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n° 16642Fiche technique30521 caractères30521
Temps de lecture estimé : 18 mn
17/02/15
Résumé:  Un homme, une femme, un adultère. Classique, mais tout est dans l'instant vécu.
Critères:  fh hotel fellation cunnilingu anulingus fsodo hdanus
Auteur : Passeur de rêves      Envoi mini-message
Vers 17 heures, elle quitte la chambre sur un dernier baiser

Chapitre 1 : Le dîner



Séverine était à côté de moi pendant le dîner. Elle portait une jupe couvrant à mi-cuisses ses jambes gainées de noir – bas ou collants : l’alternative sensuelle pouvait devenir érotique. La discussion, comme à l’habitude, portait sur les sujets futiles qui font l’ordinaire des dîners lillois, lorsque je sentis son pied contre le mien. Adorable sensation que d’imaginer que ce n’était pas le hasard qui l’avait conduit ici. Je ne bougeais pas le mien, trop perdu dans mes fantasmes utopiques. Mais je n’eus pas le temps de prolonger mes rêves alors que la discussion allait bon train sur les dernières péripéties de notre président volage. Le pied de ma charmante voisine se fit plus précis car, libre de tout escarpin, il remontait doucement le long de ma cheville. Le doute ne pouvait être permis : la belle blonde était tout simplement en train de me faire du pied. Quelle provocation ! En plein dîner entre amis, avec son mari, tout proche, ma femme à quelques chaises, c’était plus qu’une provocation en fait, bien davantage un énorme risque.


Comment décrire Séverine ? C’est une très jolie femme, sans aucun doute la plus jolie de nos amies. Plutôt grande, blonde façon Marylin, un corps bien fait, une taille de hanches idéale, des seins sans exagération et de longues jambes aux attaches fines, un joli visage doux aux yeux gris-vert. Peut-être un peu grande et mince, pas certain. Quelques petites imperfections donc, mais une folle envie de lui faire l’amour à chaque fois que je la voyais. Peut-être mon envie avait-elle été trop visible ; les femmes ont ce sens-là et je soupçonnais Séverine de le détenir plus que d’autres.


J’étais immobile comme une statue de bronze et mon sexe se trouvait d’un coup trop à l’étroit dans son boxer. Je sentais son pied plus insistant, comme s’il appelait une réaction de ma part. J’osai un regard à ma gauche, mais Séverine, le buste penché sur la table, participait aux échanges avec la petite pointe d’humour qu’elle sait si bien distiller et qui contribue à son charme. Son pied, trop impatient, aida le mien à ôter mon mocassin, le libérant pour pouvoir jouer avec lui en toute discrétion. C’était du moins mon espérance.


Le reste du repas, nous avons ainsi fait l’amour par procuration pédestre. Son peton nu caressait le mien, et ses orteils malins voulaient sans doute ôter ma chaussette. Vainement. Je me voyais mal en effet expliquer à ma femme ou à mes amis, lors du café, pourquoi je n’avais mis qu’une chaussette ce soir ! Ce petit jeu me procura cependant un réel plaisir que je n’osais concrétiser, sauf à recaler mon sexe le plus naturellement possible ; bel exploit en plein repas.


Pendant le café, revenus au salon, rechaussés, nous nous sommes assis l’un en face de l’autre, par hasard, pas tout à fait. Je sentais que parfois le regard de Séverine se portait sur moi, mais je ne cherchais pas à accrocher le sien, mon trouble aurait été trop perceptible. En se quittant, il m’a semblé que ses bises étaient plus proches de mes lèvres que le bon usage ne l’aurait permis. Le soir, encore mal remis de mes émotions, alors que ma femme s’était endormie, je soulageai mon désir dans le salon, libérant mes fantasmes les plus fous avec une Séverine toute dévouée.


Cela dit, le surlendemain, revenu au calme de mon bureau, je ne pouvais pas imaginer que cela puisse en rester là. Nous – elle surtout – avions été trop loin pour que nous arrêtions ici notre relation débutante.




Chapitre 2 : Deuxième dîner



Le samedi suivant, vrai hasard du calendrier mondain, nous dînions encore ensemble chez d’autres amis. Séverine était cette fois-ci en pantalon noir, chaussée de ballerines assorties. Le début de la soirée se passa comme à l’habitude, comme si rien ne s’était passé huit jours auparavant. Bien que nous soyons encore assis l’un à côté de l’autre – pur calcul du maître de maison, bien ignorant de mes espoirs pourtant – aucun signe ne vint de sa part et je me gardai bien d’en envoyer, ne voulant pas brusquer les choses, et aussi par crainte d’un éventuel changement d’avis de sa part.


