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n° 16750Fiche technique28407 caractères28407
Temps de lecture estimé : 17 mn
11/04/15
Résumé:  Une relation de domination légère entre adultes consentants.
Critères:  fhhh grp hbi extraoffre cocus inconnu caférestau toilettes fsoumise exhib -fsoumisah -hsoumisah
Auteur : UnLoup  (Auteur occasionnel)            Envoi mini-message
Une table pour trois

Dédié à un célèbre cambrioleur qui sévit sur un autre site, et à sa charmante épouse.


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Prologue (ceci est un texte de fiction, dans la vraie vie, pensez aux préservatifs !)



La voiture est arrêtée, Chantal prend la pose, les fesses vers la glace passager, en appui sur ses bras. Elle a peur et préfère ne pas regarder à l’extérieur, mais en même temps elle mouille et frémit dans l’attente de ce qui peut arriver.

Je me positionne au plus près de la vitre, et me débraguette dans la lumière du plafonnier.

J’entreprends une lente masturbation, sous le regard appréciateur d’Arsène et les coups d’œil furtifs de son épouse. Il me faut peu de temps pour que mon plaisir monte, amplifié par cette situation glauque.

Anticipant, Arsène baisse la glace, et je répands ma semence sur les fesses parfaites de Chantal. Elle pousse un léger gémissement…

À l’invitation du mari, j’ouvre la portière, mon sexe toujours raide, Chantal se crispe, je masse lentement le sperme sur son cul divin, j’agace sa raie culière de mon ongle, je la sens se détendre.



Arsène ne dit rien, mais sa queue se tend à nouveau sous la toile de son pantalon. J’attire Chantal hors du véhicule. D’abord inquiète, je la rassure en la serrant contre moi, juste tendre.



Chantal a un mouvement de recul, mais comprend vite que ce n’est pas à elle que je m’adresse… Arsène s’exécute, je lui présente ma bite, et il la nettoie avec application, on dirait qu’il a fait ça toute sa vie. Chantal se caresse doucement en nous regardant. Je suis obligé de l’arrêter, encore un peu et il me ferait jouir.



Chantal acquiesce, timidement, malgré son ventre qui brûle de l’attente d’une queue, et s’appuie contre la voiture, en prévision de la saillie : Arsène guide ma verge vers son vagin accueillant, et je commence mes va-et-vient… L’épouse gémit au rythme de mes ruades, je lui malaxe les seins, lui pince les tétons, et elle a l’air d’apprécier. Elle vient d’un coup dans un long feulement, m’entraînant dans son plaisir, j’ensemence ses entrailles de ce qu’il me semble être des litres de sperme. Le mari a joui tout seul, sans se toucher, tachant son pantalon.



Arsène s’emploie à lécher le foutre qui s’écoule de son charmant abricot, et quand sa fente est propre, c’est ma queue qu’il fait reluire.





Une table pour trois



Quelque temps après notre aventure au bois, Arsène me recontacte : Chantal et lui ont vraiment apprécié notre rencontre et ils souhaitent que l’on revive quelque chose ensemble. Assez sec, et employant le tutoiement, je lui précise qu’il n’est plus le maître de cérémonie de la sexualité de sa femme, qu’il va falloir qu’il s’habitue à n’en être que le laquais… que j’attends de sa belle épouse qu’elle fasse la démarche elle-même et lui raccroche brutalement au nez.


Quelques jours passent sans nouvelles, et je commence à me demander si ma stratégie était si fine que ça. Heureusement, le téléphone finit par sonner, et c’est la douce voix de Chantal, un peu intimidée, que j’ai au fil. L’air de rien, elle entame la conversation, comme si nous n’étions que des connaissances classiques : assumer ses désirs n’est pas encore dans l’air du temps… Elle tourne autour du pot, je fais de même. Le vouvoiement que nous nous imposons rajoute un charme délicieux, et alors que la discussion est prête de retomber, je lui propose que nous nous revoyions tous les trois autour d’une bonne table :



J’entends sa respiration s’accélérer au fil de mes demandes, je suis presque sûr aussi que le haut-parleur est mis et qu’Arsène nous écoute la queue à la main, ou mieux, dans celle de Chantal…




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Les jours sont difficiles à passer, dans l’attente de nos jeux. Enfin le moment…

