nous nous léchions mutuellement les seins tandis que je me fais prendre en même temps. Les deux garçons ne tardent pas à jouir en nous. Très excitées, nous nous plaçons en 69 pour lécher avec application nos fentes dégoulinantes de sperme. Je repense à ses parents qui me l’ont fait la veille. Pendant ce temps, les deux garçons font de même pour se nettoyer la bite. Je trouve attendrissant de les voir jouer aux pédés, Audrey aussi, alors nous allons les caresser et les masturber tandis qu’ils conservent leur position tête-bêche. Ils ne tardent pas à bander à nouveau, très excitées, nous continuons à les masturber tout en nous caressant. Ils ne tardent pas à jouir une deuxième fois, nous nous chargeons, Audrey et moi, de bien orienter leur bite pour que chacun gicle bien dans la bouche de l’autre. C’est tellement excitant et pervers de voir un homme jouir dans la bouche d’un autre, je ne me lasserais pas de ce spectacle. Les deux garçons, enfin rassasiés, se rasseyent et terminent en s’embrassant pour échanger leur sperme, puis nous embrassent pour le partager avec nous.


Le temps est passé très vite, trop vite. Mes patrons semblent être déjà de retour, ils arrivent juste quand nous avons fini. Quelle synchronisation ! Ou bien étaient-ils en train d’attendre que nous ayons fini tout en nous regardant discrètement ? Mes partenaires retournent dans la piscine pour se nettoyer. Quant à moi, je me rhabille comme je peux. Le sperme est en train de sécher sur mon corps, le tissu colle un peu à ma peau, heureusement ma tenue est si légère qu’elle n’est pas bien difficile à remettre.



21 - Retour à la maison



En cette mi-août, mes parents ont décidé de fêter les 18 ans de ma sœur. Mes patrons, toujours très compréhensifs, m’accordent volontiers le week-end pour me rendre dans ma famille à cette occasion.


Samedi matin, j’attends tranquillement mon train sur le quai de la gare. Mon changement depuis que je suis au service de Patrick et d’Inès ne cesse de m’occuper l’esprit. J’ai bien essayé de revenir à une tenue plus conventionnelle pour rentrer à la maison, en particulier remettre des sous-vêtements pour prendre le train, mais sans succès. Cela me dérange trop d’avoir à supporter quelque chose qui rentre entre les fesses ou qui me comprime les seins. J’ai donc renoncé à emporter la moindre culotte ou le moindre soutif dans mes bagages, cela m’a libéré de la place et j’ai pu emporter à la place mes boules de geisha et l’œuf vibrant.


Après m’être assoupie dans le train, je constate en me réveillant qu’un garçon assis quelques sièges plus loin, de l’autre côté du couloir et face à moi, semble faire des efforts acharnés pour parvenir discrètement à deviner ce qui se cache sous ma jupe. Cela m’amuse, d’autant qu’il n’est guère discret dans ses tentatives. Finalement, cela aurait plutôt tendance à m’exciter, je dois avoir un côté exhibitionniste et ces quelques semaines n’auront fait que le révéler.


Je fouille alors brièvement dans ma valise avant de me rendre aux toilettes. J’ai caché l’œuf vibrant dans le creux de ma main, je me l’insère dans le vagin puis je retourne à ma place l’air de rien. À nouveau assise, la jupe légèrement remontée, les cuisses entrouvertes, je pense que mon voyeur peut maintenant profiter d’une meilleure vue sur ma petite fente toute lisse et déjà bien humide. Je commence à manipuler la télécommande tout en l’observant du coin de l’œil. Vu son regard, je pense qu’il ne rate pas une miette du spectacle que je lui offre et cela m’excite encore plus. J’augmente la vitesse des vibrations, une vague de jouissance me traverse subitement, je pense que je n’ai pas été très discrète, mais tant pis, c’était trop bon. Je continue de jouer avec la télécommande pendant le reste du voyage et je ne retire l’œuf qu’au moment de descendre du train.


Après un dernier trajet en bus, je finis par arriver dans la maison familiale. Le petit pavillon de banlieue de mes parents ne paye pas de mine, surtout si je le compare à la demeure de mes patrons, mais c’est ici que j’ai grandi et j’y suis attachée. Après avoir embrassé mes parents et ma sœur, je file dans ma chambre où je retrouve tous mes souvenirs de petite fille.


J’ouvre l’armoire et la commode. Les quelques sous-vêtements que j’y ai laissés me paraissent maintenant tellement désuets. La pile de collants attire mon attention. Il va bien falloir que j’en porte cet hiver si je ne veux pas avoir froid aux fesses. Jusqu’à présent, je les ai toujours portés par-dessus une culotte, il ne me serait jamais venu à l’idée de ne pas le faire. Et pourtant tout change dans mon esprit. J’en prends un et l’enfile à même la peau par curiosité. C’est assez excitant de porter un collant sans rien dessous, la maille fine me caresse la fente. Je m’observe dans la glace, le collant semi-opaque laisse deviner mon sexe, je sens que je suis déjà en train de mouiller.


J’en essaye alors un autre plus épais, le tissu molletonné me procure encore plus de sensations. Je ne résiste pas à l’envie de me caresser à travers le collant, c’est divin. Il faut que j’essaye aussi avec gros un pull-over. Rien à voir avec le petit pull fin que j’ai acheté il y a quelque temps. La laine m’électrise la peau et le bout des seins, je les sens se dresser et durcir sous mes doigts. Mes caresses reprennent, tandis que je me masturbe d’une main, je me caresse les seins de l’autre, la jouissance ne tarde pas à arriver, m’emportant dans un brutal et soudain flot de plaisir.


