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Temps de lecture estimé : 21 mn
04/03/15
corrigé 09/06/21
Résumé:  Une jeune femme enceinte s'ennuyant ferme trouve sa distraction de la journée.
Critères:  Enceinte cocu fh couleurs inconnu magasin voir miroir fellation pénétration
Auteur : Bastien  (Amateur de récits érotiques en tous genres)      
Une envie de fraises





Solange passa l’éponge humide sur la table de la cuisine dès que Romain se leva de table. Une habitude qu’elle avait prise afin de conserver l’appartement propre et net. L’odeur du café emplissait encore la cuisine, tandis qu’elle ouvrait à présent les fenêtres pour aérer le logement. Elle passa ensuite un coup d’éponge sur l’évier de la cuisine avant de se laver les mains. Sentant la fraîcheur printanière envahir la pièce, son jeune époux se hâta d’enfiler son manteau, paré à démarrer une nouvelle journée de travail. Après leur habituel baiser sur le pas de la porte, la main posée sur son ventre, Solange le regarda descendre les quelques marches en direction de la voiture.


Voilà un an qu’ils avaient pris la décision d’étendre leur vie de couple à une vie de famille, et sept mois que le projet avait pris une dimension plus concrète. Tout en refermant la porte, Solange caressa son ventre rond. Que son corps avait changé, ces derniers mois ! Son ventre avait mis du temps à se développer mais, dernièrement, il était passé à la vitesse supérieure ! Sa poitrine n’était pas en reste non plus. D’un bonnet B, elle était passée à un petit bonnet D, si bien que la plupart de ses habits ne lui allaient désormais plus. La robe qu’elle avait enfilée aujourd’hui en était un bel exemple : son ventre rond la tendait et elle avait une fâcheuse tendance à remonter sur ses jambes. La moitié haute de son corps n’était pas mieux logée ; sa poitrine comprimée semblait prête déborder dès qu’elle se penchait. Et ce n’était pas là les seuls changements en elle.


Récemment, des envies la prenaient. Envies alimentaires parfois, et envies de sexe souvent. Dernièrement, ses hormones étaient en ébullition. Ses pensées vagabondaient souvent vers de torrides visions de corps enlacés, n’importe où et n’importe quand. Et cela s’était ressenti dans leur vie de couple. Une à deux fois par semaine, elle laissait dans son lit un Romain comblé, épuisé et vidé. Ces moments de passion lui apportaient la délivrance que son corps réclamait, mais pourquoi devaient-il être si rares ? Il est vrai que son mari travaillait beaucoup et accumulait de la fatigue, se pliant en quatre pour la préserver.


Mais le résultat, elle le sentait de nouveau en elle. Passer sa journée en arrêt de travail, à la maison, n’aidait certainement pas à se changer les idées. Et voilà qu’elle se retrouvait encore seule dans leur appartement, des envies plein la tête. Son corps exprimait ce désir, le miroir de l’entrée lui renvoyait son image et elle se trouvait très érotique dans cette robe trop juste pour elle. C’en était presque indécent, mais cela ne pourrait qu’encourager Romain à s’occuper un peu plus d’elle. Tandis qu’elle s’admirait, elle nota que la pointe de ses seins formait deux petits îlots sur le renflement de sa poitrine devenue opulente. Cela n’était certainement pas dû qu’au froid qui s’était installé dans l’appartement. Cette dernière pensée la fit s’activer et Solange referma les fenêtres les unes après les autres.


Seule. Elle n’avait aucune envie de regarder la télé. Voilà plusieurs semaines qu’elle s’en était abreuvée jusqu’à l’écœurement. Solange tournait en rond ici, il lui fallait absolument se changer les idées avant de devenir folle. Aussi, sur un coup de tête, elle enfila une veste sans prendre la peine de la fermer, son sac et enfila ses bottines. Prête à franchir le seuil de l’appartement, elle s’arrêta net, captant du coin de l’œil le reflet du miroir. Sortir dans cette robe, n’était-ce pas un brin provocateur ? Mais à la réflexion, qui croiserait-elle un mardi matin, mis à part quelques retraités peut-être ? Tout le monde était au travail, ou en cours… Bref, certainement pas à l’épicerie du coin. Car c’est à l’épicerie qu’elle irait. Avec quelques provisions, elle pourrait préparer un bon repas pour elle et son homme. Ses réserves étouffées quant à se tenue, Solange se mit en chemin, goûtant à la fraîcheur de cette matinée.


