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n° 16754Fiche technique21852 caractères21852
Temps de lecture estimé : 13 mn
13/04/15
Résumé:  Après une expérience bi, Marc vit une nouvelle aventure.
Critères:  hh hplusag sport douche intermast fellation anulingus préservati hdanus hsodo -totalsexe -occasion -hhomo
Auteur : Love Doctor  (Homme marié probablement bi...)
Surprise dans un vestiaire

Assis sur un banc dans le vestiaire, je récupérais des efforts consentis pendant ce cours de RPM. Le souffle encore un peu court, j’avais le regard dans le vide, les yeux sur les casiers pour la plupart ouverts et vides. Décidément, cela devenait de plus en plus dur de rester en forme !

À cette heure, le club était calme et, seul dans la pièce, je pus me déshabiller tranquillement : en sueur, le tee-shirt était à tordre et je m’en débarrassai rapidement restant en cuissard de cycliste. La glace en face de moi me renvoyait l’image d’un quinqua encore pas trop moche, malgré une pilosité abondante et grisonnante.


Un bruit me fit tourner la tête et je vis apparaître dans le couloir des douches un jeune homme de 25 ans maximum, brun, musclé sans être disgracieux, imberbe, et surtout nu ! Il avait dû s’essuyer dans les douches et marchait à l’aise en claquettes et la serviette à la main. Mon cœur battit plus vite car, depuis mon aventure avec Dom, c’était la première fois que je revoyais un homme nu. Ce mec était sexy en diable, et je ne pus m’empêcher de regarder son sexe en douce : pas très long au repos, il paraissait assez large, et la couleur brune de sa peau lui donnait un côté sauvage.


Je ne dus pas être assez discret, car en relevant la tête je croisai le regard de ce beau mâle et vis un petit sourire de suffisance sur son visage. Il semblait attendre quelque chose… Mais trop intimidé, je ne sus quoi dire et sans un mot me dirigeai vers les douches, gardant mon cuissard qui masquait une érection naissante. Je me sentais bête et avais le cœur à 100 comme un ado qui vient de se faire surprendre par ses parents en train de se masturber.

Je choisis la cabine la plus éloignée et me dévêtis fébrilement, me sentant complètement ridicule. Nu et le sexe dressé, je fis couler l’eau tout en tentant d’effacer de mon esprit l’image troublante de ce corps à peine observé. Mais en vain ! La vision de son sexe que j’imaginais large en érection était tenace dans ma tête !


Je me faisais probablement un film sur la sexualité de ce beau mâle dont le sourire un peu prétentieux devait seulement traduire l’habitude d’avoir des regards féminins envieux sur sa plastique de rêve. J’avais également lu des histoires de sexe dans des vestiaires, mais en 20 ans de pratiques sportives, je n’avais jamais rien vu de tel. Il faut dire qu’à l’époque, ma bisexualité était loin d’être une possibilité…


L’eau chaude me fit du bien, me massant les épaules et le dos. Le jet frappait ma peau, et pendant de longues minutes je ne pensai plus à rien, mon sexe retrouvant sa taille de repos. Je coupai l’eau pour me savonner, et mes mains recouvrirent rapidement mon corps de mousse onctueuse. Même si je ne pouvais pas rivaliser avec le physique des jeunes, je trouvais que mon corps de quinquagénaire sportif était encore pas trop mal conservé ; j’avais tout de même plu à Dom !

Une bouffée de nostalgie me prit en pensant à mon premier amant qui vivait maintenant à des milliers de kilomètres et avait sûrement rencontré le mec de sa vie !


Le souvenir de mes premières expériences gay me troubla, et ma main trouva naturellement le chemin de mon sexe qui reprenait vie sous la mousse. Empaumant ma verge dressée et sensible, je commençai une masturbation lente. Je gémis doucement au rythme des mouvements de va-et-vient de mon poignet frôlant mon gland sensible à chaque passage. Les images de mes rencontres furtives au domicile de mon premier amant m’excitèrent, et mon érection devint très sensible.

De mon autre main je me frôlais les seins dressés et sensibles, jouant avec mes pointes dures, déclenchant des frissons dans tout mon corps. Les yeux fermés, je revivais les moments chauds avec lui et pris conscience que ce mec me manquait grave, comme disent les jeunes !

Je repris mes esprits et stoppai mes caresses afin de ne pas franchir le point de non-retour. Les cabines ne fermaient pas et je ne voulais pas être surpris en posture délicate si quelqu’un ouvrait la porte !


