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Temps de lecture estimé : 12 mn
08/04/15
Résumé:  Un resto avec des collègues de bureau. Je drague la jolie petite serveuse, qui apprécie. J'apprends que ma chérie me trompe ; je pars avec la serveuse et... sa belle queue qui me donnera beaucoup de plaisir.
Critères:  hbi trans intermast fellation anulingus 69 hdanus hsodo confession -totalsexe -inithh
Auteur : Marc75      
La petite serveuse du restaurant brésilien

Si je devais me décrire, je dirais que j’ai toujours eu beaucoup de chance avec les filles ; je suis plutôt beau gosse, bien foutu et jusqu’il y a deux ans, je collectionnais les jolis canons au corps de rêve avec qui je restais quelque jours pour un échange standard. Puis un jour j’ai rencontré ma chérie qui m’a dompté avec pour tout argument un corps de rêve et une sexualité riche en surprises ; tout était génial jusqu’à six mois de ça, puis elle a changé de boulot et nos relations sexuelles se sont écartées très fort, sous prétexte qu’elle devait être au top pour le lendemain. Un peu après, elle me parlait de plus en plus de son boss, et m’étant un peu renseigné, j’avais su par le copain de sa collègue que je connaissais un peu que c’était un mec de 45 ans qui essayait un peu toutes les nouvelles puis les larguait après l’emploi. Je me disais que ma chérie le comprendrait assez vite et qu’elle reviendrait les pieds sur terre.


Un week-end, j’avais dû contre mon gré participer à une formation à Bruxelles avec quelques collègues que je n’apprécie guère, et ma chérie devait aller à un congrès avec sa collègue à Deauville, comme quelquefois l’année. Je ne sais pour quelle raison je sentais mal ce week-end.


Le samedi soir, nous sommes allés manger avec mes fameux collègues dans un resto brésilien ; il y avait une serveuse canon avec de longues jambes surmontées d’un petit cul d’enfer, garnie d’une super belle paire de petits seins tout durs, et une frimousse d’ange aux longs cheveux châtains flammés. Whouaw, quel canon ! Les collègues n’en pouvaient plus et pariaient sur leur chance de la sortir le soir. Ils étaient tous plus lourds les uns que les autres, puis j’ai croisé un regard insistant de la fille et je me suis dit que j’allais leur montrer que j’étais encore capable de séduire un si beau canon ; et en effet, quelques minutes après, j’allai discuter avec la jolie Debbie et lui proposai une sortie en lui filant mon numéro de portable qu’elle accepta en me disant qu’elle allait réfléchir.


J’avais réussi à casser mes enfoirés de collègues, même si je ne comptais de toute façon pas sortir le soir. En fin de repas, je quittai l’assemblée après un doux regard à la serveuse, prétextant que j’allais me rafraîchir à l’hôtel avant de sortir, tout en sachant bien que j’allais téléphoner à ma chérie avant de m’endormir.


Arrivé à l’hôtel, je tentai en vain de joindre ma chérie, sans résultat. J’essayai donc de joindre le copain de sa collègue pour avoir le numéro de la collègue en question ; il me répondit et me dit tout naturellement que la collègue de ma chérie était à côté de lui et non à Deauville ! Celle-ci m’apprit alors que ma chérie était bien partie à Deauville, mais avec son boss ! J’étais scotché et fou de rage, et pas moyen de la contacter.


Je buvais quelques verres d’alcool du mini-bar pour me calmer quand mon portable sonna. Impatient, je répondis en pensant que c’était mon ex-chérie ; eh non, c’était la jolie serveuse qui acceptait mon offre de sortie. Toujours fou de rage et un peu pété, j’acceptai de la sortir en me promettant de tout faire pour me la taper. Elle me donna rendez-vous à l’entrée d’une boîte disco à Bruxelles, Le Mirano. Je repris un verre pour ne pas changer d’avis, puis un taxi m’emmena là-bas où je retrouvai cette jolie Debbie plus sexy que jamais, plus belle que dans ma mémoire.