Portée par ma curiosité, je continue d’essayer mes anciens vêtements pour le plaisir de les porter sans culotte ni soutif. C’est alors que l’on frappe à la porte, étant habillée je dis d’entrer et c’est ma sœur Solène qui apparaît par l’embrasure.



Je m’attendais à ce qu’elle me laisse tranquille, mais en fait elle entre dans la chambre et referme la porte derrière elle.



C’est vrai que depuis que nous sommes petites, j’ai toujours laissé ma sœur essayer mes anciens vêtements, ce qui lui permet d’économiser sur son budget fringues. Mais là je suis un peu coincée, si je retire ce que je porte elle va voir que je ne porte rien dessous. Je reste plantée là à réfléchir, et ma sœur me regarde, attendant patiemment que je me déshabille devant elle. Bon, après tout, nous nous sommes toujours tout dit. J’espère juste qu’elle saura bien garder le secret. Je me décide donc à retirer ma robe, sous laquelle je ne porte rien.


Lorsque Solène me voit toute nue, la première chose qu’elle remarque c’est mon épilation intégrale. Moi, par contre, je n’y pensais plus du tout. Plutôt que de lui raconter la stricte vérité, je lui dis que j’ai essayé pour voir l’effet que ça fait. Ensuite, je lui vante les mérites de l’épilation : douceur et sensualité.


Après avoir laissé ma sœur essayer plusieurs de mes vêtements, elle me propose de faire une balade à pied. J’enfile donc à nouveau ma robe sans rien dessous, ce que remarque immédiatement ma sœur, mais elle ne m’en parle que lorsque nous sommes sorties de la maison.



Finalement, Solène n’hésite pas bien longtemps. Il n’y a personne aux environs, il ne lui faut que quelques instants pour retirer son soutif sans retirer sa chemise. Celle-ci est assez épaisse et ne permet même pas de deviner le bout de ses seins, qui pourtant, j’en suis sûre, doivent pointer sous le tissu, ce qu’elle ne tarde pas à me confirmer.



Midi est proche, nous rentrons à la maison pour le repas. La robe que j’ai choisi de porter est assez ample, du coup ce n’est pas facile de deviner que ma poitrine est en liberté dessous. Je pense que mes parents n’ont pas dû remarquer grand-chose. De toute façon, je suis majeure, je fais ce que je veux.


Le lendemain, avant le grand repas, Solène me confie qu’elle s’est rasé le sexe en prenant sa douche ce matin et qu’elle a beaucoup apprécié les sensations que cela lui a procuré. Dans la foulée, elle a aussi omis de mettre un soutien-gorge car elle a beaucoup apprécié de ne pas en porter la veille. Je l’observe, elle a une petite poitrine, ce n’est pas facile de s’en rendre compte. Ce n’est que lorsqu’elle prend ses seins entre ses mains pour les soulever que je remarque qu’ils bougent bien trop facilement.


Le repas se passe merveilleusement. Nos oncles et nos tantes sont venus ainsi que nos cousins et cousines. La fête dure une bonne partie de l’après-midi. Ma sœur s’amuse follement, elle rit à gorge déployée. J’imagine que le tissu de sa robe lui caresse les seins et qu’ils pointent en permanence.


La journée se termine, Solène me propose de me raccompagner à la gare en bus. Tandis que nous sommes assises sur un banc en train d’attendre le train, ma sœur me fait quelques confidences.



Je repense aux disques que je lui ai offerts.



Sans hésiter, elle pivote vers moi tout en remontant sa jupe, heureusement que nous sommes seules à ce bout du quai. Solène me dévoile alors sa fente toute lisse. C’est la première fois que je vois le sexe de ma sœur entièrement rasé depuis sa puberté, je sens le trouble m’envahir. Elle est radieuse, jusqu’où ira-t-elle ? J’entrouvre alors ma valise et y plonge ma main, te temps de donner un dernier cadeau à ma sœur.



Et tout en disant cela, je lui confie mon œuf vibrant télécommandé et mes boules de geisha. Je vois qu’elle est peu étonnée.



Mon train arrive. Cette dernière phrase de ma sœur accentue mon trouble et me rappelle quelques souvenirs, finalement pas si lointains. Nous nous séparons, le chef de gare siffle le départ. J’ai hâte de la revoir bientôt, je me demande ce qu’elle va faire entre-temps. Durant le voyage retour, je repense régulièrement à Solène, qui est en train de découvrir les mêmes sensations que moi il y a quelques semaines. Moi, sa grande sœur, je me sens heureuse de pouvoir la guider vers la découverte de nouveaux plaisirs.



22 - À la plage entre copains



Durant la semaine, Audrey me propose d’aller dimanche à la plage avec ses deux copains. Elle me dit immédiatement qu’il s’agit d’une plage naturiste. Je ne suis pas surprise étant donné que j’ai fait la même chose avec ses parents il y a peu.


Le lendemain, j’en parle à Florian. Il souhaite venir avec son copain, même si sa sœur est également présente. Nous serons donc deux filles et quatre garçons, tout le monde aura un test HIV à jour, je sens que cette journée sera très chaude.


