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Des vacances bien remplies

Voici le récit d’une aventure que nous avons eue, ma femme – Nicole – et moi. Nous étions alors respectivement âgés de 33 et 35 ans.

Nous étions en vacances pour deux semaines dans un village de paillotes d’un célèbre Club.

Nous avions sympathisé très tôt avec un jeune quadra, Philippe, qui pratiquait le tennis avec nous. J’avais alors remarqué que le soir, à la discothèque, Philippe aimait bien danser les slows avec ma femme. Visiblement, elle ne le laissait pas indifférent.

Un jour, à la fin d’un après-midi particulièrement chaud pendant lequel nous avions joué au tennis durant plus d’une heure, nous nous dirigeons comme d’habitude vers le pavillon des douches. Nicole se dirige vers la partie réservée aux femmes, Philippe et moi vers la partie hommes. Et comme d’habitude à cette heure-là, il y avait la queue. Pour éviter une attente trop longue, Philippe me propose de partager une cabine avec lui. J’accepte, et quand notre tour arrive, nous entrons tous les deux dans une cabine assez spacieuse pour recevoir deux personnes Nous nous déshabillons et, en me retournant vers Philippe, je m’aperçois qu’il a été plus gâté que moi par la nature. Il faut dire que je complexe un peu en raison de la taille modeste de mon sexe.

En le voyant devant moi, il me revient en mémoire une discussion que j’avais eue à deux reprises avec Nicole au sujet de nos fantasmes respectifs. Je savais que son ex la faisait très bien jouir grâce à la longueur de son sexe. Je lui avais alors demandé si elle préférerait refaire l’amour avec son ex ou avec un homme équipé d’un gros sexe. Elle m’avait répondu qu’elle préférerait un gros sexe.

Philippe voyait bien que j’étais devenu un peu pensif en le regardant. Je lui demande alors :

• — Est-ce que je pourrais voir ton sexe en… situation ?
• — Bien sûr. À toi de le mettre en situation, comme tu dis. Est-ce que tu as déjà fait bander un autre garçon ? Moi-même, je suis un petit peu bi, mais avec une très forte dominante pour les femmes.
• — Oui, je suis allé deux ou trois fois avec un garçon.

Et tout en lui disant cela, je prends son sexe dans ma main et commence à le branler doucement. Je le sens durcir et se gonfler de plus en plus jusqu’à atteindre une vingtaine de centimètres, dressé droit devant lui à l’horizontale. De son côté, Philippe a saisi mon sexe et nous voilà en train de nous branler mutuellement. Au moment où Philippe jouit, un long jet de sperme gicle et vient s’écraser sur ma poitrine. Je jouis alors à mon tour. Tout en ayant une pensée pour les gens qui attendent la libération de notre douche, nous nous lavons rapidement et nous sortons.

• — Tu sais, lui dis-je, je crois que Nicole apprécierait beaucoup ton sexe, si toutefois on la mettait en condition au préalable.
• — Tu crois qu’elle accepterait de faire l’amour avec moi ?
• — Je pense que oui, mais il faudrait monter un petit scénario. Laisse-moi réfléchir jusqu’à demain, j’aurai peut-être une idée cette nuit.

Effectivement, pendant la nuit une idée me vient. Je l’expose en partie à Philippe pendant le petit déjeuner, pendant que Nicole se sert au buffet.

• — On va organiser un pique-nique tous les trois. On va louer un petit bateau pour aller sur un des petits îlots déserts qui sont dans les environs, et là nous appliquerons mon plan. Mais auparavant, il faudra que pendant le dîner de ce soir tu me demandes incidemment si je suis un homme jaloux et que tu te montres sceptique quand j’affirmerai ne pas l’être.
• — OK, me répond-il.

Comme prévu, le soir la discussion arrive sur la jalousie à l’intérieur des couples. Nicole dit que je suis certainement jaloux. Ce à quoi je réponds que cela peut dépendre des circonstances.

• — En fait, dis-je, je serais jaloux si Nicole tombait amoureuse d’un autre homme, même s’ils n’avaient aucun contact physique. Par contre, si elle avait juste envie de faire l’amour avec un autre homme sans en être amoureuse, cela ne me gênerait pas, et à la limite cela m’exciterait.

