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n° 16760Fiche technique31264 caractères31264
Temps de lecture estimé : 18 mn
15/04/15
Résumé:  Comment nos amis nous ont aidés à réaliser des travaux dans notre maison de campagne.
Critères:  fhhh couplus campagne intermast fellation 69 sandwich jeu -totalsexe -hbi
Auteur : Didou  (Comment nos amis nous aident dans nos travaux)
Travaux à la campagne

Nous avions entrepris avec ma femme de rénover la maison de campagne, relativement ancienne, qu’elle avait héritée de ses parents. Nous en étions à refaire la salle principale faisant office de cuisine et de salle à manger. C’est une pièce d’environ 25 m2 dont les murs et le plafond étaient passablement fissurés. Nous avons donc décidé de poser de la toile de verre pour masquer les fissures.


Avec Nicole, nous avions déjà revêtu les murs ; restait le plafond, la partie la plus difficile et pour laquelle nous aurions besoin d’une aide extérieure. En fait, étant donné les dimensions de la pièce, il fallait être trois pour poser la toile de verre au plafond : deux pour maintenir le lé et un autre pour maroufler au fur et à mesure.


Je fais donc appel à un de mes collègues que ma femme connaît bien, Jean-Luc, et que je soupçonne d’être légèrement amoureux de Nicole. Je n’ai jamais su s’ils avaient eu une aventure ou non avant que je n’épouse Nicole.



Le vendredi suivant, nous voilà partis tous les quatre à la campagne dès neuf heures. Nicole et moi dans notre voiture, Jean-Luc et Philippe dans sa voiture. Nous arrivons en fin de matinée, avant la grosse chaleur. Nous nous mettons en tenue de travail : les hommes en short ou bermuda, torse nu ; quant à Nicole, elle porte un vieux short informe mais au ras des fesses, et un polo largement échancré. Tenue pousse-au-crime.


Nous installons ce qui va être notre plan de travail, à savoir plusieurs longues planches parallèles posées sur des tréteaux que j’avais récupérés à la décharge. Cet assemblage constitue une sorte d’allée d’un mètre de large sur laquelle nous pouvons nous déplacer d’un bout à l’autre de la pièce. Le tout à environ 80 cm du sol.


L’heure du déjeuner étant venue et Nicole nous ayant préparé un repas froid, nous allons pique-niquer dans le jardin. Étant donné la chaleur ambiante, nous sommes amenés à beaucoup boire, et pas que de l’eau…

La fin du repas sonne le début du travail. Nous commençons par couper six lés de cinq mètres correspondant à la longueur de la pièce. Nous encollons le premier lé sur notre table-échafaudage, et nous montons tous les trois sur l’échafaudage. Je vous explique brièvement le processus de collage du lé au plafond : deux d’entre nous maintiennent le lé bras tendus au-dessus de leur tête tandis que le troisième colle une extrémité du lé au plafond et, à l’aide d’une brosse, "maroufle" le lé en progressant vers ses coéquipiers. Cet exercice assez long exige que nous soyons en permanence les bras tendus au-dessus de la tête. Vous allez voir comment cette position prend toute son importance dans ce qui va suivre.


Nous finissons de poser le premier lé, ce qui nous a pris quand même pas loin d’une demi-heure, et nous préparons le lé suivant. Je suis chargé de l’encollage, Jean-Luc et Philippe sont chargés de porter le lé une fois encollé. Au moment où je m’attaque à l’encollage, mon portable sonne. Je "décroche" pour entendre mon interlocuteur m’annoncer une mauvaise nouvelle.