Les jours jusqu’à dimanche m’auront parus interminables tellement j’attendais ce moment avec impatience. J’ai enfilé la robe blanche en tissu légèrement transparent que j’ai achetée. Je me regarde dans la glace, je ne porte rien dessous, je devine mon corps par transparence. Lorsque je retrouve Audrey au rez-de-chaussée, je constate qu’elle a mis une robe assez similaire à la mienne. Elle s’approche de moi et m’embrasse tout en me caressant, je lui rends alors ses caresses tout en lui pelotant les seins. Nous sommes déjà très excitées mais il est temps de partir, il y a un peu de route jusqu’à la mer.


Patrick et Inès nous ont prêté leur grand monospace, ce qui nous permet de faire la route à six dans un seul véhicule, ce qui est plus convivial et nous permet de passer le temps en nous adonnant à notre loisir favori : le sexe. Florian prend le volant et son copain Franck s’installe à côté de lui. À l’arrière, Audrey suce Cédric tandis que je suce Corentin. À l’avant les deux garçons attendent patiemment leur tour tout en nous traitant de salopes. Lorsque les deux garçons ont enfin vidé leurs couilles dans nos bouches, Florian, qui attendait ce moment avec impatience, se gare en bord de route. Je me charge alors de sucer Florian tandis que sa sœur suce Franck. Heureusement que la route est assez droite, car j’aurais fini par être barbouillée à passer l’essentiel du trajet avec une bite dans la bouche. Finalement le trajet m’aura paru plutôt court, c’est toujours mieux d’avoir une occupation quand on voyage.


Lorsque nous arrivons sur le parking de la plage, je reconnais immédiatement l’endroit où je suis venue deux semaines auparavant avec mes patrons. Comme mes amis ne savent pas trop où s’installer, je leur suggère d’aller dans les dunes, nous y serons mieux pour laisser libre cours à nos pulsions.


Pendant que les garçons préparent le pique-nique, Audrey me propose un petit 69, il est vrai que nos sommes les seules à n’avoir pas joui durant le voyage. Après avoir défendu aux garçons de s’immiscer dans notre rapport saphique, nous nous plaçons tête-bêche sur une serviette et nous nous léchons la moule sous leurs regards excités. Nous sommes déjà toutes mouillées et c’est un plaisir de lécher la fente de mon amie. Nous ne tardons pas à atteindre la jouissance à notre tour, chacune suçant avec ardeur le clitoris de l’autre tout en introduisant deux à trois doigts dans la vulve de sa partenaire. Lorsque nous reprenons nos esprits, nous réalisons que les garçons ont installé le pique-nique tout autour de nous. Ils sont assis et se masturbent tout en nous regardant faire.


Le repas est rapidement expédié car pour nous tous, ce que nous préférons du pique-nique, c’est la nique. Pour digérer, les quatre garçons se placent au centre, et entament une partie carrée homo pour notre plus grand plaisir à Audrey et moi. Florian suce Cédric qui suce Franck qui suce Corentin qui suce Florian. Ils s’appliquent et leurs bruits de succion ne sont interrompus que par leurs gémissements. Au bout d’un certain temps, ils se retournent, celui qui suçait se fait maintenant sucer, et ils reprennent de plus belle leurs fellations tandis que nous continuons à nous caresser en les regardant. D’ailleurs nous ne sommes pas les seules à profiter du spectacle, trois voyeurs se sont arrêtés et se masturbent tout en les regardant faire.


Bien décidés à continuer de faire connaissance, les garçons se placent ensuite à la queue leu-leu. Bien évidemment, c’est Florian qui se place devant avec sa petite quéquette. Cédric s’introduit en lui, puis Franck pénètre Cédric, et finalement Corentin encule Franck. Ce dernier découvre la sodomie, il n’est pas habitué à se faire prendre par derrière par Florian, mais il apprend vite et ne tarde pas à ressentir du plaisir à avoir une bite dans le cul. Il y a maintenant cinq voyeurs qui profitent du spectacle, cela m’excite énormément de voir mon chéri se faire défoncer devant ces inconnus. Visiblement il y prend du plaisir car sa petite verge est toute redressée. Je ne résiste pas à la tentation de m’occuper de lui, sinon qui d’autre lui permettra de jouir ? Quand même pas sa sœur ? Je me place donc face à lui et le suce avec ardeur tandis que j’entends les quatre garçons gémir de plus en plus fort.


Audrey, quant à elle, a sorti son appareil photo et s’amuse à faire des clichés de cette brochette de sexes. J’entends les autres garçons crier leur jouissance lorsque Florian m’éjacule dans la bouche. Je me redresse juste à temps pour voir nos voyeurs éjaculer à leur tour. Satisfaits, nous allons tous nous baigner pour nous nettoyer. Les garçons traversent la plage la bite encore à moitié redressée, attirant sur eux de nombreux regards, certains réprobateurs mais la plupart envieux. Seul Florian passe inaperçu, sa toute petite verge étant à peine plus grosse en érection qu’au repos. Nous passons alors une bonne demi-heure à jouer dans l’eau tout en nous caressant mutuellement, nous savons bien que nous sommes observés et cela ajoute à notre excitation. De retour sur nos serviettes, et après nous être tous enduits mutuellement de crème solaire tout en nous caressant, nous nous allongeons, épuisés de nos ébats. Le sommeil ne tarde pas à nous gagner.