L’épicerie située à quelque pas de chez elle était effectivement vide lorsqu’elle y entra. Le caissier, un homme bedonnant d’une cinquantaine d’années, la salua d’un hochement de tête, ne prenant pas la peine de lever les yeux de son magazine sportif. Solange se dirigea vers les fruits et légumes et commença prestement ses emplettes. Après à peine quelques minutes et un panier déjà à moitié rempli, elle entendit sonner la clochette située à l’entrée du magasin. Elle n’y prêta pas vraiment attention. Pour une fois, son esprit était concentré tandis qu’elle se récitait les ingrédients de la recette choisie. Elle s’interrompit cependant lorsqu’elle eut le sentiment d’être observée. Elle avait cette drôle de sensation sans savoir ni d’où elle lui venait, ni qui en était la cause.


Elle aperçut cependant un bref mouvement dans son champ de vision et, levant les yeux, elle vit que cela provenait d’un de ces miroirs ronds, placés aux quatre coins du magasin pour permettre au commerçant de le surveiller. Lorgnant discrètement vers le miroir, elle remarqua un jeune homme en survêtement, un peu typé. Il portait une casquette, aussi elle discernait mal son visage mais il semblait plutôt… pas mal. Il s’était visiblement arrêté spécialement pour l’observer. Ses yeux semblaient fixés sur son dos. Ou plus probablement sur son cul, se dit-elle. Baissant les yeux, Solange s’aperçut que sa robe était de nouveau remontée, au fil de ses pérégrinations. À tel point qu’elle découvrait maintenant les trois quarts de ses cuisses, soit plus que ce que permettent habituellement les quelques minijupes rangées dans son placard.


Gênée, la jeune femme se retint cependant de se ruer pour rabaisser la robe et ainsi signifier qu’elle avait surpris le jeune voyeur. Elle tenta toutefois d’une main nonchalante de rendre sa tenue plus décente. Mais l’effort était vain tant la robe était remontée et tendue autour de son ventre. Il lui fallait lâcher son panier et y aller franco. Mais quelque chose en elle la retint. Déjà, sa libido refaisait surface et la fit considérer la situation sous un angle nouveau. Quel mal y avait-il à offrir à ce jeune homme un petit show ?


L’idée était séduisante, inoffensive, et la décision fut rapidement prise ! Plutôt que de se recouvrir, elle se pencha en avant afin de saisir le légume le plus éloigné du présentoir. Sur la pointe des pieds et ainsi penchée en avant, quelle vue offrait-elle à ce petit voyeur ? Était-elle désirable ? Elle savait que la grossesse n’avait pas altéré le galbe de ses jambes, mais ses fesses étaient quand même devenues un peu plus charnues… L’homme répondit à ses interrogations en plongeant la main dans la poche de son jogging et elle le vit effectuer quelques va-et-vient à l’entrejambe. Ce simple geste qui, par le passé lui aurait paru inapproprié, voire dégradant, la remplit aujourd’hui d’une forme de… fierté. Il était bon de savoir qu’elle plaisait toujours aux hommes, même dans son état, avec ce ventre gonflé et ces kilos.


Et c’est le cœur léger que Solange poursuivit ses achats. Le jeune homme ne semblait jamais bien loin tandis qu’elle arpentait les rayons. Cédant à la curiosité, elle le surprit même en s’engageant dans le même rayon que lui, le gratifiant au passage d’un sourire poli auquel il répondit. Il était un peu plus âgé qu’elle ne l’avait d’abord pensé. Un peu plus de 20 ans certainement, peut-être 25. Les traits de son visage étaient gracieux et assez fins. Il était typé, avec de grands yeux noirs. Mais ce qui avait attiré son regard, c’était ses lèvres. Elles étaient bien dessinées et chaleureuses lorsqu’il lui sourit, découvrant de belles dents blanches. Un beau mec en somme, et bien bâti ! Il était large d’épaules et devait mesurer plus de 1,85 m.


