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n° 16729Fiche technique21011 caractères21011
Temps de lecture estimé : 13 mn
28/03/15
Résumé:  Un jeune homme retourne voir un homme mûr qui va lui apprendre à se comporter comme une soubrette.
Critères:  hh hplusag hagé telnet hsoumis soubrette humilié(e) lingerie hféminisé travesti facial fellation sm attache bondage fouetfesse
Auteur : John91            Envoi mini-message

Série : Comment j'ai découvert mon côté femelle

Chapitre 02 / 03
Lorsqu'un jeune homme devient la soubrette d'un homme mûr

Résumé de l’épisode précédent : un jeune homme – jusque là hétérosexuel – se rend chez un homme mûr pour être initié progressivement à l’homosexualité. Lors de leur première entrevue, cet homme se contente de se masturber devant lui. À leur deuxième rencontre, il se fait faire une fellation.



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La nuit ayant suivi ma dernière expérience fut particulière. J’ai beaucoup pensé à ce que je venais de vivre et à ce que j’avais ressenti. En effet, j’ai toujours aimé les femmes et je continuais bien entendu à les aimer. Avec cet homme, j’ai ressenti quelque chose de différent : j’ai pu comprendre ce qu’une femme pouvait trouver comme plaisir. En dehors de sentir une main virile sur son corps, un membre chaud et vivant dans sa bouche, c’était surtout les sentiments de soumission et d’humiliation qui m’excitaient le plus.


À cette époque, j’avais des responsabilités en entreprise, et j’étais chef d’une équipe de sept personnes. Il m’arrivait souvent de lire des histoires de domination, homme-femme ou homme-homme, et très souvent les hommes qui se soumettaient avaient des responsabilités dans leur travail et expliquaient que cela leur permettaient d’évacuer la pression. Je compris à ce moment-là ce qu’ils voulaient exprimer : j’adorais avoir des responsabilités et avoir une position plutôt dominante au travail et, à côté de cela, j’adorais être soumis dans ma vie privée. Quelque part, cela me permettait de trouver un certain équilibre et d’activer ma libido au maximum.


Au final, je me suis endormi l’esprit tranquille et content de cette expérience. La semaine se poursuivit normalement, mais quelquefois, dans la journée ou dans la soirée, des images de ces soirées refaisaient surface.


Le vendredi soir qui suivit, quelques amis étaient venus à l’appartement. On se voyait très souvent et on se retrouvait chez les uns ou les autres à jouer à la console, parler de nos semaines et boire quelques verres. Cette soirée-là avait commencé comme les autres, et pendant que certains jouaient, un ami me demanda mon PC pour faire une recherche. Je lui ai donc passé, et machinalement je regardais ce qu’il faisait. Au bout de quelques minutes, mon cœur s’est arrêté de battre quelques instants lorsque je vis une fenêtre de messagerie instantanée s’ouvrir : c’était lui ! J’ai immédiatement retiré mon PC des mains de mon ami ; je pense qu’il n’a pas eu le temps de lire la phrase d’accroche : « Salut ma petite salope ! »


Je me suis senti devenir tout blanc de peur qu’il ait pu lire quoi que ce soit. Je pense malgré tout qu’il ne l’a pas lu, ou alors il ne m’a rien dit jusqu’à aujourd’hui encore. Et heureusement, car je ne regrettais absolument pas d’avoir essayé, mais il était hors de question que ma famille ou mes amis soient au courant. Je me suis mis dans un coin de la pièce et lui ai répondu que j’étais désolé mais que j’étais avec des amis et que je ne pouvais pas parler. Il me répondit qu’il me recontacterait dans deux heures pile, à ma charge de mettre fin à ma soirée avec mes amis. Je me suis déconnecté de cette messagerie et j’ai redonné mon PC à mon ami qui a pu continuer ses recherches. De mémoire, il devait être 22 heures, et généralement nos soirées pouvaient durer jusqu’au petit jour.


La première heure, je me suis demandé ce qu’il fallait que je fasse : profiter de ma soirée avec mes amis, et tant pis pour cet homme – il attendra un autre jour – ou accéder à sa requête et trouver une excuse pour que tout le monde s’en aille. J’avoue qu’au départ je voulais privilégier ma soirée avec mes amis, mais l’alcool aidant, mon excitation montait en flèche. J’ai donc passé la deuxième heure à trouver une excuse, et je décidai de jouer le mec épuisé. Tout le monde s’est montré coopératif, mais entre l’excuse de la dernière cigarette, de la dernière partie et du dernier verre, ils sont partis moins vite que ce que j’espérais. Résultat : je ne me suis retrouvé seul que vers 0 h 30. Je me suis précipité sur mon PC et je me suis immédiatement connecté à la messagerie en espérant qu’il soit toujours là. En me connectant, je le vis hors ligne et ma déception fut grande : je venais de perdre ma soirée avec mes amis et sûrement une expérience de plus avec lui.


