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n° 16696Fiche technique17374 caractères17374
Temps de lecture estimé : 11 mn
13/03/15
Résumé:  Le mari de ma collègue part avec une autre, je me retrouve dans un tourbillon que je n'envisageais pas.
Critères:  fh fplusag extracon collègues forêt campagne amour revede voir fetiche cunnilingu -amourcach -consoler
Auteur : Tom            Envoi mini-message
Liaison inattendue

Quatre heures du matin, je me gare devant la maison et éteins vite les feux et le moteur pour ne pas réveiller le voisinage. J’entre dans la maison, suis le couloir en angle droit, il y a de la lumière au fond à gauche, elle est dans la salle de bain. J’entre, elle est nue dans sa baignoire.



Elle se met debout, j’attrape son peignoir, lui passe sur les épaules, je ne peux m’empêcher de faire un baiser appuyé sur chacun de ses tétons.



Je ferme son peignoir et la frictionne délicatement pour la sécher, puis elle sort de la baignoire et se dirige vers sa chambre, en face. Devant le lit, elle défait son peignoir et je la regarde s’asseoir nue sur le bord de son lit. La bosse naissante dans mon pantalon est désormais bien visible. N’y tenant plus, je me penche devant elle et l’embrasse à pleine bouche. Tout en l’embrassant, je la pousse doucement jusqu’à faire tomber son buste sur le matelas. Je quitte ses lèvres pour l’embrasser plus bas, sur le cou d’abord, puis ses épaules, ses seins sur lesquels, je m’attarde longuement, en m’aidant de mes mains.


Je ne sais pas pour vous, mais il y a quelquefois des peaux que l’on aime toucher plus que d’autres, ou alors qui font plus d’effet, je ne sais pas, mais j’adore son grain de peau. J’ai l’impression qu’il s’accorde avec le mien. Toujours est-il que j’adore la toucher, la caresser et comme elle n’y voit aucune objection, j’en profite…


J’en suis au nombril et continue de descendre vers sa toison, je souris intérieurement : la première fois que je l’ai vu nue, je n’ai pu m’empêcher en voyant cette touffe énorme de lui dire sur le ton de la plaisanterie, que j’aimerais la lui raser, cela ne l’a pas vexée, mais elle m’a répondu le plus sérieusement, qu’elle trouvait que cela faisait naturel.

Le lendemain, sa toison était sérieusement rafraîchie, pas rasée, mais un léger tapis de poil couvrait tout son pubis. Je m’en contenterai, avais-je pensé.


Ma langue est maintenant au niveau de son clitoris et il est déjà bien humide, je m’en délecte déjà. Avec le pouce et l’index, j’écarte sa vulve, et me mets à lui lécher méthodiquement, donnant de petits coups de langue, ou léchant de bas en haut pour me repaître de son nectar. Son bassin se met à onduler imperceptiblement, je continue donc de plus belle. Ses mouvements sont maintenant bien appuyés et j’ai du mal à suivre le mouvement, puis elle s’arrête et me dit :



Je me déshabille en vitesse, mon sexe dur est dressé fièrement et soulagé d’être libéré de sa prison de vêtements. Je m’allonge sur elle et mon sexe a déjà trouvé le chemin vers sa grotte humide et chaude, il s’y enfile quasiment de lui-même tant il est attendu. J’aime sa peau contre la mienne et malgré mon âge (40 ans), j’en suis à penser à ne pas jouir précocement, tant c’est bon. J’adore sa peau et nos mouvements sont d’une telle fluidité, nos corps si synchronisés, qu’à cet instant nous ne pensons qu’à notre plaisir et à celui de l’autre, rien d’autre. Vient enfin la délivrance, je jouis fortement et longuement, mon sexe est parcouru de spasmes qui déclenchent la jouissance de ma partenaire, je m’écroulerais volontiers sur elle, mais elle est si fluette que j’ai peur de l’écraser de mon poids et me tourne sur le côté à regrets.