Solange en avait désormais presque terminé avec ses achats. Il ne lui manquait plus que la viande et elle pourrait rentrer afin de s’attabler à la préparation du repas. Elle se dirigea vers l’étalage situé au centre du magasin et commença à comparer les produits. Elle nota avec malice que l’homme lui jetait toujours des regards en coin. Elle avait finalement renoncé à réajuster sa robe, toujours d’humeur coquine. Bien que cela ne fût pas dans ses habitudes, ce léger exhibitionnisme pimentait agréablement ses courses et, elle devait bien le reconnaître, l’émoustillait aussi. Devait-elle se permettre un dernier petit show avant de rentrer ? Elle en avait envie pour ce bel homme qui s’était visiblement entiché d’elle.


Les joues rougies par son audace, elle se pencha sur le réfrigérateur. Elle offrait ainsi une vue plongeante vers sa poitrine généreuse et aperçut le visage braqué vers elle. Le rôle qu’elle prenait dans ce petit jeu la troublait tant il était loin de ses habitudes. Elle serra les cuisses lorsqu’elle sentit monter une douce chaleur à son entrejambe. Elle sentit ses tétons se durcir sous ce regard ; ils ne devaient pas manquer d’être visibles, trahissant son état. Mais peut-être n’était-ce dû qu’au froid du stand réfrigéré ? À quoi bon se mentir, l’humidité qui envahissait maintenant sa petite culotte n’avait rien à voir avec la température. Elle sentait la douce chaleur s’emparer de son bas-ventre tandis qu’elle gardait la pose. Elle voyait ses seins déborder presque du décolleté.



Elle sursauta en entendant ces quelques mots. L’homme s’était approché et se tenait maintenant face à elle, de l’autre côté du présentoir qui lui arrivait à mi-cuisses. Aussi, le regard montant de Solange se figea sur le jogging déformé de l’homme. Déformé par ce qui semblait être une imposante érection, dirigée vers sa cuisse gauche. Il lui fallut quelques secondes pour décrocher ses yeux du renflement et les lever finalement vers l’homme qui arborait un sourire en coin. « Côté discrétion, je repasserai ! » songea-t-elle. L’homme au sourire charmeur attendait sa réponse, ses yeux ne quittaient pas les siens.



Tout en discutant, Solange étudiait cet homme au beau visage. De petites fossettes creusaient ses joues. Il était galant, un peu flatteur, et cela ne lui déplaisait pas. Elle en venait même à oublier le trouble qu’elle avait ressenti en devinant la forme de son sexe gonflé par sa faute. Cet homme était poli, et quelque chose dans ses yeux et dans son sourire lui plaisait, l’intriguait même. « Un petit coup de main ne serait peut-être pas de refus… » se dit-elle ; et prolonger l’échange avec cet homme n’avait rien d’interdit. Par ailleurs, à force de tourner dans les rayons, portant son ventre rond, elle ressentait effectivement de la fatigue.



Pour la première fois depuis qu’il lui avait adressé la parole, elle vit ses yeux quitter les siens pour se poser sur son corps, et elle sentit ses tétons se raidir plus encore sous son regard.



Maintenant qu’il était à côté d’elle, Solange le trouvait plus imposant encore.



Au même moment, elle aperçut l’homme faire un rapide pas en arrière et la mater dans son dos. « Il en redemande ! » pensa-t-elle, tout sourire et faisant traîner ses gestes pour ne pas écourter le spectacle. D’où il était, l’employé pouvait admirer la croupe de la jeune femme, tout juste masquée par sa robe. Il s’en fallait vraiment de peu pour qu’il puisse voir la naissance de ses fesses. Son lourd ventre pesait sous elle, la forçant à se cambrer. Quand Solange se redressa et se tourna vers l’homme, elle nota que son visage était empourpré. Tout comme l’était certainement le sien.