Sur ces mots, je vais m’habiller, je prends la voiture et me dirige vers Paris. Après mon départ précipité, l’équipe se réorganise ; Philippe termine l’encollage, passe le lé à Nicole et à Jean-Luc, puis monte sur la table. Nicole est au milieu de la table et Jean-Luc à l’autre extrémité. Ils portent tous les deux le lé à bout de bras. Philippe colle le lé en avançant vers Nicole, et au moment où il arrive près d’elle, il se rappelle un jeu que pratiquent les enfants et qui consiste à se mettre derrière un de leurs camarades, de mettre les mains sur ses yeux et de demander « Qui est-ce ? » Transposant ce jeu, il passe derrière Nicole, pose ses mains sur ses seins et lui demande :



Légèrement déstabilisée, Nicole décide quand même de jouer le jeu, et en riant, lui répond :



Et aussitôt il revient face à Nicole, pose sa bouche sur la sienne. Sa langue se fraie un chemin entre les lèvres entrouvertes et il lui roule une pelle grandiose à laquelle elle ne tarde pas à répondre. À ce moment-là, Jean-Luc qui ne perd pas le nord intervient :



Et effectivement, après avoir fini de coller ce lé, Nicole qui est encore un petit peu pompette retire son tee-shirt, laissant apparaître sa généreuse poitrine que peine à contenir un soutien-gorge largement décolleté. Les garçons laissent échapper un sifflement d’admiration. Nicole semble très à l’aise, la poitrine largement exposée aux regards concupiscents de ses collègues. Avant de passer au lé suivant, ils décident de faire tourner leurs postes de travail, Nicole prenant la place de Jean-Luc à l’extrémité de la table, Philippe au milieu et Jean-Luc préposé au collage.


La pose du troisième lé se poursuit donc. Une fois les deux premiers tiers collés et arrivés près de Nicole, nos deux larrons sont libres de leurs mouvements. Nicole les voit s’approcher avec un peu d’appréhension. Appréhension justifiée. Le premier, Jean-Luc, imitant son cousin, vient se placer derrière Nicole, pose ses mains sur ses seins, commence à les palper, à les malaxer pour finalement les extraire de leur nid douillet. Voici Nicole, les seins à l’air. De son côté, Philippe, pour ne pas être en reste, se met à lui embrasser et à lui sucer les tétons, arrachant à Nicole un léger gémissement.



Compatissants, les deux garçons libèrent Nicole de sa position inconfortable et terminent le collage du lé.


La pose du lé suivant se déroule de la même manière avec baisers volés, caresses des seins au passage, jusqu’au moment où Philippe, ayant fait tomber sa brosse de marouflage près de Nicole, saute à terre pour la ramasser. Se relevant, étant en contrebas de Nicole, il l’aperçoit au-dessus de lui, et surtout il voit son short extra-court qui laisse apercevoir sa petite culotte toute blanche, de laquelle sortent quelques poils très bruns.


Nicole ne se rend pas compte de la vision qu’elle offre à Philippe ni du trouble qui le saisit. Celui-ci pose sa main sur la jambe qui le surplombe, et doucement remonte le long de la cuisse jusqu’à toucher la petite culotte. Nicole, toujours bloquée par le maintien de la toile au-dessus de sa tête, essaie en se tortillant de se dégager de la caresse qui se fait de plus en plus précise, mais en vain. Jean-Luc, qui a retrouvé sa liberté de mouvements, vient reprendre ses caresses des seins de Nicole tout en l’embrassant à pleine bouche, bloquant ainsi ses protestions pas très convaincues.

De son côté, Philippe continue sa progression. Son pouce s’est glissé sous le short et caresse maintenant le sexe de Nicole à travers sa culotte. Sentant le clitoris se gonfler involontairement sous sa caresse, écartant un peu la culotte, son pouce vient se poser directement sur le clitoris à travers la toison brune de Nicole. Descendant encore un peu, il se rend compte que la vulve est devenue très humide. Sentant que si elle les laisse faire plus longtemps elle risque de trahir son plaisir en jouissant bruyamment, Nicole s’écrie :



Rappelés à la réalité, Philippe et Jean-Luc reprennent leurs postes et terminent le collage de ce troisième lé. Descendant de la table, Nicole s’adresse à eux :



Et sans se démonter, Nicole enlève son soutien-gorge, délivrant ainsi son opulente poitrine.



Les garçons, commençant à être très excités par cette séance de strip-tease improvisée, obtempèrent. Nicole retire sa culotte, remet son short, va rincer ses sous-vêtements dans l’évier et les met à sécher dans le jardin.



Et notre trio de se remettre au travail. Ils ont définitivement affecté Nicole au dernier poste, cela les laisse libres de leurs mouvements à la fin de la pose alors qu’elle est la dernière libérée.


