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n° 16723Fiche technique8674 caractères8674
Temps de lecture estimé : 6 mn
26/03/15
Résumé:  Une rencontre.
Critères:  fh jeunes train fsoumise cérébral revede -fsoumisah -mastf
Auteur : Merlincurieux            Envoi mini-message
Sandra

Au gré de mes discussions sur un célèbre site de chat, j’ai eu la chance de rencontrer Sandra.


Sandra. Toute en retenue, contrôle de soi et brûlant d’un feu intérieur soigneusement dissimulé aux yeux de tous. Une jeune femme modèle, étudiante brillante, issue d’une bonne famille, au destin tout tracé. Une jeune femme à la beauté classique au regard intense et sourire à faire fondre une banquise. Sportive, gourmande, taquine, rieuse. Mais aussi prudente, se protégeant de tous derrière une façade affable et courtoise.


Une complicité aussi instinctive qu’immédiate nous a liés dès nos premiers échanges. Malgré notre prudence respective, il devint vite évident que notre confiance réciproque était totale. Nous nous sommes raconté des choses que nul autre n’a jamais sues, et nous sommes découvert un attrait commun pour le plaisir de braver les interdits.


C’est alors que Sandra me fit part, sur ma demande curieuse, de son fantasme du moment. Qu’un inconnu, dans la cohue du métro, glisse sa main sous la jupe que cette belle jeune femme porte inévitablement lors des beaux jours, et explore longuement son charmant postérieur et son intimité.


Nos conversations revinrent dès lors régulièrement sur ce sujet, la belle s’ingéniant à me donner de nombreux indices sur ses horaires de cours, sur sa ligne de métro et les moments où elle l’empruntait. Toujours seule, souligna-t-elle. En filigrane, mais sans jamais être abordée, l’évidence était là : elle m’ouvrait la porte, m’autorisait à jouer d’elle afin de pouvoir assouvir ce désir qui la tenaillait. Mais, bien entendu, à la seule condition que jamais elle ne sache qui jouait ainsi d’elle dans la foule.


Bien entendu, un tel désir ne pouvait que me plaire, et la perspective de me mettre au service du plaisir de celle pour qui mes sentiments devenaient, à chaque échange, plus intenses, m’emplissait de joie.


Au fait des horaires de ma merveilleuse complice, je me mis à étudier l’heure idéale, celle où la densité de la foule cacherait notre jeu si troublant. Sans surprise, l’heure de sortie des bureaux, coïncidant avec la fin d’un cours de Sandra me parut la plus indiquée, sur cette ligne connue pour sa saturation. Le tout étant de me trouver bien placé le jour J. Il fallait aussi tomber sur un jour où Sandra était à la fois d’humeur joueuse et portait la tenue idéale, à savoir une jupe.


Aussi, par une belle journée de septembre, me postai-je sur le quai de la station de métro desservant la fac de ma belle. Camouflé dans la foule grâce à mes écouteurs et le regard vide de tout habitué des transports en commun, je me mis à l’affût. Après de longues minutes d’attente, je reconnus enfin Sandra, encore plus belle que sur les photos qu’elle m’avait montrées. L’immobilité de la pose ne pouvait en effet reproduire la grâce de ses gestes ni l’élégance de sa démarche. Elle était éblouissante dans sa courte jupe s’arrêtant à mi-cuisses, et son top révélant sa poitrine joliment ferme. Ses cheveux tombant sur ses épaules et son regard grave ajoutaient un peu plus de charme à celle qui me faisait rêver depuis si longtemps. J’eus toutes les peines du monde à rester impassible.


Elle se posta au bout du quai, plongée dans ses pensées. Dissimulé par la foule, je mis à profit les quelques minutes avant l’arrivée de la rame pour me positionner non loin d’elle, apparemment plongé dans la lecture d’un journal gratuit.


Cohue, bousculade, manœuvre pour finalement me retrouver derrière la belle, dans une foule compacte. Elle se tenait à la rambarde, je ne me tenais pas mais étais maintenu par la pression, mon bras gauche idéalement placé.


