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n° 16680Fiche technique16636 caractères16636
Temps de lecture estimé : 11 mn
07/03/15
corrigé 01/06/21
Résumé:  Le pauvre, il n'avait plus où dormir. Mon mari m'a convaincue de lui offrir le gîte, mais il s'incruste...
Critères:  fhh ffh copains grossexe voir pénétratio attache yeuxbandés -couple+h -cocucont
Auteur : Tito40      Envoi mini-message
L'incruste

C’est tout de même une situation très inconfortable. Quelques jours, d’accord ; quelques semaines, c’est beaucoup. Alors que dire de quelques mois…


Un ami d’enfance de mon mari s’est fait jeter par sa femme du jour au lendemain. Mariés depuis quinze ans, nous les pensions pourtant stables et toujours amoureux, et ça a été une vraie surprise. Pour lui moins. Il savait que ça n’allait plus avec son épouse. Elle était de plus en plus attirée par les femmes, et avait fini par succomber à la tentation. Il ne pouvait pas lutter contre une « bouffeuse de chattes » comme il dit.


Quand mon mari m’a demandé si je serais d’accord pour le laisser s’installer dans la chambre d’amis pour quelque temps, j’ai évidemment répondu positivement. Lionel est sympa, je l’aime bien. Il est aussi un peu « grande gueule » mais c’est pas mal pour animer les soirées. Mais voilà, je n’avais pas conscience que « quelque temps » pouvait durer aussi longtemps. Et notre intimité en a pris un coup. Je dois prendre garde à ma tenue quand je suis à la maison. Il a des yeux partout. Des fois j’oublie qu’il est là, et quand ses yeux se posent sur une partie dénudée de mon corps, j’ai vite fait de corriger. Il a des yeux partout. Ce n’est pas que ça me gêne, je suis assez libre, mais enfin nous sommes dans un espace limité et il nous faut garder un minimum de bienséance.


Je dois faire à manger pour trois, mais heureusement Lionel m’aide. Un peu trop d’ailleurs. Et quoi qu’il en soit, j’ai son linge dans le bac. Au début il l’emmenait au pressing, mais je ne pouvais pas faire autrement que de lui proposer de m’en occuper. Bobonne le retour. Et bonbonne, au lit, elle ne peut même plus s’éclater. Elle doit faire attention à ne pas trop faire de bruit. Ça, j’aime moins. Pour tout dire, c’est ce qui me dérange le plus. Me retenir de crier des ordres à mon mari ou de me pâmer quand je jouis, ça me stresse. Du coup, nous faisons l’amour moins souvent, et quand nous le faisons, je ne m’éclate pas. C’est quand même pas terrible.


Et notre ami Lionel a fini par prendre ses aises. Il m’avait demandé mon accord pour recevoir une amie. Je ne pouvais pas refuser. Le soir même, sa jeune amie au look un peu « salope » est arrivée pour dîner avec nous. Elle n’a pas arrêté de le cajoler, se montrant enjôleuse et un rien provoc. Nous pensions qu’elle allait repartir aussitôt le dîner terminé, mais tintin ! Elle est restée toute la soirée, et nous avons fini par aller nous coucher, la laissant avec Lionel dans le salon. Depuis des mois nous faisions en sorte d’être discrets pendants nos ébats. Ils ne semblaient pas perturbés, eux, par notre proximité. À peine au lit, nous avons entendu la tigresse crier des insanités. Lui, on ne l’entendait pas ; mais le bruit qu’elle faisait nous indiquait qu’il était à l’œuvre, et férocement. Alors vous savez, quand on entend « Oh oui, baise-moi… » ou « Plus fooooort ! » ou « Oui, je jouiiiis… », ça émoustille un peu. Quand après un bruit de douche de quelques minutes vous entendez la dévoreuse qui en redemande, ça émoustille encore plus. J’ai insisté auprès de mon mari pour qu’il aille les calmer un peu. Quand il est parti les voir, il était raisonnablement en colère. À son retour, il marchait presque à reculons pour me cacher son zizi. En fait, ce qu’il avait vu avait fait tomber sa colère et monter sa queue. Je lui ai offert de se soulager entre mes cuisses, ce qu’il a fait avec application ; mais d’entendre la salope couiner alors que je ne ressentais pas grand-chose m’a mise, moi, dans un état avancé de frustration.