Elle lorgna discrètement vers son entrejambe ; à présent, le pénis formait une véritable toile de tente avec le vêtement. Quel plaisir de se sentir désirée en tant que femme ! Son corps avait changé, elle était devenue grosse. Elle ne serait bientôt plus une simple femme, mais une maman. Et pourtant elle faisait de l’effet à ce beau jeune homme. L’homme attendit que Solange s’engage vers la caisse pour se mettre à sa suite. Elle n’était pas dupe de son petit manège et prit un malin plaisir à faire légèrement valser ses hanches.


Arrivée à la caisse, elle paya ses commissions et l’homme les rangea dans différents sacs. Une fois pleins, il fit quelques pas vers la porte du magasin, portant encore les sacs. Lorsque Solange le rejoignit en lui lançant un regard interloqué, il poussa la porte du magasin pour lui ouvrir le passage. Ce petit jeu prenait une toute autre tournure maintenant, et Solange se sentait en terrain inconnu. Jamais elle n’avait flirté avec un autre homme depuis qu’elle s’était mariée avec Romain. Et là, elle était allée au-delà du simple flirt ; elle avait allumé avec succès le jeune homme. Néanmoins elle n’oublia pas qu’elle était mariée, et c’est avec un petit pincement au cœur qu’elle lui dit :



Cette dernière phrase ouvrit une brèche que le jeune homme s’empressa d’exploiter.



Solange était tiraillée entre l’envie de passer plus de temps avec ce bel homme et… et quoi donc ? S’il la raccompagnait chez elle, quel mal y avait-il ? Cela ferait encore passer un peu le temps.



Ce rappel de ses propres mots finit de la convaincre. Lorsqu’ils se mirent en route, Solange apprit du jeune homme qu’il s’appelait Marek, qu’il avait 21 ans et était d’origine algérienne. Il travaillait à la supérette pour financer ses études, et quand il avait un peu de temps libre, il le passait dans les salles de sport. De ce dernier point, Solange ne doutait pas, considérant son physique. Il se dégageait de lui une forme de virilité, de masculinité qui devait attirer toutes les femmes, se dit-elle. Buvant ses paroles, elle se sentait envoûtée et sous son charme. Inexorablement, ses pensées la ramenaient vers la vision qu’elle avait eue de lui quelques minutes plus tôt. Elle avait deviné à travers son jogging la forme d’un beau membre en érection. Et « beau » était un euphémisme. Si les vêtements ne l’avaient pas trompée, il était monté comme un cheval. Maintenant qu’ils marchaient dans la fraîcheur du matin, elle ne pouvait malheureusement plus pronostiquer, mais sa curiosité était piquée et ses pensées vagabondaient.


Arrivant à l’appartement, Solange lui ouvrit la porte afin qu’il dépose les sacs dans la cuisine. Avant de le renvoyer au magasin, elle lui proposa un verre par courtoisie. Marek accepta volontiers, s’appuyant contre la table. Une fois le verre servi et tout en poursuivant leur discussion, Solange s’affaira à ranger les denrées, tantôt accroupie, tantôt sur la pointe des pieds pour atteindre les différents placards. Marek se délectait de voir cette belle jeune femme enceinte s’activer sous ses yeux. Sa robe n’avait de cesse de se tendre et de remonter le long de ses cuisses. Ses charmes étaient à peine cachés, et lorsqu’elle revenait près de lui pour piocher dans les sacs, il se régalait de la vue offerte par son décolleté pigeonnant. Il lisait le trouble de la jeune femme sur ses seins laiteux dont les tétons pointaient fermement. La vision était d’un érotisme sans pareil.


Une fois tout en place, Solange se rendit compte de son erreur. À quoi bon avoir rangé si elle devait maintenant tout ressortir pour préparer le repas ? Elle n’avait vraiment pas l’esprit à ce qu’elle faisait. Elle en rit de bon cœur avec Marek, adossée au frigo. Décidément, le courant passait bien entre eux et ils se regardèrent pendant de longues secondes après ces éclats de rire. Jusqu’à ce que Solange s’aperçoive de l’état dans lequel se trouvait encore jeune homme. Sa virilité était étriquée dans le jogging. La jeune femme ressentit la même excitation, ce même désir, et la vue de cette érection à quelques pas d’elle seulement, ne désirant qu’être libérée de ses entraves, la fit chavirer. C’était ce que son corps réclamait, ce dont elle avait vraiment besoin aujourd’hui.