On entra dans la boîte et on a passé un moment génial, moi un peu pété et elle plus attirante que toute les autres réunies. Je lui donnai des petits bisous dans le cou, puis je l’ai embrassée, embrassée à n’en plus finir dans un coin de la boîte. Je la sentais excitée aussi ; elle m’a proposé d’aller ailleurs. Ailleurs, c’était chez elle, à quelques rues de là. Sur le chemin elle me tenait des propos que je pensai bizarres vu mon état, en me demandant si j’aimais les hommes, si j’avais déjà couché avec un homme, ce qui n’était pas le cas. Puis elle me dit :



Là, je lui répondis :



Elle sourit et m’embrassa.


Arrivés à son immeuble, dans l’ascenseur je lui pelotai les seins en l’embrassant ; elle caressait mon chibre bandant à travers mon jean. On arriva chez elle, et elle m’emmena direct dans sa chambre où, entre des baisers langoureux, elle me déshabilla. D’un coup elle s’arrêta ; il n’y avait plus que mon slip pour me protéger encore de la nudité. Elle s’est relevée, a mis un fond de musique douce, m’a servi un whisky sec, a allumé quelques bougies et s’est enfuie dans la salle de bain pendant quelques minutes. J’ai entendu la douche couler, et j’imaginais son si beau corps nu, ses beaux petits seins durs, ses petites fesses que j’avais très envie de manger ; il faut dire qu’il y avait au moins quatre à cinq mois que ma chérie n’avait plus envie, et donc quatre à cinq mois d’abstinence. Là, j’étais au top de l’excitation.


Elle réapparut après quelques minutes dans une tenue de lingerie avec bas noirs, slip brésilien noir, petit singlet en filet noir qui laissait clairement voir sa magnifique paire de seins qui se tenaient magnifiquement bien. Je croyais que j’allais jouir sur place tant j’étais excité. Elle s’est assise à côté de moi et elle m’a embrassé de plus belle ; ma main a commencé à se balader sur ses seins alors que nos deux langues s’aspiraient l’une l’autre. J’ai alors senti sa main glisser dans mon slip et saisir mon chibre on ne pouvait plus dur ; ma bouche s’est alors séparée de la sienne pour venir englober ses seins, un vrai délice. Elle a alors commencé à me parler un peu crûment ; j’adorais. Elle me dit :



Et de continuer :



C’était un peu bizarre, venant d’une vraie poupée mais très excitant.

À ces mots, elle fit glisser mon slip, se glissa entre mes jambes et vint aspirer mon chibre dans un long grognement de satisfaction. Elle me suçait du bout du gland jusqu’à sa base, me massant les couilles pendant de longues minutes ; quel bonheur ! Elle continua à me caresser et vint m’embrasser et me dit :



Et elle me glissa un doigt en bouche, et je voyais que plus je mimais une pipe, plus elle était excitée et plus moi je m’excitais en l’écoutant me décrire la sensation d’une bite dans la bouche. Et quand elle m’a demandé si ça me plaisait de sucer une bonne bite, très excité et sincère je répondis que oui, j’en voulais une. Elle m’a embrassé, a doucement fait glisser son slip ; et là, comme par magie, entre ses jambes pas de sexe féminin mais un sexe d’homme. Non pas un sexe poilu mal entretenu comme j’en avais déjà vus dans les douches au sport et qui ne m’attiraient pas du tout, mais une belle bite toute lisse, brillante, avec deux belles couilles toute lisses aussi.


Pas de doute : ce n’était pas un mec, mais une putain de jolie fille avec une putain de jolie bite. Je ne sais pas si c’était la peur ou l’excitation qui me faisait trembler de tout mon corps, ou si l’excitation, l’envie de braver l’interdit, j’en avais des frissons partout. Elle s’approcha de moi alors que j’étais immobile, subjugué, et m’embrassa à nouveau. J’avais l’impression de la redécouvrir, mais elle me plaisait toujours autant, et même plus : elle me provoquait une excitation comme jamais je n’avais ressenti.