Nous revenons vers la salle de bain pour laver nos parties intimes (et ma bouche), puis revenons vers la chambre pour nous habiller. Ceci fait, je l’embrasse une dernière fois et lui dis :



Oui, nous travaillons ensemble dans la même usine, dans le même atelier et je dois partir avant elle pour ne pas éveiller les soupçons de nos collègues. Dans l’atelier, je serre la main de tous les hommes, fais deux bises à toutes les femmes et c’est un peu gêné que je fais deux bises à M. et lui dis le traditionnel : Tu vas bien ? qui n’attend pas de réponse.


Les machines démarrent et comme bien souvent, je suis sur la machine en vis-à-vis de celle de M. Pendant sept heures, nous ne parlons de rien d’autre que du boulot, le bruit ambiant obligeant à hausser la voix, des paroles indiscrètes pourraient être entendues.


Régulièrement, il faut remplacer le caisson situé en bas de la machine, car il est plein et je me mets à penser aux premières fois où nous avions commencé à travailler ensemble. M. est si maigre qu’elle ne met rien d’autre que des jeans (au moins au boulot) pour cacher la maigreur de ses jambes, seulement à chaque fois qu’elle se baisse pour changer le caisson de sa machine, son jean porté sans ceinture s’écarte et laisse apercevoir sa culotte et le haut de ses fesses. M’étant rendu compte de la chose, j’anticipais le changement de caisson pour me trouver à proximité quand elle se baisserait. C’était devenu LE moment que j’attendais avec impatience et chaque fois avec un petit sourire, je m’énonçais victorieusement la couleur de sa culotte dans la tête : verte, bleue, mauve, jaune…


En fait, beaucoup de couleurs sauf le blanc, je n’allais évidemment pas lui demander pourquoi. Même si à 52 ans, elle est encore désirable, étant mariée, elle aussi, je n’avais pas l’intention d’aller plus loin que mon petit jeu, dont je ne me lassais pas d’ailleurs.


Un matin, alors que je disais bonjour à un groupe de personnes, je vois un attroupement et m’approche par curiosité, je vois M. en train de pleurer et de se faire consoler par d’autres femmes. J’attends un peu sans m’approcher, puis demande à une des femmes du groupe qui rejoignait son poste de travail, ce qu’il se passe.



Ne sachant que faire, je choisis de continuer mon travail et de ne pas m’en mêler, mais au fond de moi, j’ai de la peine pour elle. Quand le jour se lève, je la vois s’éloigner, comme toujours dans ces cas-là, je surveille sa machine en plus de la mienne, mais ne la voyant pas revenir, je me renseigne et l’on me dit qu’elle ne se sentait pas bien et qu’elle est rentrée chez elle. J’ai arrêté sa machine et continué mon travail en étant un peu mal à l’aise, sans pouvoir m’expliquer pourquoi.


La journée terminée, je monte dans ma voiture et avant de la démarrer, je repense à M., je me dis qu’il faut que je passe voir si cela va malgré tout.

Je prends la route qui mène chez moi, puis bifurque à droite dans la direction de sa maison. Je me gare et vais sonner à sa porte. Elle m’ouvre, les yeux rougis, mais souriante et me propose d’entrer. Elle nous prépare un café en m’expliquant son histoire récente : son mari s’est trouvé une grosse et moche bonne femme, lui n’est pas un modèle de beauté non plus. Il rentrait tard, ne parlait pas ou peu, sauf pour râler, se mettait devant sa bouteille d’alcool et ne la quittait que pour aller ronfler au lit, bref l’homme idéal, et il est parti. Malgré cela, c’était son mari et elle en était très affectée. Elle a ajouté que le médecin l’avait arrêtée pendant quelques jours. Après avoir discuté pendant une heure, je me suis dirigé vers la sortie en lui promettant de prendre de ses nouvelles.


Le lendemain, je suis allé prendre de ses nouvelles et boire le café, et ainsi de suite jusqu’à la fin de la semaine. Elle avait toujours des petites anecdotes sur son ex-époux qui nous faisaient rire ou réagir.


La semaine suivante, les horaires avaient changé et nous devions travailler ensemble l’après-midi, si elle avait repris, ce qui n’était pas le cas. À la fin de la journée de travail, le jour déclinait, mais je décidai de passer la voir. Elle paraissait plus calme, moins tourmentée, mais ses amis et sa famille ne l’avaient pas laissée seule, ce week-end.