Elle céda à ses pulsions et franchit les quelques pas qui la séparaient de Marek. Se lovant contre lui, elle pressa ses lèvres sur les siennes. Il répondit avec gourmandise, ouvrant ses lèvres. Elle sentit sa chaude langue s’insinuer en elle tandis qu’il plaçait ses larges mains dans le bas de son dos, la plaquant virilement contre lui, pressant son large ventre et sa poitrine contre son torse musclé. Solange sentit le désir de l’homme s’exprimer dans leur baiser langoureux. Il la voulait tout autant qu’elle le voulait. Sa raideur en témoignait. Elle fit glisser ses mains le long de leurs corps et la saisit. À travers le tissu, elle percevait la chaleur qui s’en dégageait. Elle était dure comme de la pierre. Elle abaissa l’élastique du vêtement et la queue marron clair jaillit. Sans même y penser, elle se libéra de leur étreinte pour admirer l’objet de son désir. Elle ne s’était pas trompée : Marek avait été gâté par la nature. Son membre se dressait vers le ciel, large et long. Le gland était d’un marron un peu plus foncé que le fourreau. Il se dégageait de l’ensemble une puissance animale. Son cher et tendre Romain ne tenait pas la comparaison avec cet Adonis.


Elle vit courir sa main le long du membre. Il tressaillit, vivant sous ses doigts. De la main gauche, elle lui caressa sensuellement le gland tandis que la droite partait à la recherche de ses bourses encore cachées par le jogging. Quand elle les atteignit, Solange entreprit de les malaxer tendrement entre ses doigts. Ses couilles étaient imposantes et si lourdes, si pleines… Elle les soupesait de la main, pensant au sperme qui en jaillirait.


Marek regarda avec plaisir la future maman s’agenouiller devant lui pour mieux le caresser. Il sentait ses mains aller et venir, lui caressant passionnément les cuisses, les bourses et la queue. Il n’en pouvait plus maintenant ; voilà près d’une heure qu’elle le chauffait, et il touchait enfin au but. Il posa ses mains sur la tête de la jeune femme et la guida fermement vers son érection.


Solange, comprenant les attentes de l’homme, guida le gland gonflé contre ses lèvres et le goûta timidement. Elle n’avait jamais connu d’hommes avec un tel pénis ; à ce stade, l’engin l’effrayait presque. Après quelques baisers, elle fit courir sa langue contre le prépuce puis, s’enhardissant, elle se décida à le prendre totalement en bouche. Le goût était légèrement salé, délicieusement érotique. Tous ses sens étaient en éveil devant l’intimidante beauté qu’elle tétait. Ses joues se creusaient maintenant et sa langue dansait. Ses mains se confondaient en caresses tantôt langoureuses, tantôt énergiques quand elle le masturbait. Levant les yeux, elle vit Marek, les paupières mi-closes. Il semblait être au septième ciel. Afin de lui rendre le spectacle plus agréable encore, elle fit glisser les bretelles de sa robe, lui offrant la vue de ses deux gros seins supportés par les corbeilles de sa lingerie.


Marek se mordit la lèvre inférieure en regardant la jeune femme débridée. Il lisait dans ses yeux une fureur sexuelle qui se traduisait par une puissante succion de son membre. Il ne résisterait pas longtemps à ses assauts, d’autant que la vue de ses seins blancs… Il se pencha afin de dégrafer son soutien-gorge et profiter pleinement du spectacle. À présent, les deux mamelles laiteuses ballotaient librement au gré des mouvements de tête. Cette vision était incroyablement érotique et Marek sentit monter en lui les picotements annonciateurs d’une puissante éjaculation. Il ne prévint pas Solange. Il voulait jouir dans sa bouche, jouir en elle et la remplir de sa semence. Aussi, quand il sentit les premières contractions de ses couilles, il lui saisit la tête, s’enfonça à l’entrée de sa gorge et se déversa dans un râle de plaisir. Les puissants jets s’enchaînèrent rapidement tandis que Solange n’avait d’autre choix que de déglutir pour recouvrer sa respiration.


