Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 16738Fiche technique37603 caractères37603
Temps de lecture estimé : 22 mn
03/04/15
Résumé:  Ils sont en cours de divorce. Il ne reste juste que la vente de la maison pour que la séparation devienne effective.
Critères:  fh fhh extracon vengeance fellation pénétratio fdanus fsodo yeuxbandés confession
Auteur : Roby  (Au plus près de la vraie vie)      
Le divorce, une épreuve

La demande m’a tellement surpris que je suis resté sans voix pendant une minute, et c’est Roger qui a parlé le premier :



Comme depuis des années, pendant que les femmes bavardent de leur côté, Paul, Roger et moi on joue à notre petit jeu, notre "brainstorming" d’intellectuels, travaillant sur des "cas" tirés de nos métiers respectifs afin de nous tenir informés de toutes ces nouvelles lois que le législateur impose. Paul est notaire, Roger avocat, et moi fiscaliste. À nous trois on peut "triturer" les affaires de tous les côtés. Accessoirement on enregistre nos échanges afin que chacun puisse en faire un point personnel.

C’est donc lors d’une conversation de ce genre que Paul me dit :



Son air sérieux nous intrigue.



C’est à ce moment que je suis sans voix et que Roger fait sa remarque :



Paul ne répond pas à notre ami ; c’est de moi qu’il attend la réponse.

Sa demande est vraiment étrange, presque dérangeante. Un ami de longue date qui vous demande l’autorisation de draguer votre femme. Avouez que cela interpelle.

Bien sûr, Paul sait parfaitement que je suis sur le point de divorcer d’avec Susie. Il est à la fois notre ami, notre notaire et l’agent immobilier chargé de la vente de notre maison. Il sait que j’ai une maîtresse depuis un certain temps, et que c’est une des raisons qui me fait divorcer. Mais ce n’est pas la seule. Depuis que nos trois enfants sont partis, ma femme et moi n’avons pas vraiment réussi à rétablir une vie de couple. Elle s’est trop investie dans son rôle de mère pour qu’elle puisse redevenir la femme, la maîtresse que je désirais retrouver.

La demande est désuète. Qui parle encore de faire la cour ? Mais après tout, si cela pouvait consoler Susie de notre séparation, je n’en serais pas mécontent.



Son aveu est une surprise pour nous. Paul et Anne ont toujours formé un couple particulier, pas classique. Nous savions, même si leur discrétion était totale, qu’ils se comportaient en couple très libre. Mais jamais aucun de nous n’avait eu à en ressentir le moindre effet.


Un divorce, même à l’amiable, demande beaucoup de temps. Nous, en plus, étions ralentis par le problème de la vente de notre maison. Chacun de nous devait en recevoir la moitié. Pour Susie comme pour moi, la vente est indispensable pour pouvoir repartir chacun de notre côté, et en particulier pour moi et m’installer avec mon amie. Mais le marché est mauvais. Manifestement, d’après Paul, nous sommes trop gourmands et les acheteurs ne se bousculent pas.

Le problème, c’est que moi je me suis engagé pour l’achat d’un appart et que le temps passe sans que je puisse conclure. Je vois arriver le moment où je vais devoir signer en prenant un emprunt relai qui va me coûter une fortune. Mais, chacun sait qu’un divorce n’enrichit pas. En plus, Susie a bien négocié sa pension alimentaire…

Nous venons de convenir de baisser à nouveau le prix.


Je vais regretter ma maison. Lorsque nous l’avons achetée, avec le petit parc clos autour, elle était en banlieue, presque au milieu des champs. Elle est assez grande pour recevoir une famille, un couple avec trois enfants, et encore des chambres libres. Maintenant, elle est au centre d’un quartier. Beaucoup de gens nous l’enviaient, mais au moment de payer il n’y a plus personne.


Bien sûr, en attendant des jours meilleurs, Susie et moi continuons d’habiter sous le même toit. Dans des chambres différentes, bien sûr. Ni elle, ni ma maîtresse ne supporteraient que nous couchions ensemble.


Si au début je n’ai pas bien réalisé à quoi m’engageait la réponse positive à la demande de Paul, assez rapidement j’en ai été dérangé. Il faut dire que je pensais qu’il courait à l’échec. L’ami de Paul, c’était moi. Susie est arrivée, comme la femme de Paul, après. Tout le monde s’entendait très bien, même avec une complicité construite avec le temps, mais sans plus.