Chantal est en retard, en femme qui ménage ses effets, mais pas mes nerfs. Leur berline se gare, je descends à leur rencontre, Chantal est époustouflante : elle a rempli parfaitement son contrat avec un goût qui met en valeur le moindre de ses charmes, et ils sont nombreux : son regard profond, souligné de noir, ses lèvres adorables rehaussées de rouge, et puis ses seins délicats qui pointent sous les transparences, ses reins creusés par ses talons vertigineux, son cul moulé par la jupe, ses jambes galbées sous le nylon…

Je l’embrasse délicatement au coin des lèvres, et m’amuse à la faire tourner pour l’admirer, elle rit comme une jeune fille. Arsène sourit de la voir ainsi heureuse, je le salue et nous échangeons un regard complice. Chantal et moi nous installons à l’arrière, Arsène nous conduit vers le restaurant que j’ai choisi : un endroit cosy, chic mais sans excès, une bonne cuisine, et bien sûr des tables discrètes où nous aurons une relative intimité…


Chantal et moi échangeons maintenant comme si nous nous connaissions depuis toujours, je m’applique à la faire rire pour évacuer la tension que j’ai pu sentir par instants, je la serre, caresse ses mains, comme par hasard lui effleure les cuisses, libres de sa jupe remontée en s’asseyant et qu’elle n’a pas jugé bon de rajuster… Arsène, peu à la conduite, nous mate dans le rétro. Chantal réagit favorablement, et j’insiste un peu, je frôle sa chair tendre et nue, au-dessus de la lisière des bas, elle frissonne, je monte tout doucement et parcours de mes doigts l’intérieur délicat de ses cuisses, évitant soigneusement tout contact avec son sexe sous la fine dentelle – déjà humide – que la jupe me cache encore. Je caresse son cou de mes lèvres. Comme naturellement, elle pose une main sur la bosse de mon pantalon, et l’air de rien ébauche un léger massage.


Le trajet a passé trop vite, il nous reste le temps de nous garer pour que je retrouve un profil plus présentable, et j’imagine qu’Arsène est dans le même état. Chantal en profite pour se rajuster, elle sourit toujours, comme un peu grisée. Nous franchissons la porte du restaurant, comme trois amis. Le maître d’hôtel nous accueille, nous débarrasse de nos vestes et nous le suivons jusqu’à notre table, sous les regards appréciateurs des mâles de l’assistance, Chantal est si sexy ! On dirait qu’elle frissonne sous la caresse de ces yeux qui l’accompagnent. Il nous installe à une table retirée, un peu à l’écart, peu d’autres convives seront en regard, Arsène et moi nous positionnons de part et d’autre de Chantal. Sa jupe remonte quand elle s’assied, et comme tout à l’heure, elle la laisse ainsi, protégée de nos rares vis-à-vis par la nappe.


J’expose les règles du jeu à voix basse : chacun exprimera un désir, à tour de rôle, ou presque, puisque quand Arsène, qui a vu son désir principal – partager Chantal – réalisé, en exprimera un, j’en exprimerai deux et Chantal, seule femme, qui doit apprendre à aller explorer ses plaisirs, trois en toute logique. J’ouvre le bal :



Chantal porte un chemisier blanc, un peu transparent sous lequel on devine sa poitrine rehaussée par un soutien-gorge de dentelle blanche également, et déjà largement décolleté, découvrant le vallon émouvant de la naissance des seins. Elle ne répond pas mais bombe son torse vers son mari… qui s’empresse, les mains un peu tremblantes, de mettre en pratique ce premier souhait : les deux globes apparaissent largement, on pourrait presque apercevoir les mamelons laissés libres par le rehausse-seins : délicieux ! Et comme mu par un sixième sens apparaît notre serveur, son regard semble happé, il bredouille quelques incohérences, pose les menus et s’éclipse plus gêné qu’autre chose… pour l’instant.

Chantal se saisit d’une carte, nous regarde, minaude, offre son décolleté alternativement à Arsène puis moi, semble réfléchir, pour les plats ? Pour son souhait ?



Et nous comprenons qu’elle est pleinement rentrée dans le jeu… Arsène ne traîne pas, je l’imite discrètement, ma queue déjà gonflée peine à se laisser extraire, l’idée d’avoir la bite à l’air en plein resto fait le reste et mon érection s’établit pleinement. Chantal vérifie le respect de ses ordres d’une main nonchalante, son sourire en coin dit mieux qu’un long discours qu’elle commence à apprécier ce nouveau pouvoir, et nos tiges palpitent sous sa flatterie.


C’est le moment que choisit le serveur pour venir prendre les commandes, bien entendu, nous n’avons rien choisi ! Plus maître de lui, il s’attarde à nous décrire les plats, tout en matant sans vergogne la poitrine de notre maîtresse. Celle-ci, fière de sa séduction, en rajoute, se fait indiquer ceci ou cela en se penchant vers lui… Enfin l’affaire est réglée, et nous reprenons entre nous.