Elle toussa, hoqueta, mais réussit à avaler tout le jus déposé. Jamais aucun homme n’avait joui dans sa bouche, elle avait toujours trouvé cela répugnant. Même son Romain, le père de leur futur enfant, n’avait pas eu le droit à ce traitement. Marek avait été brutal, et ce comportement n’était pas pour lui plaire. Aussi, lorsqu’il relâcha la pression et l’autorisa à se retirer, elle lui flanqua une claque sur sa grande queue. L’engin se balança de gauche à droite de façon comique, ramenant presque le sourire aux lèvres de Solange. Le jeune homme, lui, cria et sursauta de douleur, saisissant sa malheureuse queue endolorie.



Sur ces mots il pinça les tétons raides de la jeune femme et les tira pour la faire se relever. Solange cria de surprise autant que de douleur, contrainte de se redresser. Marek lui prit les seins et commença à les malaxer agressivement. Elle avait des seins lourds mais fermes, avec de larges tétons gonflés, légèrement marron. Sous la pression, une goutte de lait suinta à leur pointe. Marek l’étala, rendant glissantes et luisantes les aréoles. Il les pinça de nouveau et le liquide blanc en jaillit sous les yeux émerveillés de l’homme. Observant le visage concentré de Marek, Solange ne put se retenir de pouffer. On aurait dit un enfant découvrant ses cadeaux sous le sapin de Noël. Piqué au vif, celui-ci se reprit et pinça durement les pointes, arrachant un gémissement de douleur à Solange. La jeune femme fut envahie d’un mélange de plaisir et de douleur. Elle découvrit que cet étrange mélange de sensations l’excitait particulièrement. Jamais son époux n’avait osé lui procurer la moindre petite douleur ; cet homme-là ne s’en embarrassait pas. Elle voyait ses grandes mains lui malaxer la poitrine, alternant caresses et pincement des tétons. Elle se sentit toute chose entre ses mains, presque soumise à son bon plaisir.


Après quelques minutes, Solange sentit une pression pointer contre son ventre rond. Marek rebandait. Elle acheva de remonter sa robe jusqu’à la taille et baissa impatiemment sa petite culotte à mi-cuisses. Rarement elle n’avait tant eu envie de se sentir pénétrée. Son corps réclamait d’être comblé par ce mâle, de sentir son membre au plus profond d’elle. Elle le saisit et, tels qu’ils étaient, debout et face-à-face, elle dirigea sa queue vers sa fente. Malgré son ventre distendu par la grossesse, le gland venait presser contre elle. Le contact tant attendu lui fit l’effet d’un électrochoc et Solange gémit de plaisir. Enfin elle le sentait là où elle le voulait. Le gland était si gros, si gonflé… Il lui écartait les lèvres et pressait contre son clitoris. La sensation était exquise. À ce moment, rien ne comptait plus pour elle que cette grosse queue qui allait bientôt la prendre. De la main, elle la fit aller et venir contre sa fente ; leurs jus se mixèrent, faisant glisser leurs sexes.


Marek regarda la jeune femme l’utiliser tel un sextoy pour se masturber. Elle avait les yeux fermés, la bouche entrouverte, et sa respiration était saccadée. Quel spectacle que de voir cette femme emportée par son désir ! Une nouvelle goutte de lait s’était formée au bout de ses seins ; se penchant, Marek les lapa puis entreprit de sucer ses adorables melons. Son lait était doux sans être sucré. Sous la pâleur de la généreuse poitrine, il apercevait quelques veines bleutées. Sa propre excitation montait tandis qu’il suçait, la verge stimulée par un langoureux va-et-vient. Après quelques minutes, il décida que le moment était venu de la prendre.