Une fois la maison à nouveau calme, je me suis relevée pour aller boire dans la cuisine. Leur porte était entrouverte. J’ai risque un œil à l’intérieur sans apercevoir quoi que ce soit. Évidemment, je ne pouvais rien voir puisque je les ai trouvés dans la cuisine, le nez dans le frigo. Tous les deux à poil. Et la garce s’est carrément foutue de ma gueule en me disant « J’espère qu’on n’a pas fait trop de bruit… » Il est vrai qu’elle a un corps de bombe atomique. J’aurais aimé être (non, non, pas une artiste) aussi bien gaulée qu’elle, et surtout aussi expressive. Grande, fine, des jolis petits seins pointus, pas un poil de graisse, la peau veloutée. Rien à jeter à part sa grande gueule. Et Lionel, pas mal aussi. Je le voyais plus fluet. Il est plutôt pas mal pour son âge, et surtout, il a une très belle boîte à outils. Quel mandrin !


Autant j’avais eu du mal à décoller en les entendant, autant les voir m’avait un peu retournée. Je me suis soulagée dans mon lit avant de m’endormir ; et j’avoue, c’est l’image de Lionel nu que j’avais en tête en me caressant.


Elle est revenue plusieurs fois les jours suivants, et ça se terminait à chaque fois par une bruyante partie de jambes en l’air. Mon mari parvenait à s’endormir pendant que je veillais, attendant le silence pour sombrer. Et puis un soir, fatiguée, mon mari dormait, je me suis résolue à me lever et à passer un peignoir pour aller leur demander de faire moins de bruit. Il faut dire que j’avais aussi une arrière-pensée malsaine, celle de peut-être les surprendre.


J’ai frappé par politesse à leur porte, mais n’entendant pas de réponse, les hurlements de la starlette couvrant mes toc-toc, je suis entrée dans la chambre. Lionel avait les yeux bandés et les mains attachées à la tête de lit, les pieds noués avec des cordes tendues sur le sommier. Elle était assise sur lui, à l’envers, les mains sur les genoux de Lionel, et faisait coulisser le sexe du bienheureux dans sa chatte.


Cette garce ne s’est même pas interrompue en me voyant entrer, poursuivant son auto-défonçage avec frénésie. Je voulais voir. Je voyais. Elle m’a fait un signe de la main pour que je m’approche, un signe tellement magnétique que je n’ai pas pu m’empêcher de faire deux pas en avant après avoir fermé la porte derrière moi.


Elle m’a saisie par le menton pour m’embrasser sur la bouche, langue sortie. Quelle salope ! Sentir sa salive sur ma bouche m’a électrisée immédiatement. Elle continuait d’aller et venir sur la queue de Lionel en me roulant une pelle magnifique. J’ai senti mon peignoir s’ouvrir et sa main s’engouffrer dans ma culotte. J’aurais pu l’en empêcher, me reculer, mais j’avais envie de la laisser faire et, au contraire, j’ai un peu écarté mes cuisses pour qu’elle m’explore. Elle était directe, la bougresse. Elle ne fait pas dans la dentelle. Elle m’a mis un doigt, puis deux, et s’est mise à me presser la vulve avec force. J’ai posé un pied sur le lit pour lui faciliter l’accès à mon vagin, et je l’ai sentie se déchaîner pour me donner du plaisir. La voir ainsi en sueur, la sentir ainsi en moi, ça m’a déclenché un orgasme dont j’ai eu honte immédiatement.


Je me suis reculée et j’ai refermé mon peignoir. Je ne parvenais pourtant pas à détacher mon regard de cette scène de baise. Elle a accéléré un peu ses mouvements sur Lionel qui râlait. Je l’ai vue se dégager pour venir à genoux sur son côté, face à moi. Elle a pris le sexe de Lionel dans sa main en me regardant, lui a mis quelques petits coups de langue toujours en me regardant, puis l’a pris dans sa bouche pour pomper. Elle ne me quittait pas des yeux, et je dois dire que ça m’excitait terriblement. Plusieurs fois elle l’a sorti de sa bouche en me faisant signe de venir le sucer, mais je ne pouvais m’y résoudre. C’était trop indécent pour moi. Sa queue était indécente tellement elle était grosse, veinée de bleu, gorgée de sang. Cette situation était indécente, avec cette fille délurée chez nous, dans notre chambre d’amis, en train de me proposer de sucer un copain de mon mari alors que lui dormait paisiblement à côté. Indécent mais terriblement tentant.


