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Temps de lecture estimé : 19 mn
13/04/15
Résumé:  Retour aux sources.
Critères:  fh couple médical exhib fsodo nostalgie portrait
Auteur : Romantik

Collection : Les saisons de l'amour
Tome 2 : L'hiver




Décembre 2012



Je travaillais sur le dossier que je devais présenter à mon client la semaine suivante lorsque le téléphone sonna. Je décrochai et une voix féminine que je ne reconnus pas immédiatement s’insinua dans mon oreille.



Mon esprit fit soudain le lien entre la voix et le prénom, et l’image d’une fille un peu boulotte refit surface.



Cet échange me fit brusquement plonger quelques années en arrière. Ayant reçu une proposition intéressante de travail après l’obtention de mon diplôme, j’avais quitté ma famille, mes amis et ma région d’origine, le Nord. À la longue, et l’éloignement faisant doucement son œuvre, j’avais fini par couper les ponts sans m’en rendre compte. Un appel téléphonique une fois par mois à ma mère suffisait à maintenir le contact filial.

Il me fallait maintenant faire un retour aux sources. J’ouvris Internet et regardai les horaires des trains. Ayant trouvé celui qui me convenait, je fis ma réservation que j’imprimai aussitôt. Puis je préparai ma valise et réglai le réveil.


Le lendemain, en avance sur le quai de la gare, j’observais nonchalamment les autres passagers en instance de départ, supputant leurs motifs. Ici, un jeune cadre avec attaché-case (déplacement professionnel ?), là, une jeune femme et son enfant (départ en vacances ?), là encore, une jeune fille avec un sourire béat (rejoint-elle son amoureux ?). Je montai dans le wagon, repérai ma place, m’installai et sortis mon portable pour boucler mon compte-rendu.


Après quelques heures (heureusement, les « premières » sont confortables), le contrôleur annonça notre arrivée à Lille-Europe. Je récupérai mon bagage et affrétai un taxi. Encore quelques minutes passées avec un conducteur en veine de discussion et j’arrivais chez ma parente. Après avoir payé le chauffeur, je sonnai et j’entendis un pas derrière la porte avant qu’elle ne s’ouvre.



Bien sûr, elle avait un peu vieilli, et les quelques pattes d’oie autour de ses yeux en renforçaient la pétulance. Son air chaleureux me fit renouer avec plaisir avec ma cousine.



Après avoir avalé un steak et de savoureuses frites comme on ne sait les faire que dans le Nord, complétés par une tartine de Maroilles (on s’y croirait, non ?) et bu une bonne bière d’abbaye belge (non, pas de marque, et avec modération), Sylvie servit un café odorant.



Quelques minutes passées dans les encombrements et nous voici au CHU. Sylvie m’entraîne vers un ascenseur et nous parvenons deux étages plus haut dans un couloir ripoliné menant aux chambres. Elle frappe à une porte et entre sans attendre, je la suis.



Je m’avance et me penche pour embrasser ma pauvre mère, si pâle dans ce lit tout blanc qu’elle se confondait avec les draps. Son épaule gauche était enveloppée sous un épais pansement. Une larme perla au coin de ses paupières et moi-même, j’avais la gorge serrée.



La conversation continua sur un mode léger grâce aux réparties humoristiques de ma cousine jusqu’à nous faire oublier l’endroit où nous nous trouvions. Deux coups frappés à la porte nous ramenèrent à la réalité du lieu. La porte s’ouvrit et une infirmière entra.

Je vis alors une belle femme d’une quarantaine d’années, vêtue réglementairement de blanc, s’avancer vers le lit de ma mère. En entrant elle avait marqué un léger temps d’arrêt en me voyant, et se ressaisissant rapidement, elle nous demanda de sortir pendant qu’elle prodiguait ses soins.



Guy et Jeannette étaient des amis de toujours de mes parents. Enfant, je jouais avec Laurence qui est de trois ans ma cadette. Nous nous inventions des histoires et passions beaucoup de temps ensemble. Je l’avais toujours considérée comme ma petite sœur.

Elle rougit légèrement, tandis que je me levais et nous nous embrassâmes sur les joues.