Il n’avait qu’une envie : voir cette future maman crier de plaisir et jouir sur sa queue avant de se répandre en elle. Il voulait lui remplir la chatte comme il lui avait rempli la bouche. Aussi, saisissant la femme par les hanches, il l’inclina et la positionna face contre la table, la tête posée sur ses avant-bras. Solange se laissa docilement manipuler, contrôlée par cet homme. Elle le voulait tant en elle qu’il pouvait la prendre dans n’importe quelle position. Ce qui comptait, c’était qu’il la comblât vite. Elle écarta les cuisses et se cambra, offrant au jeune homme le meilleur angle de pénétration possible et une vue superbe sur sa croupe. Le sexe de Solange s’ouvrit telle une fleur sous ses yeux, luisant de ses sécrétions et rougi par le désir. Ses lèvres étaient gonflées et son clitoris protubérant. Son cul était magnifique, lui aussi. Sous la robe retroussée, il se découvrait en forme de cœur. La fente séparant les deux fesses blanches qui cachait habituellement son petit anus était ouverte. Son ventre et ses mamelles pendaient lourdement sous elle. Il se délectait de la vue de cette femme infidèle s’offrant à lui.


Il caressa de ses doigts épais la fente de la jeune femme puis en plongea un dans sa cavité chaude. Il se lubrifia ensuite le bout de la verge et se positionna contre son orifice. La pénétration fut vigoureuse et brutale. D’un seul coup de reins, il avait fiché la moitié de sa queue massive en elle. Solange hurla, crispée à la table. Dieu, qu’il était gros ! Comment un tel monstre avait-il pu grandir entre les jambes d’un homme si charmant ? La sensation était incroyable, elle sentait les muscles de son vagin étirés comme jamais ils ne l’avaient été ! Son sexe était en feu et irradiait tout son être. Une franche douleur se mélangeait à un plaisir intense. Après quelques secondes à savourer la sensation d’être enserré dans un étau de chair brûlante, Marek fit glisser ses mains sur le haut des cuisses de la femme.


La tenant fermement par le bassin, il poussa fortement afin de s’enfoncer en elle. Il se heurta cependant rapidement au fond de la cavité. La pression contre l’entrée de l’utérus déclencha un nouvel un éclair de douleur chez Solange, qui tenta alors de se dérober. La pénétration était difficile et il faudrait un peu de temps pour que son corps s’adapte, comprit tardivement le jeune homme. Il se retira de quelques centimètres, puis débuta un lent va-et-vient. Petit à petit, il sentit de nouveau Solange s’adapter, réagir à lui. Tout d’abord, ses muscles semblèrent s’être détendus, sa respiration s’apaisa avant de s’accélérer au rythme de ses gémissements. Enfin il la vit maintenant onduler des hanches. Bien que toujours particulièrement serrée, sa queue coulissa agréablement et il se vit progresser en elle millimètre par millimètre. Quand enfin il approcha du but, il donna un dernier coup de hanches et se figea au plus profond d’elle. Cette fois-ci, pas de douleur pour Solange mais une vague de plaisir amplifiée par la bestialité du geste. Elle se sentit remplie et comblée par tant de virilité. Marek était loin des gentilles attentions et petites caresses de son mari. Et c’était tout ce qu’elle voulait à cet instant, ce qu’elle attendait de son amant. Un homme qui la saille, qui la fasse se sentir femme. Là, elle était vivante, une énorme queue plantée dans sa chatte !


Marek joua avec le cul rebondi, le malaxant, le pinçant. Il asséna aux fesses de petites claques qui le firent valser et envoyer des vibrations dans tout le corps de la jeune femme. Ondulant du bassin, Solange reprit alors le va-et-vient, baisant elle-même le sexe enfoncé en elle. Tandis qu’elle accélérait la cadence, elle sentit Marek poser les mains sur son large ventre. La peau était tendue et soyeuse. Il le lui caressa avant de remonter vers ses seins ballottants. Les coups de boutoir assénés par Solange les faisaient valser et s’entrechoquer au rythme des gémissements de leur propriétaire. Elle haletait maintenant et sa respiration était irrégulière. En rythme, Marek la gratifiait de longs mouvements des hanches. La pénétration était profonde et brutale ; jamais Solange n’avait été baisée de la sorte, car il ne s’agissait pas ici d’amour.