Je me suis resservi un verre, j’ai allumé une clope et je me suis mis à naviguer sur Internet à la recherche d’une vidéo excitante. Après avoir visionné quelques passages qui ne me convenaient pas tout à fait, une fenêtre s’est ouverte. C’était lui !



Comme toujours, j’avais besoin de savoir ce qu’il attendait de moi. Ma timidité prenait toujours le dessus, et je ne voulais pas être surpris ou faire quelque chose que je ne voulais pas du tout.



J’avoue que ce scénario m’excitait au plus haut point. Lorsque nous avions fait connaissance sur Internet, il m’avait demandé quels étaient mes envies, mes fantasmes et mes limites. Je lui avais expliqué que je rêvais de me sentir femme soumise, être traité en tant que telle, être attaché, être humilié et être sodomisé, mais que pour cela il fallait prendre son temps à cause de ma timidité. Concernant mes limites, je lui avais expliqué que je ne souhaitais pas embrasser un homme et que la violence hard, l’uro et le scato était exclus pour moi. Il était doué pour me donner l’envie de franchir le pas, car il y allait tout doucement, et c’est ce dont j’avais besoin.



Puis il a coupé net avant même que je puisse avoir d’autres détails. Comme les deux fois précédentes, la peur s’est mêlée à l’excitation et je ne savais plus trop ce que je devais faire. Au final, les quelques verres que j’avais pris ont fait pencher la balance du côté de l’excitation et je suis parti à mon rendez-vous.


Arrivé devant son immeuble, j’ai sonné et la porte du sas s’est déverrouillée. J’ai monté une fois de plus les marches qui me séparaient de son appartement, et l’excitation était toujours identique à la première fois. La porte était très légèrement entrouverte et je suis entré. La lumière du salon était tamisée comme les fois précédentes et il regardait la télévision dans son canapé. J’allais dire bonjour lorsqu’il me dit sur un ton sec :



J’ai voulu en savoir plus mais il a tout de suite tourné la tête vers la télé et j’ai compris qu’une question ne serait pas la bienvenue. Je suis allé à la salle de bain et je vis sur une chaise des habits qui m’étaient très certainement destinés, étant donné qu’il n’y en avait pas d’autres. Seulement, ces habits étaient tous féminins : des bas noirs plutôt opaques, une sorte de corset rose qui faisait également office de porte-jarretelles, un string rouge en dentelle et une robe noire en soie avec des dentelles blanches, tout à fait comme je pouvais le voir dans certaines vidéos mettant en scène des soubrettes. Il était trop tard pour reculer, et en même temps cela m’excitait. Je me disais qu’avec ces habits, je rentrerais encore plus facilement dans le rôle qui m’était attribué.


J’ai enfilé les bas, et la sensation était extra ! Cela me donnait déjà des frissons. Étant donné que je suis un peu poilu, l’opacité des collants masquait mes poils aux jambes. J’ai ensuite passé le string, et la ficelle qui courait le long de ma raie m’a immédiatement rappelé ma dernière fois ici. Pour le corset, ce fut un peu plus dur : il devait y avoir une bonne dizaine d’agrafes à passer, et je n’étais pas particulièrement habitué. Au bout de quelques minutes, la dernière agrafe fut mise non sans mal tellement j’étais comprimé ! Malgré tout, ce n’était pas fini et il fallait maintenant que je m’attelle aux porte-jarretelles : trois par jambe ! J’ai eu beaucoup de mal à les attacher, et une fois la première jambe faite, il est apparu dans la salle de bain en me disant :



Je me suis excusé en lui expliquant que je n’étais pas habitué à ce genre de vêtement, et il reparti en me disant :



Cette phrase, je me la répétai dans la tête durant la deuxième jambe. Mon string s’est tendu au maximum, car savoir que je serais la femelle d’un homme de temps en temps était ma plus grande envie. Une fois les porte-jarretelles en place, j’ai enfilé la robe qui était un peu trop serrée pour moi. Mon gabarit n’était pas des plus féminins : 1,70 m, quelques kilos en trop, avec un petit peu de ventre. Mais j’avais aussi des atouts que cette tenue mettait en valeur, notamment mes fesses et mes jambes. Une fois la tenue enfilée, je me suis redirigé vers le salon. J’avais un peu de mal à marcher, tellement les habits me serraient ; mais cela faisait partie du jeu, je pense.