Une bonne heure s’est écoulée lorsque je me réveille. Les garçons dorment encore, la bite en érection, c’est mignon. Audrey est en train de se réveiller aussi. Nous les regardons, leurs bites nous font envie. Nous nous mettons alors à les sucer à tour de rôle pour les réveiller, ce qui est assez efficace. Finalement, tandis que je suce Florian et qu’Audrey suce Franck, Cédric et Corentin se placent derrière nous et nous prennent en levrette. C’est ainsi que nous jouissons une nouvelle fois, prises par la bouche et la chatte sous les regards des voyeurs qui se sont à nouveau arrêtés pour profiter du spectacle. « Quelle belle façon de se faire réveiller ! » clament les garçons, tandis qu’ils jouissent de concert. Les bites encore couvertes de sperme, ils se replacent en 69 pour se nettoyer mutuellement le sexe. Florian se place sur Cédric et Franck sur Corentin, trop contents de se sucer encore un peu sous nos yeux.


Après ce moment sexuel, nous retournons à nouveau nous baigner. Une nouvelle fois les garçons circulent sur la plage avec leur bite à moitié raide au milieu des autres naturistes. Après avoir bien joué dans l’eau, je sens que les sexes des garçons commencent à reprendre du volume, il est peut-être temps de retourner dans la dune avant qu’ils aient la bite toute raide. Pendant que nous traversons la plage, Audrey me dit qu’elle voudrait bien se faire enculer par Franck, elle sait que j’y ai déjà eu droit et elle voudrait bien essayer aussi. Je lui confie alors que moi aussi, je me prendrais bien une bite dans le cul pour changer un peu.


Pour ça, les garçons sont à nos ordres. Dès qu’il s’agit de nous mettre, ils acceptent immédiatement sans hésiter. J’ai même l’impression qu’ils sont encore plus volontaires lorsqu’il s’agit de nous pénétrer l’anus. Audrey se met donc à quatre pattes, prête à se faire enculer par Franck. Quant à moi, j’adopte la même position et laisse Cédric et Corentin choisir qui aura l’honneur de se faire mon petit trou du cul. Ils choisissent alors de tirer à la courte-bite celui qui aura le droit de me tirer. Ils se mettent face à face, Cédric touchant Corentin du bout de son gland, c’est Corentin qui a la plus petite et c’est lui qui va pouvoir me défoncer. Dommage, j’aurais préféré la plus grosse, mais c’est mon cher Florian qui va en profiter. En effet, il se met à quatre pattes à côté de moi et se fait enfiler par Cédric.


Nous sommes ainsi idéalement placés et je peux l’embrasser tendrement. Je lui dis alors que je tiens beaucoup à lui, que j’aimerais bien vivre avec lui. Il n’en croit pas ses oreilles, n’espérant pas un jour entendre de tels mots de la part d’une aussi jolie fille, il me murmure alors des mots d’amour tout en se faisant enculer. Nos langues se mêlent, notre respiration s’accélère, nos cœurs s’emballent. Indifférents à notre idylle naissante, Cédric et Corentin, qui sont très partageurs, ne tardent pas à échanger leur place, comme cela je peux aussi profiter de la plus longue bite de Cédric. Un groupe de voyeurs s’est à nouveau amassé pour profiter du spectacle, ils sont sept et il y a même une femme. Tous sont en train de se masturber tout en profitant du spectacle. Mais les meilleures choses ont une fin, je sens déjà des jets de sperme tiède me remplir le cul, à côté de moi mon chéri est lui aussi en train de se faire remplir les entrailles, il en gémit de plaisir, il est beau quand il se fait enculer. Comme deux amoureux, nous continuons de nous embrasser sous les regards étonnés de nos amis, ils ne savent pas encore ce qui vient de se passer entre nous.


Cette journée à la plage aura été encore plus intense que la précédente avec Patrick et Inès. Nous sommes complètement épuisés et n’avons même pas le courage d’aller nous baigner pour nous nettoyer immédiatement. Allongés béatement, nous laissons le sperme s’écouler lentement de nos culs et sécher entre nos fesses. Ce n’est qu’au moment de partir que nous allons dans l’eau pour nous nettoyer avant de nous rhabiller.



23 - Derniers jours avant la rentrée



Mon contrat se termine bientôt et j’ai l’impression que je l’aurai pas le temps de tout essayer avant la fin, alors je redouble d’efforts. Lorsque mon patron rentre de son travail, je lui apporte un apéritif au bord de la piscine, que j’accompagne généralement d’une fellation. Selon son humeur il se termine dans ma bouche ou il me prend en levrette, soit dans la chatte, soit dans le cul. Ma patronne n’est pas jalouse car je la lèche avant qu’elle parte travailler, cela lui donne un coup de fouet pour tout le reste de la matinée.


Ce n’est que le vendredi soir que j’ai l’occasion de voir Florian. Dès que je le vois, mon cœur s’emballe et nous nous embrassons passionnément, même si j’ai sucé son père peu de temps avant et que j’ai peut-être encore un peu le goût de son sperme dans la bouche. Je passe ensuite la soirée avec lui avec l’accord de mes patrons. D’ailleurs j’ai l’impression qu’ils commencent à se douter de quelque chose.