Aussi j’ai été étonné de croiser souvent mon ami à la maison. Il faut dire que mes va-et-vient entre ma maîtresse et ma maison lui laissaient le champ libre. Lorsqu’on se voyait, nous bavardions un peu, mais Paul était mal à l’aise et je pouvais lire dans ses yeux des excuses pour sa présence. Moi, je ne pouvais rien dire. Au contraire, j’insistais par des « Tu ne me déranges pas » lorsqu’il s’excusait.


Mais très vite je l’ai rencontré le matin, alors que manifestement il venait de passer la nuit avec ma femme. Enfin, mon ex-femme, même si les papiers n’étaient pas signés car nous attendions cette satanée vente pour tout réaliser en même temps.

Nos rencontres sont devenues si fréquentes que j’ai compris l’attitude de Susie. Je la comprenais mais j’en souffrais tout de même. On ne vit pas trente années avec quelqu’un sans être touché de voir cette personne avec un autre. Bien sûr, je suis mal placé pour me plaindre alors que c’est moi qui ai commencé.


Susie se venge, c’est évident. Sinon, pourquoi fait-elle exprès de se balader en petite tenue très sexy ? Manifestement, elle a changé sa lingerie, car moi je n’avais pas droit à ces attentions. Aussi elle s’arrange pour que de sa chambre ses cris et gémissements divers diffusent vers moi, me faisant bien comprendre que Paul lui apporte le plaisir.

Lorsqu’elle s’est arrangée pour que je les surprenne dans le salon, elle appuyée contre un fauteuil pendant que lui la bourrait avec vigueur, encouragé par des paroles les plus crues, j’ai décidé de réagir.


Heureusement, Paul – qui ne faisait pas que baiser mon ex – nous a trouvé un acheteur. J’ai même accepté son prix, nettement en dessous de ce que j’espérais. Susie ne voulait pas, mais elle a tout de même accepté.


En deux mois tout a été réglé. Le même jour, nous avons vendu, j’ai payé mon nouvel appart et on a finalisé le divorce.

Roger, qui nous a accompagnés au tribunal, est resté un moment après et puis nous a laissés en tête-à-tête à la terrasse du café. On se sentait bizarre. Toutes ces signatures étaient censées nous séparer et nous rendre libres de vivre l’un sans l’autre. Mais en parler et se retrouver ainsi, n’est pas la même chose.


C’est Susie qui parle la première :



Comment ne pas obéir ? Elle a raison. Tant d’années ne peuvent s’effacer par quelques signatures.


En arrivant dans ce qui n’est déjà plus notre maison, je retrouve Susie transformée. Moi qui pensais à quelque chose de simple, elle a commandé un festin. Mais en la voyant, je ne peux m’empêcher d’être admiratif.



Bien fait pour moi. Cela m’apprendra à ne pas savoir tenir ma langue.


Pendant qu’elle évolue devant moi, allant de la cuisine au salon, je ne peux m’empêcher de la regarder. Pas simplement la voir, comme on ne voit plus quelqu’un qui vit à vos côtés pendant tant d’années ; non, la regarder d’un œil neuf. Elle n’est plus la jeune femme que j’ai épousée, mais malgré trois maternités sa silhouette est encore bien proportionnée. Mieux, elle respire la sensualité.

Serais-je devenu aveugle ou bien serait-ce l’influence de Paul, son amant, qui l’embellit ainsi ? Un peu des deux sûrement.

Je vais lui proposer d’ouvrir la bouteille de champagne qu’elle sort de son seau de glace :



Et vlan ! Nouvelle couche !

Heureusement, la suite du repas est plus sereine. Nous buvons, enfin surtout Susie, qui manifestement cherche à s’étourdir. Je l’accompagne. Nous mangeons les mets délicats du traiteur. La conversation est nostalgique mais sans excès. Nous sommes intarissables sur nos enfants, leurs joies, leurs peines. J’essaie de dire à Susie que, même séparé, je serai toujours là pour elle et les enfants.

Elle met de la musique. Je ne suis pas dupe que notre air fétiche arrive.



Bien sûr je me souviens. C’était la première fois que nous faisions l’amour. Pas le sexe, l’amour. Mais le temps a passé.

Comment lui résister et refuser un pas de danse ?

Comment ne pas apprécier son corps contre le mien ?



Déjà elle m’entraîne vers la chambre. Notre chambre. Celle d’avant. Ce n’est plus la Susie réservée que je connaissais, c’est une autre qui m’embrasse. Une autre qui me déshabille, tirant sur les boutons qui lui résistent. Je suis assis, nu sur le lit et elle évolue devant moi. J’ai droit à un strip-tease d’une perversité inhabituelle chez elle. Mais c’est beau, agréable, bandant. Et pour bander, je bande. Ses sous-vêtements sont des merveilles de délicatesse et de sensualité. Sa chatte est rasée, rose ; j’en devine presque l’humidité.