On s’embrassait à pleines langues comme des amoureux qui se retrouvent après une longue absence ; je sentais son sexe durcir contre mon ventre, et ça m’excitait encore plus. Elle me glissa alors à l’oreille :



Ce fut pour moi le feu vert : je lui souris et descendis avec ma bouche sur ses seins puis le ventre pour me retrouver face à son magnifique gland que je léchai du bout de la langue, puis je l’enfouis au fond de ma bouche. Elle était si douce et avait un si bon goût… Je commençai à la sucer et j’aimais vraiment cette colonne de chair chaude qui grossissait dans ma bouche. Elle grossissait tellement que je ne pouvais plus l’enfouir complétement dans ma bouche mais j’aimais – ou plutôt j’adorais – ce que je lui faisais. J’adorais faire glisser ma langue de la base de ses couilles que j’aspirais l’une après l’autre, je remontais sur sa queue toute dure et je léchais le bout de son gland avant de l’aspirer jusque dans ma gorge ou je manquais d’étouffer. Parfois ma langue glissait sur sa raie des fesses et forçait, ou elle s’insinuait, forçant l’entrée de son petit trou et j’y poussais à fond ma langue.


Je crois qu’inconsciemment je lui faisais tout ce que j’aimais qu’on me fasse. De ma main je remontai vers ses seins pour me rassurer que c’était bien une fille, et je la suçai de plus belle. Un moment, je glissai mon doigt sur sa raie et je l’entendis gémir de plus belle. Dans un râle, elle me demanda de pousser mon doigt en elle, ce que je fis aussitôt. Son bassin commença à bouger dans tous les sens ; j’en avais presque du mal à garder sa bite dans ma bouche mais ça m’excitait de plus en plus, sentir son bassin faire un mouvement de vagues vers ma bouche de plus en plus fort. Je jouais avec mon doigt dans son petit trou ; je sentais qu’elle était au bord de l’orgasme, et j’accélérai le va-et-vient de son gros chibre dans ma bouche en la poussant jusqu’à presque m’étouffer.


Dans un râle elle me dit qu’elle allait venir et tenta de repousser ma tête ; je pensais alors que c’est à ce moment précis quand ma chérie me suce qu’elle sort mon sexe de sa bouche et m’oblige à me finir à la main avec une certaine amertume. Donc, au lieu de me retirer, je voulus lui donner un maximum de plaisir. J’accélérai encore le mouvement et la succion jusqu’à ce que je l’entende crier sa jouissance et lâcher dans ma bouche une substance visqueuse, chaude et salée en plusieurs longues saccades qui me remplirent la bouche et que je tentai d’avaler complétement.


J’étais tout retourné et excité par l’importance de son orgasme, et je remontai vers elle qui m’embrassa, me léchant tout autour de ma bouche les restes de son liquide d’amour, et dirigeant mon sexe tout dur vers l’entrée de son petit trou que je forçai doucement jusqu’à ce que je sois à fond, ne pensant même pas à une protection. Tout en l’embrassant, je la pilonnais bien fort ; son sexe gonflait à nouveau de plaisir et me rappelait que j’enculais quelqu’un pour la première fois de ma vie. Je sentais que je ne tiendrais plus longtemps, et j’accélérai. Elle le sentit et me murmura :



Et alors qu’elle m’embrassait à nouveau, je lâchai de grosses saccades de ma jouissance en elle. Tout son corps vibra comme si elle se convulsait ; je lui avais déclenché un orgasme anal foudroyant.


On s’écroula tous les deux sur le lit, se serrant très fort l’un contre l’autre. Elle m’a remercié de l’orgasme anal que j’avais déclenché en elle. Comme je lui posais des questions, elle me décrivit les sensations de cet orgasme qu’elle disait incomparable, puis elle me demanda si je voulais essayer ; à quoi mes dernières stupides convictions me firent répondre non, ce qui plomba un peu l’ambiance, puis je me suis endormi, fatigué par une longue journée de prise de tête et une nuit de sexe.


Je me souviens d’avoir rêvé d’un tas de choses bizarres : que ma chérie était un trans et qu’elle et Debbie m’avaient attaché pour me baiser, et ça m’excitait très fort… Je me suis éveillé alors ; le jour était déjà bien levé. J’avais une trique d’enfer. Je regardai à côté de moi ; Debbie était couchée sur le dos ; elle était si belle, ses longs cheveux bruns flammés, ses si beaux seins qui se tenaient bien droit… Elle n’avait plus comme vêtements que ses bas noirs qui montaient en haut des cuisses que surplombait son beau sexe lisse qui avait fondu ; à se demander comment un petit sexe comme ça pouvait devenir si grand, ces belle petites boules que j’avais pris tant de plaisir à faire jouer dans ma bouche… Je me sentais m’exciter à nouveau et je me rappelai de cette fois où ma chérie m’avait réveillé en me suçant ; un pied terrible… Plus je regardais ce sexe que je ne verrais peut-être plus jamais, plus j’avais envie de le prendre à nouveau dans ma bouche et de le sentir grossir au fond de ma gorge. Et puis zut ! Je n’avais rien à perdre. J’approchai mon visage de son bas-ventre, et délicatement je léchai son sexe avant de l’enfouir dans ma bouche et l’aspirer goulûment.


