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Temps de lecture estimé : 18 mn
22/02/15
Résumé:  Dédé décide d'aller chercher sa belle-sœur pour gagner du temps. Quand Marie nous quitte, nos regards se croisent ; la rougeur revient sur ses pommettes...
Critères:  fh couple voisins copains campagne amour pénétratio init
Auteur : Alaiko      Envoi mini-message
La belle-soeur de mon copain




J’habite dans le centre de la France, sur un haut plateau. La vie est difficile ; les hivers sont rigoureux, le travail dans une ferme n’est pas de tout repos. Nous sommes en couple ; nous élevons des vaches laitières, des veaux. Pas de voisin en dehors de la période estivale : le plus proche copain possède une exploitation située à 25 km.

Ma femme vient de me quitter : elle ne supportait pas la solitude, nos relations conjugales étaient inexistantes depuis plusieurs mois. La faute était commune, chacun restait sur ses positions, on ne se comprenait plus. Je me retrouve maintenant seul à mon travail.


Un jour, mon copain me demande de passer chez lui : il a un souci électrique dans sa salle de traite, c’est urgent. Comme j’ai de bonnes notions, il compte sur moi.

J’arrive chez lui. Il m’indique que Joëlle, sa femme, est partie faire des courses, puis il ajoute :



Je ne réponds pas à son explication, je n’aime pas entrer dans les histoires de couples. Nous partons à la salle de traite.


Je détecte la panne ; je dois refaire un morceau de l’alimentation d’un moteur, c’est la cause de l’incident. Pour passer les fils, il faut être trois : une personne dans l’autre bâtiment pour attraper les fils, une personne pour me les donner, le travail pour moi se situant en hauteur sur un escabeau, dans un coin de la salle de traite. Sinon nous procéderons en deux étapes. Dédé décide d’aller chercher sa belle-sœur pour gagner du temps.


J’ai ma combinaison de travail ; je ne porte pas de sous-vêtements, c’est mon habitude. Marie est au pied de l’escabeau, elle guide les fils à la sortie de leur boîte ; ceux-ci passent entre mes jambes. À cause de l’étroitesse du recoin – juste la place de mettre l’escabeau – ils me frôlent la bite. Je les enfile dans le tube situé au niveau de ma tête. Dédé, dans l’étable, les récupère afin de les brancher au tableau général.

Le visage de Marie est au niveau de mes fesses.


Les fils sortent de la boîte en spirale. Soudain, l’un d’eux s’enroule autour de son poignet. Je tire un peu ; sa main remonte sur mon zob. Dédé, ne sachant pas ce qu’il arrive, continue de les ramener vers lui, provocant le blocage de la main de Marie sur ma bite. Marie lâche les boîtes et passe son autre main pour dégager son poignet ; elle touche ma partie intime. Un peu de panique de sa part ; il lui faut du temps pour dégager sa main. Elle m’assure une belle caresse, y compris sur les testicules. Ma queue se développe.

Je me retourne. Marie voit la grosseur le long de ma cuisse ; elle rougit.



Vue directe sur l’échancrure de ses seins ; je pense qu’ils doivent bouger. Un mouvement de ses épaules indique la remise en place.

Une fois les fils passés, il me reste à faire le branchement. Je passe dans l’étable. Deux vaches me bloquent le passage ; je leur caresse la tête, elles partent.


Marie nous quitte. Nos regards se croisent ; la rougeur revient sur ses pommettes.

Le travail terminé, Paul m’invite à prendre le café, payer le travail. Marie sert le café, reste debout près de l’évier, écoute notre conversation, n’y prend pas part.



Marie m’explique la démarche. Je lui donne mon accord pour me trouver une personne puis je prends congé ; je discerne sa gêne lorsque je lui tends la main. Je ne comprends pas ce qui a changé en elle.


Quelques jours après, Marie désire me présenter une personne, une jeune stagiaire ; elle viendra une fois par semaine durant sa formation. Elle me remercie de mon accueil, me serre la main, mais elle me semble préoccupée, troublée.


Par la suite, j’aurai plusieurs fois sa visite ; rapide, courtoise, mais je remarque qu’elle s’intéresse beaucoup à mon travail. Elle a plaisir à discuter avec moi mais semble peinée à chaque départ.


À la fin du stage, Marie ne trouve personne pour remplacer mon aide ; elle m’indique qu’elle fera l’intérim ! Oui, c’est rusé de sa part : elle a bien préparé la succession.