Je remis la douche en marche et me rinçai abondamment, m’isolant du monde, l’eau chaude donnant une vapeur opaque et un bruit assez prononcé, si bien que je sursautai en me retournant : j’avais face à moi le beau mec de tout à l’heure, aussi nu que moi. Il avait profité du bruit pour entrer dans la cabine sans se faire entendre. J’allais protester mais il posa un doigt sur ma bouche pour me faire le signe universel « chut ! »

Il me sourit pour me rassurer et ôta sa main : nous étions nus face à face. Le cœur à 200, je me demandais où cela allait nous mener, même si j’en avais une petite idée…



Je rougis de confusion et tentai de nier l’évidence :



Son sourire charmeur me fit craquer et je ne fus pas choqué de le voir se caresser en me parlant. Je baissai les yeux et admirai ce sexe qui m’avait troublé tout à l’heure. En érection, il n’était pas très long – en tout cas pas plus que le mien – mais en revanche paraissait assez épais, surmonté d’un gland brun.

Je ne pouvais détacher mes yeux de cette masturbation, et j’eus la même envie que lui. Je saisis à nouveau mon sexe dressé pour imiter mon nouveau camarade de jeu, comme si nous nous connaissions déjà. Je retrouvais les jeux que j’avais découverts avec Dom, et cela m’excita de plus belle. Je levai la tête et croisai son regard.



Il approcha sa bouche de mon cou et déposa un baiser si sensuel que je fermai les yeux, puis il reprit sa place. Nous nous masturbâmes quelques minutes sans se quitter des yeux, puis je sentis sa main prendre la mienne et la poser sur son sexe. Je frémis au contact de son pieu épais et il soupira d’aise. Sa bite remplissait agréablement ma main, et je la sentais frémir sous mes doigts.

Il avait repéré mon côté soumis et comptait probablement en profiter.



J’obéis sans protester, trop heureux de câliner l’objet de mon fantasme récent. Je caressais ce sexe avec délice, retrouvant les gestes que Dom m’avait donnés envie de connaître. Je regardais son prépuce recouvrir et révéler son gland sombre au rythme de ma main. Dan se laissait faire sans me toucher : je n’en étais pas frustré, trop excité par les attentions que je lui prodiguais, caressant son sexe en entier, frôlant ses testicules lisses à chaque mouvement. Je négligeais pour le moment ses fesses musclées, mais je me promis d’y venir plus tard. Je pris du gel pour mieux le masturber, et le contact soyeux le fit frémir davantage.

J’oubliais l’endroit où nous étions, et le fait que la porte pouvait s’ouvrir à chaque instant. Si d’aventure un autre mec entrait dans le vestiaire, nul doute que les bruits évocateurs nous trahiraient. Bonjour le scandale !


Pour le moment, mes mains étaient occupées à branler son dard turgescent et ses bourses sensibles et douces pour une peau de bébé. Mon amant se laissait faire, a priori peu pressé de passer à autre chose… J’étais plus impatient que lui et ouvris la douche pour rincer son corps d’athlète. Il frémit au contact des jets sur sa bite luisante qui fut bientôt débarrassée de toute trace de mousse.

Son sexe dégoulinant d’eau était absolument magnifique : bestial, sauvage, viril.


Dan eut un regard évocateur, et sans un mot je compris mon envie rejoignant la sienne. Lentement, je me mis à genoux sur le carrelage humide, tel un fidèle devant son chibre sombre et dressé. Je l’admirai quelques secondes puis l’enfournai lentement dans ma bouche humide. Je faillis jouir sur le champ, tant j’étais excité ! Cela faisait des semaines que je rêvais d’un nouveau moment tel que celui-ci.

Dan lâcha un râle évocateur et je pris cela comme un compliment.


Son sexe emplissait bien ma bouche et avait la longueur idéale pour ne pas m’étouffer. Ma langue tournait lentement autour de la hampe tandis je caressais enfin ses fesses musclées et dures. Je gémis à mon tour la bouche pleine puis entamai une fellation lente et onctueuse. Son pieu coulissait sans soucis entre mes lèvres et je prenais un malin plaisir à le faire le plus lentement possible. Dan donnait de petits coups de bassin pour accélérer le rythme, mais je retenais ses envies avec une certaine perversité. Je sentis sa main se poser sur ma tête et tenter de m imprimer son tempo. Cette fois, je cédai à ses envies mais resserrai mes lèvres pour exacerber les sensations sur son gland, tandis que dans le même temps ma langue s’enroulait au rythme de mouvements de piston.


Je sentis mon partenaire au bord de l’explosion et ralentis le rythme pour faire durer ce moment magique ; Dan le comprit et se laissa faire.

Je ressortis son sexe de ma bouche pour lécher sa base et ses bourses. Il appréciait manifestement cette caresse et je les aspirais, jouant avec les testicules comme avec un noyau de pêche que je voudrais nettoyer. Je le regardais en faisant cela et le vis gémir les yeux clos. Cela flatta mon ego et je repris son dard en bouche. Je le sentais vibrer entre mes lèvres et j’accélérai le rythme. Je ne pensais à rien d’autre qu’à son plaisir, et il comprit que je n’interromprais pas ma fellation. Il se laissa alors complètement aller, et debout, appuyé au mur de la cabine, s’offrait sans retenue.