Elle s’était réveillée, et vu ses gémissements, ça ne lui déplaisait pas du tout ! Elle vint même accompagner mes mouvements de la tête avec ses mains posées sur le dessus de celle-ci. Elle me répétait que c’était trop bon, et je sentais son sexe grossir très fort dans ma bouche, m’excitant encore plus. Elle me dit qu’elle voulait aussi me sucer et me fit mettre en 69 sur elle et commença aussi à me sucer mon chibre ; comme elle suçait bien… Sa langue glissait sur mes couilles, les englobait alors que je la suçais de plus belle. Sa langue s’est insinuée entre mes fesses et a commencé à me lécher mon petit orifice : c’était si divin que j’en oubliai de la sucer ; je me concentrais sur le plaisir qu’elle me procurait avec sa langue, puis son doigt vint accompagner sa langue.


Elle se dégagea de dessous moi et se mit derrière moi pour mieux jouer avec sa langue et ses doigts dans mon anus. J’étais au paradis quand elle s’écarta un peu et sortit une petite bouteille jaune du tiroir à côté du lit et me demanda de sniffer très fort. Je n’ai pas trop réfléchi et j’ai obéi. Une chaleur m’a envahi alors qu’elle glissait deux doigts en moi. Je délirais tant c’était bon ; je pensais à son orgasme d’hier, et dans la folie du moment je la suppliai de me baiser.


Elle ne se fit pas prier et se mit derrière moi à genoux et poussa sa bite toute dure à l’entrée de mon petit trou. Une douleur m’envahit, mais j’avais trop envie d’aller jusqu’au bout. Je sentis son gland me pénétrer centimètre par centimètre jusqu’à ce que je sente ses couilles buter contre les miennes elle : était complétement en moi. Elle resta quelques moments statique, le temps que je me fasse à sa queue. La douleur diminua et l’excitation prit le pas ; j’avais franchi la limite de l’interdit, et c’était comme si tout était permis. Je lui donnai le feu vert pour me pilonner.


Je fermai les yeux pour sentir sa queue aller et venir en moi, et ça m’excitait très fort. Elle m’a pilonné encore et encore… J’en redemandais. Elle accélérait puis diminuait ; elle m’a retourné sur le dos pour m’embrasser alors que sa queue me défonçait de plus belle. Je sentis son souffle s’accélérer, ses gémissements s’accentuer : l’orgasme était proche. Je lui chuchotai :



Je l’ai sentie se crisper, m’embrasser.



Je sentis son liquide chaud m’inonder les entrailles et déclencher en moi un orgasme indescriptible ; il paraît que j’ai même crié, prêt à m’évanouir de plaisir.


Elle se retira de moi, laissant tout son liquide chaud couler entre mes fesses et vint s’asseoir sur mon chibre prêt à jouir. Quelques mouvements de son bas-ventre suffirent pour me faire cracher tout mon jus que l’excitation avait mis sous pression dans mes testicules… C’était divin, pour elle comme pour moi.


Je l’ai quittée peu de temps après pour ma formation, puis j’ai rejoint ma chérie qui a finalement avoué qu’elle m’avait trompé ce soir-là, mais je lui ai pardonné car elle a décidé de changer de boulot car elle ne s’entendait plus avec son boss.


Moi, j’ai eu une augmentation, mais je dois rester un soir par semaine à Bruxelles car je travaille là du mercredi matin au jeudi soir, et la nuit où je suis censé dormir à l’hôtel. Je vais en fait dormir chez Debbie, qui me fait passer une nuit de folie à connaître tous les plaisirs sexuels qu’une jolie fille équipée d’une belle bite peut donner à un homme : c’est ma maîtresse chérie, et je la remercie de tout le plaisir qu’elle me donne.


Je lui dédicace ces quelques phrases…