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n° 16703Fiche technique34709 caractères34709
Temps de lecture estimé : 20 mn
15/03/15
Résumé:  Invité à une soirée barbecue, je me retrouve le lendemain entre deux cousines délurées et affamées.
Critères:  ffh hplusag intermast fellation cunnilingu anulingus pénétratio sandwich fdanus fsodo bougie init -prememois -cousins -fbi
Auteur : Sarah      Envoi mini-message
Les deux font la perversité



Angélique m’attendait, appuyée contre la portière passager de ma voiture. Tête baissée sur son portable qui éclairait son visage dans cette nuit froide de l’hiver, elle m’entendit arriver et m’adressa un sourire de remerciement. Avant de commencer l’entraînement de foot, elle m’avait demandé si je pouvais la ramener chez ses parents. J’acceptai sans hésitation, content de pouvoir lui rendre service. De plus, la maison de ses parents se trouvait sur ma route et ne m’obligeait pas à faire un détour. Aucune raison de lui refuser.



Laëtitia jouait aussi au foot dans notre petit club de village, mais était nettement plus douée qu’Angélique. Le vendredi, garçons et filles s’entraînaient en même temps et se partageaient le terrain. En général, les filles étaient peu nombreuses et parfois même pas assez, ce qui nous permettait de disposer la plupart du temps de l’intégralité de la pelouse. Quand elles évoluaient à nos côtés, il y avait des regards échangés et des coups d’œil à la sauvette, mais chacun restait concentré sur son sujet. De toute façon, elles étaient presque toutes en couple avec des gars de mon équipe.


Angélique aurait pu faire à pied les deux kilomètres qui séparaient le terrain de foot de la maison familiale, mais de nuit et par ce froid, je comprenais aisément qu’elle préférait être raccompagnée. Moins de cinq minutes plus tard, je me garai devant le portail.



Je restai sans bouger, lui éclairant le chemin avec mes phares. Je ne pus m’empêcher de regarder son petit cul juvénile qui s’éloignait. Elle referma la porte et je redémarrai en haussant les épaules.



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Je quittai le terrain en maugréant, pestant contre ce dos qui me jouait des tours. Dans les vestiaires, je mis la douche en route pour que l’eau chauffe pendant que je me déshabillai. L’eau brûlante me fit du bien et commençait à me relaxer. Je profitai du calme et restai sans bouger. Mais la porte s’ouvrit et je fus surpris de voir apparaître Laëtitia et Angélique, les deux inséparables cousines.



Je remarquai alors qu’elle ne me regardait pas dans les yeux et me rappelai soudain que j’étais nu. Angélique, qui avait détourné la tête en entrant, avait les joues rouges. Je me saisis de ma serviette et la nouai autour de ma taille.



Elles quittèrent la salle sans pour autant refermer la porte. Je me séchai rapidement et m’habillai puis sortis regarder courir les copains. La douceur de cette journée d’avril avait laissé place à la fraîcheur du début de soirée. Je fermai mon gilet et jetai un œil sur l’entraînement des filles. Je remarquai alors qu’aucune d’entre elles ne portait la fameuse chasuble que les deux cousines étaient soi-disant venues chercher. Qu’étaient-elles alors venues faire ? Fouiller nos affaires ? Cela me paraissait étonnant. J’attendis la fin de la séance pour les questionner. Laëtitia m’esquiva habilement mais je parvins à bloquer Angélique.



Ne voulant pas créer d’histoires, je la laissai partir. Je m’étais peut-être trompé finalement. Angélique était une gentille fille, toujours souriante et aimable, incapable de faire la moindre bêtise. Sa cousine était un peu plus délurée, mais de là à les accuser de vol… Je regrettai de l’avoir agressée et me promis de m’excuser la semaine suivante.



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Finalement, je dus patienter trois semaines avant de retourner au foot, mon dos m’ayant fait souffrir. Quand je repris le footing, nous étions en mai ; le soleil s’imposait et la chaleur se faisait sentir. Les soirées restaient douces et on pouvait traîner dehors jusqu’à une heure tardive. Je comptais toujours m’excuser auprès d’Angélique. Je l’attrapai à la fin de la séance.



Moi qui comptai m’excuser, voilà une occasion de me faire pardonner.