Le premier jour, je lui tends la main ; elle me fait la bise, rougit, se défile. Je reste baba. Marie me propose de venir deux fois par semaine, le mercredi et le samedi, car elle trouve qu’il y a beaucoup à faire. Le samedi, ce sera à titre gracieux ; comme j’aide son beau-frère sans me faire payer, un service en vaut un autre. J’accepte, elle doit avoir raison.

Nous décidons de nous tutoyer, nous appartenons à la même génération.


Nous sommes au cœur de l’hiver ; la neige est présente. Un samedi, je fais ma comptabilité sur l’ordinateur ; il est 9 heures. Elle arrive, s’avance ; une bise, puis se met au travail.



Lorsqu’elle répond, je constate que ses yeux brillent ; ses joues sont rouges. Émotion, ou satisfaction de passer un moment avec moi ?


Vers les 16 heures Marie me quitte, me précisant qu’elle reviendra le lendemain pour faire le linge, elle ne peut pas ce soir. « Oh ! Elle vient de trouver une astuce pour revenir demain… »


Je reviens de l’étable. Marie est là ; elle trie le linge pour le mettre dans la machine. J’offre un café, elle accepte. Elle rougit.



Je suis piégé !


Le repas se passe bien. Marie, petit bout de femme un peu forte au niveau du bassin et des cuisses, porte un pantalon, un pull, une veste de laine ; je pense qu’elle n’a pas de soutien-gorge. Son visage est agréable : des yeux verts, un petit nez, des joues assez creuses, des lèvres dont le bord est un peu retourné vers l’extérieur donnent de la personnalité. Aucune trace de maquillage : elle ne cherche pas à plaire en mettant son physique en évidence. C’est une femme simple, travailleuse ; ses doigts en portent la trace.

Moi, j’ai ma combinaison de travail.

Elle me sert le café, debout à côté de moi.



Marie relève son pull ; sur son ventre, plusieurs cicatrices.



Je reste un instant sans voix. Je ne résiste pas ; ma main effleure cette chair meurtrie, je la caresse. Marie me laisse faire ; je sens un peu de chaleur qui se dégage entre mes doigts. Elle s’assoit sur mes genoux. Mon autre main se faufile sous son pull et je parcours ses reins.

Marie fait glisser les fermetures de mon habit de travail, ses doigts se posent sur ma poitrine.

Nos lèvres entre en contact, nos langues se cherchent, s’enroulent, elle me tire au fond de sa bouche. Pendant un long moment ce sont des caresses, des baisers ; le café ne sera jamais bu.

La tendresse parcourt nos corps, chacun trouve du plaisir. Je relève son pull ; ses deux seins viennent se frotter sur la pilosité de mon torse, nous apprécions la douceur du contact.


Le téléphone sonne : le chauffeur de la laiterie m’annonce qu’il ne viendra pas, trop de neige. Surprise : en effet, il y en a plus de 20 cm, et il est déjà 16 h !



Avec le tracteur, je fais la trace pour aller à l’étable ; j’ai donné à Marie une blouse de mon ex. À partir de cet instant, tout va changer.


Dans la salle de traite, je lave le pis des vaches, je fais la traite, puis je mets la crème sur les trayons pour éviter les infections genre mammite ; Marie me propose de le faire. Je bande de la voir masser avec douceur : ma queue aimerait bien cette faveur…

L’alimentation en foin est faite ; je continue comme à mon habitude : lavage, brossage des vaches. Marie est dans l’allée, au cul des bêtes, et avance comme moi, regardant tout.



Nous sortons de l’étable ; encore 10 cm de neige en plus. Je refais la trace avec le tracteur ; heureusement que sa voiture est sous le hangar.

Je prends ma douche puis enfile un pantalon treillis et un pull. Marie prépare le repas ; je lui indique que la douche est libre. Elle en profite de suite.


La cheminée est allumée, je remets des bûches. Au moment où je me relève, sa main se glisse dans la mienne. Je me retourne ; Marie se colle contre moi, nos lèvres se cherchent, nos langues ne font qu’une. Mes doigts parcourent sa petite chevelure, ses jambes se glissent entre les miennes, ses mains sont sur mes hanches, se faufilent sous mon pull. Elle le remonte ; je me recule un peu pour finir l’extraction.


La fermeture de son chandail est défaite ; je le dégage de ses épaules. Ses seins viennent sur ma poitrine, ma bouche descend, passe dans l’échancrure, ma main en prend un, belle aubergine, petit, long. Mes lèvres se posent sur le téton. Je suce, ma langue excite le bout. Popaul se dresse, mes pruneaux se mettent en mouvement.

Des petits gémissements de sa part : elle y trouve du plaisir. Je la place devant moi. Mes mains caressent ses mamelons. Sa tête vient en arrière, elle m’offre ses lèvres.


