n° 16748 | Fiche technique | 11066 caractères | 11066Temps de lecture estimé : 7 mn | 07/04/15 |
Résumé: Une soirée en boîte qui dérape en compagnie de ma meilleure amie et d'une invitée-surprise. | ||||
Critères: ffh copains boitenuit toilettes miroir fellation pénétratio -totalsexe | ||||
Auteur : Hank Moody Envoi mini-message |
Il n’y a rien à faire, je craque complètement pour elle. Elle a une façon de me sourire, avec ses magnifiques yeux bleu intense, qui me fait me sentir unique. Pourtant là ce jour-là rien n’était destiné à un rapprochement.
Nous sommes tout un groupe d’amis, environ une quinzaine, partis faire la fête un samedi soir en boite. Je suis célibataire à cette époque. Une fois de plus Stéphanie est resplendissante. Une petite robe noire ceinturée qui remonte au-dessus du genou et qui moule parfaitement sa jolie poitrine. Je ne peux m’empêcher de la regarder. Elle a bien entendu remarqué mes regards appuyés et en joue en me regardant intensément dans les yeux avec un petit sourire complice.
Je suis en grande discussion avec Pamela, la fille libérée de la bande. Pas super canon mais pas coincée du tout. Grande, très fine, pas de seins, petit cul et très coquine. Une fois de plus ma discussion avec Pamela tourne autour du cul. Elle me dit être frustrée sexuellement avec son homme et avoir envie de baiser tous les jours. Elle se demande si c’est normal d’être aussi chaude. En disant cela elle s’approche de moi et glisse sa main sur mon torse. C’est de façon inconsciente et quasi naturelle que ma main vient se poser sous sa jupe, directement sur sa fesse. Elle sourit, me dit que ce n’est pas bien mais ne fait rien pour enlever ma main qui palpe pleinement le galbe de son petit cul bien sexy. Je suis sur le point de glisser discrètement un doigt sous l’élastique de son shorty lorsque du coin de l’œil j’aperçois Stéphanie qui, d’une démarche chaloupée, descend les escaliers qui mènent aux toilettes en me faisant un large sourire et un clin d’œil.
Ma main a quitté le cul de Pamela et c’est sans même lui jeter un regard et presque mécaniquement que je me dirige vers les toilettes de la boite de nuit. Je jette un regard rapide dans les toilettes des filles. À part une blonde siliconée qui se remaquille, je ne vois pas de trace de ma belle Stéphanie. J’attends un peu devant les toilettes, faisant mine de regarder mon téléphone. J’entends le loquet de la porte se déverrouiller et je vois Stéphanie sortir radieuse.
Elle m’a vu et pendant qu’elle se lave les mains elle m’apostrophe :
Alors que je m’approche lentement d’elle, je lui dis :
Je suis maintenant derrière elle. Son reflet dans le miroir me sourit. J’approche ma bouche de son cou pour sentir son odeur enivrante et y déposer un tendre baiser. Je remarque un frisson parcourir son corps. Son regard a changé. Elle se retourne pour me faire face et s’avance un peu pour faire mine de quitter les toilettes. J’enlace sa taille d’une main, la pousse contre l’évier, pose ma main dans sa nuque, la regarde droit dans les yeux et pose cette fois-ci un baiser sur ses lèvres. Elle ne dit rien et me sourit. Je prends ce sourire pour un accord de sa part à poursuivre mon rapprochement et je l’embrasse à nouveau. Cette fois mon baiser se fait plus appuyé et ma langue force doucement l’entrée de sa bouche. Elle réagit instinctivement et le contact de sa langue sur la mienne déclenche en nous un véritable choc électrique.
Le ballet de nos langues est frénétique. Mes mains parcourent son corps de façon désordonnée. D’une main je soupèse sa poitrine qui me fait tant envie tandis que de l’autre j’empoigne ses fesses. Je glisse ma main sous l’élastique de sa culotte et mes doigts viennent trouver sa fente qui est déjà complètement trempée. Je lui titille le clitoris. Sa bouche quitte la mienne dans un soupir. Elle dépose son visage dans mon cou pour se laisser aller à cette caresse qui la transporte.
J’accélère doucement le rythme de mes doigts sur son clitoris et fais pénétrer mon majeur au fond de sa fente humide. Elle pousse un petit cri de plaisir et me regarde droit dans les yeux. Je la pénètre à un rythme régulier avec un petit sourire satisfait. Elle ne reste pas inactive et déboutonne mes jeans. Elle arrive rapidement à ses fins et extirpe ma queue, dure comme du roc.
Elle m’enserre le manche et commence à me branler en adoptant le même rythme que mes doigts au fond de sa chatte. On ne parle pas. Je la retourne face au miroir et relève sa robe. D’un coup sec j’arrache sa culotte et présente mon gland contre sa vulve humide. Elle pousse légèrement les fesses en arrière en se cambrant et ma queue vient se ficher d’un trait tout au fond de sa chatte. Je reste un moment au fond sans bouger. Ma belle semble apprécier le moment. J’entame des va-et-vient qui se veulent lents mais très profonds.