Elle minaudait, je m’en rendais bien compte, mais je ne pouvais rien lui refuser. Plus elle parlait, plus je m’en voulais de l’avoir suspectée. Alors j’acceptai son invitation. De plus, il me semblait que ses parents avaient une piscine, ce qui était un argument de poids. Je pris ma douche rapidement et attendis Angélique dans ma voiture. Je la vis arriver, rayonnante, un grand sourire aux lèvres, ses cheveux mouillés détachés sur ses épaules nues. Elle était vraiment mignonne ; c’était la première fois que je la regardais de cette manière. Elle n’était plus la gamine que nous avions connue, ni l’adolescente toujours en jogging sur le bord du terrain pour nous encourager. Non, en ce début d’été, celui de ses 20 ans, elle devenait une jeune femme qui découvrait son corps et se sentait bien dans sa peau. Mais elle restait innocente et ignorait encore la portée du pouvoir qu’elle s’apprêtait à posséder sur les hommes.



J’espérais ne pas avoir été trop cassant, mais je voulais garder un peu de distance avec elle. Nos dix ans d’écart me paraissaient trop importants pour qu’il se passe quelque chose entre nous. Et puis les ragots dans notre dos autour du stade, non merci. Je garai la voiture et entrai dans la propriété à la suite d’Angélique en me demandant si j’avais bien fait de venir. Qu’avait-elle derrière la tête ? Lui avais-je envoyé des signaux à mon insu ? Ses parents m’accueillirent, interrompant mes réflexions et mes doutes.


Le repas fut copieux. Les discussions tournèrent autour du club puis on parla de l’équipe de France, et chacun se fit sélectionneur. La nuit était tombée ; nous restions dehors, éclairés faiblement par les spots solaires plantés un peu partout dans la pelouse. Dans la pénombre, je sentis la main d’Angélique se poser sur mon bras. Un frisson me parcourut tandis qu’elle se saisit de mes doigts et les serra. Je ne savais pas comment réagir sans être brusque. Je me contentai de rester détendu, et n’enroulai pas mes doigts autour des siens. Je tentai de m’éclipser mais son père intervint en me voyant me lever.



J’obtempérai, sachant qu’il avait raison et me rassis. Angélique me sourit et rejoignit sa mère pour l’aider à faire mon lit. Vingt minutes plus tard, je me retrouvai seul dans cette chambre aménagée au sous-sol. Assis sur le bord du lit, j’enlevai péniblement mes chaussures et mes chaussettes. Je retirai mon pantalon et me glissai sous les draps. Je sentis un tissu à mes pieds et l’attrapai à tâtons. J’allumai la lampe de chevet et découvris que je tenais entre mes mains une petite culotte de coton. La taille ne me laissait guère de doutes quant à sa propriétaire… Angélique avait abandonné sciemment son sous-vêtement à mon intention. Je la portai à mon nez et ne sentis que l’odeur de la lessive. Je décidai d’accepter son cadeau et je la cachai dans une poche de mon jean. Je me recouchai et m’endormis instantanément.


Je fus réveillé au matin par des coups frappés à ma porte. Je m’assis dans mon lit, mis quelques secondes à resituer les lieux et dis :



Elle allait trop vite pour moi, tournant dans la pièce, ramassant ce qui traînait et parlant sans attendre de réponses de ma part. Je me rendis compte qu’elle ne s’était pas habillée pour venir me voir et qu’elle était vêtue simplement d’un tee-shirt long qui descendait tout juste à mi-cuisses. Quand elle levait un peu les bras, je pouvais voir le haut de ses cuisses et m’apercevoir qu’elle ne portait pas de culotte. Mon érection matinale n’en fut que renforcée, et j’attendais qu’elle s’en aille pour pouvoir me lever.



Elle prit la couverture et l’enleva d’un geste, dévoilant mon caleçon qui ne cachait rien de mon anatomie gonflée.



Elle rougissait et s’excusait en bredouillant, mais ne détournait pas le regard de mon entrejambe, ce qui ne m’incitait pas à débander.