La tenue devient maintenant indécente : pour peu que l’on se penche sur le décolleté, les seins sont totalement visibles dans leur écrin de dentelle, et il suffirait de quelques mouvements pour que le chemisier bâille et nous offre la vision d’une Chantal dépoitraillée. Au tour d’Arsène, qui me demande de caresser les jambes de sa douce : gage facile et vrai bonheur! D’autant plus que Chantal se renverse contre son dossier et pose sa jambe sur ma cuisse, en une position plus que suggestive. Je surprends quelques regards furtifs, de clients que notre manège a fini par intriguer, ce qui n’empêche mes mains pas de parcourir ses galbes affolants.


Nos apéritifs arrivent, le garçon nous lance des sourires de connivence et profite des charmes de la belle, qui joue avec le pan de son chemisier en regardant ailleurs… Puis sans rectifier sa position, elle savoure sensuellement son verre de vin blanc.



Pas simple pour Arsène, pas d’autre solution que de venir prendre place auprès de moi, à la dernière chaise laissée libre, il tente de rectifier sa tenue avant de se lever quand son épouse l’arrête :



Il rougit instantanément, mais s’en sort élégamment à l’aide de sa serviette, qui va l’accompagner dans son déplacement. Sa main sur ma queue s’active efficacement, il frotte par moment mon gland contre la cuisse de Chantal toujours en place. Les yeux mi-clos, je profite de l’instant : peu importe la main, pourvu qu’on ait l’ivresse ! Mon vœu cependant…



Le plaisir monte vite et je le lui signale, il glisse une coupe sous la table et je lâche toute ma semence. Il regagne sa place, un peu incongru avec sa serviette et son verre, qu’il tend à Chantal. Mais celle-ci n’a visiblement pas l’intention de le boire : elle nous lance des regards provocants, y trempe son doigt, le ressort, l’examine à loisir, gourmande, puis le lèche sensuellement. Elle répète plusieurs fois sa manœuvre sous nos regards fascinés. Enfin, elle se décide à boire ce qui reste mais s’aide du doigt et de la langue pour terminer, ce qui achève de faire palpiter nos cœurs !


Elle se nettoie les lèvres de la langue quand le serveur arrive avec nos entrées, et elle insiste en le fixant droit dans les yeux. Il ne sait plus où donner du regard : bouche, yeux, seins ou la cuisse indécente ? La bosse de son pantalon trahit son désarroi. Après avoir maladroitement posé les plats, il s’invente une occupation vers un recoin de la salle, probablement pour retrouver une contenance.


Nous nous attaquons aux hors-d’œuvre, histoire nous aussi de faire redescendre la pression, la cuisine est délicate, le vin excellent, et nous devisons comme des gens normaux à une soirée normale. Mais dès le sort de nos entrées réglé, et une desserte de serveur un peu déçu de voir que nous sommes redevenus sages – à un corsage toujours bien ouvert près tout de même ! – Chantal, coquine, reprend la main :



Les choses sont claires, et je suis pris à mon propre jeu à devoir servir son mari plutôt que Chantal. Arsène se lève et traverse la salle, je lui laisse un peu d’avance et le suis jusqu’aux toilettes. Celles-ci sont vastes et propres et c’est déjà ça, la partie lavabos est commune aux hommes et aux femmes : deux fois plus de chances de se faire surprendre ! Et pas de recoins, nous nous éloignons au plus de l’entrée. La situation me file une trique d’enfer, et c’est pareil pour Arsène, pas besoin donc de le mettre en condition : je défais ceinture et braguette et extrais sa queue sans autres préliminaires, je caresse de la main sa tige courte et assez large, bien veinée, je soupèse les boules. Je l’oriente dos à l’entrée, je m’agenouille et embouche son phallus.


J’ai rarement eu des bites en bouche, mais je n’ai pas d’états d’âme, et il nous faut être efficaces, aussi je suce avec énergie, jouant des lèvres, de la langue et des dents, de la manière dont j’imagine que j’aimerais l’être : et ça marche ! Il éjacule à gros bouillons, que je m’applique à emmagasiner dans la bouche, sans en perdre et sans avaler – et vu la quantité, c’est pas facile. Et bien sûr, alors que je suis là à gonfler mes joues de sperme, entre une élégante bourgeoise : je la vois incrédule d’abord, puis stupéfaite, enfin elle tourne les talons, toute rouge et en s’excusant ! Il ne faut pas traîner si je ne veux pas tout recracher ou avaler, je laisse Arsène, béat, se rajuster et je file, remonte, traverse la salle en espérant ne pas recroiser la petite dame.