Nicole et Philippe – qui joue bien son rôle – mettent visiblement ma parole en doute. Je finis par leur dire que je leur préparerai un petit test d’évaluation de ma jalousie présumée.

Le lendemain, nous nous faisons préparer un pique-nique, nous louons un petit bateau et allons nous installer sur une petite île sur laquelle nous sommes seuls. Nous étalons nos serviettes à l’ombre d’un palmier et nous nous adossons à des rochers voisins. Je tire de la glacière la bouteille de punch que j’ai moi-même préparé et j’en remplis généreusement nos trois verres.

Après une deuxième tournée, Nicole commence à être légèrement pompette. Je prends Philippe à part et lui glisse discrètement dans la main deux petites pilules bleues :

• — Prends-les, cela pourrait t’être utile. J’en ai pris déjà moi-même.

Nous rejoignons Nicole qui n’a rien vu de notre petit manège.

• — Comme promis, je vous ai préparé un petit test pour savoir si vous êtes capables d’évaluer mon degré de jalousie. J’ai amené trois feuilles de papier et trois stylos, et je vais vous dicter le test en question.

Je leur distribue papiers et crayons.

• — Sur cette feuille marquée à notre prénom, il y a 9 cases numérotées de 1 à 9. En face de chaque case vous écrirez les propositions que je vais vous dicter. Vous êtes prêts ? Allez, on commence :

Maintenant, vous allez cocher toutes les cases correspondantes aux propositions que vous pensez que je laisserai faire avant d’interrompre ce programme. Celui de vous deux qui se rapprochera le plus de la réalité sera déclaré vainqueur et pourra choisir un gage que celui qui sera le plus éloigné du résultat final devra exécuter. Ensuite nous plierons ces feuilles en quatre et nous les découvrirons à la fin du test.

Nicole et Philippe, ayant fini d’écrire, se regardent un peu gênés et en même temps un peu excités. Ils réfléchissent chacun de leur côté et cochent les cases qui leur paraissent correspondre le mieux à ma prétendue jalousie. Quant à moi, bien excité par le seul fait de leur avoir dicté cette liste, je coche tout jusqu’à 10 compris. Nous plions nos feuilles et les mettons de côté.

C’est maintenant le moment de passer à l’exécution de ce test. Nicole s’installe assise dos à un rocher, Philippe s’assoit à côté d’elle.

Je donne le signal du départ :

• — Allez, c’est parti. Première étape !

Philippe se penche légèrement vers Nicole et l’embrasse quatre fois sur les deux joues.

• — Deuxième étape !

Philippe plaque un baiser chaste sur la bouche de Nicole, qui rosit légèrement.

• — Troisième étape !

Philippe se repenche vers Nicole et pose sa bouche sur celle de Nicole qui a déjà entrouvert les lèvres. Je vois la langue de Philippe se glisser entre les lèvres de Nicole, et pendant plusieurs minutes ils s’embrassent à pleine bouche, se détachant l’un de l’autre, se reprenant, les langues s’entremêlant.

• — Quatrième étape !

Tout en continuant à l’embrasser, Philippe pose sa main sur les seins de ma femme et commence à les caresser, à les malaxer, et ce pendant de longues minutes.

• — Cinquième étape !

Philippe se sépare de Nicole. Elle dégrafe alors son soutien-gorge et laisse jaillir ses seins qu’elle a plantureux. Aussitôt Philippe s’en empare, les embrasse, lui lèche les bouts, les reprend dans ses mains et tout en les caressant, échange de nouveau de pénétrants baisers avec Nicole. Je les observe plusieurs minutes. Il me semble apercevoir une légère augmentation de volume du slip de Philippe.

• — Sixième étape !

Philippe fait s’allonger Nicole sur une serviette et s’allonge à côté d’elle. Sa main droite se pose sur le ventre de Nicole, se déplace vers sa hanche qu’elle caresse lentement, passe de l’autre côté, glisse vers sa cuisse droite puis vers la gauche tout en effleurant très légèrement son slip. Pendant quelques minutes, il la caresse doucement tout en continuant à l’embrasser.