Elle ne m’a pas offert un café, mais proposé un apéritif. Je n’aime pas boire quand je conduis, mais je n’ai pas osé dire non et c’est un verre de porto qu’elle nous a servi. L’alcool m’est vite monté à la tête, mais nous avons bien discuté et plaisanté ensemble. Je n’ai d’ailleurs pas vu le temps passer et il était bien temps que je rentre chez moi. Elle m’a raccompagné au garage dans le sous-sol pour que je ne sois pas dans le noir jusqu’à ma voiture. Nous avons encore discuté, puis elle m’a fait la bise, mais différemment, ses lèvres appuyaient sur mes joues près de mes lèvres et… je ne sais pas ce qui m’a pris, j’ai dit des mots que je n’aurais pas dits en temps normal, je lui ai refait trois bises bien appuyées aussi et j’ai fini la quatrième sur ses lèvres (vous ai-je dit que j’aime le grain de sa peau ?)


Nous nous sommes roulé un patin mémorable, un second tout aussi fougueux, puis elle m’a repoussé et dit :



Je suis parti à regrets, pourtant, c’est vrai qu’il était tard et temps de rentrer chez moi. Sur le chemin du retour, les récents événements tourbillonnaient dans ma tête et presque arrivé chez moi, je me suis arrêté quelques secondes, le temps de lui envoyer un texto, lui disant que j’avais adoré et que j’aimerais recommencer, l’instant suivant je reçu comme réponse : moi aussi…


Inutile de préciser que j’ai pensé à elle toute la nuit. Le lendemain, je lui ai demandé si je pouvais passer avant que nous allions au boulot, car elle reprenait ce jour-là, ce qu’elle a accepté. Je me présente devant la porte, elle s’ouvre aussitôt, M. me dit :



J’entre et sans dire un mot de plus, elle colle sa bouche sur mes lèvres et m’embrasse avec fougue, ses bras s’enroulent autour de moi bien serrés, mes mains se posent sur ses fesses et là, je sens une de ses jambes se lever et son pied venir s’accrocher dans mon dos, je passe une main sous sa cuisse pour la retenir, elle en profite pour se suspendre à moi en montant l’autre jambe, elle a maintenant son sexe en appui contre le mien à travers l’épaisseur de nos vêtements, commence alors un mouvement de nos deux bassins pour se frotter l’un contre l’autre.


Son jean commence à être mouillé et mon sexe est si gonflé, qu’il me fait mal, je la repose au sol et nous enlevons nos vêtements. Je la vois nue pour la première fois, ce qui redouble mon excitation, ses seins sont tout petits, mais je les trouve mignons. Je n’ai pas le temps de me questionner si mon corps lui plaît, qu’elle est déjà accrochée à mon cou pour venir s’empaler sur mon sexe. Je remets mes mains sous ses cuisses, enfonce mon engin au fond de son vagin, avance d’un pas pour l’appuyer dos au mur et commence mes va-et-vient. Nous avons joui rapidement l’un et l’autre tant nous étions excités, aucun de nous n’a parlé de protection et elle m’a fait éjaculer au fond de son ventre. Ce fut le moment le plus érotique de ma vie et aucun de nous ne s’est senti coupable, nous avions le sourire jusqu’aux oreilles.


C’est à ce moment que la sonnette a retenti, je vais pour prendre mes vêtements en catastrophe et filer me cacher dans une pièce au bout du couloir, mais M. qui a reconnu la silhouette de sa sœur me dit de rester, et ouvre la porte. Nous voilà nus dans le couloir avec une odeur de sexe qui emplit l’atmosphère devant la sœur de M. qui est, elle aussi, une collègue de boulot. Sa sœur n’a fait aucune remarque et a dit en nous laissant, que visiblement elle n’avait plus de raison de s’inquiéter pour sa sœur, moi tout honteux, je me demandais dans quelle galère je m’étais fourré.