Chantal est en conversation avec notre serveur, tout sourire, et sans équivoque, elle flirte. Elle l’agace de ses mains qui jouent avec les pans de son corsage, qui par moment, l’air de rien, effleurent le galbe de sa poitrine, de ses regards et de ses lèvres… La victime consentante est bien échauffée, mais mon arrivée met fin à la parade. Heureusement ! Arsène nous rejoint et j’échange alors un long baiser poisseux avec la coquine, transférant le sperme salé de son cocu, qu’elle apprécie en connaisseuse.


Les plats sont sur la table, et en mangeant – et buvant bien sûr – nous racontons nos exploits et la surprise de la cliente, ce qui amuse et excite notre belle. Nous imaginons des scénarios dans lesquels, surmontant ses inhibitions, la bourgeoise nous aurait rejoints, aurait ranimé la bite d’Arsène, débraguettée la mienne, et de la bouche et des mains aurait profité de nos deux bites prêtes à la satisfaire pour d’autres plaisirs… Le vin et la conversation finissent de nous échauffer encore.


Si je compte bien, il reste un souhait à Arsène, la même chose pour moi et rien pour notre Chantal qui a épuisé son « crédit » dans l’épisode des toilettes : je me rapproche de son mari et à voix basse propose à son oreille une stratégie… Regard interrogatif et un peu inquiet de Chantal. Son petit mari exige alors le dernier bouton du chemisier. Les pans s’écartent : la poitrine est maintenant totalement offerte, Chantal est superbe dans son indécence. Le serveur qui vient faire la desserte, n’en croit pas ses yeux, Chantal en rajoute, bombe le torse, caresse légèrement ses globes, joue avec les bouts… Le pauvre garçon va nous faire une rupture d’anévrisme si elle continue. Aux autres tables, quelques mâles se tordent le cou pour essayer de voir ce qui se passe, vite ramenés à leurs assiettes par des compagnes un peu agacées. Le garçon reste figé, yeux exorbités, et bouche ouverte, puis réussit à s’extraire de l’attraction de notre maîtresse. Je prends alors la parole :



Le jeune homme arrive, encombré de ses assiettes à dessert, il lorgne la poitrine offerte de Chantal, celle-ci, chienne, le fixe le menton en avant, en se passant la langue sur la lèvre. Il transpire et soupire, mais réussit à nous servir, quasi sans la quitter des yeux. Elle jette sa serviette sous la table, et sans un mot, d’un geste impérieux, elle lui intime de la ramasser. Le garçon déglutit et obtempère, et tandis qu’il s’agenouille devant la table, voilà notre belle qui remonte sa jupe, se tortille sur sa chaise et fait glisser sa fine culotte de dentelle, il reste pétrifié. Chantal écarte les jambes et se caresse le capuchon quelques secondes, ensuite elle glisse un biscuit dans sa fente ruisselante, l’imbibe de ses sucs et le tend au serveur par dessous la table, qui s’en saisit, le hume, puis le déguste. Chantal resserre les cuisses, indiquant la fin du jeu : il revient sur terre et retourne à son travail.


Plus tard, nous abuserons encore de ses nerfs : au passage suivant, Arsène guidera sa main le long du velours des seins de sa femme, tandis que je caresserai sa chatte, jupe relevée jusqu’au ventre. Et enfin, quand après nous être rajustés, nous quitterons la salle sous le regard un peu noir du maître d’hôtel, il recevra en pourboire sa culotte odorante, en souvenir de cette parenthèse érotique d’un soir…




Punition



Arrivés à la voiture, je saisis Chantal et la plaque un peu brutalement face à la portière :



Je remonte sa jupe au-dessus de ses fesses nues, qui font une tache blanche dans la lueur des lampadaires, elle feule, cambre les reins vers moi comme une femelle en chaleur. Deux mètres plus loin sur le trottoir, Arsène a sorti sa bite et la manipule lentement, attentif à notre spectacle. Je bande comme un forcené, mais hors de question de donner tout de suite à Chantal ce qu’elle attend. Elle gémit, frotte son cul contre mon bassin, je la repousse et malaxe ses fesses sans ménagement, elle râle de plus belle. Elle est trempée, sa mouille ruisselle sur l’intérieur de ses cuisses, c’est impressionnant ! J’abats soudainement ma main contre la chair tendre, elle pousse un cri de surprise et se raidit.