D’ailleurs, dans la matinée du samedi, mes patrons profitent qu’ils sont seuls à la maison avec moi pour que nous ayons une discussion ensemble. Ils ont bien réalisé que je sors avec leur fils. Cela ne leur pose pas de problème, ils préfèrent que leur fils soit bisexuel plutôt que juste homosexuel, cependant ils souhaitent me mettre en garde au sujet de la stérilité de leur fils. Comme je suis déjà au courant, cela les rassure, ce que je fais, je le fais en toute connaissance de cause. De toute façon, outre les sentiments, la taille de sa bite n’est pas un critère prépondérant pour moi. Je leur confie aussi que notre relation n’est pas exclusive et que nous conservons nos libertés personnelles, ce qui me permet de goûter aussi à des bites plus conséquentes, comme par exemple celle de mon patron.


Ravis de mon choix et de ma façon d’entrevoir la relation avec leur fils, sans contrainte ni exclusivité, ils me proposent une petite partie à trois pour fêter cela. J’accepte immédiatement car j’apprécie toujours de recevoir un bon coup de bite de la part de mon patron. Après avoir en quelque sorte officialisé ma relation avec son fils, Patrick ressent un plaisir particulier à baiser celle qui est presque sa belle-fille. Quant à Inès, j’ai l’impression qu’elle fait preuve de beaucoup d’attention à mon égard tandis que nous nous léchons mutuellement, elle joue avec mon clito comme elle ne l’a jamais fait et je lui rends la pareille tout en léchant la bite de son mari quand il ne la pénètre pas. Pour finir Patrick jouit en moi et mes deux patrons terminent en me léchant la vulve à tour de rôle pour avaler le sperme qui s’en écoule.


Samedi après-midi, c’est jardinage. Juste vêtue d’une blouse, je suis penchée en avant pour planter des fleurs. Patrick qui passait par là ne peut se retenir d’admirer mon cul offert à son regard. Rapidement, je sens ses mains sur mes fesses. Offerte à ses caresses, puis carrément offerte à sa bite, je sens rapidement le plaisir monter en moi. C’est une bonne petite séance de baise rapide. Il ne tarde pas à me remplir le cul de sperme puis repart aussi discrètement qu’il était arrivé. Des fois j’ai vraiment l’impression de servir de trou à bites, mais j’aime bien. En plus il n’y a que mon patron qui se permet cela, aucun de ses invités n’oserait être aussi direct.


Le samedi soir, mes patrons reçoivent des amis. À cette occasion, ma tenue de service est changée. Elle est essentiellement composée d’un bustier seins-nus en dentelle noire qui fait également office de porte-jarretelles. À cela s’ajoute une paire de bas noirs et un tablier de service blanc pas plus grand qu’un mouchoir qui parvient à peine à cacher mon sexe puisque je ne porte pas de jupe.


Inès aussi s’est habillée d’un bustier seins-nus avec des bas. Son sexe est bien visible car elle ne porte pas de tablier, contrairement à moi. Les invités arrivent bientôt. Gaétan et Giulia sont accompagnés d’un autre couple d’amis que j’ai déjà vu au camping. Les deux femmes sont également habillées en bustier, ce doit être le thème de la soirée.


Je suis maintenant parfaitement habituée à servir à table habillée dans une tenue sexy. Les invités me pelotent les fesses et insinuent leurs doigts le long de ma fente. J’y prends beaucoup de plaisir et je n’hésite pas à écarter les jambes et bouger un peu pour bien les sentir me pénétrer la chatte.


Le repas touche à sa fin. Ma patronne me rejoint dans la cuisine car le dessert va être servi à même mon corps. Je me déshabille et m’allonge sur une table roulante, puis Inès dispose sur moi des fruits et des pâtisseries. Elle fait aussi couler du miel, du coulis de fraise et du chocolat un peu partout, y compris sur ma vulve et décore mes seins de crème chantilly. Je suis ensuite servie en pâture aux convives qui apprécient visiblement la présentation du dessert. Tandis que certains lèchent le miel, le coulis et le chocolat qui me recouvrent, d’autres me sucent les seins pour finir les restes de chantilly. Les plus pervers prennent une banane, la pèlent et me l’introduisent dans la chatte avant de la manger avec délectation.


Le dessert n’est pas encore terminé que Gaétan se fait un plaisir de m’éjaculer dessus. Immédiatement, tous les convives, hommes comme femmes, se font un plaisir de me lécher pour goûter à son sperme. C’est ainsi que commence la partouze. Je n’ai même pas eu le temps de me laver que je me fais déjà pénétrer par l’ami de mon patron dont je ne connais toujours pas le prénom. Il semble apprécier que je colle de partout et ne cesse de me lécher pendant qu’il me pilonne ardemment avec sa grosse bite.


La soirée continuera ainsi jusqu’à deux heures du matin. Je me serai fait prendre par les trois hommes successivement, certains éjaculant dans ma chatte, d’autres dans ma bouche, probablement plusieurs fois de suite, je ne me souviens pas de tout.


Après une journée de dimanche plus tranquille, qui va me permettre de me remettre de mes émotions, c’est avec joie que j’attends mon jour de repos du lundi. En effet, j’avais proposé à ma sœur de passer me voir et elle a accepté.