Ma bouche atteignit un tempo très rapide, et le bruit de succion devenait plus intense, forcément troublant à mes oreilles. Dan gémissait de plus belle, et à un tressaillement de son gland je compris que la libération était proche. Prêt à recevoir sa semence, je ne cessai pas ma pipe qui fut bientôt récompensée par de longs jets de sperme épais que mon amant déversait dans ma bouche dans un grognement rauque.

Ma bouche emplie débordait de liquide suave et je déglutis avec peine le reste, gardant son sexe encore ferme entre mes lèvres.

Dan, qui reprenait ses esprits, abaissa le regard vers moi.



Je me remis debout près de lui.



Pour la première fois j’osai un autre geste que des caresses sur son sexe : ma main se posa sur son torse et caressa ses pectoraux lisses et durs. Il se laissait bichonner, tel un éphèbe sûr de son charme. Au bout de quelques instants il me dit :



Je répondis sans réfléchir :



Il comprit et sourit, faussement modeste, me montrant son sexe débandé.



Je pris à nouveau du gel douche et savonnai son chibre presque mou mais toujours aussi beau et murmurai :



Je souris, un peu envieux de cette libido.



Il sourit, contrit.



Il rit et réfléchit un moment.



J’acceptai, le cœur battant.



Il quitta discrètement la cabine et me laissa me sécher pour rapidement passer un maillot qui cachait difficilement mon érection persistante. Heureusement, personne ne le remarqua jusqu’au sauna.



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Les trente minutes furent longues et courtes à la fois : longues car j’étais excité, et courtes car j’avais un peu peur de la suite. Je faillis même filer en douce, mais l’attraction qu’exerçait Dan sur moi fut la plus forte et je restai au sauna pendant les trente minutes prévues.


Dans les vestiaires, je choisis la même cabine et ôtai mon maillot fébrilement. Mon sexe se dressa doucement pour obtenir une belle érection. J’étais à l’affût de tous les bruits du club, et je crus un instant que Dan m’avait posé un lapin ; mais je fus rassuré lorsque le beau brun ouvrit la porte. Il avait passé un boxer de bain blanc, contrastant avec sa peau mate et qui moulait superbement son sexe encore au repos.


Il me sourit et posa directement sa main sur mon maillot. Je gémis sous ce geste possessif mais ne protestai pas ; il pouvait sentir croître mon érection sous ses caresses. Je fus rapidement à l’étroit et il le sentit, faisant glisser mon maillot pour me voir à nouveau nu.

Son sourire me rassura et il me complimenta à sa manière.



Je souris malgré tout et rentrai un peu le ventre pour ne pas le décevoir.

Il poursuivit sa caresse avec lenteur, frôlant mes bourses velues puis remonta vers la hampe, la serrant dans sa main jusqu’au gland qu’il caressa avec douceur. Mon sexe vibrait sous ses attentions ; je faillis fermer les yeux de plaisir, mais je ne voulais pas perdre une miette de ce moment.

Ainsi je voyais son érection déformer son shorty si fin que je devinais les veines de son sexe, et j’eus un frisson en réalisant que dans quelques minutes ce mandrin serait dans mon cul.



Je lui obéis pour lui offrir mes fesses à mater, et sans douceur il me plaqua les mains au carrelage de la cabine pour mieux me faire me cambrer. Telle une chienne s’offrant à son mâle, j’attendais la suite. De ses pouces il écarta mes globes tandis que son visage approchait de mon cul. Son souffle chaud s’engouffra entre mes fesses et il grogna de désir.



Sa langue large me surprit, et je gémis au premier contact. Mon anneau s’ouvrit de suite, avide de ces sensations oubliées. Dan dévora mon cul plus qu’il ne le dégusta et maintint ainsi mon excitation au niveau désiré. Quand il me jugea prêt, il se redressa et se colla à moi. Je frémis au contact de son sexe sous son maillot contre mes fesses tandis que ses mains caressaient mon torse velu.

Sa bouche était tout près de mon oreille et murmurait des paroles salaces :



Je souris malgré moi, impatient de ressentir ce sexe large en moi.

Dan prit du gel douche et me caressa à nouveau l’anus. Je gémis de surprise et de plaisir. Ses doigts enduisirent mon petit trou et bientôt l’explorèrent : un, puis deux doigts dilatèrent l’anneau avec maîtrise.



Je frémis sous ces mots mais ne dis rien, concentré sur les sensations que sa main me procurait. De sa main libre il me frôla le gland sensible en diable, et je faillis jouir sur le champ. Il le sentit et stoppa aussitôt, ne voulant pas précipiter mon plaisir.


