n° 16691 | Fiche technique | 13268 caractères | 13268Temps de lecture estimé : 8 mn | 12/03/15 |
Résumé: Ma femme m'offre mon plus bel anniversaire. | ||||
Critères: fh 2couples grp extracon cocus caférestau voir exhib noculotte fellation cunnilingu partouze -cocucont | ||||
Auteur : Cordier (Amoureux des mots et des femmes qui rendent la vie si douce.) Envoi mini-message |
Aujourd’hui, je vous propose le récit d’un anniversaire de rêve. Mon anniversaire s’approche et Marie a réservé un restaurant pour le fêter en tête à tête.
Elle a revêtu une de ses jolies tenues qu’elle sait que j’affectionne, tout simplement un chemisier blanc, une jupe à mi-cuisse, des bas et des escarpins à talons hauts, elle est ravissante… D’autant plus que, connaissant sa garde-robe, je sais que cette jupe avec ces bas permettent, assise, suivant la position ou le croisé-décroisé de ses cuisses, de découvrir le début de la dentelle et ça, j’adore… En l’embrassant pour la féliciter, j’ai l’heureuse surprise de voir qu’elle n’a pas mis de soutien-gorge et que son décolleté est « vertigineux » ainsi que la vue de ses tétons pointant sous le léger tissu… Une légère veste et nous voilà partis.
Je ne connais pas le restaurant où elle m’emmène. Surprise complète, c’est une ancienne amie à elle qui l’a ouvert il y a peu de temps, me dit-elle. Nous rentrons dans une salle fort agréable avec de grandes tables et sommes aussitôt pris en charge par l’unique garçon, un très jeune homme. Il prie Marie d’excuser sa patronne, son amie, qui ne peut être là pour l’instant mais fera tout pour venir nous dire bonjour.
Le repas est fort agréable bien que la salle soit pratiquement vide et manque un peu d’ambiance. Bien que, pour nous, les regards détournés du jeune garçon sur la pointe des tétons de Marie et sur ses cuisses largement découvertes soient déjà un bon amusement. Étant arrivés tard, nous sommes les derniers clients dès le milieu du repas et là, Marie commence un charmant manège : avant de demander la liste des desserts au serveur elle dégrafe deux boutons de plus à son chemisier. Celui-ci est maintenant défait jusque sous le globe des seins, au premier mouvement brusque un mamelon peut jaillir hors du tissu. Dotée de cette arme fatale, elle appelle le jeune serveur, lui demande son prénom, il s’appelle Sébastien, puis des renseignements sur les desserts. Devant cette superbe femme presque entièrement dépoitraillée, qui pourrait être sa mère, les yeux lui sortent de la tête. Je suis ravi.
Avant de commander le café, Marie me tend quelque chose dans sa main fermée : sa culotte qu’elle vient d’ôter sans que je m’en rende compte ! Les yeux dans mes yeux, elle renverse alors la corbeille à pain et appelle Sébastien. Pendant que celui-ci s’accroupit pour ramasser, sans toujours quitter mes yeux je vois Marie pivoter légèrement et écarter ses cuisses face au visage du jeune homme ! Il doit avoir une vue magnifique sur les cuisses ouvertes, la dentelle des bas et, tout là-haut, le sexe deviné. Rouge comme une tomate, notre jeune homme se relève au bout de longues secondes et file chercher nos cafés. Je félicite ma femme de son audace et l’en remercie, vraiment un très bel anniversaire, lui dis-je ! Je lui demande :
Et à ce moment-là entre son amie : c’est Albane elle-même ! Je suis aux anges ! Les deux femmes se font la bise et Marie me présente. Albane est vêtue d’une petite robe noire toute simple qui flatte admirablement ses formes. Albane repartie dans les coulisses, Marie me dit alors à l’oreille :
Au comble de la surprise, tout s’éclaire pour moi, le restaurant désert, Albane, Sébastien innocent, les deux femmes n’ont monté tout cela que pour moi. Albane revient, débarrasse deux grandes tables à côté de la nôtre, baisse les rideaux et nous dit très naturellement :
Quand Sébastien a posé les cafés, Marie se lève, lui prend la main, s’appuie à la table débarrassée en face de moi et, lui saisissant la tête entre ses mains l’embrasse à pleine bouche. Albane s’est assise à côté de moi et les contemple en souriant. Le jeune garçon, dans tous ses états, nous regarde complètement affolé et là, Albane lui dit avec douceur et autorité :
Marie est maintenant allongée sur la table, cuisses largement écartées pendant que Sébastien, perdant toute réserve, se déshabille en un clin d’œil et nous découvre une fort belle verge dans une érection parfaite. Il saisit les deux cuisses de Marie dans ses deux mains et plante sans ménagement son membre dans cette femme offerte. La jeunesse ne connaît rien aux préliminaires. Je frémis légèrement, c’est la première fois de ma vie que je vois ma femme prise par un autre ! Albane sentant mon trouble prend ma main dans la sienne avec tendresse.