J’aperçois son regard dans le miroir. Elle se mordille les lèvres pour retenir ses cris de plaisir. Je lui empoigne un sein que j’arrive à faire sortir de sa robe. Je lui pince le téton entre mes doigts. Mes couilles viennent claquer contre son cul et je commence à la pistonner plus rapidement en agrippant ses hanches. Ses gémissements de plaisir sont remplacés par des cris. Elle se pétrit les seins en se pinçant les tétons quand d’un coup je la sens se cambrer et jouir brutalement.
Du coin de l’œil j’aperçois un mouvement. Je suis surpris de découvrir Pamela occupée à nous regarder. Je m’arrête une fraction de seconde surpris et me demande comment agir. Pamela a vu que je la regardais. Je constate, excité, que Pamela a glissé une main entre ses cuisses et se caresse doucement devant le spectacle qu’on lui offre. Stéphanie n’a rien remarqué. Elle en redemande et pousse à nouveau son magnifique cul de plus en plus fort contre ma queue.
Je continue à prendre sauvagement Stéphanie en regardant Pamela droit dans les yeux. Cette situation m’excite au plus haut point. Je tente le tout pour le tout au risque de briser le charme et fais signe à Pamela de s’approcher. Elle avance lentement tout en me fixant droit dans les yeux. Elle me contourne, glisse sa main contre mon torse et vient m’embrasser passionnément.
Stéphanie a vu le reflet de Pamela dans le miroir mais son degré d’excitation est tel qu’elle continue à gémir sous mes assauts. J’ai ralenti le rythme et en profite pour relever la robe de Pamela. Elle comprend où je veux en venir et se débarrasse rapidement de sa culotte. Mes doigts rencontrent sa petite chatte luisante de mouille. Stéphanie n’en perd pas une miette et semble excitée par la situation. Elle a d’ailleurs glissé une main entre ses cuisses pour également caresser son minou.
Pamela écarte encore un peu plus les cuisses pour permettre à mes doigts de la fouiller en profondeur. Elle embrasse Stéphanie dans le cou et termine de dégager ses seins de sa robe. Elle les caresse doucement, les soupèse et joue avec ses tétons. Stéphanie est excitée comme une folle et attrape la tête de Pamela pour lui administrer un baiser chargé d’un érotisme torride. Je suis abasourdi par cette situation qui dépasse le plus fou de mes fantasmes. Je sens la main de Stéphanie descendre le long du ventre de Pamela pour venir à la rencontre de la mienne. Je me retire pour lui laisser la place. Les doigts de Stéphanie virevoltent sur le minou de Pamela qui est aux anges, en témoignent ses cris de plaisir.
D’autorité, Stéphanie place Pamela sur le lavabo des toilettes, jambes écartées. Elle est toujours penchée en avant avec ma queue figée au fond d’elle et vient déposer sa bouche sur la chatte ruisselante de Pamela. Je ralentis le mouvement pour lui laisser la possibilité de s’exprimer pleinement. Visiblement elle sait y faire, car il ne faut que quelques coups de langue pour que Pamela parte dans un orgasme dévastateur.
Stéphanie ne perd pas une seconde, se libère de ma queue qu’elle attrape d’une main ferme pour la positionner contre la chatte de Pamela. Le message est clair et explicite et je m’enfonce d’un trait. Pamela, les yeux encore fermés et profitant de son orgasme, ne m’a pas vu venir et pousse un cri de surprise en sentant ma queue la remplir profondément. Je la baise lentement en observant mes deux complices du jour. Stéphanie me sourit et vient m’embrasser avec douceur et complicité. Ses douces mains se baladent sur mon torse, mes fesses et mes couilles. Je suis aux anges et je sens lentement le plaisir monter le long de ma queue.
Je me retire, redresse Pamela et attire ces deux femmes extraordinaires contre moi. Ma bouche passe de Stéphanie à Pamela ou observe les deux filles qui s’embrassent goulument. Ce petit moment de répit n’a pas entamé la vigueur de mon manche qui réagit au quart de tour quand je sens une main venir flatter le bout de mon gland. Les deux filles se font un clin d’œil et, en me regardant droit dans les yeux d’une manière extrêmement coquine et gourmande, descendent lentement le long de mon corps pour se positionner à genoux devant mon membre.
Stéphanie me masturbe doucement et approche mon sexe de la bouche de Pamela qui le lèche, aspire mon gland avant de l’enfourner au fond de sa gorge. Stéphanie n’est pas en reste et sa main qui malaxe délicatement mes bourses est rapidement remplacée par sa langue. Je suis en plein rêve et perds complètement la notion des choses. Ma queue passe d’une bouche à une autre. Des langues virevoltent dans tous les sens en me procurant des sensations inouïes.
Pamela attrape mon sexe qu’elle branle vigoureusement en direction de Stéphanie. Je sens le point de non-retour atteint et j’envoie trois grosses giclées de sperme sur les magnifiques seins de Stéphanie. Pamela reprend ma queue en bouche pour nettoyer les dernières gouttes de sperme et embrasse Stéphanie pour mélanger mes sécrétions.
Nous nous rhabillons en vitesse, groggy par cette expérience d’une force et d’une intensité exceptionnelle. Nous remontons comme si de rien n’était l’escalier des toilettes avec un regard complice.
Quelle soirée !