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n° 16742Fiche technique10041 caractères10041
Temps de lecture estimé : 7 mn
04/04/15
Résumé:  Un homme, une femme, des retrouvailles...
Critères:  fh campagne fellation pénétratio tutu
Auteur : Sœur Sourire  (Soeur sourire)      
La prochaine fois...

C’était un des premiers beaux jours de l’hiver. Trop occupés dans nos vies respectives, nous ne nous étions plus vus depuis plusieurs semaines.

Nous avions décidé de nous offrir une escapade d’une nuit dans un chalet au milieu de nulle part. Des champs et des forêts à perte de vue, sur lesquels brillait un doux soleil. On était au milieu de l’après-midi et je venais d’arriver, t’attendant impatiemment. L’idée de passer plusieurs heures d’affilée à tes côtés, hors du temps et de toute civilisation, m’émoustillait et m’excitait. L’idée de ta langue fouillant ma bouche me donnait envie et j’avais hâte que tu arrives.

Quelques minutes plus tard, tu étais là et nous nous embrassions goulûment, à en perdre haleine, un peu comme si nos vies dépendaient de ce baiser.


Après plusieurs minutes, nous entrons découvrir le lieu qui va accueillir nos ébats pour la nuit à suivre.

Un petit hall donnant sur une kitchenette, dans laquelle tu te précipites pour mettre des bouteilles et un plat au frais. Après la cuisine, se trouve une vaste pièce composée d’un coin d’eau, avec douche et jacuzzi, et d’un immense lit rempli de coussins. Au fond de la pièce, une porte-fenêtre donne sur un petit balcon avec vue sur des prairies verdoyantes.


Le regard perdu dans le vide, je te sens dans mon dos, ton souffle sur mon cou et je frissonne. Tes lèvres sur mon cou me font frémir. Tu passes tes mains autour de ma taille et me serres dans tes bras avant de me retourner pour un baiser passionné. Mes mains parcourent ton torse par-dessus ton pull et notre bouche-à-bouche augmente encore en intensité. Je me frotte à toi et je sens ton sexe gonflé sous ton pantalon.

Ma main se dirige naturellement vers l’objet de tous mes désirs mais tu m’en empêches en t’éloignant avec un petit sourire.

Tu me proposes plutôt de profiter de cette fin d’après-midi pour aller nous promener. Connaissant ton côté têtu, j’accepte, sachant que tu ne me laisseras pas te toucher si tu ne l’as pas décidé.


Nous partons donc main dans la main, en nous racontant nos vies depuis ces derniers temps. Régulièrement, je sens monter en moi l’envie et je me colle alors à toi… Notre promenade est souvent interrompue par des baisers passionnés et des mains de plus en plus baladeuses.

En rentrant, tu n’as pas le temps de fermer la porte que je t’emmène dans la chambre et commence à me déshabiller. Veste, pull, pantalon, je reste en sous-vêtements tout en te poussant sur le lit. Tu te laisses faire avec un sourire, sachant ce qui t’attend. Tu m’aides à te déshabiller et je t’embrasse en te caressant le torse. Je laisse alors glisser mes mains jusqu’à ton sexe. Déjà au garde-à-vous, je n’ai aucun mal à faire des allées et venues avec ma main tout en rapprochant mes lèvres de l’objet de toutes mes convoitises. Je commence à te lécher le gland alors que tu soupires déjà d’aise. J’embouche ton membre entièrement et te prodigue une pipe d’enfer, alternant va-et-vient sur toute la longueur et succion du gland. Tu me regardes faire en soupirant.


Après plusieurs minutes de ce traitement, je sens ton corps se tendre et je m’active alors encore plus sur ton membre, te branlant d’une main, te soupesant les bourses de l’autre et te suçant le gland de plus en plus vite. Je te vois essayer de te retenir au maximum mais la jouissance est trop forte et tu te lâches dans un râle. Je relâche la pression sur ton gland et entreprends de nettoyer ton sexe avec ma langue.

Une fois ta respiration calmée, je viens me lover dans tes bras pour savourer ce moment de tranquillité.


Quelques minutes plus tard, tu suggères que nous profitions du jacuzzi en buvant quelques bulles. Je te laisse t’occuper de tout et finis de me déshabiller avant de me plonger dans le bain à remous où tu me rejoins, nos deux flûtes à la main.

Nous trinquons à nos retrouvailles, et scellons nos lèvres dans un baiser endiablé. Tu déposes nos verres sur le bord de la baignoire pour que nous profitions au maximum de ce bain relaxant. Tu commences alors à passer tes mains sur mon ventre, en remontant sur ma poitrine. Je me tends pour profiter de tes caresses et tu viens sur moi pour pouvoir embrasser et jouer avec mes seins. Très vite, mes tétons se durcissent et je gémis de plaisir sous tes coups de langue. Une de tes mains quitte ma poitrine pour se diriger vers mon triangle d’or, glabre, comme tu l’aimes.