Même scenario que précédemment : caresses des seins maintenant complètement libres, baisers sur la bouche et sur les seins. Seul changement : alors qu’ils sont arrivés près de Nicole et qu’elle est encore bloquée par le maintien de la toile, Philippe s’approche d’elle, pose les mains sur ses hanches et roule sur lui-même le short le long des hanches jusqu’à ce qu’il ne soit plus qu’une mince bande de tissu roulée sous le pubis, dévoilant ainsi la totalité de la brune toison.

Nicole, résignée, ne proteste même plus. Philippe et Jean-Luc en profitent pour lui caresser le sexe, la masturbant doucement, introduisant un doigt dans sa vulve tout humide. Sous ces caresses pénétrantes, Nicole se met à onduler lentement. Se moquant de ce que pourraient penser les garçons, elle voudrait qu’ils continuent, tellement elle a envie de jouir. Mais par sadisme – ou par calcul – ils arrêtent leurs caresses, laissant Nicole frustrée de ne pas avoir pu jouir.


Toujours dans la même tenue, Nicole ayant renoncé à se rajuster, ils posent le dernier lé. Cependant, ayant terminé la pose de la toile et ayant en tête un projet bien précis, ils emmènent Nicole dans la chambre d’amis, lui retirent son short réduit à l’état de ceinture, la font s’allonger sur le lit et se déshabillent. Nicole, complètement désinhibée, observe attentivement les slips descendre le long des cuisses des garçons et les queues apparaître dans tout leur naturel. Devant le spectacle de Nicole, allongée détendue, les cuisses légèrement écartées, et à l’idée de ce qui les attend, ils bandent comme des bêtes.


Philippe a une bite fine et longue ; Jean-Luc, par contre, est équipé d’une bite trapue et de longueur moyenne. La vue de ces queues fait instantanément mouiller Nicole. En elle-même, elle se demande lequel de ces deux exemplaires la fera le plus jouir. En fait, elle est assez pressée de les essayer. À cet instant, le téléphone placé sur la table de nuit sonne. Nicole décroche :



Elle raccroche alors le téléphone.



Philippe et Jean-Luc viennent d’enregistrer le mensonge de Nicole ainsi que le sous-entendu contenu dans « il sera ici dans deux heures ». Ils viennent s’allonger de chaque côté de Nicole. Philippe, se tournant sur le côté, pose la main sur son ventre, et doucement la fait glisser vers son pubis. Il sent la douce touffe sous sa main, il sent le clitoris se gonfler. Il le masse doucement avec deux doigts, descend encore un peu sa main, écarte les grandes lèvres et glisse son majeur dans le con chaud et mouillé. Sous la caresse, Nicole se tend et imprime à son ventre un lent mouvement de haut en bas, accompagnant ainsi la masturbation que lui prodigue Philippe.


Jean-Luc n’est pas en reste. Il malaxe ses seins, et posant délicatement sa bouche sur celle de Nicole, il entreprend un profond baiser dans lequel leurs langues se cherchent avidement, s’entremêlent, vont d’une bouche à l’autre.


Nicole s’est emparée des deux bites qui sont à ses côtés et se met à les branler doucement puis, sentant le plaisir s’accroître, de plus en plus vigoureusement, arrachant des râles de plaisir à ses deux amants. Le doigt de Philippe accélère son mouvement dans la vulve quasiment inondée, Nicole se soulève de plus en plus vite car elle sent l’orgasme venir. Ses mains s’activent de plus en plus fort sur les deux bites, au point que les deux garçons poussent de petits gémissements de douleur.