• — Septième étape !

Philippe pose alors sa main sur l’entrejambe de Nicole, qui tressaille au contact de cette main sur la partie la plus sensible de son corps. Philippe lui écarte un peu les cuisses et commence à masser doucement son sexe à travers le léger maillot. Nicole se met à bouger peu à peu son bassin au rythme de la caresse. Je sais que quand elle commence à réagir comme cela, elle est déjà très excitée. De son côté, elle caresse le sexe de Philippe à travers son slip et le fait tellement bander que l’on voit apparaître le bout de son gland au niveau de la ceinture.

Après quelques minutes, je les arrête car je ne voudrais pas qu’ils jouissent prématurément.

• — Huitième étape ! Avant de passer à l’étape suivante, tout le monde retire son slip !

Tandis que Nicole soulève ses fesses pour faire glisser son slip et le retirer, Philippe se lève pour retirer le sien et sa bite, brusquement libérée, se dresse droit devant lui. À ce moment-là, Nicole découvre cet engin de dimensions plus que respectables et un grand sourire se dessine sur ses lèvres. Je suis sûr que, à ce moment-là, elle mouille brutalement. De mon côté, je me suis débarrassé de mon slip et bande aussi, mais d’une manière beaucoup plus modeste que Philippe.

Ce dernier s’allonge tête-bêche au côté de Nicole, la tête au-dessus de son ventre et son sexe à 30 cm de la tête de Nicole. Il lui écarte les cuisses le plus possible et lui masse doucement le clitoris avec deux doigts de sa main droite. Ensuite, de sa main gauche il écarte les petites lèvres, fait bien ressortir le clitoris et commence à le branler lentement. De sa main droite, il écarte maintenant les grandes lèvres ce qui fait apparaître le vagin tout rose et tout humide de ma femme. Puis, doucement, il y introduit son majeur et le fait aller et venir dans ce chaud tunnel.

Voyant le sexe de Philippe près d’elle, Nicole le prend dans sa main et masse gentiment son gland avec le pouce, étalant ainsi le liquide qui suinte. De son autre main, elle pétrit les couilles de Philippe. Elle adore jouer avec les couilles des garçons.

Nicole est très sensible à la masturbation combinée pratiquée par Philippe, de son clitoris et de son vagin. Elle continue à bouger son bassin pour accompagner les mouvements de Philippe. L’ondulation de son bassin s’amplifie au fur et à mesure de la montée de son excitation.

Au bout de quelques minutes, n’y tenant plus, elle approche sa tête du sexe qu’elle est en train de branler et le prend goulûment dans sa bouche tout en accélérant les mouvements de son ventre. Puis, subitement, elle attire Philippe sur elle en position de 69. Du coup, celui-ci gobe le clitoris de Nicole tout en continuant à la branler de sa main droite.

Deux ou trois minutes plus tard, dans un feulement rauque, Philippe décharge dans la bouche de Nicole que je vois déglutir encore et encore. Pour avoir vu Philippe jouir quand nous prenions notre douche, j’imagine la quantité de sperme que Nicole doit avaler. Quant à elle, au comble de l’excitation, probablement provoquée par la décharge de son partenaire, elle jouit dans une succession de petits cris étouffés par le sexe qu’elle a gardé dans la bouche. Regardant ma montre, je peux constater que son orgasme a duré près de trente secondes.

Philippe se dégage alors et s’allonge le long de Nicole dont le ventre est encore secoué de petits spasmes.

En les voyant ainsi épuisés, et pour les laisser récupérer un peu de forces, je nous sers, toujours généreusement, une nouvelle tournée de punch.

Après une dizaine de minutes, je leur annonce :

• — Neuvième et dernière étape !

Voyant Philippe de nouveau « en forme », Nicole décide de la position qu’elle choisit pour cette ultime étape. Elle fait allonger Philippe sur le dos, s’étend sur lui, frotte doucement son sexe contre le sien, soulève son bassin, saisit sa bite, se branle un peu avec et finalement la guide dans son con où elle s’enfonce doucement. C’est en fait la position préférée de Nicole. Je donne alors un conseil à Philippe :

• — Glisse ta main sous son ventre pour pouvoir la branler en même temps que tu la baises. Dans cette position, elle est capable de jouir trois ou quatre fois d’affilée.