Après s’être rassise, ayant aidé la maîtresse de maison à débarrasser les hors-d’œuvre, elle était à nouveau à mes côtés. Je compris très vite son jeu. Elle s’était affranchie d’une nouvelle aide par cette action, et ainsi elle avait maintenant le reste du repas pour faire ce qu’elle désirait. Et cela ne tarda pas. Je sentis à nouveau rapidement son pied, sans la ballerine, frôler le mien, et comme la dernière fois remonter sur ma cheville par des mouvements appuyés et sensuels de va-et-vient qui eurent l’effet immédiat de me remettre en état d’érection maximale instantanément. Mon pied déchaussé rejoignit le sien, et à mon tour je caressai son mollet avec cependant la frustration de ne pas sentir le délicieux contact de la soie, car son pantalon était trop étroit pour remonter plus haut que la cheville.


De la même manière, à mon retour chez moi, je me terminai dans mon salon, mes fantasmes devenant des perspectives que je ne savais pourtant comment faire aboutir.


La réponse vint d’elle-même le mardi matin à mon bureau. Concentré sur un dossier de prêt complexe, je reçus un texto de Séverine. Je savais que c’était elle car j’avais enregistré son numéro, sans y associer toutefois une photo. J’aurais pu mettre un pied. Son « numtel » dans mon portable ne pouvait surprendre ma femme ; après tout, c’était une amie, au moins jusqu’à présent.


« Quand ? » était-il écrit.


On ne pouvait être plus clair. Je réfléchis rapidement. Je savais qu’elle travaillait le jeudi, mais le mercredi j’avais des rendez-vous incontournables.


« Vendredi 14 h 00. »

« Où ? »


À nouveau, l’initiative – ou plutôt la réponse – me revenait. Pour l’initiative, j’avais quelques TGV de retard.


« Grand Hôtel Bellevue : monsieur Maréchal. »


J’avais pris le nom de mon directeur des ressources humaines, par je ne sais quel idée subite.

Cet hôtel a l’avantage d’avoir un bar-salon où nombreux sont les promeneurs à venir flâner autour d’un café, et il serait facile de s’éclipser discrètement vers les chambres.


« À vendredi. » s’inscrivit sur mon écran.


Et c’était fini. Je m’empressai de détruire tous ces échanges déjà adultères.

Je passai un mauvais mercredi, mais un jeudi plein de promesses car je retins la chambre pour le week-end, sachant que je ne l’occuperais, au mieux, que quelques heures. C’était « un peu » cher pour quelques heures, mais le sacrifice n’était rien, comparé à mon envie de cette belle blonde.




Chapitre 3 : L’arrivée



Vendredi, 14 heures. J’attends dans cette grande chambre au premier étage, face à la place encore sous une couche de nuages lourds de pluie à venir. Je bois un gin pris dans le mini-bar. Je n’aime plus cet alcool d’adolescent, mais bêtement j’ai besoin de lui et je me suis dit que mon haleine serait moins forte. Quel imbécile…


Dans le couloir, j’entends des pas. Des talons, plutôt. Ils s’arrêtent devant ma porte. Quelques secondes passent comme des heures pendant mon apnée. Deux coups discrets sont frappés. Je m’apprête à ouvrir. Et si tout cela n’était qu’une vaste blague dans laquelle je serai tombé ? J’ouvrirais pour me retrouver nez à nez avec mes amis réunis pour mon anniversaire. C’est dans cinq mois. Quand même. C’est donc le sexe dur et néanmoins la gorge nouée que j’allai ouvrir.


Séverine est bien là. Seule. Un sourire éclatant aux lèvres. En tailleur. Bas ou collants ? L’alternative va être bientôt levée.



Je réponds « oui » et elle entre, tout sourire. Je ferme la porte et elle avance au milieu de la pièce.



Elle est toujours face à la place lorsque je m’approche d’elle, mon corps épousant le sien sans s’appuyer. Elle tourne la tête et je dépose mes lèvres sur les siennes pour un premier baiser sensuel. Elle se retourne, nos lèvres toujours unies, mais nos langues s’échappent vite. Elle répond avec une fougue qui m’étonne. Sa langue joue avec la mienne, envahissant mon palais, jouant avec mes dents. Nos salives mêlées, nous sommes toujours dans collés à la baie vitrée.