Sylvie et moi sortîmes et nous dirigeâmes au bout du couloir nous asseoir sur des fauteuils mis à la disposition des visiteurs pour attendre la fin des soins. Aussitôt, ma cousine me confia :



La porte se rouvrit et Laurence sortit. Elle se tourna vers nous, nous fit un petit geste de la main et pénétra dans une autre chambre un peu plus loin. Nous retournâmes voir ma mère.



Nous passâmes une bonne partie de l’après-midi à parler de tout et de rien, puis Sylvie se leva en disant :



Ma mère répondit à ma place que puisqu’elle sortait après-demain, nous aurions alors tout le temps de bavarder. Je me levai, l’embrassai tendrement et nous partîmes. Arrivé chez Sylvie, je vidai ma valise et mis mon ordinateur en charge. Puis je pris une douche et redescendis au salon.

Ma cousine, gouailleuse, me lança :



Claude, solide quadragénaire habitué à vivre à l’extérieur (il est jardinier-paysagiste) s’avança vers moi et me serra vigoureusement la main en me disant, l’air moqueur :



Nous rîmes de bon cœur, puis Sylvie lui fit part de mon invitation à laquelle il souscrit sans réserve.



Ce fut bientôt le moment de partir. Sylvie avait préparé une dînette pour ses enfants. Camille, la cadette, était en BTS de tourisme, quant à Bernard, l’aîné, il travaillait depuis peu dans un cabinet d’avocats renommé, mais il n’avait toujours pas coupé le cordon et repassait dîner chez ses parents.

Nous ne mîmes pas longtemps pour rallier le bar où nous nous installâmes dans un coin tranquille. Quelques minutes plus tard, le carillon de la porte tinta et Laurence entra, me cherchant du regard. Je me levai pour l’accueillir. Elle sembla surprise de voir que je n’étais pas seul, puis, rassurée en reconnaissant mes cousins, les embrassa à leur tour.

Nous devisâmes un long moment en buvant force bières, Claude et moi, et des jus de fruits pour les filles. La forte nature de mes cousins eut raison de notre timidité et nous passâmes un excellent moment. Vint l’heure de se quitter. Je proposai à Laurence de nous revoir le lendemain pour déjeuner, ce qu’elle accepta sans retenue :



Nous nous séparâmes et dans la voiture, l’inénarrable Sylvie ne put s’empêcher de dire :



La nuit passa tranquillement. J’aime la campagne pour son calme et sa sérénité. Pas de pin-pon d’ambulances, pas de klaxons, pas de pétarades de pots d’échappement. C’est donc frais et dispos que j’attaquai cette nouvelle journée. Sylvie, debout depuis longtemps, avait préparé le petit déjeuner. Claude était déjà parti, ainsi que les enfants.



Je me préparai soigneusement, rasé de frais, et je descendis pour partir, non sans avoir salué ma cousine auparavant.

Je pris un taxi qui m’amena chez mon amie. Par chance, elle habitait un quartier commerçant où je trouvai un fleuriste. J’achetai une brassée de roses rouges et me présentai devant la porte de l’appartement abritant une fille adorable que je n’avais malgré tout pas oubliée. Le cœur battant comme celui d’un adolescent à son premier rendez-vous, je sonnai. La porte s’ouvrit et je me trouvai face à Laurence. Elle avait défait son chignon et coiffé ses longs cheveux blond cendré en queue de cheval, elle savait que c’était ma coupe favorite chez une fille. Elle avait également ajouté une touche de parfum discret et un soupçon de maquillage. Ses yeux verts pétillaient de malice. Je restai muet, mon bouquet à la main. Comme disait le grand Georges Brassens : « J’avais l’air d’un con, ma mère, j’avais l’air d’un con »…

Je finis par me ressaisir et lui tendis les fleurs qu’elle accepta en rougissant. Puis elle me fit entrer et m’embrassa sur les joues en disant :



Elle piqua de nouveau un fard avant de répondre timidement en me regardant bien dans les yeux :



Puis elle ajouta en disparaissant vivement dans sa cuisine :



Je m’assis dans le canapé face à la télé qui fonctionnait en sourdine, tandis qu’une bonne odeur de nourriture m’excitait les papilles. Laurence revint avec à la main un vase contenant mon bouquet qu’elle déposa sur la table du salon. Je l’observais sans gêne. Avec sa jolie robe de lainage crème agrémentée d’un camée et son air distingué, elle était particulièrement altière et ravissante.