Aussitôt, Philippe glisse sa main entre eux afin de pouvoir exciter son clitoris avec un doigt. Il attire de nouveau la tête de Nicole vers lui pour que leurs lèvres puissent se joindre.

Commence alors, dans un premier temps, l’ondulation de Nicole sur un Philippe immobile mais qui lui pétrit joyeusement les fesses, puis ensuite les coups de boutoir de ce dernier dans une Nicole inerte et ainsi de suite jusqu’à leur jouissance simultanée dans un mélange de gémissements et de cris étouffés.

Deux fois de suite ils arrivent à jouir avec, entre chaque épisode, une petite période de récupération mais sans toutefois se désunir.

De temps en temps, je caresse les fesses de ma femme tout en me branlant gentiment.

Au moment où ils vont réitérer pour la troisième fois, je m’enduis un doigt de crème solaire, j’écarte d’une main les fesses de ma femme et je le lui introduis dans son cul que je branle en même temps qu’ils recommencent à baiser. Je me positionne alors au-dessus de Nicole ; Philippe, qui a compris mon objectif, guide de sa main libre ma bite dans le cul de Nicole qui gémit un petit peu quand elle sent mon sexe la pénétrer, ce qui m’excite encore un peu plus.

À travers la fine cloison intérieure, je sens la bite de Philippe frotter contre la mienne. Nicole n’est plus qu’un long gémissement de plaisir et peut-être un peu de douleur, qui va crescendo, entrecoupé de petits cris : « Oui… oui… continuez ! »

Au bout de quelques minutes nous déchargeons, Philippe et moi, dans Nicole qui jouit à son tour quelques secondes plus tard. Je me retire tandis que ma femme s’écroule entre nous deux, exténuée mais heureuse.

Je lui demande alors :

• — Est-ce la première fois que tu baises avec deux garçons à la fois ?
• — Non, mon ex m’avait obligée à le faire une fois avec un de ses copains que je n’aimais pas. Mais cette fois-ci, cela m’a plu ! Je pense que nous pourrons peut-être le refaire.

Après un peu de repos bien mérité, nous attaquons notre pique-nique. Nous sommes assis tous les trois en tailleur autour de la nappe, ce qui nous permet d’admirer la toison de ma femme au milieu de laquelle se détachent les grandes lèvres, tandis qu’elle peut observer nos bites dressées en permanence sous l’effet des petites pilules bleues que nous avions prises au début de nos exercices.

Le déjeuner bien arrosé se déroule tranquillement et, au moment de boire notre café, je rappelle qu’il y avait un enjeu final : le perdant devait exécuter le gage proposé par le vainqueur. Nous ressortons nos trois feuilles sur lesquelles nous avions coché les nombres correspondant aux différentes étapes que nous pensions que j’accepterais.

Nicole avait coché jusqu’à la sixième phase, Philippe jusqu’à la huitième, et moi jusqu’à la dernière. J’étais donc le vainqueur et Nicole la perdante.

Je pouvais donc choisir un gage qu’elle devrait effectuer. Ayant déjà réfléchi à ce que je pourrais lui demander, je lui dis :

• — Étant donné que je suis bon joueur, je te laisse le choix entre deux gages : soit tu te masturbes devant nous, soit tu suces Philippe à fond et tu avales tout.

Elle réfléchit quelques instants, mais ayant déjà exécuté la deuxième proposition, elle nous déclare qu’elle choisit de se masturber devant nous. Je sais pour ma part que, bien qu’elle refuse de le faire devant moi, elle se masturbe souvent la nuit quand elle pense que je suis endormi. Quelquefois, les mouvements qu’elle fait et les gémissements qu’elle a du mal à retenir au moment où elle jouit me réveillent, ce qui me fait bander quand je me rends compte de ce qu’elle fait.