Je prends sa tête dans mes mains, mes doigts se perdant dans des cheveux parfaitement coiffés. Ses mains parcourent mon dos, massent mes omoplates. Sa cuisse droite monte le long de ma jambe, dévoilant la sienne jusqu’à l’aine. J’y plaque ma main, au-dessous de sa jupe. Mon sang se met à bouillir en découvrant, enfin, une cuisse libre au-dessus du bas. C’est bien un bas. L’instant se fige. Nos bouches halètent, les lèvres collées. Nos corps épousent les moindres formes de l’autre. Sa jambe droite est repliée derrière mes fesses, et je bloque son pubis contre mon sexe, ma main incrustée sur le haut de sa cuisse. L’instant est si érotique que je n’ose, elle non plus, le briser par un quelconque mouvement.


Nos langues redonnent le signal de l’assaut. Elle suce ma langue et mes lèvres avec avidité. Je poursuis mon route plus haut. Ma surprise ne s’arrête pas là quand mes doigts longent la bretelle du porte-jarretelles. Séverine a décidé de jouer la totale de l’érotisme. Sa main descend vers mon entrejambe pendant que je caresse ses fesses. Séverine porte une petite culotte, bien plus érotique que tout autre string vulgaire. Tandis qu’elle dégrafe ma braguette, libérant mon membre dur comme de l’airain, je me dis, toujours en l’embrassant sauvagement, que c’est en fait une belle salope que cette amie Séverine, et que si cela continue, je ne vais pas tarder à la violer, là, devant la foule qui s’empresse à nos pieds.


Sa main s’empare de mon sexe et commence à le branler doucement. Ce rythme calme un peu nos baisers qui se font plus profonds. J’adore enrouler ma langue autour de la sienne, voluptueusement. Mon sexe à l’apogée de sa forme commence à s’humecter de jute. Ses doigts poisseux montent jusqu’à sa bouche. Elle les suce pendant que je la regarde, belle de jour, ses yeux rieurs dans les miens. Ah, la belle salope !


Mes mains ne restent pas inactives ; j’atteins son pubis, dégagé rapidement de sa petite protection de coton. Il est ruisselant. Mes doigts s’insinuent dans sa fente, roulant ses lèvres et trouvant son bouton érogène. Séverine gémit sous la caresse. Je poursuis doucement, lissant tout le long sa chair tendre et humide. Elle me branle en cadence ; nos langues suivent ce rythme sensuel. Instant magique. Nous sommes toujours debout, léchant tour à tour nos substances crémeuses, nous embrassant pour goûter chacun la saveur de l’autre. Quel pied ! Quel moment d’érotisme et de luxure à la fois… Mais notre position me devient inconfortable et je l’attire vers le lit, bouches liées, langues actives, sa main redevenue branleuse.




Chapitre 4 : Le lit



Je la pousse et elle tombe sur le dos, sublime. Ses cheveux encadrent son visage toujours souriant. Son chemiser est toujours sagement boutonné, ses bras écartés, les pieds touchant le sol, mais ses cuisses sont découvertes jusqu’à son sexe, presque nu, totalement nu lorsque je le délivre, le pauvre, de sa petite dentelle blanche. Je m’installe devant elle, entre ses jambes que je lui écarte, glissant ses chevilles sur mes épaules pendant que je m’agenouille devant mon calice de désir. Ma langue trouve très vite son petit clitoris et s’en joue tandis que mon amie Séverine gémit de plaisir, ses doigts glissés dans mes cheveux. Je durcis le bout de mon arme buccale pour exciter encore mieux son bouton rose. Je lape ses lèvres, doucement, langoureusement, comme on le fait avec la cuillère en bois pleine de chocolat. Son sexe est inondé par ma salive et sa cyprine âcre que je bois avec gourmandise.


Mes mains ne restent pas inactives, déboutonnant enfin le carcan de deux seins mignons dont j’alerte les mamelons avec des pincements qui accélèrent les cris de mon amante. Elle s’arcboute, ses mains tous doigts écartés me tenant les tempes. Elle courbe son dos en secousses et jouit intensément, plaquant son sexe sur mon visage et serrant ses jambes autour de mon cou, m’enfermant dans une étreinte si violente que je perds presque mon souffle. Elle crie mon prénom. Quel bonheur de faire jouir une si belle femme… Quelle amante déjà !