Je suis parti le premier en direction de l’usine, espérant ne pas me trouver devant la sœur de M., puis j’ai la comédie du bonjour, comme d’habitude, mais je sentais mes joues me chauffer et avait un mal fou à garder un aspect « naturel » ou plutôt « innocent »…

Dès que nous avons été seuls tous les deux, M. m’as dit :



Elle s’est penchée en avant, a relevé son pull et son caraco (elle ne met que ça, sans soutien-gorge) en passant les mains par-dessus ses épaules et j’ai pu voir qu’effectivement la peau avait été râpée au niveau de la colonne vertébrale au milieu du dos, mais rien de méchant. J’ai rabaissé ses vêtements avant que quelqu’un n’arrive et n’ajoute à mon embarras.


La journée s’est passée et le travail a fait retomber un peu mon stress, le soir nous sommes partis, le hasard a fait que je suivais la voiture de M. Nous avons fait un kilomètre, puis elle s’est arrêtée sur le bas-côté, quelque chose à me dire, ai-je pensé. J’ai stoppé derrière elle et suis sorti, elle aussi, elle s’est approchée de moi et m’a embrassé à pleine bouche puis m’as dit :



Ce qui ne semblait pas attendre de réponse négative, j’ai acquiescé.


Le lendemain, j’ai de nouveau frappé à sa porte une heure avant l’heure d’embauche. Heureusement que la surcharge de travail récurrente, me permet de justifier mes écarts d’horaires. Après un baiser langoureux, j’ai demandé ce qu’en pensait sa sœur, elle m’a rassuré en me disant qu’elles se racontaient tout, mais qu’elle ne dirait rien et qu’elle aurait pu tomber plus mal, même si je suis un homme marié. Puis elle m’a attrapé par la main et dirigé dans sa chambre, nous nous sommes déshabillés et blottis l’un contre l’autre dans le lit. Dieu que j’aime sa peau !


Pas besoin de préliminaires, sa chatte était trempée d’envie et n’attendait plus que mon sexe, que je lui ai enfilé sans ménagements et l’ai baisée furieusement, en tripotant ses petits seins et en mordant les tétons, elle a joui en poussant un grand cri et a écarté ses jambes encore un peu pour que je puisse la pénétrer plus profond encore et venir moi aussi.

On s’est revus plusieurs fois dans la semaine, le soir on s’écrivait des textos enflammés. Le samedi a été calme. Le dimanche, en début d’après-midi, elle m’envoie un message : J’ai envie de toi maintenant !


De gens de sa famille venaient les voir, elle et sa sœur, mais sur le moment c’est moi qu’elle voulait, mais pas chez elle, trop risqué d’être dérangés. J’ai réfléchi deux minutes, puis en prétextant un ami qui a besoin d’aide, je suis parti, et lui ai donné rendez-vous dans un petit chemin de terre, où elle m’a rejoint peu après. Nous avons garé nos voitures, et descendu le chemin à pied, traversé un pré pour nous arrêter à l’orée d’un bois.


Nous avons posé nos manteaux au sol pour faire un matelas et la sensation d’être nus dans la nature, sentant le vent et la fraîcheur, caresser la peau de notre intimité, nous a fait rire. Nous avions la chair de poule, je me suis mis sur elle pour la réchauffer, ce qui comme à chaque fois a réveillé mon excitation, quelques doigts bien placés dans sa vulve l’ont réveillée rapidement. Nous avons fait l’amour au milieu des chants d’oiseaux et des brindilles qui craquent sous notre poids, ce qui a déclenché une nouvelle crise de rire et nous sommes revenus en direction du chemin, encore à moitié déshabillés, quand nous avons croisé un couple de personnes âgées, nous dépêchant de boutonner ce qui pouvait choquer les bonnes mœurs. Les petits vieux nous ont souri et le papy nous a fait un clin d’œil. Tout en gloussant nous avons pressé le pas vers nos voitures.

Ne pouvant nous séparer encore, nous avons discuté un bon moment. Je crois qu’à ce moment précis j’étais amoureux d’elle, elle aussi, car elle m’a dit :



Puis elle s’est mise à pleurer, j’ai tenté de la consoler, mais elle avait tout à fait raison. Je la faisais pleurer et je ne voulais pas en faire pleurer d’autres en plus.


Nous avons décidé de moins nous voir, j’ai fini par changer de boulot, mais bien souvent je pense à elle. Qu’est-ce que je donnerais pour la revoir et caresser encore sa peau ! Mais je ne veux plus lui faire de mal…