J’ai quitté mon peignoir et je suis venue me coller dans son dos pour lui rendre le baiser qu’elle m’avait donné plus tôt. Je n’ai pas pu m’empêcher de soupeser ses seins, de les lui caresser un peu pendant qu’elle avait repris sa pipe, et j’ai fini par moi aussi visiter sa chatte, très étroite, mais aussi très chaude et humide.


Elle s’est écartée un peu et m’a attrapé une main pour la guider vers cette verge qui me fascinait. Après tout, il ne voyait rien. Il aurait peut-être des doutes, mais si elle ne lui disait rien il ne saurait pas, et l’honneur serait sauf. J’ai attrapé la queue et j’ai senti immédiatement des fourmillements dans tout mon corps. Elle était en effet d’une raideur extrême, bouillante et palpitante. Je n’ai pas résisté à l’envie de la goûter et de la pomper un peu moi aussi. Je ne savais pas sur le moment s’il savait que sa bite avait changé de bouche, soit à la forme de ma bouche ou bien à ma façon de tourner ma langue autour de son gland, ou peut-être même à ma façon de le branler en même temps. Toujours est-il que je me suis appliquée pendant que la folle était passée derrière moi pour me lécher entre les fesses. Elle a réussi à me faire jouir alors que je résistais. Et c’est peut-être cette résistance qui m’a poussée dans mes limites. Je crois même que je lui ai pissé sur les doigts tellement c’était bon. J’ai lâché Lionel qui devait être proche lui aussi de l’explosion, et j’ai ressenti comme un peu avant un énorme sentiment de honte. Cette fois je me suis dégagée, j’ai passé mon peignoir, et je suis partie sans me retourner. Une fois la porte refermée, je suis encore restée un instant dans le couloir à les épier. Quand j’ai entendu Lionel dire qu’il allait cracher, j’ai couru jusqu’à mon lit.


Il s’en était fallu de peu pour que je plonge dans le piège. Si je ne m’étais fiée qu’à mes envies, je me serais volontiers empalée sur sa queue pour lui montrer que moi aussi j’étais capable de le faire grimper aux rideaux. Et en plus j’étais persuadée que son équipement était tout à fait apte à me faire décoller assez haut. J’étais honteuse d’être allée aussi loin, et fière en même temps d’avoir résisté à l’envie animale de me faire pénétrer de cette queue.


Sauf que les jours qui ont suivi, je ne pensais plus qu’à ça. J’y pensais y compris quand mon mari me faisait l’amour, ce qui m’a semblé à tout le moins indélicat et même malsain. Mais je n’y pouvais rien. J’ai fini par me dire qu’à la prochaine occasion, je retournerais me rincer l’œil, voulant me convaincre que je saurais, comme la première fois, ne pas franchir le Rubicon.


En arrivant devant la porte j’ai encore hésité, puis j’ai frappé, et je n’ai pas attendu de réponse. Je suis entrée et j’ai refermé derrière moi. J’ai senti le sang me monter à la tête quand je les ai vus. Elle était debout, les mains contre le mur du fond, et Lionel collé derrière elle, qui la pistonnait avec force. J’avais imaginé les retrouver sur le lit, lui les yeux bandés et entravé. Il s’est tourné pour me regarder mais ne s’est pas interrompu pour autant. J’ai même eu l’impression que ma présence l’a motivé à la défoncer encore plus fort. J’aurais voulu être une souris, me faire toute petite, n’être même jamais entrée. C’était trop tard. Elle lui avait peut-être dit que je m’étais laissé aller la dernière fois. Ou pas. Il avait peut-être compris que j’avais goûté sa queue. Ou pas.


Je suis ressortie pour retourner dans mon lit, vexée et défaite. Les bruits ont continué une partie de la nuit, je me suis endormie. Vers 3 heures, je me suis levée pour aller boire dans la cuisine. Il était là, encore nu, la queue pendante, debout devant la table, un verre de jus de fruit à la main. Il s’est excusé, avec un sourire.


