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n° 16678Fiche technique24559 caractères24559
Temps de lecture estimé : 14 mn
06/03/15
Résumé:  Un homme travesti se fait surprendre par son amie...
Critères:  hbi hplusag hépilé danser fdomine soubrette hféminisé cunnilingu hdanus hsodo init -travesti
Auteur : Tom            Envoi mini-message
Quand Jean devient Jeanne avec de l'aide

Jean adore se travestir, et chaque fois que Caroline s’absente à l’étranger pour son travail, Jean trouve refuge dans le dressing de Caroline et enfile ses plus beaux sous-vêtements, robes, collants ou bas et chaussures à talons. Une fois habillé, Jean se maquille et se parfume si bien que l’illusion est parfaite, et Jean devient Jeanne la Sissy. C’est ainsi qu’il se sent bien dans sa peau, et aime passer des heures, accoutré ainsi, en se regardant avec fierté dans le miroir. Il est si bien dans la peau de Jeanne qu’un jour il oublia que Caroline rentrait le jour même, et se rendit compte de son oubli quand la clé tourna dans la serrure.

Il se sentit défaillir. Que faire ? Trop tard ; Caroline, valise à la main, tomba nez à nez avec lui.



Jean ne savait plus où se mettre, et sa pose, tête baissée, mains jointes dans le dos et les pieds rentrés l’un vers l’autre comme une écolière en faute fit éclater de rire Caroline. Elle prit son portable et fit rapidement une série de clichés compromettants.



Jean acquiesça d’un petit hochement de tête. Dans son cerveau tout se mélangeait, honte, excitation, il ne savait plus.



Il hésita un instant, puis voyant les yeux de Caroline se froncer, dit par dépit :



Caroline et Jeanne se préparaient, ou plutôt Caroline jouait à la poupée avec Jeanne, lui faisant essayer des tenues plus sexy et plus mignonnes les unes que les autres. Caroline opta pour une robe longue, mais Jeanne n’eut droit qu’à la robe courte.


Plus tard, elles sortirent de la voiture et montèrent les marches vers la réception qui les attendait. Inutile de dire que Jeanne pensait, à chaque pas qu’elle faisait, à ne pas se tordre les chevilles avec ses talons hauts. Elles entrèrent ; quelques visages se tournèrent vers elles, et Jeanne sentit le rouge lui monter aux joues : il en était persuadé, les gens savaient que c’était un homme.

Caroline lui passa une main dans le dos et tout en l’entraînant vers le bar, lui chuchota à l’oreille :



Jeanne/Jean… Tout tourbillonnait autour de lui/elle. Qui était-il ? Mais sa tenue était si belle, son maquillage si réussi, son parfum si agréable et enivrant… et cette fausse poitrine que Caroline avait glissé dans son soutien-gorge… Il en rêvait depuis longtemps, et là c’était la réalité. Il en était sûr : il était Jeanne et allait non pas jouer un rôle, mais le vivre, à fond ! Une seconde coupe de champagne eut raison de ses dernières inhibitions, et il accepta de danser avec un homme d’une cinquantaine d’années dont les mains avaient la fâcheuse tendance à glisser vers ses fesses. Jeanne évitait de parler, mais son cavalier semblait avoir des choses à dire pour deux. Caroline observait la scène, très amusée, mais n’en laissant rien paraître. Elle en avait oublié la fatigue de son voyage. Jeanne s’approcha de Caroline et lui dit que l’homme l’avait invitée à passer le week-end chez lui mais qu’elle n’irait pas, c’était hors de question. Caroline éclata de rire.



Une fois revenues, Jeanne se servit un verre et en emplit un pour Caroline, qui s’était éclipsée dans une autre pièce. Elle revint les mains dans le dos, et montra ce qu’elle cachait : une nuisette transparente.



Sur le lit, Jeanne s’exécuta ; elle lécha et suça divinement les seins dressés de Caroline, puis s’intéressa à sa chatte rasée qu’elle lécha avec délectation, s’attardant sur le clitoris, suçant les petites lèvres entre les siennes et pénétrant cette douce chatte avec sa langue. Caroline gémissait, remuait son bassin en tous sens, puis se cambra et émit un long gémissement avant de retomber sur le lit, vidée…

Jeanne avait rempli sa tâche, et en y repensant, son sexe n’avait même pas bandé ; ça demandait réflexion, mais pas maintenant, cette journée lourde en surprises et en émotions l’avait épuisée.