Elle me laissa enfin seul. Bon sang, cette gamine était une tornade ! Et puis sa façon de me fixer, comme hypnotisée, me laissait penser que j’étais le premier homme qu’elle voyait dans cet état. Je m’habillai et quittai la chambre. Je trouvai mon chemin jusqu’à l’étage puis sortis de la maison, accueilli par le soleil déjà haut. Les deux cousines étaient assises et discutaient, trop bas pour que je les entende. Angélique ne s’était toujours pas habillée, et Laëtitia… Laëtitia jouait avec ses formes, comme à son habitude.


À 25 ans, elle avait de l’expérience et savait que ses attributs plaisaient aux hommes. Elle savait se mettre en valeur et n’ignorait pas qu’elle attirait les regards lubriques masculins et jaloux des femmes. Ce jour-là, elle portait un short très court qui dévoilait ses longues jambes et moulait ses fesses. Elle avait retiré son débardeur qui traînait sur une chaise et était en haut de maillot de bain. Ses seins imposants mais fermes pointaient, arrogants, tels deux obus. Heureusement que j’avais remis mon pantalon car mon érection qui s’était calmée repartit de plus belle. À côté de sa cousine, dans sa tenue de nuit qui cachait ses formes qu’elle avait en format plus réduit que Laëtitia, avec ses cheveux attachés en nattes, Angélique faisait petite fille. À mon approche, les deux cousines s’écartèrent et stoppèrent leur conciliabule. Angélique resta assise tandis que Laëtitia se levait et fit quelques pas dans ma direction avant de s’arrêter, me laissant parcourir les derniers mètres qui nous séparaient. Les mains sur les hanches, les pieds légèrement écartés, le buste en avant, elle faisait sa star, ses yeux bleus dissimulés par des lunettes de soleil.



Laëtitia commandait, Angélique obéissait comme d’habitude. La cadette des cousines partit sans tarder. Depuis que Laëtitia était arrivée, son attitude était différente. Plus effacée et discrète, elle ne parlait pas, se contenant de boire les paroles de sa cousine et d’approuver tout ce qu’elle disait. Je pris une chaise et m’assis à l’ombre, face à Laëtitia. Toujours cachée derrière ses lunettes, elle me mettait mal à l’aise. Elle souriait à pleines dents, d’un sourire carnassier qui m’intriguait.



Son sourire avait disparu et sa main s’était posée sur mon entrejambe qu’elle me massait lentement.



Elle poursuivait son massage sur mon sexe qui se tendait difficilement sous mon jean. Puis elle défit les boutons et sortit ma queue de mon caleçon. Elle me branlait lentement sans me quitter des yeux.



Au moment où mon gland disparaissait entre les lèvres de Laëtitia, Angélique refit son apparition. Elle portait un plateau sur lequel étaient posés trois verres et une bouteille de blanc à moitié entamée. La jeune fille s’était donné du courage. Elle posa le plateau sur la table et nous observa de loin. L’appréhension se lisait toujours sur son visage, aussi elle n’osa pas approcher. Stoppant son experte fellation, Laëtitia se releva et invita Angélique à nous rejoindre.



Obéissante, Angélique défit le nœud de la brassière de Laëtitia qui tomba à terre, libérant ses seins lourds et fiers. Puis, la jeune fille s’agenouilla et débarrassa rapidement sa cousine de son short et de son string. Son petit triangle d’or me confirma qu’elle était une vraie blonde.



Les yeux au bord des larmes, Angélique s’exécuta. Ses petits seins, son ventre plat et ses fesses si menues que je pouvais sans doute les tenir dans une seule de mes mains, tout cela tranchait véritablement avec le corps de femme de Laëtitia, sa poitrine imposante, ses hanches larges, son cul rebondi mais ferme. J’intervins tout de même, l’état de nervosité dans lequel se trouvait Angélique ne me laissait pas insensible.



Elle nous prit chacun par la main et nous entraîna près de la piscine. Sur les dalles étaient posé un grand matelas en mousse sur lequel Laëtitia avait installé des serviettes de plage. Je réalisai que j’étais toujours habillé et que deux filles nues, cousines de surcroît, se tenaient devant moi. J’enlevai mon tee-shirt et me tournai vers Laëtitia, attendant ses consignes. Elle s’agenouilla devant moi, m’enleva mes derniers habits et reprit sa fellation. Elle était très douée et m’arrachait des soupirs de plaisir. Sans s’arrêter, elle fit signe à Angélique de s’approcher. Angélique se mit à genoux, le visage près de celui de sa cousine qui me suçait. Elle observait attentivement les moindres mouvements de Laëtitia, telle une élève écoutant avec soin les conseils de son professeur. Mon excitation monta encore d’un cran lorsque Laëtitia se retira et tenant ma queue dans sa main et la dirigea vers Angélique.