Son dos est chaud ; mes doigts s’aventurent plus bas sur son ventre. Je caresse la partie qui est meurtrie, nos langues s’unissent, ses mains parcourent mes cuisses. Marie vient derrière moi, ses seins me communiquent une douce chaleur dans mon dos. Je sens ma braguette qui s’ouvre ; une main se glisse… Surprise : elle ne cherche pas le bâton, mais les bourses. J’adore. Là, elle me fait un long massage ; par contre, elle fait sauter le bouton du pantalon : je suis nu, les couilles tenues par ses deux mains.

Oh ! Je sens la chaleur de ses cuisses contre les miennes, je n’ai même pas compris qu’elle avait ôté son froc.

Je me retourne : magnifique toison, le triangle est important. Marie est assez bien pourvue en pilosité ; moi qui adore, je suis comblé.


Mes lèvres parcourent ses seins, puis son ventre ; mes mains caressent ses cuisses, le bout de ma langue léchant ses cicatrices. Ses doigts dans ma chevelure indiquent qu’elle apprécie.

Ma bouche fait le tour de sa toison. Elle écarte légèrement les jambes ; mes doigts s’agitent sur ses fesses, jouent avec la chevelure de sa chatte par derrière.


Marie me pelote toujours ; je prends ma trique, avec mon gland qui est recouvert d’un petit filet de jute, et je le frotte délicatement sur ses cicatrices de son ventre. Sa réaction ne se fait pas attendre : ses lèvres se posent sur ma poitrine ; elle arrive sur mon gland. Je l’écarte un peu. Marie comprend qu’il faut aller plus bas ; sa langue parcourt inlassablement ma bite, ses lèvres formant un demi-cercle autour d’elle.

Marie se relève pour déclarer :



Nous allons vers le canapé. Marie se met en levrette, la tête entre deux coussins ; je bande dur : là s’offre à moi une chatte aux lèvres épaisses. Je me mets à genoux, mes mains sur ses fesses. J’écarte un peu : magnifique ! Je caresse le bord de sa vulve, mes lèvres entrent en contact avec sa chair. Je lèche, je suce. À chacun de mes coups de langue, elle bouge pour accentuer le mouvement. Mon index s’excite sur son clitoris ; réponse interne de sa part : un petit filet me parvient sur les doigts.

Mon gland redouble de force, il est violacé. Je le présente sur le bord des lèvres de sa vulve et j’attends. La chaleur monte. Marie sent la bête ; par une légère reculade, elle m’avale.


Dans son vagin, je suis bien. De petites contractions, la porte s’ouvre ; je passe le col, l’utérus. Marie pilote un peu ; elle se lime sur ma bite, je la tiens par les hanches. Notre union va durer quelques minutes. Ses mains saisissent mes jambes, elle se colle à moi : je suis au plus profond. Ma jute file au travers de ma queue, j’explose. Je m’allonge sur son dos, prenant ses seins à pleine main, caressant les tétons.

Nous restons un instant l’un dans l’autre puis je me retire, saisis ma bite et, avec le gland, je caresse sa chatte, étalant sur celle-ci notre mouille. Elle aime. Elle écarte ses cuisses pour ouvrir sa vulve afin que la communion de nos sexes soit totale.


Nos corps se redressent, nous nous étreignons.



La fourrure de sa chatte ondule à chacun de ses pas. Marie prend place à côté de moi. Au cours du repas (feuilleté à la viande, fromage blanc fait maison, cake fait par Marie), ma main se pose souvent sur ses cuisses, caresse de son ventre ; elle accepte. Pas de retour de sa part, bizarre…


Elle débarrasse la table ; j’en profite pour remettre des bûches. Je me retourne ; Marie me serre dans ses bras, se met à genoux, sa tête entre mes cuisses. Sa bouche tourne autour de ma queue, des pruneaux ; sa langue lèche mon zob, ses joues se frottent contre mon sexe. Je commence à bander ; elle sent la raideur, redouble les mouvements. Ses doigts derrière mes cuisses me font un massage entre l’anus et les couilles ; eh oui, elle sait où se trouve le muscle qu’il faut caresser, le périnée. Je suis au septième ciel : de la douceur, une chaleur qui monte en moi, ma verge est tendue. Lentement, Marie décalotte mon gland.

Nous partons vers la chambre.


Elle se couche sur le dos, ouvre ses cuisses ; je plonge ma bouche sur les lèvres de sa chatte, j’écarte un peu avec mes lèvres, ma langue farfouille ses parois. Je remonte légèrement ; le bouton magique se dresse pour être sucé.