J’hésitai un moment, espérant mais craignant aussi une réaction négative, Sandra pouvant ne pas être d’humeur à se laisser explorer. Mon cœur battait fort, je me replaçai de mon mieux pour que seuls Sandra et moi sachions ce qu’il se passe. Puis, lentement, ma main remonta, commençant par se plaquer "par hasard" contre le superbe postérieur de mon amie jusque-là virtuelle. Pas de réaction apparente. Pourtant, les mouvements du métro engendrèrent une caresse du dos de ma main sur la fesse ferme de cette splendide jeune femme. Je tournai donc ma main et la plaquai plus clairement sur ses fesses, ne lui laissant plus aucun doute.


Elle évita clairement de regarder qui était derrière elle dans le miroir, mais je ne manquai pas un sourire fugace. Encouragé, je me mis à lentement explorer cette fesse, suivant l’arrondi, fermement, possessivement. Sandra accentua alors clairement sa cambrure, se replaçant en écartant légèrement les jambes… L’arrivée dans la station suivante nous interrompit alors, un mouvement de foule nous séparant.


Frustré, je la regardai. Elle me tournait le dos, comme en attente, n’avait nullement bougé. Mais dès le mouvement de foule suivant, elle se replaça plus au fond du wagon, comme pour éviter de se retrouver de nouveau séparée de cet inconnu pervers. J’ai suivi le mouvement, et me retrouvai dos à la paroi, stable, une belle femme devant moi, à la posture ambiguë, telle une invite. Ma main retrouva cette superbe et ferme courbe, aussitôt récompensée par une cambrure de nouveau accentuée. Je descendis alors lentement jusque sur sa cuisse, et remontai lentement ma main entre deux belles cuisses complaisamment entrouvertes.


Mon cœur battait la chamade, j’étais à l’étroit dans mon jean et me concentrais sur cette sensation délicieuse, ce moment de partage à l’insu de tous. Je découvris la peau de ses cuisses nues au-dessus de ses Dim-up, remontai à son entrecuisse, dans son boxer de dentelle, y découvris un sexe brûlant déjà…


Je savais que nous disposions d’environ vingt minutes, je savais son plaisir à être explorée, à ce qu’une main joue d’elle, à ce que ses fesses soient attentivement utilisées. Aussi, je me plaçai un rien différemment, captant son parfum, ma main remontant sur ses fesses et s’en emparant fermement, les remontant et les pelotant avec douceur mais puissance.


Je la surpris à regarder une femme, à l’air sage, élégante. La femme me regarda de temps à autre, rosissante, semblant comprendre le jeu entre nous.


J’étais si heureux de l’explorer ainsi, de lui offrir ce plaisir, de ce jeu dont nous ne parlerons jamais mais qu’elle me racontera en détail, ignorant toujours si c’était moi ou pas.


À chaque arrêt, nous nous arrangions pour rester collés l’un à l’autre, ma main jouant de ses fesses avant de s’immiscer entre ses cuisses, découvrant un boxer humide désormais. L’écarter mit un peu de temps, mais bientôt j’effleurai de mon majeur sa vulve trempée, ses lèvres ouvertes… Je remontai à son clitoris, récompensé d’un tressaillement. La femme semblait hypnotisée par le regard de Sandra qui ne la lâchait pas. Je m’enfonçai en elle au moment où les portes se fermèrent, d’un doigt curieux.


Je la masturbai un moment, accompagné du mouvement de ses hanches, parfaitement accordés… Quelques contorsions me permirent alors d’insérer mon annulaire en plus du majeur, mon pouce reposant sur l’anus de la belle…


Je me mis alors à la pistonner plus fort, récompensé par une mouille abondante enduisant rapidement ma main. Les mouvements de Sandra devinrent désordonnés alors que le plaisir montait… J’enfonçai lentement mon pouce en elle, sans autre réaction qu’une cambrure presque indécente. Je ne relâchais pas ma caresse, sachant la station de Sandra proche… Soudain, elle sembla se cabrer, se tétaniser, son sexe enserra mes doigts, et elle jouit en silence. La femme face à elle me regarda et me sourit, comme complice, peut-être un peu envieuse de cet orgasme.


Sandra resta immobile, tandis que ma main se remit à explorer ses fesses, laissant un boxer trempé de son plaisir.


Les portes s’ouvrirent ; elle descendit sans un regard en arrière. Altière et superbe. Je la regardai partir, ému, troublé, heureux.


Je rentrai chez moi et repris ma vie de famille, attendant le moment où je pourrais retrouver Sandra sur mon PC.


Je me connectai, elle était là. Elle m’interpela aussitôt :

– Bonjour ! J’ai quelque chose à te raconter !


Je t’aime, Sandra.