Je veux la caresser, l’attirer à moi, mais elle me repousse gentiment d’un sourire.



Je ne suis pas ivre au point de ne pas comprendre son manège pour me faire regretter mon divorce. C’est une sorte de bouquet final. Mais il y a "final" et je ne reviendrai plus en arrière. De toute façon, elle le sait. C’est juste pour finir en beauté.

Ma verge se retrouve entre ses lèvres. Elle me suce, me lèche, me branle, ne négligeant aucun endroit de ma raie au nombril. Et puis elle vient s’allonger sur moi. J’attends qu’elle se saisisse de ma queue raidie pour se l’enfiler, mais non. Juste une lente pression du bassin.



Je suis assez surpris. Jamais Susie ne m’avait demandé la moindre fantaisie sexuelle. Encore une façon pour elle de me faire regretter notre séparation. Pourquoi ne pas accepter ? De toute façon, j’imagine qu’elle n’a pas le matériel, et moi je n’en ai jamais eu.



Je me suis encore trompé. Susie sort un rouleau de Scotch pour déménagement de sa table de nuit. Elle avait dû préparer son coup, à moins qu’avec Paul, elle joue ce jeu.

En peu de temps un poignet est enveloppé, et en passant le rouleau sous le lit, le relie à l’autre. Me voici bras tendus et immobilisés. Elle veut faire de même avec mes chevilles, mais la peur idiote de me retrouver douloureusement épilé me fait refuser. Elle n’insiste pas.


Son sourire fait plaisir à voir. Elle vient s’asseoir sur ma poitrine, me dominant dans tous les sens du mot. Vraiment, il en faut peu pour la satisfaire. Moi je sais déjà ce que je vais lui faire subir lorsqu’elle sera à ma merci ; et moi, ce n’est pas ainsi que je vais l’attacher. Sur la table de la cuisine…


Mais ma cavalière rampe lentement vers mon visage. J’ai maintenant sa chatte juste sous les yeux, mélange de parties sombres et roses, de plis et de bosses, toute la complexité du sexe féminin. Maintenant je ne vois plus rien ; mais à quoi pourraient bien me servir mes yeux pour faire ce qu’elle me demande ?

Comme je le pensais, elle est déjà bien humide. Ma langue et mes lèvres retrouvent cette odeur que j’avais oubliée depuis le temps. Il est vrai que depuis ma demande de divorce, sa chambre et le reste me sont devenus étrangers.


C’est à mon tour de sucer et de lécher ce que ma cavalière veut bien m’offrir. Elle insiste sur son petit trou, merveille qu’elle m’a refusée pendant longtemps et que je n’ai jamais pu honorer avec plus qu’un doigt. Encore une façon de me procurer des regrets. Pour cela, elle se trompe : ma maîtresse m’a tout de suite accordé bien plus de faveurs que je n’en ai obtenues en 30 ans de mariage. Mais ce n’est pas seulement la faute de Suzie ; nous avions d’autres occupations. Quoi qu’on dise, les enfants bloquent la libido des parents.


Elle se frotte sans retenue, et par moments j’arrive à voir que, là-haut, tout là-haut, les seins sont caressés et maltraités par leur propriétaire. Moi, je voudrais bien y participer, mais le Scotch m’en empêche.

Son plaisir est évident. Ses mouvements deviennent plus brusques. Elle m’écrase, et j’ai bien du mal à reprendre ma respiration. Mourir étouffé par son ex-femme, voilà qui va défrayer la chronique…


Monsieur D., célèbre fiscaliste, a trouvé la mort, étouffé par sa femme alors qu’il lui faisait un cunnilingus trop appuyé.


Pas étouffé, mais noyé. Du vagin coule un flot de jouissance qui m’inonde.


Monsieur D., célèbre fiscaliste, a trouvé la mort alors qu’il faisait un cunnilingus trop appuyé à son ex-épouse. L’autopsie a montré que ses poumons contenaient une grande quantité de ce qu’il est convenu d’appeler "jouissance de femme fontaine". Une enquête est ouverte, et d’aucuns s’interrogent qu’après 30 ans de mariage le défunt ne se soit pas méfié de ce qui devait lui être familier.


Ouf ! Elle me libère. L’air retrouve le chemin de mes poumons.