Mes mains jouent avec la chevelure du triangle d’or, remontent sur son bas-ventre en faisant des cercles. Soudain ses cuisses se referment sur ma tête ; je peux à peine respirer, mais je suis si bien… Elle me relâche.



Je me redresse. Ses jambes sont en dehors du lit ; je prends ma trique dans la main.



J’avance et me baisse un peu ; ma bite se trouve sur sa fourrure, je ne suis pas loin. Marie tortille des fesses ; mon gland est sur la fente. Elle écarte ses cuisses, et doucement j’entre. Je n’ai pas de difficulté, elle mouille beaucoup. Je m’enfonce dans son vagin ; une légère résistance, la porte s’ouvre, dilatation du col de l’utérus. L’aventure de mon gland continue, je suis dans son utérus.


Chaque fois que je me retire, elle me retient. Je sens son col se coller à ma bite, glisser dessus, mais c’est extra. Nos mouvements deviennent de plus en plus rapides, nos cuisses claquent à chaque mouvement, le bruit de nos sexes qui se mélangent est puissant.

Ma jute monte, explose dans son col et revient avec ma queue dans son vagin ; Marie redouble ses mouvements. Un cri : elle vient de jouir. Nous restons collés quelques instants, puis ma bite se dégage et vient se poser sous sa chatte.

Marie se met sur le côté, écarte sa cuisse pour mettre en évidence sa chatte ; son anus se contracte, les lèvres de sa vulve s’ouvrent un peu et oh, délice ! sa mouille mélangée à ma jute s’écoulent lentement. Elle récupère le liquide au creux de sa main et le dépose entre ses seins. Petit signe de sa part : je pose ma queue entre les deux aubergines. J’ai droit à un massage ; la douceur m’envahit.



La réponse de Marie me surprend :



En effet, je ne comprends pas ; mais voyant son sourire, la façon dont elle me serre dans ses bras, je comprends que la raison de ce report doit lui convenir. Je ne veux pas aller contre ; elle penserait que je ne veux pas garder de traces de nos ébats sexuels.

Pour dormir, Marie désire que ma bite soit entre ses cuisses, une de mes mains sur un sein, l’autre sur son ventre ; les siennes : une sur ma cuisse, l’autre tenant mes couilles contre sa chatte. Position agréable ; les couvertures sur nous, le nid est confortable. Je m’endors.


À 5 h du matin, j’ai une envie pressante. Je me dégage de son corps ; incroyable, nous étions toujours unis ! J’en profite pour remettre du bois dans la cheminée, il reste des braises. Je regarde dehors : il ne neige plus. J’enfile un pull, ma combinaison, une veste, je chausse les bottes : il faut aller faire la trace jusqu’à la route pour le laitier, puis autour de l’étable. Par contre, j’oublie que mon invitée n’a pas dit son dernier mot.


Après une heure de travail, tout est dégagé avec le tracteur. Il est 6 h, je vais faire la traite. Celle-ci achevée, je donne du foin aux vaches. Il est 8 h quand je rentre à la maison. Je quitte mes bottes et pousse la porte d’entrée ; une bonne odeur de café et de pain grillé me parvient. C’est agréable, mais je suis en dette vis-à-vis de ma cuisinière : elle va se payer !

Marie prend ma veste et la suspend. Je remarque qu’elle porte une robe de chambre de mon ex ; elle était restée dans la machine lors de son départ, et je l’avais laissée dans la chambre sur la commode, au cas où elle serait venue la récupérer.

Je prends place à table, heureux, pour déguster un bon déjeuner. Tout est prêt.



Cette collation fait du bien, je termine tout. Marie sourit, elle apprécie. Je me lève et vais vers elle. Mes mains se posent sur ses joues ; avec mes pouces, je fais le tour de ses lèvres. Ses yeux brillent. Mes doigts découvrent la douceur de sa peau ; le léger duvet vers le lobe de ses oreilles apporte une touche de plaisir. Nous nous enlaçons ; ses lèvres ont encore le goût du café, j’adore ! Nos corps se collent, les fermetures de ma combinaison glissent au niveau de mon nombril ; elle la dégage de mes épaules et mon vêtement tombe à mes pieds. Il ne reste que le pull. Ses mains l’enroulent, le remontent ; passage de ma tête. Je ne comprends pas l’astuce : la robe de chambre est à ses pieds. Je suis tellement absorbé par mon déshabillage que je n’ai pas vu le moment où Marie a ôté son peignoir.

Nos corps se retrouvent l’un contre l’autre. Nos pubis se frottent, ma queue monte, se coince entre ses cuisses. Ses seins parcourent ma poitrine, nos mains caressent nos reins.