Je vais la chercher à la gare, elle arrive par le premier train du matin pour que nous puissions profiter de toute la journée pour nous amuser. La première chose qu’elle me dit après que nous nous soyons fait la bise, c’est qu’elle a elle aussi renoncé aux sous-vêtements. Je m’en rends immédiatement compte pour sa poitrine puisque l’on devine le bout de ses tétons à travers le tissu. Pour ce qui est de la culotte, je lui fais confiance.


Comme elle ne sait pas trop comment s’habiller pour profiter au mieux de la situation, je lui propose de commencer par aller faire du shopping entre filles. Je commence à connaître les magasins de fringues de la ville et nous allons directement dans ceux qui sont les plus intéressants. C’est dans la cabine d’essayage que je peux enfin constater qu’elle ne porte pas de culotte, en plus elle continue de se raser le sexe, elle m’excite avec sa chatte toute lisse, si je me laissais aller je la lécherais tout de suite, même si c’est ma sœur. Finalement, après avoir essayé la moitié du magasin juste pour le plaisir, nous repartons avec quelques débardeurs, un chemisier transparent, deux jupes fendues et des paires de collants, certains transparents et d’autres opaques, que nous porterons sans sous-vêtements dessous dès qu’il commencera à faire froid. Les collants épais et molletonnés prodiguent toujours d’agréables sensations lorsque l’on se masturbe avec.


J’entraîne ensuite Solène dans le sex-shop de la ville car je recherche aussi des collants ouverts. Je n’en ai pas trouvé dans les magasins classiques et c’est quand même bien plus pratique pour se faire prendre à volonté sans subir les inconvénients d’un collant classique, qu’il faut descendre aux genoux ou aux chevilles et qui finit inévitablement déformé si l’on veut écarter un peu les cuisses sans avoir à le retirer.


Je me rachète aussi un œuf vibrant et des boules de geisha puisque j’avais offert les miens à ma sœur. Je lui offre également un godemiché en lui proposant de choisir celui qu’elle veut, après en avoir tâté plusieurs modèles, elle en choisit un assez imposant. Je la traite de gourmande et lui demande si elle réalise bien la taille de l’engin, ajoutant qu’il faudra qu’elle l’utilise devant moi pour que je sois convaincue qu’elle s’en sert vraiment. Ceci ne semble pas l’impressionner car elle m’avoue s’être récemment introduit un concombre avec grand plaisir.


La matinée s’est déjà écoulée et nous nous rendons dans un petit restau tranquille pour détailler nos acquisitions. Je déballe l’œuf vibrant que je viens d’acheter tandis que Solène sort le sien de son sac. Nous nous les introduisons, puis nous échangeons nos télécommandes pour jouer avec. Nous ne sommes pas très discrètes, nos rires sont assez forts, mais qu’est-ce que c’est bon.


Après une balade en ville, nous nous rendons chez mes patrons dans l’espoir de profiter de la piscine. Malheureusement, ils ne sont pas partis comme prévu, ils sont même dans la piscine. Ma sœur les voit alors sortir de l’eau intégralement nus et peut alors constater qu’ils sont tous les deux épilés. C’est la première fois qu’elle voit un sexe d’homme tout lisse. Ils nous proposent tout naturellement de nous baigner aussi. Ma sœur est un peu gênée et elle se confie à moi :



Rassurée, ma sœur retire alors ses habits sous les regards concupiscents de mes patrons.


Après nous être baignées une bonne demi-heure, nous allons nous allonger sur des transats pour sécher. Solène devra repartir dans une heure et je n’ai même pas eu le temps de la caresser alors que j’en meurs d’envie depuis que nous avons essayé les vêtements ce matin. Je m’approche donc d’elle et commence à parcourir son corps de mes mains. Surprise, elle tressaille brièvement, ouvre les yeux et me regarde rassurée, puis elle remarque que mes patrons sont de l’autre côté de la piscine.



Et c’est ce qu’elle fait, elle s’abandonne totalement à mes caresses. Je ne tarde pas à peloter ses seins, ses tétons sont déjà tout durs, je joue avec, les faisant rouler entre mes doigts pour lui arracher des gémissements de plaisir. Une de mes mains se rapproche ensuite de son bas-ventre. Je laisse aller mes doigts le long de sa fente, elle est toute mouillée, j’y introduis un doigt, puis deux, c’est tout chaud à l’intérieur, elle est visiblement très excitée. C’est quand je commence à la masturber qu’elle resserre les cuisses, prise d’un moment de pudeur. Je l’invite à regarder de l’autre côté de la piscine, mes patrons se sont installés en position de 69, en train de se lécher mutuellement avec avidité tout en nous regardant par moments.


Solène cesse alors toute résistance, je la masturbe de plus en plus profondément, puis je m’installe sur elle et me mets à la lécher. Quelques minutes plus tard je sens enfin ses doigts s’introduire en moi puis ensuite sa langue. Nous nous léchons mutuellement sous les regards de mes patrons, la jouissance monte en nous, nos cris révèlent l’intensité du plaisir que nous venons de ressentir ensemble.


Le temps a passé vite, il est temps de repartir à la gare. Solène salue mes patrons avant de partir, ils viennent de jouir aussi et le menton d’Inès est encore brillant du sperme qu’elle vient de recevoir dans la bouche, ce qui ne l’empêche pas de faire la bise à ma sœur.


Nous n’avons que le temps de retourner à la gare, j’embrasse ma sœur et la laisse partir à regret. Je suis déjà impatiente de la revoir, j’ai tant de choses à lui faire découvrir.