Timidement et maladroitement, cette dernière tenta de reproduire ce qu’elle avait observé quelques minutes auparavant. Si Laëtitia m’avait abandonnée au bord de la jouissance, l’inexpérience d’Angélique fit retomber la pression. Je bandais toujours mais elle ne parvenait pas à me faire atteindre le bord de l’explosion. Laëtitia, toujours à la baguette, décida de passer à l’étape suivante et stoppa Angélique. Je vis l’ombre d’un regret passer sur le visage désormais excité d’Angélique.



Tandis que je pénétrais Laëtitia en levrette d’une seule poussée, je la vis se mettre à prodiguer à sa cousine un cunnilingus tout aussi expert, semblait-il, que la fellation à laquelle j’avais eu droit. J’étais ébahi par ce que je voyais.



Elle avait presque crié ces derniers mots, la vulve lapée par Laëtitia. Elle se tortillait de plaisir sous les coups de langue agiles malgré les coups de reins que je lui assénais. Laëtitia plongea deux doigts dans le vagin d’Angélique qui jouit en se mordant les doigts. Ma partenaire, vaincue par mes assauts qui lui arrachèrent une longue plainte, jouit à son tour, le cou tendu, bouche ouverte et yeux fermés. Je me retirai et attendis qu’elles reprennent leurs esprits.



La jeune fille prit place sur une serviette, les fesses tendues vers moi, les cuisses légèrement écartées. Tandis que je m’installais derrière elle, Laëtitia me prit en bouche de longues secondes.



Contrairement à Laëtitia que j’avais pénétrée sans ménagement, je pris beaucoup de précautions avec Angélique. Je frottai d’abord mon gland contre ses lèvres luisantes puis j’effectuai une légère poussée qui la fit gémir et se crisper. Laëtitia, de son côté, lui caressait le dos et les fesses dans le but de la détendre. Je la laissai faire, et au bout de quelques minutes je refis une tentative. Cette fois, je sentis que la fente s’ouvrait et me laissait passer. Je ne me précipitai pas pour autant, car je ne voulais pas la blesser. De plus, elle était tellement serrée que je craignais de jouir presque instantanément. Laëtitia s’aperçut que je me contrôlais et me chuchota :



La respiration d’Angélique devenait de plus en plus haletante ; son vagin était trempé et je m’introduisis encore un peu plus, jusqu’à plonger entièrement en elle. Accroché à ses hanches, mon ventre collé à ses fesses, je maîtrisais mon enthousiasme tandis que je sentais son sexe palpiter et comprimer ma bite tendue.



Puisque j’avais l’autorisation et qu’Angélique était disposée à subir mes ruades, je ne me fis pas prier. J’agrippai sa taille et entamai un pilonnage violent et régulier. Tandis que je défonçais la chatte de sa cousine, Laëtitia s’appliquait à lui lécher l’anus, l’enduisant de salive, puis y fourrant carrément deux doigts. Prise de toute part, Angélique se mit à jouir bruyamment, l’orgasme parcourant tout son corps ; elle hurlait son plaisir. Les contractions de son vagin autour de ma bite faillirent avoir raison de moi et je me retirai de son sexe palpitant.



En effet, je n’eus pas à forcer le passage : son cul m’engloutit instantanément, démontrant une souplesse entraînée. Angélique fit preuve de son expérience en jouant avec ses muscles qui se resserrèrent autour de ma queue. Pris dans un étau, les palpitations de ses parois anales et l’excitation contenue depuis une heure déclenchèrent mon éjaculation. Dans un râle animal, je déchargeai tout mon foutre au fond de son cul si petit, mais si accueillant. Enfoncé jusqu’à la garde, je la remplis longuement, nos deux corps secoués par des spasmes de plaisir. Épuisé, je m’allongeai sur la serviette de plage et fermai les yeux, profitant du moment. Les deux cousines s’embrassaient longuement, prolongeant encore un peu ce moment d’extase.