Arrivé au salon, je suis resté debout à côté du canapé ou se trouvait Monsieur (en effet, je n’avais pas oublié la dernière fois où il m’avait imposé de l’appeler ainsi). Il me regarda de la tête aux pieds, puis me demanda de me tourner, ce que je fis aussitôt. Ma première humiliation de la soirée : habillée en soubrette, devant un homme qui devait être en train de se régaler de la vue qu’il avait. Tout à coup, j’eus un léger sursaut car quelque chose me touchait les fesses : c’était sa main. Il l’avait glissée sous la robe et malaxait délicatement mes deux fesses, en passant de temps en temps un doigt le long de ma raie. J’étais quasiment tétanisé et je regardais devant moi sans bouger. Malgré tout, des frissons parcouraient mon corps et il le vit. Il continua ainsi pendant quelques instants, puis une claque s’abattit sur ma fesse droite et je ne pus m’empêcher de laisser échapper un « Aïe ! », non pas pour la douleur mais plutôt sous l’effet de la surprise. Il me parla alors :



Encore une surprise ? Il y avait effectivement une boîte sur la table basse. Je me baissai pour l’ouvrir et il en profita pour me mettre encore quelques petites claques légères sur mes deux fesses. Je pris mon temps car ces claques n’étaient pas si douloureuses et elles me procuraient un certain plaisir. À l’intérieur de celle-ci, je trouvai une paire d’escarpins, noirs et vernis, d’une hauteur vertigineuse. Je pense que les talons devaient dépasser les 10 centimètres. Quelle surprise ! J’ai toujours adoré voir une femme porter des talons aiguilles. Je trouvais cet accessoire terriblement excitant. Et ce jour-là, c’est moi qui allais en porter. Je ne me suis pas posé la question de savoir si ça allait être facile ou non de marcher avec ; après tout, cela ne devait pas être si compliqué ! J’ai posé les escarpins au sol et j’ai enfilé le premier pied.


C’était du 41 et je faisais du 42,5 ; c’était un peu serré mais ça rentrait malgré tout sans que la sensation ne soit désagréable à cause de la douleur. Juste une petite gêne. Vint le tour du second pied, et ce fut beaucoup plus dur : en levant le pied pour le mettre dans l’escarpin, je me suis retrouvé en équilibre sur le pied gauche, sur un talon fin et haut, et ce qui devait arriver arriva : je suis tombé en arrière, heureusement sur le canapé. Je comprends maintenant l’agilité que peuvent avoir les femmes qui portent régulièrement des talons aiguilles. Je profitai d’être assis sur le canapé pour enfiler le second pied puis me relevai. J’avais l’impression d’être en haut d’une tour et d’être prêt à perdre l’équilibre à la moindre erreur ! Il fallait absolument que je reste concentré sur mes pas. Ça y est, j’étais prêt… ou prête, je ne savais plus trop. Monsieur avait l’air absolument ravi du rendu, et je vis une bosse au niveau du pantalon qui ne pouvait que trahir son excitation. Et cela, grâce à moi !



J’ai exécuté son ordre, posé les verres sur la table, servi le whisky, puis il me demanda de m’asseoir à côté de lui. Nous avons allumé une cigarette et bu notre verre, devant la télé. Il avait sa main sur ma cuisse et la caressait. Cela provoqua chez moi une nouvelle grosse érection. Il prit ma main et la posa sur sa braguette. Je sentais une bosse que je connaissais maintenant, et je n’avais qu’une envie : libérer son sexe et le prendre dans ma bouche. Je pensais d’ailleurs en avoir le droit, mais à peine son verre terminé il se leva et me dit :



Je me suis levé en même temps que lui et il me prit par la main. J’ai été très surpris mais je compris que c’était plutôt pour m’imposer un rythme de marche qu’une marque de tendresse. C’était la première fois que je marchais avec des talons et je faillis tomber à chaque pas. Arrivés dans le couloir qui menait au bureau, il me fit passer devant lui car nous ne passions pas à deux de front. C’était en fait prévu par Monsieur car je pense qu’il a alors pu admirer mon déhanché provoqué par les talons. J’avais l’impression de marcher comme une salope le ferait pour provoquer des hommes. Et ça marchait, puisqu’il me plaqua face au mur et se colla à moi.


Je sentais son sexe se frotter contre mes fesses pendant qu’il m’embrassait le cou. Ce n’était pas prévu, mais je ne pouvais rien faire pour me dégager. Je sentais son souffle s’accélérer à chacun de ses frottements. Ma robe était très fine et je pouvais très bien sentir son sexe gonfler contre ma raie. J’eus le droit à quelques mots doux tels que « Tu sais que t’es une bonne salope, toi ? » ou encore « Ton cul m’excite à mort, petite pute. » Alors il me retourna et se colla contre moi, son sexe contre le mien. Mon réflexe fut de poser mes mains sur ses hanches et alors, avant que j’aie pu dire ou faire quoi que ce soit, il m’embrassa. Il savait que je ne voulais pas, mais il le fit. Je sentis sa langue forcer l’entrée de ma bouche mais je maintenais mes lèvres fermées. Au bout de quelques secondes, je lâchai prise et sa langue s’engouffra dans ma bouche, fouillant chaque recoin. Je ne contrôlais plus rien et je le laissai faire. Il prit l’une de mes cuisses pour que je remonte ma jambe. J’étais à lui, et il m’a embrassé durant de longues minutes. Puis il s’arrêta tout d’un coup et me fit reprendre la marche.


