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n° 16701Fiche technique14779 caractères14779
Temps de lecture estimé : 9 mn
15/03/15
corrigé 09/06/21
Résumé:  Un homme invite une femme joueuse au restaurant ; le jeu peut commencer...
Critères:  fh prost caférestau voiture fsoumise exhib noculotte lingerie fellation jeu nostalgie -exhib -jeux
Auteur : Sire Fox
La bohême

« Je vous parle d’un temps

Que les moins de vingt ans

Ne peuvent pas connaître,

[…] en ce temps-là… »


Moi qui suis un cinquantenaire dans la force de l’âge, j’aimerais vous raconter quelques-unes de mes aventures de la grande époque du minitel et de son fameux 3615.

J’ai eu vingt ans au début des années 80 et je passais énormément de temps sur le fameux 3615 Reso et, heureusement pour mon banquier, sur son accès gratuit en 3614 – Reso1 pour les connaisseurs.


Ayant la chance à cette époque bénie, de gagner un salaire fort confortable et étant célibataire, je draguais consciencieusement et étais ouvert aux propositions tarifées de certaines dames de ce site, mais j’ai toujours aimé jouer et réaliser des fantasmes plutôt que de chercher à conclure de façon banale. Tout cela pour dire que j’aimais les propositions hors du commun.


C’est ainsi qu’un soir de juin, j’ai discuté avec une femme qui était connectée sous le pseudo « Bérengère ». La discussion a commencé de façon charmante sur nos goûts respectifs, et nous disions gentiment du mal des autres connectés en bonnes langues de vipères, un petit délire du soir… Puis nous en sommes venus à nos envies respectives ; elle était comme moi intéressée par les jeux d’exhibition, et j’avais envie de réaliser celui de dîner au restaurant avec une femme et qu’elle me donne ses dessous (culotte et soutien-gorge), de la façon la plus discrète possible, au cours du repas. J’ai ainsi aiguisé sa curiosité.


Elle se disait prête à satisfaire mes désirs, mais m’a demandé une compensation financière que je devais définir. La balle étant dans mon camp, un chiffre me vint en tête et je lui proposai cette somme ; refus instantané : pas un simple échange, mais quelque chose qui devait la motiver et me permettre de satisfaire mon désir sans avoir l’air de payer pour un simple acte. La nuit portant conseil, nous avons décidé d’en reparler le lendemain ; aucune urgence pour réaliser cela, il fallait trouver le bon compromis.


Après une journée de réflexion, j’attendais de pouvoir de nouveau discuter avec Bérengère. Lorsqu’enfin elle apparut, nous avons pu continuer à discuter.



Après un long moment, j’ai eu sa réponse :



La discussion se poursuivit sur nos restaurants habituels et ceux qui nous semblaient permettre cela en toute discrétion ; je suis égoïste dans mes jeux et je ne voulais pas créer une émeute à cette occasion. Maintenant, si l’un des convives attablés au restaurant s’apercevait de quelque chose, grand bien lui fasse ; mais je voulais que cela reste notre envie, notre délire.



______________________




Une semaine plus tard nous avions décidé d’un restaurant indien près de la porte de Pantin. Rendez-vous fut pris pour un jeudi soir ; il nous fallait éviter les sorties du week-end, toujours dans notre souci de discrétion.


Jeudi soir vingt heures, j’attends Bérengère. Je suis fébrile ; malgré une description sur le minitel, nous ne nous sommes jamais vus, jamais parlé. Je sais quelle est rousse (naturelle), 1,65 m pour 56 kg, les cheveux courts, 32 ans, et c’est tout. Mon imagination a fait le reste, mais je ne suis pas très bon à ce jeu-là et je pourrais ne pas la reconnaître. Nous avons rendez-vous dans un café à proximité du restaurant. Si le feeling passe, nous y allons ; sans cela, chacun rentre chez soi…


Vingt heures dix ; une rousse en imper beige descend d’un taxi, entre dans le bar. Elle est ravissante ; d’un coup, le stress monte en moi. Je suis à une table près de l’entrée ; elle me voit, s’approche, se présente :



Elle s’installe ; le garçon arrive.



Elle est stressée, moi aussi : un verre va nous faire du bien. Le garçon revient avec nos consommations.



Je lui tends un billet pour payer nos verres.

Un silence s’installe ; nous buvons chacun une gorgée et j’engage la conversation :



Nous descendons tranquillement la rue jusqu’au restaurant. Bérengère me tient la main, une main douce et chaude ; elle a besoin d’être rassurée. Le temps est clément, même si pour un mois de juin nous aurions pu espérer plus chaud. Nous arrivons au restaurant. J’ouvre la porte à Bérengère, un serveur nous accueille.



Il veut nous placer près de l’entrée ; nous déclinons poliment et demandons à être dans un coin de la salle, légèrement à l’écart. Il en est surpris… Nous nous installons. Le serveur nous donne les cartes et nous propose l’apéritif ; nous acceptons. Bérengère a enlevé son imper ; elle porte un chemisier blanc classique et chic à manches courtes, une jupe droite grise (qui lui posera des soucis), des talons hauts noirs, des bas chair.



Le garçon prend notre commande et nous commençons à dîner en discutant de tout et de rien comme des amis de toujours. Les entrées passées, je sors un billet de 100 francs et demande à Bérengère ce que je peux lui acheter avec cela. Le moment de surprise passé, Bérengère me propose son soutien-gorge. Je suis d’accord avec elle ; maintenant, il va falloir me le donner.