Elle me tendit mon verre, et nos doigts se touchèrent légèrement. Elle se servit à son tour et s’assit à côté de moi sur le canapé.



Redoutant d’en avoir trop dit, elle se leva rapidement pour courir à sa kitchenette ouverte sur le salon. Je la voyais s’affairer devant sa cuisinière.



Je m’exécutai avec un indicible plaisir. La bouteille reposait dans un seau à glace. Je la pris délicatement avec une serviette et la débouchai, puis en versai un fond dans mon verre pour goûter.



Elle revint, tenant un superbe plateau avec un assortiment de palourdes, d’huîtres, d’oursins, langoustines et crevettes.



Après cette délicieuse entrée, Laurence apporta une carbonnade à la flamande. Pour ceux qui ne connaissent pas, il s’agit de morceaux de bœuf lentement mijotés dans de la bière, avec lardons, oignons et pain d’épice. J’y fis largement honneur tout en félicitant Laurence pour l’excellence de son plat. Puis nous passâmes au café.



Nous étions assis sur le canapé, tout près l’un de l’autre, le café fumant sur la table basse.

Je restais paralysé comme un collégien. Je ne savais pas comment me comporter avec cette fille avec qui j’avais partagé ma tendre enfance et mon adolescence. Elle dut s’en rendre compte car elle prit l’initiative en posant sa main sur la mienne.



Je me penchai lentement vers elle et l’embrassai timidement sur les lèvres. Elle noua aussitôt ses bras sur ma nuque et me rendit mon baiser. Cette fois, ma langue s’insinua dans sa bouche pour caresser la sienne. Je ne pensais plus qu’à nous et à nos corps qui faisaient connaissance.

Laurence se leva et m’entraîna dans sa chambre. Elle voulut tirer les double-rideaux, mais je l’en dissuadai en lui disant que je voulais la regarder. Je lui pris la main et la fis tourner devant moi en l’admirant.



Elle m’embrassa goulûment et commença à ôter sa robe qu’elle déposa délicatement sur le dossier d’un petit fauteuil. Elle m’apparut alors en soutien-gorge et culotte d’un blanc immaculé qui magnifiait sa silhouette. Sa poitrine était voilée par la dentelle, mais la culotte révélait des fesses magnifiques. Je me déshabillai à mon tour puis l’attirai contre moi et, tout en embrassant son cou délicat, je lui caressais tendrement les épaules et le dos, descendant jusqu’aux fesses que je pétrissais. Elle aussi me caressait, restant sagement au-dessus de la limite de l’élastique de mon slip.


Je la fis s’allonger doucement sur son lit et au passage, je lui ôtai son soutien-gorge. Sa poitrine, menue et ferme, avait ses tétons tendus vers moi. Je les suçai l’un après l’autre, tout en passant ma main gauche sur ses cuisses en remontant vers son entrejambe. Je constatai aussitôt que sa culotte était trempée. Ma langue descendit alors vers son ventre, jouant d’abord avec son nombril, ce qui eut pour effet de la chatouiller. Je descendis encore plus bas, tout en faisant glisser sa petite culotte sur ses cuisses fuselées. Lorsque ma langue toucha sa chatte, elle eut un grand soupir comme si son rêve secret s’accomplissait.


De mes doigts, j’écartai délicatement son sexe et j’embrassai ses petites lèvres, là où s’ouvrait son vagin humide. Je remontai vers son clitoris que je titillai de ma langue, tout en introduisant doucement un doigt dans sa grotte bouillante. De mon autre main, je caressais ses fesses et descendis sur son anus que j’obligeai à s’ouvrir sous la pression de mon majeur. Au bout d’un instant de ce traitement, Laurence jouit une première fois. Elle tenta de retirer ma bouche de son sexe, mais j’accentuai ma pression et mes coups de langue sur son clitoris tout en pistonnant son vagin de mes doigts. À ce rythme, elle ne tarda pas à jouir de nouveau, sa poitrine se soulevant sur un tempo rapide. Je sentis une nouvelle décharge de liquide chaud venant du fond d’elle-même sur mes doigts. Elle gémissait sans retenue. Je ralentis mes manœuvres afin qu’elle puisse profiter de son plaisir. Après quelques minutes, elle m’embrassa en disant :