Nous sommes arrivés au bureau et il m’ordonna de me mettre sous le bureau. L’endroit était plutôt exigu mais je réussis à trouver une position pas trop inconfortable. De cet endroit, je le vis défaire sa braguette, sortir son sexe et s’asseoir sur son siège. Il se positionna face à son ordinateur et m’ordonna de le sucer. Je l’ai sucé ainsi durant une dizaine de minutes pendant qu’il pianotait sur son clavier. Je retrouvais enfin cette odeur qui m’enivrait et ce beau gland que je prenais plaisir à mettre en bouche.


Il se recula, enleva son pantalon et son slip, et me fit sortir de sous le bureau pour continuer à le sucer. Lorsqu’il ne tapait pas sur le clavier, il posait sa main sur ma tête pour m’imprimer un rythme plutôt soutenu. Il s’avança un peu sur son siège et ses testicules pendaient alors. Il me demanda de les lécher et je me rendis compte de cette position humiliante : moi à genoux devant lui, lui léchant les testicules et son sexe posé sur mon visage. Mais j’allais découvrir que c’était loin d’être le plus humiliant. Il me demanda de reprendre ma fellation et il mit ma tête de côté, de façon à ce que je puisse voir son écran. Et là, je vis une fenêtre ouverte en grand sur laquelle un homme se branlait. Et je compris vite qu’il se branlait en me regardant sucer Monsieur ! Après tout, j’avais ce que je méritais : j’étais totalement humilié, suçant un homme devant un inconnu, habillé en bonniche. L’homme sur l’écran éjacula très vite et je vis Monsieur lui écrire un mot que je ne pouvais pas lire là où je me trouvais, puis il se leva.



Cette fois je le suivis, et étrangement j’étais déjà plus à l’aise perché sur mes talons. Le chemin fut rapide et il me demanda de m’allonger sur le lit. Il se positionna presque assis sur mon torse et me présenta à nouveau son sexe à sucer. Il avait un peu débandé et je dus reprendre tout le travail, mais ce n’était pas pour me déplaire. Il me dit :



J’ai essayé de le dire du mieux que j’ai pu, mais avec un sexe dans la bouche, le résultat était plutôt approximatif, mais je pense que c’est ce qu’il voulait. Il attrapa deux cravates qui étaient posées sur le lit et m’attacha les mains aux barreaux du lit pendant que je le suçais. Cette fois, j’étais totalement à sa merci. J’avais un peu peur, je dois l’avouer. Il positionna ses testicules sur ma bouche et me demanda de les lécher, de les prendre un à un dans ma bouche, de les aspirer. Je sentais bien que c’était une partie très sensible, et cela n’était pas du tout désagréable. Il posa son sexe sur mon visage et prit une nouvelle photo avec son téléphone. Je le suçai encore quelques minutes, puis il se branla quelques fois avant de jouir sur mon visage. J’en avais sur l’œil droit, le nez, et beaucoup sur la bouche. Je pinçai les lèvres pour ne pas en avaler car je ne me sentais pas prêt à goûter à cette substance. Il s’en doutait ; il positionna sa tête au-dessus de la mienne et un filet de salive est sorti pour atterrir sur ma bouche. Il se releva et me dit :



Et il est parti. J’étais attaché à son lit, le visage souillé par son sperme et sa salive, et je devais l’attendre. Mais combien de temps est-ce que j’allais rester comme ça ?


Au bout de quelques minutes, je ne pouvais plus respirer uniquement par le nez et je n’avais plus le choix que d’ouvrir la bouche. En ouvrant la bouche, des filets de sperme et de salive glissèrent à l’intérieur et je dus, au final, avaler. Contrairement à ce que je craignais, le goût n’était pas si désagréable, mais la substance était vraiment étrange. J’étais épuisé et je sentais le coin de mes lèvres qui tirait à force de sucer. Mais le pire, c’est que j’étais excité comme jamais et que je ne pouvais même pas me soulager, étant attaché.


Il revint au bout de vingt longues minutes et il me détacha. Il m’expliqua qu’il ne pouvait pas bander à nouveau aussi vite et il me dit de me passer de l’eau sur le visage et de le retrouver au salon.

Je compris donc que la soirée n’était pas finie et que mon éducation allait continuer…



La suite fera l’objet d’un autre texte pour ceux qui le souhaitent.