Nicole s’allonge donc sur le dos, entrouvre les cuisses, pose la main sur son sexe et commence à se caresser. Afin de bien voir ce qu’elle fait, je lui écarte au maximum les cuisses et nous nous installons, Philippe et moi, de chaque côté de ses jambes. Au bout de quelques minutes, ce spectacle nous excite tellement que nous nous branlons à notre tour. Chacun à notre tour nous éjaculons sur sa toison, lui fournissant ainsi un lubrifiant naturel. Nous voyons son bassin se soulever de plus en plus vite jusqu’au moment où, enfin, elle explose dans un cri rauque qui nous refait bander.

Après cet épisode, nous décidons de faire une petite sieste pour retrouver un peu de tonus. Nous nous couchons tous les trois avec Nicole au milieu. Très vite, je m’endors, et me réveille quelque temps plus tard en sentant bouger à côté de moi.

Philippe est allongé sur le dos tandis que Nicole, penchée au-dessus lui, prend sa bite dans sa main droite et recommence à le branler de plus en plus fort. Philippe attire sa tête vers la sienne afin que leur bouche et leur langue se retrouvent. Au bout de plusieurs minutes, Nicole s’aperçoit que Philippe va bientôt jouir et, ne voulant pas manquer le spectacle de sa giclée, détache sa bouche de celle de son partenaire et observe maintenant la bite de Philippe de plus en plus humide. Soudain il se tend comme un ressort, et devant les yeux ébahis de Nicole son sperme jaillit jusque sur son menton en une succession de giclées qui semblent ne jamais s’arrêter. Le sperme coule le long de la main de ma femme qui continue tout doucement de le vider complètement. Un grand sourire éclaire le visage de Nicole qui, vraisemblablement, n’a jamais vu une telle éjaculation.

Dans l’après-midi, Philippe lui refait l’amour encore une fois en levrette pendant que je la branle. Je la baise encore une fois en missionnaire.

Au total, dans cette demi-journée, nous avons fait jouir Nicole six fois, ce qui nous permettrait éventuellement, si la soirée se passait dans la même ambiance, de lui faire battre son record de neuf orgasmes en douze heures. Record obtenu avec son ex.

Le soir, nous allons à la discothèque comme d’habitude où nous dansons et buvons jusqu’à une heure avancée de la nuit.

Au moment de partir, Nicole me demande si elle pourrait aller « dormir » avec Philippe. Je lui donne mon accord et vais me coucher de mon côté.

Le lendemain matin, j’enfile mon maillot de bain et vais faire ma toilette. Ensuite, je vais toquer discrètement à la porte de la case de Philippe qui m’ouvre aussitôt. Il est aussi en slip de bain, a déjà visiblement fait sa toilette.

Derrière lui j’aperçois Nicole endormie, nue, couchée en travers du lit, une jambe relevée, dégageant ainsi sa jolie toison brune. De la voir ainsi abandonnée m’excite aussitôt. Je sens que je commence à bander. Alors, sans plus attendre, je baisse mon slip et commence à me branler.

Voyant cela, Philippe s’assied sur le lit, m’attire vers lui, prend doucement mon gland dans sa bouche. Je sens sa langue me lécher tout le tour du gland, puis il me prend la bite entière dans sa bouche et me suce d’une manière experte. Au bout de quelques minutes, je gicle et je le sens qui avale tout mon sperme.

Cependant, ce petit intermède l’a lui aussi passablement excité. Je le vois au renflement de son slip. Nous échangeons nos places : je m’assois sur le lit, il retire son slip et se poste devant moi. J’ai à peine besoin de le branler pour que sa bite atteigne sa taille de croisière. Je démarre par un léchage du gland et ensuite j’engloutis la totalité de sa bite dans ma bouche. Il commence alors un mouvement de va-et-vient jusqu’au moment où il se raidit, sa respiration s’accélère, son sexe se gonfle encore un peu plus et d’un seul coup je sens les giclées de sperme qui m’arrivent au fond de la gorge, giclées que je m’empresse d’avaler pour ne pas m’étouffer. Je me dis à ce moment-là que quand il gicle au fond du con de Nicole, elle doit bien ressentir ces giclées et les apprécier.

Bien que j’aie eu par le passé quelques expériences avec des garçons, c’est la première fois que j’en suce un jusqu’à la phase finale. J’avoue trouver cela assez agréable.