24 - Épilogue



Le dimanche suivant, Florian et Franck me proposent une sortie à la plage avec eux. J’accepte bien évidemment, d’autant plus que cela va être pour moi l’occasion de clarifier la situation avant qu’elle ne devienne trop compliquée.


Le meilleur moment pour parler de tout cela étant celui où ils seront le plus décontractés, je leur propose de les enduire de crème solaire. La douceur du massage que je leur prodigue ne tarde pas à les plonger dans un état de bien-être assez prononcé, d’ailleurs leur sexe commence à se raidir sous l’effet de mes caresses. Je me place entre eux, nous sommes discrètement installés à l’ombre, je peux saisir leur bite pour les masturber tranquillement. C’est alors que je décide de m’expliquer.


Je révèle à Franck mes sentiments pour Florian. Je l’aime bien aussi, mais avec Florian c’est plus intense, c’est le grand amour, j’en suis sûre. Je ne veux pas les séparer, je suis prête à vivre avec les deux. Franck est très compréhensif, Florian lui en avait déjà parlé un peu. Cela ne le dérange pas car c’est purement sexuel entre eux. Peu de sentiments, surtout l’envie de baiser aussi souvent que possible. Un ménage à trois ne serait pas pour lui déplaire, tout le monde pourrait y trouver son compte.


C’est un grand soulagement pour moi. Finalement cela s’est plutôt bien passé. Je continue de les masturber puis je les prends en bouche et les suce avec avidité jusqu’à ce qu’ils éjaculent jusqu’au fond de ma gorge. Le reste de la journée va se passer plus calmement : baignade et bronzette, mais aussi exhibitions dans les dunes et partie à trois devant les voyeurs. Ceux-ci étaient très excités de voir une jeune femme se faire prendre par-devant et par derrière par deux garçons, ils ne cessaient de se masturber frénétiquement jusqu’à temps que nous jouissions. Ce qui m’amuse, c’est qu’ils ont été bien moins excités lorsqu’ils ont vu Florian et Franck se placer tête-bêche pour sucer mutuellement leurs bites encore pleines de sperme.


Cette journée à la plage m’aura été fort bénéfique. Le compromis que nous avons rapidement trouvé m’a ouvert de nouvelles perspectives. Je vais paraître préoccupée pendant plusieurs jours, mais c’est parce qu’une idée m’est venue. Une idée folle, mais qui pourrait bien changer le cours des choses.


Le mardi suivant, je revois Florian et Franck. Je leur expose mon idée. Ils la trouvent insensée, mais aussi tellement cohérente, qu’ils se rendent à l’évidence et me confessent qu’en fait, ils la trouvent excellente.


Le lendemain, n’osant aborder directement le sujet avec mes patrons, j’en parle d’abord à Audrey. Celle-ci, complètement emballée par mon idée, file immédiatement en parler à ses parents. Patrick et Inès ne tardent pas à revenir, visiblement heureux de mon idée, ils m’embrassent et me serrent chaleureusement dans leurs bras tout en laissant échapper des larmes d’émotion.


Septembre approche. Les cours vont bientôt reprendre à la fac. Mon emploi saisonnier de jeune fille au pair va se terminer. Je devrais ressentir de la tristesse que tout ceci soit fini. Et pourtant… C’est une nouvelle vie qui va commencer pour moi. Les préparatifs vont bon train. Tout doit être fini pour fin octobre. Heureusement, nous avons une très belle arrière-saison et la cérémonie va pouvoir se dérouler sous un grand soleil.


En effet, en ce dernier dimanche d’octobre, je suis radieuse, debout aux côtés de Florian, dans la mairie, habillée dans une magnifique robe blanche faite de dentelle et de perles, une splendide robe de mariée que je suis si heureuse de porter.


Nous nous sommes dit oui. Pour le meilleur et pour le pire. Mes parents étaient émus, ceux de Florian encore plus, ils n’imaginaient pas que ce moment puisse être possible un jour. Nos témoins sont Franck et Audrey. C’est grâce à eux que j’ai eu cette idée, cette petite idée de rien du tout, qui a tout résolu : que ce soit le père de Florian qui me fasse un enfant à sa place, ainsi la famille aura une descendance malgré sa stérilité, et qui plus est, les gènes paternels seront malgré tout transmis à la descendance. Pour moi, cela ne va pas changer grand-chose. Patrick me baise déjà assez souvent, son fils le sait et cela ne le dérange pas.


J’observe l’assemblée qui nous entoure pour célébrer notre union. Mes beaux-parents sont en larmes. Audrey et Franck, nos témoins sont très émus aussi. Je vois aussi Cédric et Corentin, les deux copains d’Audrey. Et un peu plus loin, je reconnais Gaétan et Giulia. Toutes ces personnes avec qui j’ai connu nombre d’émois ces derniers mois. Ma petite sœur est là aussi, je repense aux tendres moments de plaisir que nous avons partagés ensemble. Je sais qu’elle ne porte ni culotte ni soutien-gorge malgré sa jupe assez courte. Les autres personnes présentes ne savent pas la débauche de sexe que j’ai partagée avec toutes ces personnes, heureusement.


