n° 16726 | Fiche technique | 11927 caractères | 11927Temps de lecture estimé : 8 mn | 27/03/15 |
Résumé: Madame offre un homme à Monsieur mais aimerait bien en profiter... | ||||
Critères: f fhhh hbi extraoffre cocus inconnu nympho voir fellation cunnilingu double -totalsexe -extraconj -fellation | ||||
Auteur : UnLoup Envoi mini-message |
Je suis assise au bord du lit, où mon petit mari est allongé, nu, sur le ventre.
Donc, je suis nue, en bas, jarretelles et talons, le gars entre dans la chambre, nu aussi, belle gueule, athlétique, belle queue, pas trop large pour pas qu’il te déchire trop… on l’appellera l’Étalon. Je m’avance vers lui, en chaloupant un peu façon vamp, je m’agenouille pour le mettre en forme, je lui flatte les boules, je caresse sa tige, en légers va-et-vient, elle grossit doucement, je commence à l’agacer de la langue et des dents, puis je le gobe franchement quand il est bien raide. Et je vois que tu bandes aussi mon salaud ! Huum, j’adore une bonne bite à sucer… mais faut pas trop que j’insiste, il faut qu’il garde la forme pour toi, c’est quand même l’objectif à la base. Dommage, j’en aurais bien pris encore un peu, voire même avalé une bonne dose de foutre bien chaud… Ça t’excite ma petite salope de mari, que je boive le foutre de nos amants ?
Donc, je me redresse, je le prends par la queue et l’amène vers le lit. Là, on… mais sale petite lopette, je vois que tu as déjà souillé ta serviette sans même te toucher ? Je voulais qu’Étalon et moi on s’occupe tes fesses, mais c’est carrément une fessée que tu mériterais ! Donc Étalon et moi, on s’assied auprès de toi, et on s’occupe de tes fesses, on malaxe à quatre mains, moi, je t’agace l’œillet de mes ongles, et de temps en temps, je remets un petit coup de branle à l’Étalon, histoire qu’il ne mollisse pas… Merde, c’est frustrant cette belle queue que j’ai à peine le droit de toucher !
Mais on verra plus tard…
Maintenant, je t’enduis soigneusement le petit trou avec du gel, tu bandes comme un taureau ! Puis je déroule la capote sur la tige de notre ami :
Je m’installe dans le fauteuil, Étalon approche son gland de ta rondelle, te conseille de pousser, puis commence lentement à progresser à travers ton boyau, tu grimaces un peu, moi je mouille comme une folle, j’écarte les cuisses à fond et je me masse le clito de deux doigts. La queue avance, centimètre par centimètre, inexorable. De mon autre main, j’enfonce mes doigts dans mon vagin, sans cesser de titiller mon bouton. Putain, c’est trop bon, il me faudrait une autre queue à moi aussi ! Étalon t’encule jusqu’à la garde maintenant, tu grimaces toujours, et pas qu’un peu, mais faut en passer par là. Et puis tu te poses moins de questions quand c’est moi qui suis à ta place… Il se met à remuer tout doucement, tu as de la chance qu’on en ait trouvé un délicat, pour ton dépucelage. La cadence s’accélère petit à petit, tu grimaces de moins en moins, et tu commences à soupirer en rythme, je m’astique le clito à fond. Bordel, que j’ai envie d’une grosse bite au fond de ma chatte ! Étalon te ramone à grands coups de reins, tu grimaces – mais de plaisir – à chaque coup de boutoir, ça dure cinq minutes, puis il jouit dans ton cul dans un râle puissant, tu viens toi aussi et sans t’être touché, comme tout à l’heure. Moi j’y arrive pas, il me faut vraiment une queue ! Étalon s’écroule sur ton dos, te plaquant à nouveau contre les draps, vous êtes inertes tous les deux : hé ! Pas de ça ! Et moi ?