Depuis longtemps, je n’ai pas fait l’amour le matin, mais Popaul est en forme ; en plus, trois fois en si peu de temps : ça me réjouit !

Je fais passer Marie dans mon dos. Elle prend du plaisir avec mon pubis, ses mains jouent autour de mes couilles, remontent sur ma queue ; elle fait un anneau au bas avec ses doigts. J’en profite pour passer mes mains sur sa chatte, mon index cherchant les lèvres ; je trouve la fente. Doucement, j’explore les formes ; elle gémit un peu.


Marie passe devant. Je prends ses seins, jouant avec les tétons ; ils deviennent durs. Je penche nos corps en avant, ma queue bien plantée dans sa fourrure. Elle laisse faire, puis elle se redresse, me fait face. Ce ne sera pas une levrette ; alors quoi ? Elle me fait asseoir sur la chaise. Ma bite est bien raide ; quelques caresses de sa part et je suis tendu comme un barreau de chaise. Elle vient se mettre sur moi et, sans aucune aide des mains, elle absorbe ma tige avec sa chatte.


Un léger bruit de nos sexes glissant ensemble apporte du bonheur, ce petit clapotis qui indique que son vagin me suce. Oh, une merveille, ce clop-clop… Le va-et-vient est doux, profond. Cette position me bloque pour une éjaculation rapide ; c’est important. Marie pilote l’avion, mes mains sont sous ses fesses pour la soulager un peu. Je suis au plus profond de son vagin lorsque nos pubis se touchent ; chaque fois qu’elle se retire, elle me retient avec son vagin, je le sens qui se déroule sur ma trique. Les mouvements deviennent plus rapides, le souffle de chacun plus puissant.



Un cri. Elle enfile entièrement ma bite ; dans le même temps j’envoie au fond de son utérus le doux liquide de nos jeux ; je touche la paroi au fin fond, Popaul redouble ses sécrétions.

Nos sexes restent unis, nos langues s’enroulent ; ses seins sont durs, collés sur ma poitrine.

Ma queue ressort. Elle la prend, la pose sur son pubis alors que nous sommes toujours serrés l’un contre l’autre.

Nous, nous levons. Sa chatte coule, ma bite est pleine de mouille ; elle rit.



Nous prenons la douche ; pas de gel douche, du savon de Marseille. Marie me prend la bite. Elle savonne bien. Massage des couilles : c’est extra. J’en profite pour faire mousser son pubis, puis ma main caresse les lèvres de sa chatte ; elle ouvre les cuisses. Je vais vers l’anus ; son souffle devient fort, elle apprécie cette douceur. Nos sexes sont en harmonie, l’eau coule sur nous, passe entre ses seins, sur nos sexes, glisse le long de nos cuisses, c’est idéal.

Nous nous essuyons mutuellement. Je suis encore en semi-érection, sa chatte émet un léger filet de mouille. Seulement un pull chacun, c’est le souhait de Marie. J’aime bien. Pas de tabou sur nos sexes ; avec la cheminée et le chauffage central dans la maison, nos bestioles n’auront pas froid.


Le dimanche se passe bien ; le soir, Marie vient m’aider, c’est un plaisir. Elle est sur le départ ; je vois sa tristesse. Je lui propose de rester pour la nuit ; elle accepte, me serre dans ses bras. Nous restons enlacées de longues minutes.

Marie doit partir le lendemain pour son travail ; il y a beaucoup de neige. Elle m’annonce qu’elle sera de retour mercredi ; par contre, elle restera tout le week-end.


Pendant quelques semaines, Marie vient ; c’est un bonheur de se retrouver, ça me permet de faire le point sur notre situation.


Notre union est un ensemble de facteurs ; nous n’avons pas de réticence sur nos activités : nous les prenons comme elles sont, nous discutons de nos métiers, elle participe au mien. Le physique n’a pas d’importance ; chacun se trouve bien avec l’autre. Ce sont des grandes causes qui nous animent : la tendresse, le respect, le plaisir de donner à l’autre, la simplicité de vie sans tabou, la chaleur des corps de s’unir, de se comprendre, agir sans les mots.


Un jour, je lui propose de venir habiter chez moi. Marie accepte ; son beau-frère est ravi de nous voir ensemble. Depuis ce jour, nous avons une vie douce. Chacun fait son métier. Côté sexe, pas de baisse de rythme : chaque jour est une découverte. Marie adore la queue. Je ne suis pas en reste, j’aime sa chatte.

Nous avons tellement souffert pendant des années…