Si le reste de la journée s’est passé de façon de façon assez conventionnelle. Le réveil des mariés à cinq heures du matin l’a été beaucoup moins. Audrey, Franck, Cédric, Corentin et ma sœur Solène ont débarqué à moitié nus. Les deux filles ne portaient qu’une guêpière seins-nus et des bas, quant aux garçons, ils portaient une magnifique érection, ils m’ont avoué par la suite avoir pris du Viagra pour l’occasion. Cela s’est immédiatement transformé en partouze, les trois garçons me prenant par tous les trous pendant que ma sœur suce mon chéri tout en se faisant lécher la chatte par Audrey. Je vais ensuite m’occuper de mon chéri, après tout je suis sa femme, laissant ma petite sœur se faire prendre par-devant, par derrière et dans la bouche par les trois mâles aux bites raides. Personne ne s’occupe d’Audrey mais elle en profite pour immortaliser cette orgie avec le caméscope de ses parents. Florian, très excité de la situation, parvient à jouir dans ma bouche. Pendant ce temps, je vois ma sœur se faire gicler dessus par les trois pervers, et elle aime ça, car elle laisse sa bouche bien ouverte pour en recevoir une partie au fond de sa gorge tandis que le reste s’écoule sur ses joues, son cou et ses seins.


Ce grand moment solennel passé, la vie va reprendre son train-train quotidien. Enfin un train-train assez particulier, car en dehors de mes études à la fac, je vais partager ma vie avec Florian et Franck. Installés à trois, comme l’a fait Audrey, ils me prennent tous les soirs par-devant et par derrière, je suce Florian pendant que Franck m’encule. Ma chatte, je la réserve pour Patrick, qui est le seul à avoir le droit de me féconder. Franck n’a pas le droit de jouir dans ma chatte, mais cela ne le dérange pas puisqu’il préfère la sodomie. Quant à Cédric et Corentin, ils respectent mon choix, et même si je les laisse me pénétrer aussi souvent qu’ils en ont envie, ils ont toujours la courtoisie de se retirer à temps et terminent dans ma bouche qu’ils savent très accueillante.


Des fois, je me dis que ma chatte est pour Patrick, mon cul pour Franck et ma bouche pour Florian. J’ai précieusement conservé le gode moulé sur la bite de mon patron. Je l’utilise souvent avec Franck et Florian. Pendant que l’un m’encule et que je suce l’autre, je m’introduis l’engin de latex dans la chatte. À ce moment, je m’imagine prise simultanément par mon chéri, son père et son copain.


Quelquefois ma sœur nous rend visite. Comme elle a bien aimé se faire prendre par tous les trous lors de notre mariage, nous invitons aussi Cédric et Corentin, elle est toujours partante quand il y a trois mecs pour s’occuper d’elle.


Bien évidemment, je continue à avoir très régulièrement des rapports sexuels avec mes anciens patrons, en fait tous les week-ends. Bien évidemment, c’est pour l’insémination, mais aussi pour le plaisir, Florian le sait bien et il n’est pas jaloux. Pour lui, le plus important, c’est que je sois heureuse. De toute façon, Franck et Florian profitent que je ne suis pas là pour se faire une soirée entre mecs qui se termine toujours en enculade. Pendant ce temps, je suis avec Patrick et Inès, elle insiste toujours pour introduire elle-même le sexe de son mari dans ma chatte, très excitée à l’idée de participer ainsi à la conception de ses futurs petits-enfants.


Ne voulant pas sombrer dans la monotonie, je vais quelquefois remettre ma tenue de soubrette pour assurer le service du repas du samedi soir lorsque mes beaux-parents reçoivent des amis. Ce qui me permet de participer à leurs ébats, Florian le sait. Mais comme je suis fécondable, les invités n’ont droit qu’à ma bouche et mon cul, seul Patrick a droit à ma chatte et il ne s’en prive pas, chaque fois qu’il est sur le point d’éjaculer, il quitte sa partenaire et vient mettre sa bite dans ma chatte pour me remplir encore un peu plus de sperme.


Deux mois ont passé depuis le mariage. La neige tombe dans les rues de la ville tandis que les passants s’affairent en cette fin d’année. Je suis avec Inès, en train de faire les courses pour le réveillon du nouvel an, lorsque je réalise que j’aurais dû avoir mes règles pour Noël. Sans plus attendre, nous nous rendons dans une pharmacie pour acheter un test de grossesse. Nous allons ensuite dans le café le plus proche et je me rends immédiatement aux toilettes pendant qu’Inès commande deux chocolats chauds. Pas facile de faire pipi sur un petit bâtonnet grand comme un stylo, je m’en mets sur les mains mais je finis par y parvenir. Je quitte les toilettes anxieuse, le test discrètement enveloppé dans un mouchoir en papier, il faut attendre une minute pour voir le résultat. À peine assise, impatiente, je déballe le bout de plastique blanc. Deux traits bleus. Il est positif ! Je suis enceinte ! Folle de joie, Inès m’embrasse tout en pleurant, moi aussi je me mets à pleurer de bonheur. Quel spectacle étonnant pour les autres clients du bistrot.


Florian n’aurait jamais pu imaginer que cela puisse être possible un jour et pourtant il va être papa. Patrick et Inès vont être grands-parents, eux aussi ne s’y attendaient plus. Je n’aurais jamais cru que ma vie puisse autant changer en si peu de temps. Six mois seulement se sont écoulés et ce n’est pas fini. Ce n’est que le début. Dans un peu moins de neuf mois, ce sera le plus beau jour de ma vie et une incroyable joie pour mon chéri.