Sébastien pilonne vigoureusement sa proie consentante mais malheureusement au bout de deux minutes à peine sa fougue l’emporte et il éjacule aussitôt ! Déception. Il se retire penaud et je me lève prêt à posséder moi-même ma femme insatisfaite mais Albane me retient et me dit :
Je n’ose comprendre ce qu’elle me propose mais si, c’est bien toi que je vois rentrer dans la salle et s’approcher de nous. Autant émus l’un que l’autre, on s’embrasse puis tu me désignes ma femme toujours offerte sur la table et je te fais signe que oui, tu peux la prendre toi aussi. Je vis un rêve éveillé. Tu caresses savamment le corps offert, allant des mamelons aux cuisses, des cuisses aux chevilles, déposant des baisers de feu tout le long de ce corps que tes doigts et tes lèvres expertes embrasent peu à peu. Hypnotisé par le spectacle, j’entends soudain la voix d’Albane qui m’appelle, elle est entièrement nue elle aussi ! Elle m’attire à la table à côté de celle de Marie et, aussi indécente, aussi animale que ma belle, elle s’allonge, écarte les cuisses et d’une féline ondulation de tout son corps, me provoque.
Quelques minutes après, toi et moi entièrement déshabillés continuons de caresser, de sucer ces deux femmes offertes, toi Marie et moi Albane. Puis quand nous commençons à les pénétrer, j’ai l’irréelle vision juste à côté de moi, du corps de ma femme pris, pénétré, enfilé par toi. Je vois même ta bite entrer et sortir de ma femelle écartelée, je pourrais la toucher ! Et en même temps, j’ai et tu as la même vision d’Albane que je maintiens fermement par les cuisses et dont mes coups de queue font ballotter sous mes yeux, sous tes yeux, ses superbes mamelons dont tu sais que je suis amoureux depuis longtemps. Je vois, tu vois aussi ma bite entrer et sortir, honorant ta splendide femme.
Sébastien, un peu honteux de sa piètre performance nous contemple mais, vigueur de la jeunesse, son érection est déjà remontée, aussi dure qu’avant. Désirant faire durer le plaisir je ralentis, me retire d’Albane et reprends sur son corps les caresses les plus osées. Comprenant mon choix tu fais de même puis, faisant signe à Sébastien qu’il peut, sans les pénétrer, caresser les deux femmes, tu t’éclipses en cuisine pour revenir deux minutes plus tard avec un flacon de gel « intime ».
Tu dis alors deux mots à l’oreille des filles et sans mot dire mais avec un sourire lumineux, je vois ma femme et la tienne se lever et, avec des grâces de chattes, aller s’installer côte à côte, à quatre pattes sur une très grande banquette. Je ne fais plus que suivre, tu es le maître de cérémonie et je te vois commencer à enduire l’anus de Marie avec soin, puis ta verge, puis revenir à elle en rentrant légèrement ton doigt enduit dans son petit trou. Je fais de même avec Albane qui, elle aussi, montre sans aucune pudeur sa splendide croupe et s’offre à moi pour l’ultime possession.