Nicole leur prodigue des encouragements d’une voix qui monte crescendo :



Après cet orgasme exceptionnellement puissant, quelques spasmes secouent son ventre ; enfin détendue, elle se laisse aller à savourer son plaisir. Les deux garçons n’en peuvent plus. Ils ont l’impression que leurs couilles vont éclater, tellement l’orgasme de Nicole les a surexcités. Écartant les cuisses de Nicole, le premier, Philippe, s’allonge sur elle ; sa longue bite se fraie un chemin dans l’épaisse toison et s’enfonce doucement dans le con de Nicole. Il commence alors à la pistonner comme un fou, faisant à chaque fois qu’il s’enfonce en elle tressauter ses seins. Excitée de nouveau, Nicole gémit sous les coups de boutoir. Philippe aimerait retarder sa jouissance pour que celle de Nicole survienne en même temps, mais il ne peut plus se retenir et, dans un râle, il décharge longuement dans le con qui l’accueille. Nicole sent au plus profond d’elle-même les giclées successives qui lui remplissent la vulve. Philippe se détache d’elle et s’étend à son côté.


Une partie du sperme s’écoule de son vagin. Il lui coule dans la raie des fesses jusqu’à son petit trou. Mais surtout, Nicole se sent frustrée de n’avoir pas eu le temps d’arriver à sa propre jouissance. Elle se penche alors vers Jean-Luc, prend son sexe dans la bouche et le suce adroitement jusqu’à ce qu’elle le sente de nouveau gonflé et dur. Alors elle se met à califourchon sur lui, frotte quelques instants sa chatte contre le sexe de Jean-Luc, puis le guide dans son vagin encore rempli du jus de Philippe.


Elle baise Jean-Luc. C’est elle qui prend la direction des opérations. Jean-Luc s’arcboute, mais sans bouger pour pénétrer au maximum dans le con de Nicole. Celle-ci, pour mieux établir le contact avec son partenaire, se couche sur lui, faisant ainsi ressortir son joli cul. Jean-Luc, attirant la tête de Nicole, soude sa bouche à la sienne. Nicole accélère le mouvement de son bassin ; elle sent la grosse bite frotter à chaque aller et retour sur le point le plus sensible de son vagin.


De son côté, Philippe, qui semble hypnotisé par le mouvement du cul de Nicole, se met à genoux derrière elle et guide sa longue queue vers son anus à l’entrée duquel de grosses gouttes de son sperme avaient coulé. Nicole, sentant cette queue entre ses fesses, proteste :



Philippe, restant sourd aux prières de Nicole, introduit tout doucement son gland dans l’anus.



Et d’enfoncer doucement la totalité de son sexe dans le cul bien lubrifié par le sperme. Nicole gémit doucement au fur et à mesure que le sexe s’enfonce. Elle s’est arrêtée de pomper Jean-Luc. Cependant, après quelques allers et venues de Philippe dans son cul, elle a la sensation que la douleur a fait place à une excitation qu’elle ne connaissait pas. Elle recommence à baiser Jean-Luc. De sentir en elle les deux bites frotter l’une contre l’autre la rend comme folle de plaisir, et poussant des petits cris de plus en plus fort, elle explose en un orgasme prolongé qui amène ses deux partenaires à décharger presque simultanément en elle.


Retombant exténués tous les trois sur le lit, ils tentent de récupérer un peu de forces. À ce moment-là, Nicole jette un coup d’œil sur le réveil posé sur la table de nuit :



Quand j’arrive enfin à la maison, je les trouve installés dans le jardin sur des chaises longues, devisant gentiment. Je les trouve un peu pâles, mais je me dis que c’est dû à la chaleur. Je leur dis alors :



Je crois déceler sur la figure des garçons comme un léger sourire ironique, mais cela doit être le fruit de mon imagination. Vers huit heures, nous dînons et allons passer la fin de la soirée dans le jardin à parler de choses et d’autres.



Ensuite nous allons nous coucher. Philippe et Jean-Luc devront partager la chambre d’amis. Nicole et moi regagnons notre chambre. Comme il fait encore très chaud, nous dormons nus. Ayant très envie de lui faire l’amour, je commence à caresser ma femme, les seins, les hanches et enfin le ventre. Posant ma main sur son sexe, je la masturbe. Très vite, elle vient sur moi, m’enfourche tandis que faisant glisser ma main sous son ventre je la branle. C’est sa position préférée. Alors que nous sommes en pleine baise, elle me glisse à l’oreille :



Et elle me raconte tout ce qui s’est passé pendant mon absence. Avec tous les détails. L’effet que me fait son récit n’est pas celui qu’elle craignait.