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Quand Jeanne ouvrit les yeux, le jour était bien levé. Elle aperçut un tas de vêtements pliés sur une chaise et comprit qu’ils lui étaient destinés. Jeanne était de bonne humeur, ce matin. Les souvenirs de la veille lui trottaient dans la tête ; elle avait été une femme en public, et puis ce rendez-vous, c’était follement excitant. En se levant, Jeanne se rappela porter cette nuisette, et en passant devant le miroir pour se rendre à la douche se dit qu’elle lui allait à ravir ; décidément, Jeanne était de bonne humeur. Elle s’intéressa aux vêtements laissés en son honneur : il y avait une culotte rose à frou-frous, une robe mauve à volants composée de multiples jupons froissés, des bas blancs s’arrêtant au-dessus des genoux, et des escarpins lilas. Habillée, pomponnée, et équipée de ses prothèses dans le bustier de la robe, Jeanne était prête pour sa seconde journée en tant que femme. D’ailleurs, ne sachant où se trouvait Caroline, Jeanne enfila un tablier de cuisine et s’affaira à préparer le repas.


La porte s’ouvrit vers midi, et Caroline entra avec des paquets dans les mains.



Caroline posa ses paquets sur la table entre les assiettes et sortit des accessoires provenant d’un sex-shop. Il y avait du gel, des plugs anaux, deux dildos, un gode-ceinture et des produits dépilatoires.



Jeanne sentit très humiliant le fait de baisser sa culotte ainsi et de présenter son intimité. Caroline prit une grosse noix de gel, glissa sa main entre les fesses de Jeanne qui sursauta au contact froid du lubrifiant, puis entreprit de bien lubrifier le petit trou de Jeanne en massant de bas en haut sa raie, puis en faisant de petits cercles autour de sa rondelle, et enfonça son majeur doucement à l’intérieur.

Jeanne se raidit un peu, mais Caroline la rappela à l’ordre :



Elle entra et sortit son doigt plusieurs fois, reprit un peu de gel, puis entra un deuxième doigt, puis un troisième. Sentant sa résistance s’estomper, Caroline prit le plus petit des plugs et le mit en place, puis avec une feuille d’essuie-tout, elle ôta l’excédent de gel et alla se laver les mains.



Jeanne remonta sa culotte. Ses joues étaient en feu. Elle s’assit sur sa chaise et sentit le plug s’enfoncer un peu plus.


Le repas fut calme. Jeanne débarrassa la table et fit la vaisselle pendant que Caroline feuilletait une revue dans le séjour. Jeanne ne pouvait s’empêcher de temps en temps de toucher le plug à travers sa culotte ; c’était une sensation curieuse, d’être ainsi remplie, mais en même temps ça devenait agréable, hormis que son corps avait tendance à vouloir l’expulser, ce qui l’obligeait à s’asseoir pour le renfoncer. Selon les ordres de Caroline, Jeanne devait s’épiler. Ce fut un moment difficile qui lui prit une grande partie de l’après-midi pour être menée à bien. Et mis à part quelques rougeurs par-ci par-là, le résultat en valait la peine. Caroline put s’en rendre compte quand elle lui demanda de lui faire subir le même plaisir que la veille. Jeanne s’affaira sur la chatte de Caroline à nouveau, se donnant à fond et la faisant jouir plusieurs fois. La différence, c’est que Jeanne portait un plug, et Caroline s’amusait à le remuer et le faire tourner sur lui-même ; mais Jeanne ne bandait toujours pas.


Le week-end terminé, Caroline devait repartir au travail. Jeanne aussi aurait dû, mais Caroline avait décidé que son travail était désormais ici : elle l’embauchait officiellement comme soubrette. Avant de partir, Caroline s’était assurée que Jeanne avait changé de plug pour un plus gros ; pour cela elle avait tiré les draps, demandé à Jeanne de se placer sur le ventre les jambes écartées, et avait procédé au changement de plug en ayant auparavant enduit le nouveau d’une noisette de gel et enfoncé sans ménagement ce dernier, ce qui fit pousser un petit cri de surprise à Jeanne, puis remonta les draps en lui disant qu’elle pouvait dormir un peu encore, mais que la demeure devait être impeccable à son retour. Jeanne avait bien sûr une nouvelle pile de vêtements aux couleurs chatoyantes qui l’attendaient sur la chaise voisine.




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Le jour suivant se passa de la même façon, avec un nouveau plug, plus gros encore ; mais paradoxalement, il n’avait plus tendance à sortir, et Jeanne l’avait oublié. Ce soir-là, Caroline revint avec des sacs pleins les bras encore, mais remplis de vêtements, pour Jeanne naturellement. Quand Jeanne sortit de la salle de bain avec sa nouvelle nuisette pour se mettre au lit, elle eut un mouvement de recul : Caroline portait le gode-ceinture qu’elle avait acheté. Elle avait entre les jambes un sexe rose, dressé fièrement, et qui dansait un peu à chacun de ses mouvements.