Sans lui laisser le temps de reprendre ses esprits, je me libère de son étreinte et la retourne pour embrasser ses fesses. Elle est à genoux, pantelante au bord du lit. Je suis entre ses jambes, face à deux globes superbes. Sa joue posée sur le lit, Séverine a du mal à reprendre son souffle. Doucement je lui embrasse le cul tout en le caressant ; il est si doux, si agréablement ferme et moelleux à la fois. J’écarte encore ses genoux pour faire apparaître sa ligne de partage et son trou, objet de ma luxure. Son sexe est encore brillant de jus, et avec mon doigt j’en lubrifie son orifice sombre.



Sans un mot, j’enfonce mon majeur doucement dans son cul, commençant mes va-et-vient sans brusquerie. Elle me dit toujours « non », mais comme souvent, son corps la trahit. Deux doigts maintenant ouvrent le passage prochain que je me prépare. Séverine a le visage enfoui dans les draps, les mains fermées sur le tissu. Je sais qu’elle appréhende, mais également qu’elle ne souhaite maintenant que cela.


Je remplace mes doigts par une langue dure et inquisitrice. Le goût acide de toutes les saveurs de son cul et de sa chatte réunies me procure un plaisir immense. Elle frémit sous mes caresses. Ses mains reviennent sur mes cheveux, sans doute pour une dernière lutte qu’elle a pourtant déjà perdue. Ma langue, tel un dard, s’enfonce dans son trou plus profondément, léchant les bords de son orifice puis les lèvres de son sexe, revient, pénètre. Je suis aux anges ; elle aussi, car elle oscille d’avant en arrière, cherchant mes caresses buccales. Ma main s’est emparée de ma queue raide et je me branle doucement. Il est temps : je la sens prête à jouir encore, et si je continue je ne vais pas tarder non plus.


Je l’accompagne sur le milieu du lit, l’embrassant encore à pleine bouche pendant que je la positionne en levrette. Avant le dernier assaut, je la regarde encore. À genoux, dos à moi, les jambes écartées, elle a les mains posées sur les oreillers. Livrée, soumise, abandonnée à mes désirs. La tête levée avec sa chevelure blonde qui descend sur ses épaules. Son chemisier cache son dos, mais je vois le bout de ses seins aux tétons érigés. Je me relève pour me libérer de mes vêtements. Prête, elle me regarde me déshabiller, un sourire aux lèvres. Si je lui livrais mon sexe maintenant dans sa bouche, je suis sûr d’éjaculer dans l’instant. Je préfère me placer derrière elle, bite pointée.


Elle lève la tête lorsque je m’introduis dans son sexe chaud. Lentement, je la pénètre, mes mains placées sur ses globes. Je l’astique ainsi quelques minutes, prenant soin de me coller en butée de couilles puis de me retirer presque jusqu’à l’éjection pour me replonger vivement dans sa chatte qui mouille de plus en plus. Son sexe est agréable, doux et mouillé. Ma pénétration se fait librement, mon sexe lubrifié glisse dans cette gaine au contact des parois roses qui excitent mon gland. Mes mains, largement ouvertes, prennent ses globes blancs avec fermeté, les faisant accompagner mes mouvements. Séverine va-et-vient. Je caresse ses hanches, me penchant sur son dos, bite à fond, pour saisir ses seins et pincer ses tétons durs de plaisir. J’arrive presque à l’embrasser malgré la position peu confortable. Nos langues se touchent, mouillées de salive. Une vraie luxure. Elle lutte pour prolonger le plaisir, mais je la sens venir à ses mouvements de plus en plus nerveux et aux contractions de son sexe. Je sors avant l’explosion, la laissant frustrée du plaisir qui s’annonçait.



Joignant le geste à la parole, je mets le bout de mon sexe devant son trou brun luisant et, doucement, je m’introduis dans ma Séverine pour une sodomie que je n’avais osé imaginer, même dans mes plus torrides fantasmes. Je progresse doucement ; je la sens étroite, preuve d’une virginité inespérée. Manifestement, mon ami n’a jamais enculé sa femme, me laissant ce plaisir. Mon gland disparaît, et par quelques va-et-vient j’arrive avec douceur à enfouir ma queue presque entière sans qu’elle ne semble gémir d’autre que de bonheur, me semble-t-il. La première sodomie conditionne toutes les autres. Il faut procurer du plaisir à sa partenaire. Le passage est étroit, et je continue à le lubrifier en plongeant alternativement dans sa chatte et son anus.