Toutes les deux nous attendent, à peine frémissantes, hiératiques, telles deux déesses de l’amour, elles se présentent, s’offrent à nous en deux « levrettes » inoubliables. Ça y est, tu approches sous mes yeux ton sexe dur comme du bois du cul de Marie, tu forces un peu le passage et dans un petit cri, elle cède, tu es en elle. Vous m’aurez tout offert, tous les trois, ma femme exhibée, caressée, prise, et maintenant sodomisée sous mes yeux. Je me présente maintenant derrière Albane frémissante et rentre en elle avec facilité, vous devez pratiquer assez souvent. Que le cul de te femme est beau !
Pendant de longues minutes nous allons, toi et moi, les prendre ainsi, toi Marie, gémissante avec ta bite en elle, et moi Albane, frémissante de sentir ce mâle inconnu aussi profondément en elle. Je distingue, dans un reflet de miroir les lourds seins d’Albane valsant, emportés par les coups de boutoir que mon excitation prodigue à son cul de rêve ! Albane arrive la première à un orgasme et de la sentir partir me déconcentre et moi aussi je « lâche tout » en elle ! Que de bonheur. Épuisés, elle et moi nous nous enlaçons côte à côte et contemplons votre couple encore uni. Et là, sûrement motivé par ces spectateurs, tu trouves de nouvelles ressources d’animalité.
Tout d’abord, tu fais signe à Sébastien de s’approcher de Marie et toi et, toi toujours en elle, tu saisis ses cheveux, lui relève la tête comme à une femelle captive et lui dis avec autorité :
Et ma femme, soumise enfourne dans sa bouche la superbe queue de ce jeune étalon. J’ai sous mes yeux le spectacle inoubliable de ma femme, femelle captive, dans la position la plus animale de la levrette, chevauchée par toi qui la sodomise, contrainte par sa crinière que tu maintiens de main de maître à recevoir en bouche une autre queue.
Durant de longues minutes, tu as ainsi soumis Marie aux caprices de deux mâles, le vieux, toi, la pénétrant avec ardeur, toujours en levrette, presque avec violence jusqu’au plus profond de ses entrailles pendant que le jeune lui enfonçait sa bite au plus profond de la gorge. Alternant les va-et-vient réguliers et les grands coups de boutoirs qui lui arrachent de petits cris, mélange de souffrance et de plaisir extrême, tu continues de pilonner ma femme. D’une main, tu lui maintiens par les cheveux la tête haute afin qu’elle continue à sucer goulûment la jeune bite de Sébastien et de ton autre main tu lui claques son somptueux cul, ses fesses rosissant sous tes assauts ardents.
Elle gémit maintenant de plus en plus fort et je sais qu’elle va bientôt avoir un magnifique orgasme et en effet, dans un dernier râle de tigresse captive, elle dégage sa bouche de la queue du jeune garçon et laisse exploser sa jouissance dans un feulement tandis que tu l’enfiles avec la dernière des énergies. Puis, en homme expert, tu retires ta bite toujours dure, encore insatisfaite, tu laisses ma femme s’effondrer, épuisée, vaincue, sur la banquette et là encore, avec une douce autorité tu la retournes sur le dos nous remontrant sa magnifique poitrine encore pantelante, tu lui écartes les cuisses pour la voir encore plus belle, encore plus animale, pour exposer son sexe trempé et son anus rougi par ta puissante queue, puis tu ordonnes à Sébastien de venir lui aussi à côté d’elle et vous vous branlez tous les deux au-dessus de ce corps encore pantelant jusqu’à éjaculer presque ensemble de longs jets de sperme blanc qui inondent ce corps de femelle offerte.
Voilà comment j’ai vu pour ce bel anniversaire ma femme entre tes mains, ma femme caressée, sucée, honorée, ma femelle prise, ma femelle sodomisée violement, ma femelle captive entre tes mains expertes, ma femelle soumise, offerte à un autre jeune étalon, ma femelle presque brutalisée sous ta domination, pour, enfin, après avoir été si longuement, si vigoureusement, si bestialement asservie aux désirs des mâles reprendre enfin le pouvoir en te faisant cracher à toi et au jeune étalon votre foutre répandu sur elle comme dernier hommage à sa beauté et à sa puissance de séduction…