Effectivement, non seulement je n’étais pas contrarié par ce qu’elle me racontait, mais encore je me disais que j’aurais bien aimé assister à leurs ébats.



Sur ces bonnes paroles, nous finissons de faire l’amour en jouissant tous les deux très fort, sans doute excités par le récit que ma femme vient de me faire et nous nous endormons sereinement.


Le lendemain matin, nous retrouvons nos deux amis qui semblent un peu troublés. Je pense qu’ils se demandent si Nicole m’a mis au courant de leurs exploits. Je les laisse, pour le moment, dans leur incertitude. Après le petit déjeuner, comme convenu, nous allons chercher le matériel de peinture dans le garage et nous regagnons la grande salle. Je les attaque tout de suite :



Aussitôt dit, aussitôt fait : nous voilà tous les quatre complètement nus. Cela me permet de vérifier que, bien qu’étant au repos, les organes de nos deux amis sont bien conformes à la description que m’en a faite ma femme. Grosse queue assez courte pour l’un, queue longue et fine pour l’autre. Avec la mienne qui est moyenne en longueur et en épaisseur, ma femme a un bon éventail à sa disposition.


Nous nous équipons chacun, qui d’un pinceau, qui d’un rouleau. Pour peindre le plafond, nous réutilisons notre échafaudage de fortune. La peinture du plafond se passe dans une ambiance érotico-décontractée. Chaque fois que Philippe ou Jean-Luc passent à côté de Nicole, ils en profitent pour lui voler un baiser, pour lui caresser les seins, les fesses ou la chatte. À un moment, Philippe lui peint deux cercles sur les seins. En représailles, elle leur passe un coup de rouleau sur le sexe. Enfin, tout se passe dans la bonne humeur.


À midi, nous avons terminé la peinture du plafond. Nous prenons un apéritif bien mérité, un punch, dans le jardin. Notre maison est située en dehors de la ville dans un coin isolé, et le jardin est entouré d’une haute haie de troènes qui nous met à l’abri des regards d’éventuels promeneurs. C’est la raison pour laquelle nous pouvons nous installer sur des chaises longues, dans le jardin, complètement nus. Alors que nous en sommes à notre troisième verre de punch et que la conversation glisse progressivement vers des sujets quelque peu érotiques, Jean-Luc nous demande :



Devant notre surprise, il nous précise son idée :



S’adressant à ma femme, il lui demande :



Raisonnement imparable. Le choix du partenaire de Nicole devrait être simple, car Philippe et moi sommes plus grands qu’elle. Seul Jean-Luc, dit « la grosse bite », correspond à peu près au critère requis. Philippe est chargé de la mesure. Il va dans le garage chercher un mètre, demande à ma femme de se lever et mesure la distance de sa bouche à son sexe :



C’est Jean-Luc qui correspond le mieux. À cet instant, Nicole intervient avec un petit sourire :



Interloqués, nous nous regardons, Philippe et moi, sous le regard goguenard de Nicole et de Jean-Luc. Je lui fais un petit signe pour lui dire que je suis d’accord, et il confirme aussitôt notre accord :



En ce qui me concerne, je ne fais pas de commentaires car, contrairement à Philippe, j’ai déjà eu une fois l’occasion de branler et sucer un de mes copains un soir où nous avions un peu forcé sur l’alcool à la suite d’un pari stupide. Nous installons donc le trapèze sur le portique. Sa hauteur est réglable grâce à un système d’anneaux coulissants. Nous le baissons suffisamment pour que Nicole puisse s’asseoir dessus, puis avec les cordes nous le montons à environ deux mètres. Nicole se suspend, la tête en bas, la barre sous les genoux, en position de cochon pendu. Jean-Luc se place face à elle, et nous réglons rapidement la hauteur du trapèze de manière à ce que la bouche de Nicole se trouve à la hauteur du sexe déjà bandé de Jean-Luc. Ce dernier plonge son nez dans la toison brune de ma femme ; sa langue la fouille à la recherche de l’entrée de son con tandis que Nicole a gobé la bite épaisse de Jean-Luc. Celui-ci imprime un rapide mouvement de va-et-vient à son sexe dans la bouche de Nicole, et dans le même temps commence à téter son clitoris. Tous les deux ont attrapé les fesses de leur partenaire pour maintenir leur position et les caresse doucement.