Soudain, me tournant vers Nicole que je croyais endormie, je m’aperçois qu’elle a les yeux très légèrement entrouverts et qu’elle a dû observer notre petite séance de taillage de pipe entre Philippe et moi. Je fais comme si je ne m’étais aperçu de rien ; nous remettons nos slips, Philippe et moi, et sortons pour aller prendre notre petit déjeuner. Mais au moment de nous éloigner de la case, il me vient une idée. Je fais signe à Philippe de me suivre le plus silencieusement possible. Nous faisons le tour de la case car j’avais remarqué qu’à l’arrière il existait de petites fentes dans la cloison. Je colle mon œil sur une des fentes, Philippe fait de même, et ce que j’avais supposé se produit : Nicole, excitée par le spectacle auquel elle a assisté malgré nous, a posé sa main droite sur son sexe et commence à se masturber. Au bout de quelques minutes, je sens soudain la main de Philippe se glisser dans mon slip, en extraire ma bite et commencer à me branler. Évidemment, je lui rends la politesse, et un peu plus tard nous décorons la paroi de la case en blanc.

Nous quittons alors notre poste d’observation et nous allons nous installer dans la salle à manger pour enfin prendre notre petit déjeuner.

Pendant que nous déjeunons, je demande à Philippe de me raconter leur nuit.

Il me décrit alors avec force précisions les différentes positions qu’ils ont utilisées : en levrette, en 69, elle sur lui, lui derrière elle, la manière dont il l’a fait jouir en la baisant tout en la branlant, ce qu’elle apprécie beaucoup, et aussi le nombre de fois où elle a joui, soit cinq fois. Ce qui fait en tout pour la journée onze fois, plus peut-être une douzième au moment où nous déjeunons.

Après avoir terminé notre petit déjeuner, nous allons nous installer à la plage pour une petite séance de bronzage, sachant que Nicole, après une telle journée et une telle nuit aura besoin de récupérer et ne nous rejoindra probablement qu’en fin de matinée.

Nous en profitons, Philippe et moi, pour échanger quelques expériences amoureuses que nous avons vécues. Et nous décidons d’organiser un nouveau pique-nique dans les jours suivants. Je lui déclare que cette fois-ci, j’apporterai mon caméscope pour filmer nos exploits.

Effectivement, en fin de matinée, Nicole fait son apparition, sa serviette à la main.

• — Qui vient se baigner avec moi ? nous demande-t-elle.
• — Moi, lui répond Philippe.

Et les voilà partis en courant pour se jeter dans une mer d’huile. Ils sont pratiquement seuls à se baigner. Je les observe nager. Ils font la course, se rattrapent, s’aspergent mutuellement. Enfin, de vrais gosses !

Toutefois, alors qu’ils se sont éloignés du rivage, je les vois se rapprocher l’un de l’autre, se faire face et commencer à s’embrasser. Même en étant assez loin d’eux, je comprends à leurs mouvements ce qu’ils sont en train de faire pour l’avoir fait moi-même assez souvent avec Nicole.

Elle fait mettre Philippe en position « assise », l’eau lui arrivant sous le menton. Elle a dû plonger sa main dans le slip de Philippe pour lui faire durcir sa bite et la sortir de son slip, en même temps qu’il lui baisse son maillot. Elle vient alors « s’asseoir » sur ses cuisses et guide sa bite dans son con pendant que Philippe la retient avec un bras et lui caresse les seins, qu’il a sortis auparavant de son soutien-gorge, de sa main libre.

Tout en s’embrassant à pleine bouche, ils peuvent ainsi faire l’amour sans que personne autour d’eux ne s’en rende compte. Je sais que Nicole aime beaucoup cette manière de faire l’amour car cela l’excite de le faire quasiment en public.

Après s’être réajustés, ils reviennent en nageant sur la plage et, en arrivant près de moi, Nicole comprend à mon sourire que j’avais deviné ce qui s’était passé.

Le soir, pour se reposer, Nicole dort avec moi. Pas de baise cette nuit-là.