Elle m’encourage de ses « doucement ». Après quelques minutes, mes couilles touchent enfin son joli cul. Je suis à fond.



Je décide d’ajouter un peu de piment à nos ébats, pour voir jusqu’où ma compagne irait. Toujours enfoncé à fond, je caresse son dos, ses cuisses de soie, ses fesses, sans bouger, le temps que son conduit prenne bien la forme de mon sexe. Elle a l’air de goûter la position. Ses fesses bougent lentement de gauche à droite, me procurant des frissons de bonheur.



Nous devisons unis l’un à l’autre, ainsi.



Elle se retourne, l’œil interrogateur mais rusé.



Un sourire narquois illustre le coin de sa bouche.



Je reprends mes mouvements d’avant en arrière, doucement, puis plus vite. Séverine subit mes coups en gémissant, le buste collé à l’oreiller, sa main caressant son clitoris que j’imagine turgescent. Elle crie lorsque à nouveau elle jouit en s’affalant définitivement sur les draps, pantelante.


Nous restons ainsi plusieurs minutes, moi toujours enfoncé dans son cul, couché sur elle. Bras tendus, mains jointes, nos corps s’épousent parfaitement, mes jambes posées sur les siennes, mes pieds jouant avec les siens. Nos bouches et nos lèvres s’embrassent malgré cette position peu académique pour le faire. J’adore pourtant l’embrasser ainsi, dans le coin de sa bouche, pleine de salive. M’approchant de son oreille, je lui glisse tout en lui léchant le lobe :



Je me retire doucement, profitant du bruit vicieux de succion que fait mon sexe en sortant de son anus plein de sécrétions. Je bande encore pleinement.


Dans la salle de bain, vu le prix que j’ai payé pour la chambre, j’hésite à me branler pour pouvoir plus tard profiter plus longuement de ma partenaire sans être gêné par une éjaculation que je sens à la limite de ma résistance. Mon désir de l’éclabousser de ma semence me fait résister et, le sexe toujours raide mais propre, je retrouve mon amante sur le lit. Elle est sur le dos, superbe. La chevelure blonde couvre presque l’oreiller, ses bras écartés ouvrent largement son chemiser où ses seins sont libres. Je note donc que pendant ma courte absence elle a ôté son soutien-gorge, mais conservé son chemisier. Tellement érotique… Elle a également enlevé sa jupe, mais pas son porte-jarretelles, ni ses bas, ni ses escarpins que j’avais entendus dans le couloir. Une jambe repliée, elle s’abandonne. Je l’admire ainsi.



Je m’approche du lit et m’assieds auprès d’elle. Je caresse son buste, sa poitrine, lui pinçant doucement les tétons. Ma main descend vers son nombril. J’ai la jambe repliée sous moi, l’autre encore hors du lit. Mon sexe est tout près d’elle. Elle se penche et pose un baiser sur cette queue dressée vers elle. Sa langue joue avec mon gland, le léchant en l’enroulant. Elle crache un peu de salive qu’elle étale sur lui avant de le lécher encore. Je lui caresse les cheveux, le cou, la poitrine, roulant ses tétons sous mes doigts. Elle se met sur le côté et commence sa fellation.


Je pourrais mettre une majuscule à « fellation », tant son application est grande. Je m’allonge le plus confortablement possible, le torse posé sur un oreiller, mes mains caressant toujours ses cheveux, les peignant de mes doigts qui parfois glissent jusqu’à ses lèvres pour y constater ce que je n’osais croire : sa langue léchant ma bite, épousant sa courbe, titillant mon méat. Elle embrasse ma hampe, les lèvres ouvertes, laissant sa langue chatouiller ma chair turgescente. Sa bouche gourmande m’engloutit ensuite jusqu’aux couilles, puis les suce à leur tour. Quelle merveille ! Ces minutes de bonheur ne peuvent pas finir, tant mon plaisir est immense… Cette femme superbe me suce admirablement, comme une vraie salope. J’ai envie de le lui dire.



Ces mots doivent lui faire de l’effet car elle me regarde avec intensité, renouvelant ses assauts avec encore plus de suavité. Elle crache de la salive pour rendre ses caresses encore plus juteuses.