Au bout de quelques minutes, Nicole est prête à jouir. Ses petits cris étouffés par la volumineuse bite qu’elle suce se font de plus en plus rapprochés et, cessant une minute de sucer son partenaire, elle jouit bruyamment sous ses coups de langue. Excité par ce puissant orgasme, Jean-Luc décharge abondamment dans la bouche de ma femme qui avale à grand-peine, à cause de sa position, le foutre projeté dans sa gorge.

Nous nous empressons de sortir ma femme de sa position inconfortable pour éviter que le sang ne lui monte trop longtemps à la tête.


C’est maintenant à notre tour, à Philippe et à moi, de respecter notre promesse et de procéder à cette expérience. Nous tirons au sort pour savoir lequel fera le cochon pendu. Le sort désigne Philippe. Nous renouvelons la même opération qu’avec Nicole pour l’installer sur le trapèze. Une fois installé, je me place en face de lui ; c’est la première fois que je vois sa bite de près. Elle a une forme harmonieuse, son gland tout rose est complètement décalotté. Tout d’un coup, j’ai envie de sa bite. Je le branle un peu pour le faire bander pendant qu’il fait la même chose, et une fois sa bite durcie, je la prends dans ma bouche.


De son, côté, Jean-Luc a pris une chaise, s’est installé à côté de nous pour bien apprécier le spectacle et fait asseoir ma femme sur ses genoux. Nicole lui a passé un bras autour du cou, prenant de sa main libre son sexe encore gonflé. Lui, de da main gauche lui caresse un sein pendant que sa main droite vient se glisser entre les cuisses de ma femme pour pouvoir la masturber tout en nous regardant.


Philippe a déjà commencé à me pomper tout en me malaxant les couilles. De mon côté, je suce son gland en le léchant soigneusement. Sa bite a un goût agréable de noisette (peut-être dû au savon qu’il utilise). En même temps que je fais aller et venir mon sexe dans la bouche de Philippe, je le suce lentement en introduisant de plus en plus son sexe dans ma bouche jusqu’à ce qu’il touche le fond de ma gorge.


Après cinq ou six minutes, je sens que je vais bientôt jouir. Je sens aussi la bite de Philippe durcir un peu plus dans ma bouche, annonçant une prochaine éjaculation. Et en effet, dans la minute qui suit, une série de longues giclées arrive au fond de ma gorge. J’ai l’impression qu’il n’arrêtera jamais de décharger. Son sperme a un goût agréable, légèrement acidulé. J’ai du mal à avaler à la cadence de ses giclées. Enfin la source se tarit et, à mon tour, je décharge dans sa bouche.


Pendant ce temps Nicole et Jean-Luc se branlent de plus belle et finissent par jouir en même temps dans un concert de râles de cris et de « Oui… oui… continue… plus vite, Jean-Luc… Rentre bien ton doigt… je jouis… je jouiiiiis… »


Nous retournons nous reposer sur les chaises longues une petite demi-heure. La fin de la journée arrivant, nos deux amis doivent maintenant rentrer à Paris. Ils se rhabillent, préparent leurs affaires et nous les accompagnons, Nicole et moi, jusqu’à leur voiture garée devant la porte du jardin. Ma femme et moi sommes toujours nus, ne craignant pas les passants éventuels. Nous nous disons au revoir. Chacun à leur tour, Philippe et Jean-Luc embrassent Nicole à pleine bouche, lui caressent gentiment les seins et posent leur main sur sa toison, glissent un doigt dans son con et le lèchent afin de garder le plus longtemps possible le goût de son sexe. Pour me dire au revoir, au lieu de me serrer la main, ils prennent tour à tour ma bite un peu flasque et la secouent en guise de "shake-hand" – ou plutôt de "shake-bite", devrais-je dire – et ils rejoignent leur voiture.


Par la suite, quand Philippe venait rendre visite à son cousin, nous les invitions à la maison pour passer ensemble une soirée animée ponctuée de nouveaux jeux érotiques.