Tes doigts titillent mon petit bouton et je gémis de plus belle. Tu en profites pour me faire taire en me donnant les doigts de ton autre main à sucer. Ton sexe durci à nouveau sort fièrement de l’eau. Je le caresse distraitement tout en profitant de tes mains et de ta bouche posées partout sur mon corps. Ta main sur mon clitoris s’active d’un coup et tu fais pénétrer deux, trois doigts dans mon intimité détrempée. J’adore ça et tu le sais et en joues. Durant plusieurs minutes, tu passes de mon clitoris à mon sexe, faisant vibrer le premier et pénétrant profondément le second, en me faisant taire chaque fois que je veux gémir soit en m’embrassant, soit en me donnant tes doigts à sucer et lécher.


Voulant en profiter plus, tu me fais sortir du jacuzzi et étendre sur le lit qui a accueilli ta jouissance auparavant. Couchée sur le dos, tu m’écartes les cuisses et plonges ta langue à l’intérieur. Je pousse un cri et me mords les lèvres pendant que tu t’actives. Une de tes mains remonte me caresser un sein pendant que de l’autre, tu introduis deux doigts en moi, ce qui m’arrache un nouveau cri de jouissance.

Le ballet de tes doigts et de ta langue sur mon sexe, avec mes envies contenues depuis longtemps, ont raison de moi en quelques instants et je gémis de plaisir en laissant échapper un râle. Tout mon corps se tend d’un coup avant de retomber inerte sur le lit.


Tu continues, très lentement, à jouer avec ta langue sur mon sexe avant de venir m’embrasser à pleine bouche. Tu te couches près de moi en m’effleurant un sein et en me regardant, un grand sourire aux lèvres. « Un partout » me dis-tu, avant de m’embrasser de nouveau. « Nous devrons nous départager, te réponds-je, mais d’abord, mangeons un peu. Tout cet exercice m’ouvre l’appétit. »


Nous passons donc en cuisine pour déballer toutes les bonnes petites choses que tu t’étais empressé de mettre au frigo en arrivant. Nous dégustons et savourons verrines et canapés, allongés, nus, enlacés sur le lit. Nous refaisons le monde en pensant déjà à nos prochaines rencontres. Une escapade à Paris, ou peut-être à la mer…


Tout en discutant et en buvant, nos corps se rapprochent à nouveau et d’un coup je m’allonge sur toi. D’instinct, nos cuisses s’écartent et tu me pénètres d’une seule poussée. Tu m’arraches un soupir de plaisir et tu gémis avec moi avant que nos corps ne s’accordent et que tu me prennes de plus en plus profondément. Mes soupirs se transforment en gémissements, puis en cris, tellement c’est bon.


Je te sens de plus en plus à chaque coup de reins et mon clitoris qui frotte contre ton pubis augmente encore mon plaisir. Tu t’en donnes à cœur joie et souris de me voir perdre mon souffle. Tu arrêtes tout mouvement brusquement et fais mine de vouloir bouger. Je me retire et tu en profites pour me retourner et me mettre à quatre pattes. Tu sais vraiment ce que j’aime… Tu reviens me pénétrer tout en douceur, pendant que de mes doigts, je vais me caresser le clitoris. Tu prends ton temps pour entrer à fond et ressortir complètement ton sexe, tu me fais languir. Je suis impatiente de te sentir en moi et de te sentir vibrer. Bien vite tu reprends un rythme plus soutenu et mes doigts dansent sur mon sexe. La jouissance est proche et tu te cramponnes à mes hanches pour y aller encore plus vite, encore plus loin. Je halète, je gémis et j’explose enfin, t’inondant de mon jus. Tu continues de plus belle, en gémissant aussi, de plus en plus vite. Jusqu’à t’écrouler sur moi en jouissant. Nous restons comme cela quelques minutes, haletant, reprenant nos esprits.


Nous nous recouchons ensuite, sirotant nos verres, heureux et repus. Nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre, mais la nuit est agitée. Le sommeil me fuit et je me retourne sans cesse. Je te regarde dormir et je finis par m’endormir en chien de fusil, dos à toi, au petit matin.

Je sens peu après que tu te mets à bouger, et tu viens te coller à moi en passant ton bras autour de ma taille. Nous nous rendormons bien vite dans cette position.


Quelques heures plus tard, le soleil semble déjà éclairer toute la chambre et je sens, dans un demi-sommeil bien agréable, que tu commences aussi à quitter Morphée. Je sens surtout ton sexe qui s’insinue entre mes fesses et j’écarte doucement les jambes pour te laisser passer plus facilement. Toujours endormie mais excitée, tu me pénètres sans difficulté tant je suis déjà mouillée. Tu vas et viens plusieurs minutes dans cette position, tout en me caressant un sein, le temps que je sois complètement réveillée. Je me retourne alors pour t’embrasser à pleine bouche. Tu me repousses sur le dos et viens en moi, sur moi. Nous bougeons lentement en profitant de chaque instant et de chaque position, je veux te sentir profondément en moi. Nos langues ne cessent leur ballet. Les mouvements se délient et deviennent plus importants, plus rapides. Je jouis dans un souffle et tu me suis peu après, dans un râle libérateur. Tu t’écroules sur le côté et viens te blottir dans mes bras. Nous repartons dans un petit somme bien mérité, avant de nous doucher et nous quitter… jusqu’à la prochaine fois…