Ma main s’abat à nouveau, et s’abat, et s’abat… sous le décompte du mari. L’étonnement passé, la punie y a pris goût et soupire sous mes coups. Des noctambules sidérés changent de trottoir. Je stoppe quand les deux hémisphères rosissent, et câline ce cul offert avec un peu plus de tendresse. Un couple moins timide s’est arrêté à quelques mètres et nous mate sans vergogne.



Chantal se tend : tout à la recherche de son plaisir elle n’avait peut-être pas conscience de l’indécence de cette exhibition en pleine rue de ce quartier assez animé. Je repars pour quelques claques de plus sur le charmant fessier, la spectatrice s’avance timidement, sous l’œil éberlué de son compagnon :



J’avoue être très surpris aussi, mais ça rajoute du piment à la chose, je m’écarte donc : c’est un petit bout de bonne femme, trente, trente-cinq ans, un visage un peu mutin, pas belle, mais un certain charme, jean, chemisier, pas très féminine… Elle administre la première tape de manière assez sèche, Chantal regimbe, la femme ajuste la force de la seconde en conséquence, puis de manière toujours aussi inattendue, elle alterne taloches et caresses dans l’entrecuisse, sous l’œil toujours aussi stupéfait de son mari figé. Je finis par la stopper :



Je déboucle ma ceinture, me débraguette, extrais mon sexe tendu comme arc. Je frotte mon gland le long de la raie, descends vers la flaque du vagin, Chantal d’un coup de cul s’empale seule sur ma queue. Je commence à la ramoner sur le trottoir, à grand coups de bassin lents et amples, sous les yeux d’Arsène, qui s’astique de plus en plus vite, de notre petite dame, qui se frotte le pubis au travers de son jean et de son compagnon toujours figé. Chantal vient en quelques minutes, dans un orgasme bruyant, entraînant mon éjaculation. Mais elle continue à onduler du croupion, je me retire, elle lâche une plainte… Le foutre dégouline de sa chatte le long de ses cuisses en traînées blanchâtres.



L’homme semble incrédule, pourtant la bosse de son pantalon trahit son émoi. Il finit par s’avancer et interroge sa compagne du regard, celle-ci le rassure d’un sourire. Je lui tends un préservatif. Il frotte les fesses de Chantal de ses grosses paluches maladroites, puis sans autres préliminaires, enfonce sa bite de taille moyenne dans la fente offerte. L’émotion ? La situation ? Il se crispe et éjacule rapidement, laissant la belle encore frustrée. L’homme se rajuste rapidement, un peu honteux, sa compagne, elle, continue à se frotter la moule avec un bel entrain, mais il l’arrache à sa masturbation, la prend par le bras et décide brusquement de nous quitter.


Ça ne perturbe pas Arsène, qui, même avoir juté deux fois sur le trottoir, bande encore, prend le relais et s’active à son tour, arrachant de profonds soupirs à notre maîtresse. La saillie dure plus longtemps et amène la belle à un nouvel orgasme déchirant, dans l’intervalle, ma bite a repris vie, et je bande encore à en avoir mal. Chantal semble encore bien disposée : indifférente au monde alentour, elle n’est plus qu’un sexe avide. Je recueille les semences diverses que s’écoulent de sa moule, et en tartine copieuse sa petite rondelle fripée, ses fesses cherchent la caresse… Sans autres préliminaires, mon gland cherche le passage, je la sens se tendre, mais je m’enfonce lentement jusqu’aux couilles dans une seule poussée, lui arrachant un léger cri. Je cale une main sur sa poitrine, l’autre sur son clito, et entreprends le ramonage de son anus, en grands mouvements du bassin.


Je caresse son clito, agace les bouts de ses seins la main dans le chemisier, les pince, elle gémit, je vais et je viens comme un métronome, mais après tous les coïts de la soirée, mon plaisir – autre que cérébral s’entend – n’est pas près de venir ! Chantal, elle, jouit rapidement puis écarte ma main de son bouton probablement échauffé, elle se tourne et nous nous mangeons les lèvres, tandis que je m’active dans son cul. Je décharge enfin, et mon éjaculation me brûle… Chantal se dégage et s’affaisse sur le trottoir contre la voiture, j’hésite à me laisser aller aussi. Un instant me vient l’idée de faire nettoyer ma bite odorante par son mari, mais il est tard, je repousse cette dernière humiliation à une autre fois.

Nous sommes fatigués, rentrons !