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Temps de lecture estimé : 12 mn
28/04/15
Résumé:  Ce soir, j'ai décidé de me masturber jusqu'à me faire éjaculer, pour toi.
Critères:  h hmast tutu -masth
Auteur : Unehistoireunjour      
Mon plaisir est pour toi

Ce soir, j’ai décidé de me masturber jusqu’à me faire éjaculer, pour toi. Je sais qu’à cette heure, même tardive, il y a quelqu’un qui pense à moi.


Moi, je suis là dans mon canapé après avoir pris une bonne douche pendant laquelle je m’imaginais avec toi, et je dois dire que de telles pensées ont eu un effet terrible sur mon sexe. J’ai enfilé mon peignoir, je suis bien étendu totalement nu, mon corps fraîchement lavé qui sent bon le gel-douche à la vanille. Je suis allongé la tête sous un coussin, une jambe sur le canapé, l’autre posée le long, mon peignoir encore noué autour de ma taille.


Je repense à toi, à nos échanges de mails. Je sens comme une raideur dans mon bas-ventre. J’entreprends de dénouer ce peignoir qui maintenant me gêne ; je me décide même à l’enlever totalement. Je me relève, défais le nœud et le fais glisser en corolle à mes pieds. Je suis debout, nu, juste pour toi. Ma verge n‘est plus totalement flasque ni totalement raide, un état juste entre les deux. Je me rallonge, et je commence des caresses lentement, tout doucement. Je caresse tout mon corps d’une main et de l’autre je caresse ma verge tendrement et très, très doucement. C’est merveilleux comme ça me fait du bien, comme mon plaisir est à la fois doux, profond et intense. Je veux me donner du plaisir pendant un long moment avant de me laisser aller à éjaculer. J’éprouve un plaisir indescriptible. Je sais, et tu le sais aussi maintenant, bien faire durer mon plaisir. Et j’ai envie ce soir de le faire durer le plus possible pour toi.


Je suis allongé de tout mon long, une main parcourant mon corps, l’autre qui me caresse le sexe très délicatement, tout mon corps manifeste lui aussi sa joie en ondulant voluptueusement. Mes jambes pliées et écartées bougent au rythme de mes caresses sur ma verge. J’ondule du bassin à la cadence du plaisir. Je suis si bien là, ma queue est totalement raide maintenant, mon gland n’est pas encore totalement découvert mais il commence à pointer, je sens toutes les courbes subtiles de ma verge. Je continue comme ça encore un peu, quelques minutes de plaisir intense.


Je tire maintenant sur mon sexe afin de libérer mon gland de son fourreau de peau. Il apparaît complètement dégagé, rouge de plaisir. Je place mon pouce à la base de ma queue pour la faire grossir ; l’effet est immédiat : elle semble grandir encore un peu, et mon gland se gorge de sang, il devient plus gros lui aussi, changeant de couleur et devenant presque violacé. Mon sexe ainsi caressé depuis un bon moment témoigne aussi de mon bonheur. Un témoignage d’une grande sensualité, signe de l’intensité de mon plaisir. Ce signe qui trahit ma joie s’écoule tout doucement du méat de mon gland. Ma verge semble pleurer, mais ses larmes sont des larmes de joie intense. Elles apparaissent en scintillant au coin de la petite bouche de mon gland. Tout d’abord, elles emplissent mon méat, puis elles coulent sur mon gland ; larmes chaudes du plaisir brûlant qui m’envahit. Perles de plaisir trahissant ma joie suprême. Douce rosée naissant, dans l’intimité profonde, au cœur de ma queue et montant s’épanouir sur les lèvres béantes de mon gland.


Je continue mes caresses ainsi de longues minutes, ma main qui remonte sans cesse le long de ma hampe depuis la base où je n’oublie pas de caresser mes boules jusqu’au sommet de mon gland, il arrive que mon gland soit recouvert par moment et je m’empresse aussitôt de le découvrir en tirant un maximum sur ma queue. Je suis si bien perdu dans mes pensées qui sont toutes pour toi, j’imagine qu’à la place de ma main je ressente la tienne ou même ta langue qui me fait tant de bien. J’imagine ton corps nu et offert tout à moi, ses courbes qui acceptent mes mains, tes seins dont je sens les pointes durcir de plaisir sous ma langue, ton sexe que j’adore déguster à pleine bouche, ton nectar dont je me délecte, ton bouton avec lequel j’aime jouer de longues minutes, ma langue qui s’insinue au plus profond de ton intimité, tes jambes qui m’enserrent, ton visage qui se déforme sous l’orgasme. Voilà toutes les images qui se bousculent dans ma tête et qui me font me sentir bien, très bien même.


La plupart du temps, je me masturbe en utilisant une huile parfumée ; cela augmente considérablement l’intensité de mes sensations. C’est comme si je jouissais de manière continue sans éjaculer. Je ressens un plaisir extrêmement fort. Bien sûr, je gémis beaucoup plus et je remue tout mon corps en ondulant plus fort également. Je bande aussi plus fort en me masturbant avec de l’huile, ma verge est très tendue, mon gland d’une jolie et très sensuelle couleur violacée. Ça m’excite beaucoup de voir ma verge bander aussi vigoureusement et j’en sens très fortement toute la tension dans mon bas-ventre. Je regarde ma verge très tendue, merveilleusement belle et excitante, mon gland congestionné de désir. Tout ceci, c’est pour toi.