Ils copulèrent brutalement et sauvagement dans la cuisine de la future petite famille. Elle se faisait empaler par un étalon. Et rien au monde ne lui avait jamais semblé aussi bon. Elle était autant soumise à l’homme qui la burinait qu’elle le manipulait pour son plaisir. Pour elle, il n’était qu’un instrument voué à lui faire atteindre l’orgasme le plus fort qu’elle ait connu. Et elle le sentit monter en elle, cet orgasme. Elle gémit de plus en plus fort. Marek n’avait pas menti : il la limait maintenant avec une vigueur et une endurance qui ne lui fit pas regretter d’avoir avalé sa première jute. Sentant monter l’explosion, elle glissa une main entre ses cuisses et frotta, stimulant son clitoris engorgé, sentant les bourses de l’homme la fouetter en rythme. Ses lourdes couilles se balançaient et venaient lui frapper les cuisses, le sexe et ses doigts qui s’agitaient frénétiquement.


L’orgasme la prit presque par surprise. Elle se massait encore le sexe, le clitoris glissant entre son majeur et l’annulaire quand elle reçut un coup de reins violent, l’écrasant un peu plus contre la table. Le monstre de chair gonfla, se figea profondément en elle, l’écartelant, avant qu’elle ne sente la queue tressaillir puis déverser des flots de sperme chaud. L’éjaculation la fit basculer et une explosion de plaisir l’envoya au ciel. C’était la délivrance tant attendue et espérée. Un séisme dont son corps ressentit les répliques, secoué de spasmes incontrôlables. Solange ne perçut plus rien du monde qui l’entourait. Elle n’était que plaisir à répétition, qu’un instrument tendu et vibrant dont la musique émise était un interminable râle de plaisir.


Lorsqu’elle reprit pied, elle était accroupie sur le sol, les mains cramponnées au rebord de la table. Marek avait pris place sur une chaise et la regardait. Sa verge pendait mollement entre ses jambes. Même flasque, ses dimensions étaient impressionnantes. Solange relâcha le bord de la table, les jambes encore trop flageolantes pour se relever, et s’assit sur le carrelage froid de la cuisine. Sur le sol, une quantité incroyable de sperme s’était déversée. Ses lèvres étaient encore couvertes de la substance blanche. « Pas de risque d’être plus enceinte que je ne le suis déjà ! » se dit-elle. Observant son sexe, elle le vit rougi et encore distendu. Un monstre en avait fait sa tanière aujourd’hui ; combien de temps lui faudrait-il pour reprendre sa forme habituelle ?


Elle était assise sur le sol de la cuisine, un quasi-inconnu à ses côtés, nu comme un ver, qui la regardait. Elle-même nue et enceinte d’un autre homme. La situation semblait irréelle pour Solange. Et pourtant aucun sentiment de culpabilité ne la submergea. Rien. Peut-être était-ce cet incroyable orgasme qui continuait de l’apaiser, ou bien était-ce parce que, justement, elle avait découvert la puissance que pouvait prendre un orgasme ? Elle se sentit épanouie et rassasiée. C’était son corps qui avait réclamé cet homme, qui l’avait poussée à le charmer et à le ramener chez elle. Elle avait suivi son instinct et laissé la nature faire son œuvre.


Après de longues minutes à récupérer sans dire un mot, Solange sortit de sa torpeur, dérangée par le froid du carrelage qui l’envahissait. Après une courte discussion pendant qu’ils se rhabillaient, Solange remercia le jeune homme pour le service clientèle qu’il offrait et le congédia. La cuisine respirait la débauche et il lui fallait remettre la maison en ordre avant le retour de son homme.



Épilogue :


Quelques jours plus tard, Solange eut le cran de retourner à la supérette. Après quelques minutes, n’apercevant pas son étalon, elle s’en enquit auprès du caissier bedonnant qui lui répondit « Marek ? Quel Marek ? » sans lever les yeux de sa revue.