Puis elle m’embrassa longuement sur la bouche tandis que sa main descendait vers ma verge. Je dois dire que cette dernière était en état de semi-flaccidité. Sa main douce la contourna et enveloppa mes testicules comme pour les soupeser. Elle se décida et saisit ma queue pour commencer un va-et-vient très lent qui finit par faire raidir cet organe capricieux. Lorsque ce dernier fut en état de turgescence, elle se souleva et m’enfourcha. Des mouvements d’abord très lents, juste pour faire pénétrer l’extrémité de mon gland dans son intimité chaude et gluante, qui mirent un comble à la rigidité de ma queue. Elle s’empala brusquement jusqu’au fond de son vagin en poussant un gémissement rauque et resta ainsi, contractant ses muscles intimes, en continuant à pousser sur mon ventre pour essayer d’aller toujours plus profond en elle.


Ses seins bougeaient au rythme de son désir devant mes yeux. Les pointes dressées attirèrent ma bouche qui se mit à les titiller, puis à les envelopper – je les suçais comme si ma vie en dépendait. Laurence gémissait et brusquement, elle se leva et me tourna le dos en s’empalant de nouveau sur ma bite érigée. Je voyais ses jolies fesses monter et descendre sur un rythme soutenu. Je me redressai et fis le tour de son corps pour caresser son ventre et particulièrement le fourreau de son clitoris en prenant soin de ne pas toucher son petit organe. Laurence accéléra encore son rythme tout en criant de nouveau et en m’inondant les couilles de son plaisir.


Je me redressai complètement tout en l’obligeant à prendre la position de la levrette. Elle se mit à genoux et écarta largement ses chairs pour que puisse entrer dans son minou. Je poussai jusqu’au fond et entamai des allers-retours d’abord lents, puis de plus en plus rapides. Lorsqu’elle sentit mon plaisir venir, Laurence me serra franchement la base de ma verge et les couilles, ce qui eut pour effet d’empêcher mon sperme de monter. Elle me fit sortir d’elle et présenta mon gland sur son anus. Je compris qu’elle voulait que je la sodomise, ce que je m’empressai de faire, mais délicatement.


Sa mouille intime favorisait l’intromission et bientôt, je pus aller et venir entre ses reins (dirait Gainsbourg) comme si j’étais dans sa chatte. Le plaisir monta de nouveau en moi et cette fois, Laurence ne fit rien pour m’empêcher de jouir. Je poussai un gémissement tout en éjaculant de longs jets de sperme dans son adorable petit cul. Laurence saisit mes bourses et les massa délicatement, ce qui ajouta encore à mon plaisir. Nous nous effondrâmes sur le lit, hors d’haleine, mais repus l’un de l’autre.

Au bout d’un moment, elle se leva en me disant :



J’entendis bientôt un ruissellement indiquant que Laurence prenais une douche afin de se refaire une fraîcheur. Je profitai de l’instant pour apprécier le bonheur d’avoir retrouvé mon seul amour. J’en conviens maintenant, si d’autres femmes avaient traversé ma vie sans s’arrêter, c’est parce que je tentais de retrouver cette merveilleuse (encore) jeune femme dont le corps et l’âme m’émouvaient plus que je ne saurais le dire.

Le crépitement de la douche cessa et la porte se rouvrit sur une Laurence encore ruisselante et adorable dans sa nudité. Elle tenait une cuvette et un gant de toilette. Être lavé par une femme aimante avec des mains aussi douces procure une indicible félicité. Aussi, je savourais chacun de ces instants en soupirant d’aise. Elle plongeait le gant de toilette dans l’eau tiède et me frottait doucement le dos et les fesses en des mouvements circulaires puis me sécha doucement.