Nous quittâmes la scène de nos ébats et rentrâmes dans la maison. Je passai à côté de la bouteille de blanc en pensant qu’elle devait être imbuvable désormais, puis mon regard se reporta sur les deux magnifiques paires de fesses qui me précédaient. On s’installa sur les canapés du salon où je pensais prendre le temps de me reposer avant d’aller faire à manger, mais les deux cousines ne l’entendaient pas de cette oreille. Elles ne semblaient pas rassasiées, surtout la plus jeune. En effet, son dépucelage l’avait totalement désinhibée, et assise face à moi, les jambes écartées, elle se doigtait, offrant à mon regard lubrique son intimité luisante. Évidemment, face à ce spectacle envoûtant, je me remis à bander.



Tandis que Laëtitia s’éclipsait, je me demandais ce qu’était ce mystérieux objet. Angélique me souriait, deux doigts allant et venant dans sa chatte. Je me masturbais lentement en la fixant dans les yeux. Soudain, elle se leva et vint s’agenouiller à mes pieds. Elle repoussa gentiment ma main et prit ma bite entre ses petits doigts. Le regard gourmand, elle se passait la langue sur les lèvres en me branlant délicatement. Puis elle prit l’initiative et me lécha doucement le gland. Les petits gémissements que je produisais lui donnèrent confiance et elle me prit dans sa bouche. Elle se mit à me sucer avec application, jetant de temps en temps un œil dans ma direction pour savoir si les mouvements qu’elle faisait étaient efficaces. Je vis alors revenir Laëtitia, une énorme bougie entre les mains.



Je m’installai derrière elle et entrepris de lui lubrifier l’anus, l’inondant de salive, me demandant si cela suffirait pour permettre l’intromission du cierge. Mais Laëtitia, allongée par terre, le frottait entre ses cuisses, l’enduisant de cyprine. Bien que très excitée, elle ne prit pas le risque de le faire pénétrer entre ses lèvres. Dans leur petit duo, seule Angélique semblait capable d’absorber ce monstre de cire. Quand elle estima que tout était prêt, Laëtitia s’approcha de moi, me suça quelques secondes en laissant couler de la bave sur mon sexe et me demanda d’enculer Angélique.



J’obéis, impatient d’assister à la démonstration. Je restai agenouillé derrière Angélique, aux premières loges, lui tenant les fesses écartées. La petite blonde que j’avais connue si sage, à qui on aurait donné le bon dieu sans confession, se tenait devant moi, le cul offert, les cuisses écartées, une main sur son clitoris, tandis que sa cousine l’enjambait face à moi et approchait le cierge majestueux de l’orifice anal de sa partenaire de jeu. Elle le présenta devant la rondelle d’Angélique qui respirait fort, cherchant à se détendre au maximum. Puis, lentement, elle effectua une pression sur son anus que je vis peu à peu se dilater. Sous mes yeux ébahis, le cierge entama sa longue intromission. Angélique haletait ; son visage indiquait qu’elle prenait un réel plaisir à se faire puissamment sodomiser. Plusieurs centimètres du cierge lui étaient déjà rentrés dans le cul et Laëtitia continuait à l’enfoncer. Je bandais comme un taureau et ne pus m’empêcher de pénétrer la chatte d’Angélique. Désormais, pendant que je baisais lentement notre jeune partenaire, Laëtitia suivait mon rythme avec le gode. Elle le sortait et l’enfonçait dans le trou béant d’Angélique, sans ménagement, lui ramonant l’anus. La jeune fille, les deux orifices comblés, hurlait sans retenue :



Complètement déchaînée, Laëtitia la sodomisait sans vergogne. Elle imprimait au cierge un rythme inouï, l’enfonçant le plus profond possible et le ressortant presque entièrement.



Nous nous affalâmes, harassés et ivres de sexe, haletant et reprenant notre souffle. Laëtitia léchait le cierge ; elle se régalait du goût de sa cousine. Je lui fis remarquer qu’elle n’avait pas joui.



Je remis mes vêtements et sortis. Je me mis à la recherche de bois et d’allumettes, l’estomac criant famine et la tête pleine d’images. J’avais du mal à réaliser la journée que je venais de vivre. Et nous n’étions qu’en début d’après-midi !