Le reste du séjour se passe entre escapades dans « notre » île, siestes alternées entre Philippe et moi, idem pour les nuits, bien que quelquefois nous nous retrouvions tous les trois pour des séances plus « conviviales ».

Nicole nage au sens propre et au sens figuré dans le bonheur. Je surveille juste le fait qu’elle ne tombe pas amoureuse de Philippe, mais seulement de sa bite.

Un jour, Philippe demande à Nicole quel serait le fantasme qui l’exciterait le plus. Je la laisse réfléchir, mais je connais le fantasme en question, Nicole me l’ayant déjà raconté.

• — Ce qui m’exciterait le plus, lui répond-elle, c’est que Didier t’encule pendant que tu me baises. J’ai entendu dire que quand un garçon se fait enculer, cela le fait bander encore plus fort.

Philippe, un peu estomaqué, met quelques secondes à réagir :

• — Bien que je ne me sois jamais fait enculer, j’accepte pour te remercier du plaisir que tu me donnes.

Le lendemain, Nicole, qui n’a pas perdu la mémoire, propose que nous allions pique-niquer sur notre petite île, avec le projet bien arrêté de mettre son fantasme à exécution.

Effectivement, après le déjeuner, alors que nous sommes déjà nus, elle rappelle à Philippe sa promesse et se met en position. C’est-à-dire qu’elle s’allonge sur le dos, fait venir Philippe sur elle, guide sa bite dans son con comme elle le fait souvent et me demande d’entrer en scène. Philippe, dès qu’il a pénétré Nicole, a commencé son mouvement de va-et-vient. Dans un premier temps, je caresse les fesses bien fermes de Philippe, je m’enduis le majeur d’une crème que ma femme a apportée et, lui écartant les fesses, doucement j’introduis mon doigt dans le cul de Philippe qui tressaille légèrement. Je lubrifie abondement son anus, me positionne au-dessus de lui en appui sur mes mains tandis que Nicole, saisissant ma bite déjà bien dure, me guide dans le cul de Philippe.

J’enfonce progressivement mon sexe entre ses fesses, Nicole laissant sa main autour de ma bite pour bien la sentir aller et venir dans le cul de Philippe.

Bientôt j’accélère la cadence. Le fait de sentir mon sexe serré dans ce fourreau étroit me procure les mêmes sensations que lorsque j’encule Nicole. À entendre, entre les baisers profonds de Philippe, les râles de plus en plus forts de ma femme, j’ai la certitude qu’elle a rarement, peut-être même jamais, été aussi excitée en faisant l’amour. À plusieurs reprises, elle passe sa tête par-dessus l’épaule de Philippe pour regarder ma bite aller et venir dans le cul de son partenaire.

Et dans un crescendo soudain, nous l’entendons :

• — Je vais jouir… je vais jouir… je jouiiiis… je jouiiiiiis… je vais mourir…

Dans un ultime sursaut de ma femme, je décharge longuement dans le cul de Philippe qui, à son tour, se vide dans le con de Nicole.

Nous restons plus d’une minute dans cette position, épuisés par notre jouissance, avant de nous « désemboîter » les uns des autres et nous allonger côte à côte.

Nous avons renouvelé ce fantasme une fois durant notre séjour, à la grande satisfaction de Nicole.

Un de ses autres plaisirs est de me voir me branler en les regardant faire l’amour. En général, au moment de jouir, je présente ma bite à Nicole qui la prend dans sa bouche dans laquelle je me vide entièrement. Quelquefois, elle garde une partie de mon jus et le rejette dans la bouche de Philippe au moment où il l’embrasse.

À notre retour en France, nous avons continué à nous voir, Philippe et nous. De temps en temps, il vient passer une soirée et une nuit avec nous. Quelquefois il passe deux ou trois jours avec nous dans notre maison de campagne. Après ces séjours, il faut au moins deux jours pour que Nicole récupère, tellement ces moments de baise intense la vident de son énergie, et nous de notre jus.

Encore aujourd’hui, nous passons de très bons moments avec Philippe. Depuis quelques mois, je me suis même constitué une vidéothèque assez conséquente de nos exploits. Un jour, j’en mettrai une partie sur le net.