J’obéis et lui proposai mon torse, ainsi que la vision de ma bite toute raplapla et de mes couilles fripées. Sa main plongea de nouveau dans l’eau et revint se poser sur ma poitrine pour descendre rapidement vers mon sexe où elle s’attarda longuement, tirant mon prépuce sur la hampe pour pouvoir nettoyer doucement le moindre repli. Le gant de toilette était très doux et ma verge commença à se redresser. Laurence se pencha davantage et saisit l’extrémité de ma queue entre ses lèvres qu’elle serra tout autour. Mon gland était gonflé dans la chaleur de sa bouche. De sa langue, elle en faisait lentement le tour en s’attardant sur le sillon séparant le corps de la verge du gland. D’une main, elle tirait sur la peau et de l’autre elle me caressait les couilles. Au bout d’un moment de ce traitement, je ne pus me retenir et jouis au fond de sa gorge tout en râlant de plaisir. Elle avala mon sperme et remonta pour venir m’embrasser, puis s’allongea à côté de moi.



Ce faisant, je me laissai glisser pour poser ma joue sur son ventre. Ma main jouait avec la fine toison blonde de son mont de Vénus (terme que je préfère à pubis). Je la caressais comme on caresse un chat. Sa toison soyeuse en forme de fin triangle crissait légèrement sous mes doigts. J’arrivai bientôt là où se rejoignent ses lèvres, là d’où émerge son petit bouton d’amour. Je l’obligeai à écarter les cuisses pour observer sa vulve. Elle était toute rouge de nos récents ébats. Les pétales en étaient collés et ne laissaient rien deviner de ce qu’il y avait derrière. Le plus légèrement possible, je posai mon index sur la hampe de son clitoris et commençai doucement à la masser d’avant en arrière. Le ventre de Laurence commença à ondoyer et de profonds soupirs sortaient de sa gorge qui se soulevait rapidement. Je vis son petit organe gonfler et sortir de son capuchon. Dans le même temps, ses grandes et ses petites lèvres se gorgeaient de sang et s’écartaient doucement. Je continuai mon massage jusqu’à ce que Laurence pousse un cri étouffé et qu’un jet de liquide clair fuse de son sexe et vienne inonder ma main que je retirai alors et la léchai pour en savourer la saveur iodée. Nous nous endormîmes ainsi en nous serrant l’un contre l’autre, comme si nous avions peur d’être à nouveau séparés.


Plus tard, je sentis Laurence bouger, ce qui me réveilla. J’ouvris les yeux et, me penchant sur elle, je l’embrassai doucement sur les paupières avant de descendre sur ses lèvres qu’elle entrouvrit pour happer ma langue. Nos mains s’égarèrent à nouveau sur nos corps, comme pour en vérifier la réalité. Elle regarda l’heure et sauta brusquement du lit en disant :



Elle ramassa ses sous-vêtements et les enfila en se tournant pudiquement. Je ne connais rien de plus beau qu’une femme remettant son soutien-gorge et renfilant sa culotte (à part quand elle les enlève, peut-être…). On dirait qu’elle enfile une seconde peau avec des gestes tellement délicats et précis. Son corps lentement caché sous la dentelle eut le don de m’exciter à nouveau, et je me levai, ma verge dressée. Laurence se retourna et sourit en voyant mon émoi. Elle se rapprocha, et montrant mon corps du délit, dit :



Son sourire s’accentua, et elle se dirigea vers la cuisine. Je la suivis et m’assis sur un tabouret haut en la regardant s’activer. Voir son corps bouger sous la fine dentelle, ses fesses bien fendues dévoilées par la transparence de son slip m’excitèrent davantage. Je l’attrapai par le bras et la fis asseoir sur mes genoux, ce qu’elle fit dans un grand éclat de rire. Je glissai ma main dans sa culotte.



Et j’écartai son slip tout en la faisant pivoter vers moi. Elle se souleva légèrement pour faire pénétrer ma queue maintenant bien raide dans son vagin mouillé, et nous fîmes l’amour assis sur l’escabeau. Lorsque je sentis mon sperme monter, je la fis se mettre debout et me levai à mon tour. Elle saisit ma verge et la secoua jusqu’à ce que j’éjacule sur sa poitrine garnie du soutien-gorge que je n’avais pas pris la peine de lui enlever. Elle m’embrassa à nouveau en disant :