Mais je n’ai pas encore repris mon souffle que Suzie vient s’emmancher sur ma queue. Inutile de dire que je suis d’une dureté minérale et que son conduit est si lubrifié que je sens à peine le cheminement. Elle se penche et me regarde dans les yeux pendant que son bassin s’active sur moi. Oh, j’ai honte de ne pas pouvoir tenir plus longtemps, mais ma jouissance arrive. J’ai juste la pensée qu’après, que lorsque c’est elle qui sera à ma merci, moi je pourrai tenir si longtemps qu’elle en gardera le souvenir pour toujours.

Elle a la délicatesse d’attendre que mes couilles se vident et que mon bâton ramollisse un peu avant de m’abandonner et venir s’allonger à mes côtés.


Chacun reprend ses esprits tranquillement. Je me dois de la féliciter et la remercier. Pour ne pas gâcher l’instant par une parole mal contrôlée ou mal interprétée, je me contente d’un « merci ».

J’attends qu’elle me détache, mais de toute façon il me faut reprendre des forces, aussi je ne dis rien. C’est elle qui, malheureusement, brise l’ambiance :



Plouf. Retour sur terre.



Jusqu’à maintenant, Susie était allongée à côté de moi, mais elle se relève et je peux voir sur son visage la colère que mes doutes déclenchent.



La conversation est surréaliste. Normalement, les couples qui s’engueulent pour des histoires de sexe font plutôt des échanges du genre « Non, ce n’était pas moi. Je ne te trompe pas. » ou bien « Juste une fois, une erreur ; pardonne-moi. » Ici, c’est le contraire. Je ne crois pas Susie. Je ne la crois pas pour les histoires de partouze qu’elle revendique. Je n’ai pas besoin de lui rappeler mes doutes, elle les lit sur mon visage.



Étrangement, elle utilise la télécommande de la télé fixée au mur pour lancer la lecture. Quelques secondes pour que l’écran s’allume, quelques autres pour que le fichier soit reconnu et une image apparaît. Pendant ce temps, Susie s’est recouchée à mon côté.


Une pièce, une grande pièce très lumineuse qui donne manifestement sur une terrasse avec une piscine. Le soleil et les reflets sont si forts que par moment la caméra doit être saturée, passant du noir au blanc en une fraction de seconde.



Alors que la caméra filme vers l’extérieur, on peut voir des ombres entrer dans la pièce. Je ne peux m’empêcher de compter : un, deux… quatre. Oui, quatre ombres.



Le rideau tiré, tout devient plus stable et normalement contrasté. La pièce est en réalité une sorte de jardin d’hiver, véranda équipée de fauteuils, d’un bar, de tables. Enfin tout ce qu’il faut pour pouvoir être confortablement installé les jours de pluie ou lorsqu’il fait trop froid dehors.

Les quatre ombres sont maintenant des silhouettes normales qui se sont confortablement assises. Tous les quatre sont en maillot de bain. Plus exactement, les deux femmes sont seins nus. Manifestement, les deux couples viennent de se baigner. Mais le plus étrange, c’est qu’ils portent des masques. Des masques qui cachent le haut du visage, n’empêchant manifestement pas de boire car ils ont un verre à la main.



Sarcastique, Susie répond :



La caméra tourne pour filmer l’arrivée de deux personnes. Susie que je reconnais, même si elle porte un bandeau sur les yeux, et une autre femme qui porte un simple masque comme les autres.



La suite n’a pas besoin de commentaires. Les images parlent d’elles-mêmes. Un film X, mais avec des acteurs que je connais personnellement.


D’abord Susie qui se retrouve entourées par ses amis. Elle reste immobile au centre d’un cercle qui s’active. Hommes et femmes se relaient pour d’abord la déshabiller, s’arrêtant à chaque étape afin que le caméraman puisse en tirer des plans larges ou rapprochés. Je retrouve les dentelles affriolantes que je viens de voir sur Susie, mais qui vont à terre, la laissant nue et aveuglée. Et puis c’est une succession de caresses plus ou moins appuyées, plus ou moins indiscrètes, sans oublier quelques claques sur les fesses qu’elle accepte sans protester. C’est d’ailleurs en montrant le rosé de la chair que je découvre par le zoom du caméraman que quelque chose occupe l’anus de Susie. Paul se fait un plaisir de montrer la brillance du métal, le bleuté d’une sorte de pierre qui semble obstruer le passage.


Ils font coucher Susie sur une table. Elle gît allongée sur le ventre, la tête et les jambes dans le vide. Quelqu’un glisse même un coussin sous elle pour accentuer la courbure des fesses. L’objectif glisse sur son corps et se dirige vers la nuque.