J’avais maintenant deux doigts dans le cul et m’offrais sans retenue à sa caresse, reculant un peu mes fesses pour mieux me soumettre à mon amant. Je sentis Dan faire glisser son maillot d’une main, et son sexe nu bandé se colla à moi : dur, chaud, épais et palpitant.

Je gémis, et soumis attendis la suite avec fébrilité. Je reconnus le bruit caractéristique de la pochette de préservatif qu’on ouvrait, et Dan se recula pour s’équiper. Je tournai la tête pour le regarder et reconnus la patte d’expert qui coiffa son sexe de la saine protection en un tour de main.

Il me sourit et me saisit les hanches.



Dans l’instant qui suivit, je sentis son gland se poser sur mon anus tout juste refermé. Le gel douche servit de lubrifiant, et doucement son sexe progressa d’une seule poussée. Je me mordais mes lèvres en attendant la suite, un peu anxieux tout de même. Le sexe de mon seul amant précédent était plus fin que celui qui allait me sodomiser sous peu.

Mon anneau se dilatait doucement, et la sensation d’être « comblé » remplaçait la douleur redoutée. Je me sentis empli comme jamais ; mon corps acceptait cette intrusion d’un calibre supérieur à ce qu’il avait connu. Même le vibro de mon épouse que j’utilisais en cachette était plus menu.


Dan soufflait dans mon dos, retenant sa poussée pour ne pas me blesser, et je sentais mon cul faire de la place pour ce membre épais et dur. Mon amant était maintenant au fond de moi, immobile, mordant mon cou tel un mâle dominant sa femelle, ses mains sur mes hanches pour affirmer sa propriété du moment.


Il se retira doucement, déclenchant chez moi un long feulement qui fut remplacé par un cri lorsqu’il me donna son premier coup de boutoir, faisant claquer mes fesses. Une fois la surprise passée, j’attendis la suite avec fébrilité. Je ne fus pas déçu lorsqu’il entama des va-et-vient puissants, rythmés et affolants qui me firent gémir sans discrétion. Chaque nouvel assaut me faisait lâcher des sons de plaisir que je tachais en vain de rendre assourdis.

Dan me fit crier plus fort au coup suivant, puis davantage encore pour se déchaîner ensuite dans mon cul. Pour la première fois de ma courte expérience homo, je servais de trou pour un mâle.


Le beau brun était tout sauf tendre, et j’aimais cela, mon côté femelle apparaissant évident en cet instant. Je gémissais sous ses assauts, et sa jouissance précédente lui permettait de tenir la cadence. De mon côté, je sentais le plaisir proche car son côté bestial avait décuplé mon excitation. Je me caressais de concert mon sexe bandé si fort qu’il en était presque douloureux, mais la manœuvre n’était pas facile car Dan se déchaînait dans mon cul, si fort qu’il lâcha un cri. Une voix résonna :



Dan s immobilisa, le souffle court, et plaqua sa main sur ma bouche pour m’imposer le silence. Il parvint à rassurer l’importun :



Le sexe toujours en moi, il parlait avec l’inconnu avec un ton désarmant de naturel.

Le silence régna à nouveau dans le vestiaire et Dan libéra ma bouche. Ses mains frôlèrent mes seins, me faisant gémir. Empalé sur son pieu, j’étais sa chose et il en profitait, pinçant mes pointes avec fermeté pour mon plus grand plaisir. Ces caresses relancèrent mes envies et je reculai mes fesses pour mieux ressentir sa bite. Il grogna de désir et reprit ses mouvements puissants dans mon cul : son large chibre sortit avec une lenteur calculée, me faisant gémir à nouveau, puis il réinvestit mon rectum accueillant et dilaté.


Dan était un amant puissant et viril, et je découvrais une autre facette de l’amour entre mecs : être la chose d’un partenaire.

Les coups de reins devinrent plus forts et il abandonna avec regret ma poitrine pour saisir mes hanches et me maintenir dans la position idéale pour lui. Dans cette position, il me pilonnait avec une régularité de métronome affolante. Son bassin claquait maintenant contre mes fesses et je sentais mon plaisir poindre le bout de son nez.


Appuyé au carrelage de la douche, je tendis au maximum mon fessier vers ce sexe large et endurant qui allait me faire jouir. La dernière poussée fut fatale, et j’éjaculai sur le carrelage dans un cri rauque, lâchant de longs jets de sperme tandis que mon amant accélérait encore pour atteindre l’orgasme dans un rugissement libérateur.

Ailleurs, les jambes coupées, je sentis son sexe gonfler dans mes entrailles et emplir le préservatif de sa crème onctueuse.


Le souffle court, nous reprenions peu à peu nos esprits ; Dan me murmura à l’oreille :



Je frémis, imaginant la scène alors que j’avais encore son sexe raide en moi…