Jeanne se plaça entre les jambes de Caroline, mais pas pour s’occuper de sa chatte comme les autres soirs. Elle ouvrit la bouche, humidifia de sa salive le membre en silicone et commença à l’enfoncer dans sa bouche. Elle eut un haut-le-cœur quand le gland atteignit sa gorge et le ressortit un peu, puis recommença pour le même résultat.



Jeanne s’exécuta. Dans sa position, elle vit arriver Caroline la tête en bas.



Caroline lui renversa bien la tête en arrière, cracha sur le membre pour le lubrifier et l’enfonça dans la gorge de Jeanne qui, à sa grande surprise, le sentit rentrer entièrement, son nez se trouvant au niveau de l’abricot de Caroline qui fit quelques mouvements de va-et-vient, puis le ressortit.



Effectivement, cette fois Jeanne avait une belle érection.



Puis Caroline retira le plug, et pendant que le trou restait béant, elle enfila le gode-ceinture jusqu’au fond.



Et sans attendre de réponse :



Effectivement, Caroline lima, sans ménagement, de longues minutes. Mais la légère douleur que Jeanne ressentait se transformait peu à peu en plaisir. Oui, ça devenait agréable, au point de s’entendre dire :



Jeanne s’écroula sur le lit après un orgasme énorme venant de ses entrailles, et sans avoir éjaculé. Caroline, satisfaite de ce qui venait de se passer, lui dit :



Jeanne s’exécuta en s’appliquant, puis elles s’endormirent harassées par tant de plaisir ; mais avant, le plug de Jeanne fut remis en place.




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Jeanne était fébrile ; le rendez-vous était pour ce soir, et le monsieur « dans la cinquantaine » devait passer la prendre à 19 heures. Caroline, elle, s’était absentée en milieu d’après-midi pour aller chercher « la touche finale à la féminité de Jeanne ». Cela ne rendait pas Jeanne moins inquiète, au contraire. Caroline rentra et dit :



Elle ouvrit une belle boîte contenant un sachet de tissu.



Le sachet contenait des petites pièces en plastique et un fourreau à la forme d’un petit sexe. Jeanne était nue, les mains nouées devant son pubis.



Caroline attrapa ses bourses et entreprit de les faire passer dans un anneau. C’était étroit, mais l’anneau finit par prendre sa place derrière les bourses, puis elle enfila le fourreau sur le sexe de Jeanne, mit un axe pour maintenir l’ensemble et, avec une clé fournie, verrouilla la cage de chasteté. La cage était en plastique de couleur blanche, et au contact de la peau devenait plus malléable. La sensation était des plus bizarres, mais pas désagréable.



Jeanne sentit ses joues rougir. 19 heures arrivèrent enfin. Jeanne était pomponnée de la tête aux pieds ; Caroline avait vérifié le moindre petit détail (et pensé à retirer le plug anal). Jeanne était belle, bien habillée, sentait bon et portait de superbes chaussures à talons aiguilles, mais elle avait la gorge serrée. Caroline, remarquant son trouble, ouvrit une bouteille de champagne et servit deux coupes.



La sonnette retentit ; Caroline alla ouvrir et fit entrer le rendez-vous de Jeanne. Elle le fit asseoir, lui servit une coupe, et tous deux entamèrent une conversation anodine. Jeanne ne savait plus où se mettre et n’osait pas pour l’instant entrer dans la pièce. Caroline l’appela :



Jeanne entra fébrilement dans la pièce. L’homme se leva ; il se prénommait Henri.



Elle ouvrit la porte et fit la bise à Jeanne et à Henri, qui se dirigèrent vers la voiture de ce dernier.


La voiture d’Henri roula pendant une heure et demie. Tout ce temps, il parla tout en laissant naviguer sa main sur la jambe de Jeanne, qui ne semblait pas détester cela. Ils approchèrent d’une grande demeure au milieu d’un parc dans la propriété d’Henri. Grande fut la surprise de Jeanne qui pensait se rendre dans un restaurant.


Henri, plein de bonnes manières, laissa entrer Jeanne la première, prit son manteau de fourrure blanche et lui tendit la main pour prendre son bras et la diriger vers la pièce principale. Ses bonnes manières n’empêchèrent pas un regard furtif sur le haut des fesses de Jeanne, visibles par la grande échancrure de sa robe longue de soirée, et dont le mouvement de balancier était accentué par les chaussures à hauts talons. Le petit sourire d’Henri prouvait son contentement. Henri proposa à Jeanne d’aller se rafraîchir avant le dîner, ce qu’elle accepta. Jeanne dut se mettre quasiment nue pour s’asseoir sur les toilettes ; elle se rappela sa cage de chasteté : elle était si confortable qu’elle l’avait oubliée.