Quelques plans mal cadrés avec une image qui saute. Je comprends les raisons en voyant la main du caméraman qui fait glisser son slip pour en extraire son sexe. La verge est dirigée vers le visage aveuglé. Au contact du gland, les lèvres s’entrouvrent et la verge entre.

Images maintes fois vues dans des films X, mais ô combien troublantes lorsque c’est la queue de son ami qui gonfle sous les caresses au point d’étouffer la gorge de celle qui a été ma femme. Quelques secondes, et la verge s’est transformée en mandrin luisant, si long que maintenant la gorge ne peut en accepter qu’une fraction. Mais les lèvres et la langue jouent avec la bite offerte.


Et puis il se déplace, faisant le tour pour venir entre les cuisses. La chatte brille d’humidité, rivalisant avec le disque métallique qui conserve la raie entrouverte. Susie ne simule pas sa participation. Elle gémit lorsque la queue rampe dans sa grotte pour venir se mesurer au gode que l’on imagine dans ses reins. Paul s’active, mais pour être libre de ses mouvements une main secourable vient lui prendre la caméra.


Commence la danse si souvent vécue ou visionnée dans des films. Susie ne cache pas son enthousiasme. Cris et gémissements se joignent aux souffles de son baiseur. Si elle simule, c’est devenu une bonne actrice porno. La caméra prend du recul pour un plan large. Un corps étendu, un homme qui baise et bourre la femme couchée, mais aussi un autre qui s’avance tenant dans sa main une queue déjà bien en forme.

Le dernier gémissement se termine par un borborygme lorsque la queue envahit la bouche.

Maintenant les deux hommes s’activent.


Si Susie voulait me surprendre, c’est fait. Jamais je ne l’aurais crue capable de telles parties, même pour se venger. Comme quoi on ne connaît jamais vraiment.


La caméra revient vers le baiseur. La queue est ressortie de sa cachette. Ils ont certainement dû répéter la scène car la synchronisation semble parfaite. Parfaite, mais ô combien troublante. Deux doigts se saisissent de l’anneau de métal et cherchent à le tirer. L’anus s’élargit sous l’effort, s’adaptant au cône grandissant puis diminuant. Mais le sphincter reste ouvert, obscène, œil sans paupière. La bite va remplacer l’objet de métal, forçant sans gros effort le passage déjà bien assoupli.


Que dire des quelques minutes qui suivent, si ce n’est que Susie se fait enculer bien profond sans qu’elle semble s’en plaindre ? Il est évident que ce n’est pas sa première fois, ni la suivante, mais le résultat d’un long apprentissage pour évoluer si facilement dans cette débauche.

Son enculeur balance sa purée au plus profond de ses reins. Lorsqu’il se retire, des coulures marquent la générosité du don. Quant à celui qui se fait sucer, la caméra ne quitte pas le visage et les lèvres de Susie jusqu’à ce que lui aussi se libère. Là aussi, les coulures apportent la perversité finale.


La vidéo s’arrête. Avant que Susie ne se glorifie de ses exploits, je la cloue par un :



Comment lui expliquer que si je l’ai quittée, ce n’est pas seulement pour une raison de sexe ? Non. Mais je ne peux décemment pas lui dire que je suis tombé follement amoureux d’Aurélie dès que je l’ai vue. Certains diront que c’est le démon de midi ou de la quarantaine, mais en tout cas j’ai retrouvé avec elle une partie de ma jeunesse. Bien sûr, le sexe en fait partie, mais avec cet attrait de nouveauté et de fraîcheur que toutes les orgies ne donneront jamais.


Je suis pourtant heureux que Susie trouve une "nouvelle occupation et un dérivatif" dans ces orgies. La femme que j’ai vue ne semblait pas se forcer pour ce film. Les cris et jouissances que j’ai reconnus sont pour moi l’espoir qu’elle aussi va revivre. Peut-être qu’elle aussi trouvera un partenaire de cœur pour l’avenir.

Je suis tout de même étonné du peu de réaction lorsque j’ai vu ma femme – mon ex-femme – se faire baiser et plus encore devant mes yeux. C’est bien la preuve que j’ai vraiment tourné la page et que ma vie s’articule maintenant avant et après ma rencontre avec Aurélie.


Mais une chose m’étonne. Pas grand-chose. Juste un détail.



Susie s’est énervée toute seule. Je cherche désespérément dans ma mémoire…



Non, c’est trop bête ! Impossible que ce soit… Et pourtant… Deux bébés….Un landau ridicule à deux places…



Sa voix n’est qu’un murmure. Le sang a quitté son visage. Déjà une larme coule lentement.