Sans qu’elle ne cesse, nous changeons de position. Je me trouve sur elle maintenant, presque assis sur sa poitrine, mes bras tendus de chaque côté de ses épaules. C’est moi qui donne le rythme lent et la profondeur de cette pipe. Séverine m’offre sa bouche et sa langue. Je prends mon plaisir à entrer doucement dans cet écrin qu’elle arrondit à mon passage. Tout en glissant entre ses lèvres je la fixe, ce qui ajoute à mon bonheur. Je me retire lentement ; sa langue en cuillère épouse ma tige, titillait encore mon gland. Je le tiens au bord de ses lèvres pour qu’elle l’embrasse, goûtant les quelques gouttes de jute qui suintent.


Après plusieurs minutes de bonheur, je sais que je ne peux me retenir plus. Elle doit le sentir, car ses mains me retiennent hors de sa bouche in extremis. Je halète d’un plaisir presque atteint. Toujours en équilibre, ses mains prennent mes fesses pour les caresser lentement. J’attends, sans bouger. Ses doigts se font plus précis, lissant ma raie, trouvant mon trou et le cernant. Nous sommes les yeux dans les yeux, mon sexe au bord de ses lèvres, immobiles, légèrement ouvertes, la langue sage. Je sens son souffle. Son majeur s’insinue doucement dans mon cul, tournant pour en élargir l’accès, bientôt rejoint par un index inquisiteur. Elle m’astique ainsi pendant quelques allers-retours pendant que sa langue lape à nouveau mon gland.


Face à de telles caresses, mon plaisir arrive enfin. Je jouis avec violence. Je vois mes jets de sperme laiteux et crémeux jaillir de mon sexe qui tressaute, frappant ses lèvres. Ils inondent sa langue, ses lèvres, sa gorge. Je crois l’étouffer par ces giclées au fond de sa bouche. Jamais je crois je n’avais joui avec une telle puissance, surtout pas dans la bouche d’une femme. Mes secousses se poursuivent, mon sexe englouti, mes yeux rivés aux siens qui se troublent sous le plaisir. Je réprime un cri, mais pas mon râle de plaisir. Je me retire enfin mais elle me garde au bord de ses lèvres. Sa langue joue encore avec mon gland, corne d’abondance. Elle ouvre la bouche et je vois ma crème couvrant sa langue, sa gorge. Plusieurs fois, bouche ouverte, elle fait jouer sa langue avec mon sperme puis l’avale, sans jamais me quitter des yeux. Je hurle silencieusement de cette luxure nouvelle.





Chapitre 5 : Découverte



Ma bouche se colle à la sienne et je découvre le goût de ma semence au travers d’un long baiser, assis sur sa poitrine, mon sexe entre ses seins. J’oscille quelques minutes pour cette petite branlette espagnole improvisée. Ses jambes repliées touchent mes fesses lorsque je me recule. Ses mains sur mes cuisses glissent sur mes fesses. Ses doigts inquisiteurs longent ma raie, s’arrêtant sur mon trou. Sous cette nouvelle caresse, j’arrête mes mouvements.


M’embrassant toujours, elle met à nouveau son doigt à l’orée de mon tunnel, et doucement l’enfonce. Mon désir revient. Mon sexe durcit à nouveau entre ses seins. Je l’embrasse, courbé sur elle. Nos langues se battent encore dans un jus de salive au goût de stupre. Je me couche sur Séverine, mes mains caressent ses seins menus, pincent ses tétons, tirant des petits cris de mon amante. Elle me masse les omoplates, le dos, les fesses, lèche ma figure, mord mes oreilles, déchaînée. Nos cuisses s’entrechoquent, nos pieds luttent, nos sexes se frottent l’un à l’autre. Par moment je la pénètre, puis ressors aussi vite. Sa chatte est trempée, ma bite luisante la poignarde enfin, sans se retirer. Séverine crie de jouissance pendant qu’après quelques coups sévères j’éjacule encore, nos pubis collés, bouches jointes lèvres ouvertes, mélangeant nos souffles courts, nos corps moites de sueur. Quel bonheur intense !


Nous sommes étendus côte à côte, mains unies.



Ma confession la trouble-t-elle ? La gêne-t-elle ?



Je m’allonge sur le côté en la regardant.



L’évocation de Charlotte m’assombrit un peu. Elle le voit tout de suite.



Je l’embrasse encore et la couvre de mon corps ; mon sexe pénètre sans peine le sien.


Vers 17 heures, elle quitte la chambre sur un dernier baiser.