Après s’être passé de l’eau aux endroits stratégiques, Jeanne remit son string sur la cage de son « oiseau », renfila sa robe, se parfuma encore un peu et se poudra légèrement les joues. Que d’évolution de Jean à Jeanne… Tout avait été si vite, et pourtant tout s’était passé tellement en douceur. Bref, trêve de rêveries : son hôte l’attendait en bas pour le dîner.

Le repas fut exquis ; Henri se montra très courtois et détendit l’atmosphère en faisant rire Jeanne de nombreuses fois. Après le café, Henri accompagna Jeanne en direction de sa chambre, et n’y tenant plus lui dit :



Ils prirent la direction de la chambre d’Henri. Jeanne se dévêtit dans sa salle de bain pour enfiler sa nuisette rose transparente avec des pompons et le pourtour en plumes et la ceinture fermée par un ruban de satin. « Cette fois-ci, plus d’artifices : je pose mes faux seins, et mon entrejambe est visible. C’est le moment de vérité ! » pensa Jeanne.


Henri, allongé sur le lit, avait bien qu’au repos un sexe d’une taille conséquente ; sa vue troubla Jeanne qui ne put s’empêcher de rougir une fois de plus. Voyant son trouble, Henri l’invita à s’approcher du lit en tapant de la main sur la couverture. Jeanne s’allongea, gênée. Alors Henri l’enlaça et l’embrassa à pleine bouche. Jeanne, surprise tout d’abord, se laissa submerger par ce sentiment d’abandon en sentant le poids de "son homme" sur son corps, sa chaleur corporelle, et… son excitation naissante : Jeanne sentait un sexe grossir le long de sa cuisse, et ce n’était certes pas le sien, mais bien celui d’Henri. Alors Jeanne répondit à son baiser en cherchant les lèvres de son amant pour l’embrasser à son tour, et leurs langues s’enroulèrent de longues et plaisantes minutes.


Jeanne voulait plaire à Henri, tout comme une femme voulait le faire ; alors elle glissa une main vers ce membre dressé fièrement, le palpa des doigts, fit quelques mouvements de va-et-vient avec sa main, chose qui semblait plaire à Henri. Jeanne se décida à goûter ce sexe ; elle se redressa, se mit à quatre pattes entre les jambes d’Henri et entreprit une fellation. Le goût, la texture de ce sexe, cela n’avait rien à voir avec un gode en plastique rigide ; c’était agréable. Alors Jeanne se donna à fond et enfila ce sexe plus profondément dans sa gorge à chaque aller-retour. Henri semblait apprécier énormément et accompagnait les mouvements de Jeanne par de petits coups de reins. Henri finit par capituler ; au bord de la jouissance, il freina Jeanne et lui dit qu’il ne voulait pas jouir ainsi.


Demandant à Jeanne de rester dans la même position, il se plaça derrière elle, baissa sa belle petite culotte sur ses genoux repliés, d’une main curieuse caressa la cage de chasteté, puis enduisit ses doigts de sa salive et mouilla abondamment l’anus de Jeanne ainsi que son gland, présenta son sexe à l’entrée du petit trou, fit quelque tout petits mouvements autour de sa rosette et pressa son gland virilement et lentement pour faire céder les barrières de Jeanne.


Au comble de l’excitation, Jeanne ne résista pas beaucoup, et aidé par la salive le sexe d’Henri entra entièrement dans le fondement de Jeanne. Il lui laissa quelques secondes pour s’habituer, puis commença ses va-et-vient en tenant Jeanne par les hanches. Jeanne était prise comme une bonne chienne par un sexe énorme et bouillant qui entrait et sortait de ses entrailles dans un mouvement régulier lui arrachant des petits halètements ; Jeanne sentait le sexe en elle durcir encore, les mouvements s’accentuer, et son plaisir grandir.


Jeanne prenait du plaisir à se faire baiser, mais la satisfaction que son amant prenait du plaisir grâce à elle était plus grande encore. Jeanne finit par exploser de l’intérieur en une jouissance qu’elle ne croyait pas possible. Son raidissement, le mouvement de sa croupe, et sa tête qui se releva en arrière eurent raison d’Henri, qui jouit en de longs jets puissants qui n’en finissaient plus, déversant son sperme chaud dans le petit trou de Jeanne, qui ne put que dire :



Tous deux s’écroulèrent sur le lit, s’embrassèrent à pleine bouche, et Jeanne s’endormit dans les bras puissants d’Henri. Henri posséda Jeanne cinq fois de plus cette nuit-là.


Au petit matin, Henri lui dit :