Je n’ai pas répondu, me contentant d’attraper un verre pour me servir. Il me regardait, l’air triste. Sa donzelle devait roupiller, repue qu’elle était, me suis-je dit. J’en suis même venue à la jalouser. Elle s’était fait ramoner, et si j’avais été un peu hardie, j’aurais pu moi aussi vérifier si oui ou non ce mec était un bon coup. Ceci dit, à l’entendre hurler, ça devait être le cas.


Lionel, son verre à la main, s’est reculé pour s’asseoir sur la table. J’étais là comme une conne, face à lui, à boire mon jus d’orange. Et mon regard s’est porté vers son membre ; je ne pouvais pas résister à l’envie de le regarder. Ça a dû lui faire quelque chose parce qu’immédiatement je l’ai vu changer de forme et de taille. Il s’est redressé tout doucement. Lionel a baissé lui aussi son regard vers sa queue, la regardant prendre de l’ampleur. J’avais là un choix cornélien. Partir, ou rester. Mais rester, ça voulait dire m’approcher, le toucher pour qu’il grossisse encore, le sucer peut-être, et le laisser me baiser dans la cuisine. Je n’ai même pas hésité. Je me suis avancée vers lui en ouvrant mon peignoir et je me suis collée contre lui.


J’ai saisi son engin pour le secouer un peu, et lui a dirigé sa bouche vers mon sein droit, le plus sensible, pour me le bouffer. Un instant je me suis demandé qui avait bien pu lui dire que j’étais hypersensible de ce sein-là. Mais peu m’importait sur l’instant. Je lui ai fait comprendre que j’aimais ça en serrant davantage sa verge et en me cambrant. J’avais hâte qu’il me prenne. On pouvait se passer de préliminaires puisque j’étais déjà trempée. Je me suis dégagée pour aller poser mes mains sur le plan de travail, le cul en arrière, la tête tournée vers lui. Il a sauté de la table pour venir me prendre, comme une chienne. Quand il m’a enfilé son outil, j’ai cru défaillir. Exactement la taille qu’il me faut, exactement la force dont j’ai besoin, tout était parfait, jusqu’à la sensation qu’il devait forcer un peu pour me pénétrer complètement. À chaque coup il venait claquer contre mes fesses, je sentais ses couilles entre mes cuisses, et une vague énorme monter rapidement. Il a lâché mes hanches pour attraper mes seins en me redressant un peu, et a accéléré le mouvement jusqu’à m’envoyer des petits coups puissants bien au fond avec une intensité et une fréquence inouïes. Exactement ce qu’il me fallait pour jouir intensément, d’autant qu’en même temps il maltraitait mon sein droit qui à lui tout seul peut me provoquer un orgasme. J’ai joui comme une dingue, comme l’autre salope sans doute, au point que je ne savais plus où j’étais ni avec qui. Le sans-gêne ne s’est pas retiré pour éjaculer et j’ai senti des spasmes pousser sa semence vers la sortie avant de ressentir une chaleur intense tout au fond.


Et encore la honte qui m’a submergée. Je me suis essuyée avec un Sopalin sans le regarder, et j’ai enfilé mon peignoir pour rejoindre ma chambre. C’est à ce moment que j’ai vu mon mari, adossé à côté de la porte, me regardant avec tendresse. Il avait surement tout vu. Il avait peut-être même tout manigancé. Comme je ne bougeais plus, il s’est avancé vers moi, m’a prise dans ses bras pour m’embrasser et me dire qu’il m’aimait. J’ai été rassurée, assez pour accepter que quelques secondes plus tard une main vienne sur mes fesses par derrière, celle de Lionel qui était venu lui aussi contre moi. Ses mains ont parcouru mon cul, puis mes cuisses. Je gardais ma tête sur l’épaule de mon mari. Puis Lionel est venu frotter sa queue entre mes cuisses encore trempées de sperme. Malheureusement, il n’a pas rebandé assez pour me prendre à nouveau, mais à ce moment-là j’en aurais eu très envie.


On n’a plus revu la gonzesse de Lionel. En revanche, sa queue à lui, je l’ai vue et revue. À volonté. On n’attend plus qu’il fasse nuit, on n’attend plus rien d’ailleurs, juste une envie, et il me saute. Que mon mari soit là ou pas, il me saute. Et j’adore ça. Je l’attache, il m’attache, on se bande les yeux chacun son tour. Ça pimente. Quoique hier soir, je me demande bien qui m’a aussi bien bouffé la chatte.