Je me lève, vous pousse pour vous désolidariser. Étalon sur le dos, je l’enjambe, lui retire la capote pleine de sperme, et me jette sur sa queue, je la saisis, la branle avant qu’elle perde toute sa vigueur, je l’entretiens de la bouche et des mains, et quand elle est à point, je déroule – fébrile – un autre préso, je la guide entre mes cuisses : je le chevauche à fond, je me gode toute seule comme une folle sur sa tige dressée, je triture mes pointes de seins, je gémis, je râle… Toi, tu te branles doucement, puis comme un fou, en regardant tressauter ma frange, et quand je suis dévastée par l’orgasme, tu nous jute dessus. Je m’affale épuisée sur le torse de l’Étalon…
Il me va pas du tout ce plan finalement ! Toi tu as joui trois fois et moi, j’ai passé mon temps à attendre un coup de bite et à dérouler des capotes !
Tu ne crois pas que tu exagère un peu ? Déjà, à la base, Étalon est là pour moi, et je trouve que tu en profites pas mal, limite un peu trop, et en plus, dans ton histoire, moi je sers pas à grand-chose…
En tout cas, mon histoire, elle a quand même l’air de te plaire pas mal, regarde comme tu bandes ! Viens vite me calmer…
Tout ça m’a bien échauffée. Je m’empare de la queue de mon petit mari, elle est raide comme elle l’a rarement été… Je suce comme une possédée, je lui malaxe les boules, je lui insinue un doigt dans la rondelle, il gémit les yeux fermés. Mais c’est pas comme ça que je le veux, je suis trop chaude, il me le faut au fond de la chatte. Je le plaque sur le lit et lui fais le remake de la chevauchée d’Étalon, je rue, secoue, il me malaxe les seins et il ne nous faut que quelques instants pour venir tous les deux en même temps dans des rugissements de bêtes. On reprend notre souffle dans le calme, il me caresse la poitrine nonchalamment. Je récupère les yeux fermés.
Bon, l’histoire est peut-être pas si mal, mais à mon avis, on peut améliorer les choses, écoute : tu es nu allongé sur le lit, je suis assise à côté, nue aussi, en bas, jarretelles et talons. Je te branle doucement la queue, histoire de commencer à se mettre dans l’ambiance. Rocco et Freddy – on va les appeler comme ça – entrent dans la chambre : ils se sont nus, belles gueules, athlétiques, belles queues tous les deux, la plus large sera pour moi, histoire de pas trop te déchirer pour ce premier coup. Je m’avance vers eux en tordant du cul, façon pute, et tu le mates mon joli petit cul bien rebondi ! Je m’agenouille et chope une bite dans chaque main, je branle doucement pour faire monter… Toi tu t’es assis sur le lit, et tu te tripotes le manche en regardant. J’avance ma bouche vers la plus grosse, celle de Rocco, bien sûr ! Mais pas de jaloux, j’alterne de chaque côté. Huum… deux bonnes bites, un vrai rêve !
Quand je les sens bien chauds, je te fais signe et tu viens récupérer Freddy et l’amènes vers le lit en le tirant par la queue. Moi je suce en mettant tout mon talent, je fais courir mes dents le long de la tige, je mordille, j’aspire, je triture les boules, je caresse l’anus. Ça doit te faire envie, puisque tu prends Freddy dans ta bouche et commences une pipe royale toi aussi : prudence, mon chéri, va pas nous le désamorcer tout de suite ! Il faut pas longtemps de ce traitement au mien pour qu’il m’inonde la bouche de sperme, que je m’empresse d’avaler en essayant d’en perdre le moins possible. Hum, trop bon ! On a bien fait de leur demander un test VIH tout frais. Je laisse Rocco récupérer sur le fauteuil, j’interromps tes léchouilles, je te fais partager le foutre de ma bouche dans un long baiser, je flatte ta queue – et je vois que tu as juté tout seul en bonne petite lopette – et aussi celle de Freddy, puis t’allonge sur le lit… Là, on te malaxe les fesses, j’enduis soigneusement de gel ton délicat petit trou fripé, je capote, puis guide le missile de Freddy entre tes fesses… À vous de jouer maintenant !