Bérengère regarde à droite et à gauche, surveille le serveur ; avec une agilité que je n’avais pas soupçonnée, elle dégrafe délicatement son soutien-gorge. Notre serveur arrivant avec les plats, elle attend tranquillement puis, à peine le serveur parti, elle passe sa main sous la manche de son chemisier pour faire descendre la première bretelle du soutien-gorge, puis elle fait de même de l’autre côté. Enfin, en déboutonnant un bouton de son chemisier, elle me donne un soutien-gorge de dentelle blanche finement ouvragé. La dentelle est douce sous mes doigts ; je caresse cette fine lingerie avant de la ranger dans la poche de ma veste.


Les tétons de Bérengère pointent à travers le chemisier ; je lui demande de détacher un autre bouton, ce qu’elle fait à ma grande surprise. Personne dans la salle ne s’est rendu compte de quoi que ce soit. Il faut dire que la salle est plutôt clairsemée ; peu de clients en ce jeudi soir. Ma vision de cette poitrine libre maintenant devant moi me ravit ; le tissu du chemisier, s’il ne me permet pas de voir ses seins libres, me laisse deviner des formes ravissantes où j’ai envie de passer mes mains. L’ouverture de ce chemisier me permet de deviner la naissance de ses seins ; une courbe fine se laisse deviner et me tente bigrement. Bérengère en joue ; elle joue avec le col de son chemisier pour l’ouvrir davantage. Nous sommes tous les deux prisonniers de ce jeu et mangeons difficilement notre plat.


Le serveur débarrasse nos plats et nous propose un dessert. C’est à cet instant-là que je présente à Bérengère un billet de 200 francs ; elle sourit.



Bérengère commence à se dandiner sur sa chaise, puis se met à sourire.



La situation m’amuse, mais je suis beau joueur :



Le garçon nous apporte les desserts ; à peine reparti, je vois Bérengère relever sa jupe à la limite de ses bas, attraper son string et le faire apparaître sur ses cuisses, puis elle baisse en même temps la jupe et la dentelle. Elle finit de la faire glisser alors à ses pieds ; elle peut la prendre et me la donner sans trop de contorsions. Je la prends, la pose sur la table, puis je la porte discrètement à mon nez pour sentir le doux parfum de cette lingerie dont l’entrejambe est bien humide : elle ne m’a pas menti.



Elle enlève un bouton de plus de son chemisier et en écarte les pans, me découvrant une poitrine ferme, des tétons bien dressés.



De nos jours, j’aurais essayé d’immortaliser ce moment avec mon smartphone… À cette époque, il ne me reste que de délicieux souvenirs.



J’avoue avoir envie de poursuivre la soirée chez Bérengère comme nous l’avions décidé et profiter de ses appâts qu’elle me dévoile avec un sourire désarmant. Je règle le repas et j’aide Bérengère à enfiler son imper. Elle me demande à aller aux toilettes ; je l’attends en sortant sur le trottoir car j’ai besoin d’un peu d’air avant de poursuivre cette soirée. Elle sort un sourire aux lèvres, me prend le bras et me dit :



Elle m’entraîne dans une rue perpendiculaire plus sombre, se bloque dans la première porte cochère et prend ma main pour la glisser sous son imper. Je sens ses bas : cette coquine a enlevé sa jupe avant de sortir, et en écartant l’imper je m’aperçois qu’elle a aussi ouvert complètement son chemisier. Nous nous embrassons. Mes mains caressent son corps ; je peux enfin toucher ses seins, faire durcir ses tétons. Je lèche ses seins. J’adore sa peau… Nous continuons à marcher ; elle prend ma main.



Elle marche devant moi et se retourne de temps en temps en écartant son imper, me laissant découvrir sa peau blanche, ses bas chair et sa toison de rousse bien entretenue. Un renfoncement ; elle se blottit contre moi, et c’est elle qui me caresse. Mon sexe est à l’étroit dans mon boxer. Elle ouvre ma braguette et caresse ma queue, la sort et, en pleine rue, en plein Paris, commence en s’agenouillant une fellation divine. Je regarde à droite et à gauche, épiant le moindre son. Une voiture passe mais je suis caché par les voitures en stationnement.

Elle ne quitte pas mon sexe puis se redresse, me tourne le dos, relève son manteau et me dit juste « Viens… » Je la prends comme ça, debout contre un mur. Elle est trempée ; la pénétrer est doux, chaud… Soudain, un bruit de pas nous oblige à arrêter ; je me rhabille rapidement et elle a juste le temps réajuster l’imper qui la couvre. Un couple passe sur le trottoir d’en face, puis un autre ; difficile de continuer ici.


À regrets, malgré une envie réciproque, nous repartons vers ma voiture. Elle ne peut s’empêcher en marchant de me montrer à chaque occasion quelle est nue et désirable. Arrivés à ma voiture – une 205 – je lui ouvre la portière ; elle s’installe en écartant les jambes et laisse son imper ouvert. Je prends le volant et attends le chemin de mon co-pilote ; elle me l’explique rapidement – fort simple de l’endroit où nous sommes – et entreprend alors que je conduis, de sortir de nouveau mon sexe de ce pantalon qui l’enserre. Elle m’indique la route en caressant mon sexe, et dès que nous sommes arrêtés à un feu rouge, elle n’hésite pas à l’emboucher pour parfaire mon érection, qui à ce moment-là n’en a vraiment pas besoin.


Je me gare en bas de chez elle. Le quartier est calme. Elle se penche vers moi et continue de jouer avec sa bouche sur mon sexe qui n’en demandait pas autant. Je peux caresser ses fesses libres de toute barrière, je peux caresser sa douce fente humide. Mes doigts jouent avec son sexe ; je titille son clitoris, ce qui lui fait accentuer sa fellation. Elle jouit sous mes doigts au moment où je me répands dans sa bouche. Elle avale ma semence avec délectation, me sourit, m’embrasse.


Nous sommes bien, et la nuit ne fait que commencer…