Je vous laisse, chasse Rocco du fauteuil et m’y installe pour profiter du spectacle : Freddy enfonce vivement son gland à travers ton sphincter, il a l’air moins doux qu’Étalon, tu vas prendre cher mon petit chéri ! Je m’amuse avec mon clito, puis attire Rocco et lui plaque le visage contre ma moule, il est pas là pour se reposer. Bon gars, il s’active de la langue entre lèvres et bouton, pendant que je me caresse les seins… Pour toi, ça a l’air moins drôle, Freddy t’a carrément enfoncé la rondelle en deux allers-retours, ça t’a fait couiner, ta queue est retombée et tu grimaces franchement pendant qu’il s’active façon bûcheron…
Mais la place est vite faite et comme auparavant tu te mets à soupirer en rythme, à quatre pattes sur les draps tandis que ta main s’agite sur ta tige redevenue raide. Rocco est très doué de sa langue, il me fait gémir comme j’aime, je ne veux pas fermer les yeux pour profiter du spectacle de ma petite fiotte en train de se faire défoncer, mais j’ai du mal ! Mes cris tirent vers les graves, je viens ! Mon orgasme est le signal pour tout le monde : tu éjacules sur le lit, tandis que Freddy se crispe dans ton cul, puis s’écroule sur ton dos, te plaquant de toute sa masse.
Le clito, c’est bien, mais le vagin, c’est mieux : je choppe Rocco complètement opérationnel et m’enfile sa belle queue bien impressionnante dans la moule. À genoux devant le fauteuil, il s’active entre mes cuisses avec une bonne volonté qui fait plaisir. Et je repars à gémir… Toutes ces bites dispos, c’est le moment ou jamais : je pousse Rocco sur le tapis, c’est un peu acrobatique, mais je le suis sans nous désolidariser, je vous fais signe à Freddy et toi, puisque vos manches ont repris de la vigueur à nous mater.
Message reçu : je m’allonge contre le torse de mon baiseur, tandis que tu récupères ma mouille – et c’est pas ce qui manque ! – pour m’enduire délicatement la rondelle, et je te soupçonne de caresser les burnes de Rocco au passage. Freddy se positionne, frotte son gland contre mon petit trou, insiste, fait son passage, peu à peu, il progresse et dans un dernier petit coup de reins, il m’encule jusqu’aux couilles. Bordel, je me suis jamais sentie aussi remplie…
Il commence un va-et-vient prudent, Rocco se met à suivre sa cadence d’abord avec précaution puis quand la synchro est parfaite, ils haussent le rythme, c’est trop boonnn. Je n’ai pas d’autre choix que de les laisser faire, pour ne pas risquer la sortie de route, de route, façon de parler… mais c’est trop boonnn. De voir ta petite femme prise des deux côtés, ça te fout une trique d’enfer : tu approches ta tige de mes lèvres, je suce maladroitement, secouée par les deux bites. J’ai l’impression que mes parois vont se déchirer, mais le plaisir monte à une vitesse incroyable, je suis à la limite de l’inconscience tellement c’est fort. Ça monte, ça monte, je crie à alerter tout le voisinage, et c’est un tsunami qui me submerge. Tu me jutes à la gueule puis Rocco et Freddy m’inondent de leur semence, dans quel ordre, j’en sais plus rien, mais c’est chaud et c’est bon. Je perds pied.
Je reviens sur terre, chaude comme la braise, tu me plaques sur le lit, remontes mes jambes gainées de noir et t’enfournes dans mon cul en un seul mouvement, ça passe comme dans du beurre, tellement j’ai ruisselé. De la main, tu me masses le bouton ou me tritures la fente. Vas-y à fond ! Tu m’as presque rentré la main dans le vagin, tellement je suis dilatée et tu me limes le fion comme un bourrin, mais là, j’adooore… Nous venons à nouveau en même temps, et mon orgasme ressemble presque à celui que je viens d’imaginer !
Vivement…