Je me masse la verge avec des caresses amples et douces sur toute sa longueur, de lents va-et-vient de mon gland à la racine, en tournant ma main légèrement à chaque mouvement descendant et montant le long de ma verge. À chaque mouvement descendant, j’insiste sur les points les plus sensibles de ma queue. Mon plaisir est d’une intensité telle que je mouille beaucoup plus ; ces larmes de joie qui coulent du méat de mon sexe sont beaucoup plus abondantes. Ça aussi ça m’excite beaucoup ! Elles sortent de la petite bouche béante de mon gland à chaque fois que ma main remonte le long de ma verge et elles coulent sur mon gland en longs filets brillants. Je les vois donc continuer de s’écouler doucement tout le long de ma queue, c’est merveilleusement excitant. Avec ma main qui masse mon pénis, j’étale ma mouille sur toute ma verge. Quand ma main remonte sur mon sexe et que je vois apparaître une nouvelle grosse larme de mouille, je gémis plus fort tellement ça m’excite. Et je suis au comble du bonheur de voir à quel point ma verge est heureuse de mes caresses. Et comme je suis plus excité, je mouille encore plus, et de mon pénis s’écoule de nouveau une grosse perle de plaisir.


Je suis complètement décalotté. Je tire bien la peau de mon pénis vers la racine pour que le gland, intégralement et complètement dégagé puisse profiter pleinement de chaque caresse subtile de ma main et de mes doigts. Mon pénis ainsi décalotté bien à fond et la peau bien tirée en arrière, mon gland est très impudiquement mais très érotiquement exposé à toutes mes caresses, et cette impudeur est pour toi. Je suis complètement nu, assis les jambes écartées et pliées, mon pénis en érection, décalotté à fond, bien dressé entre mes cuisses ouvertes. Je tire la peau de mon sexe pour bien dégager mon gland. Je bande très, très fort et mon gland est très gros, violet de désir, le méat bien ouvert et suintant d’une mouille abondante. Je suis impudique à l’extrême et j’en suis très heureux. Mais je le suis pour moi et pour toi aussi.


Le plaisir est plus fort maintenant, je le ressens en deux points bien précis. Le premier se situe exactement entre mes cuisses, sous mes boules, à la racine de ma verge ; le deuxième se situe à l’extrémité de mon pénis, dans tout mon gland. Les ondes de plaisir remontent tout le long de ma queue et se diffusent intensément dans mon gland tendu et gonflé à l’extrême par le plaisir. C’est merveilleusement beau et bon à la fois. Je pousse des gémissements et des râles de plaisir. Je bouge beaucoup, et toujours au rythme des caresses de ma main sur ma verge.


J’ai du plaisir, je me fais du bien, beaucoup de bien. J’aimerais tellement que tu me voies, mais tu n’es pas là ; alors je te raconte tout dans les moindres détails pour que tu puisses imaginer dans quel plaisir je suis, comme quand tu me fais partager le tien. Je ne cesse de fixer intensément mon pénis tendu par une puissante érection. Je fixe surtout mon gland complètement dilaté par le plaisir. Le méat, au bout de mon gland, est superbement ouvert et luisant, entièrement baigné d’une mouille abondante qui ne cesse de couler de ma verge caressée. Je mouille beaucoup et j’aime quand je mouille comme ça. Je suis au bord de l’éjaculation , alors je serre très fort ma queue pour stopper cette montée de plaisir ; j’ai du mal à me retenir, je sens un spasme, je me retient plus fort mais de mon gland s’échappe un peu de sperme cette fois, en petite quantité, j’ai failli jouir, je le recueille, au bout de ma verge en la pressant sur toute sa longueur, depuis la racine jusqu’au bout de mon gland avec un doigt de la main droite et je le dépose sur le bout de ma langue. C’est chaud, un peu salé et liquoreux, j’adore !


Je me décide à relâcher la pression sur mon sexe et à l’abandonner un peu pour me concentrer sur mes pointes de seins, que je pince un peu comme tu le ferais. Je reprends enfin mes caresses sur mon sexe, bien décidé à me faire jouir jusqu’au bout, cette fois ; cela fait un bien trop long moment que je me caresse et mon plaisir devient vraiment très fort. Le cœur de ma verge palpite un peu plus. Mes caresses s’accentuent sur les points les plus sensibles. En particulier sur toute la surface de mon gland dont je sens la douceur extrême de sa peau. Mes caresses se précisent également sur toute la partie du corps de ma verge qui se situe immédiatement sous mon gland, tout autour. Là où tu sais si bien poser ta langue. C’est également agréable sur toute la couronne de mon gland ainsi que dessous et de chaque côté. Là, c’est vraiment très, très bon et je dois me forcer pour insister sur ces endroits très sensibles de ma queue car la jouissance est à la limite du supportable.


Pour accentuer mes caresses, je pose mon gland dans le creux de ma main gauche, et je place mon pouce sur la couronne de mon gland de manière à ce qu’il aille stimuler également juste sous la couronne. Je fais alors un lent mais très appuyé mouvement circulaire avec mon pouce. Cette caresse m’envoie littéralement en l’air et provoque des ondes de plaisir très fortes vers la racine de mon pénis. Par ces merveilleuses caresses, je parviens à un niveau supérieur d’excitation et je masse ma verge plus intensément ; je la serre fort, je me masturbe avec des mouvements plus amples. Je monte et descends tout le long, du bout de mon gland jusqu’à mon pubis, en accentuant chaque aller et retour, mon bassin accompagne chaque mouvement de ma main.


Ma respiration est devenue un halètement entrecoupé de gémissements et de râles qui ne laissent aucun doute sur l’intense plaisir que je me donne. Ma main descend et monte plus vite sur ma verge. Je projette mon bassin en avant à chaque mouvement descendant de ma main sur ma verge. Entre mes cuisses, sous mes boules, à la racine de ma verge, le plaisir chaud se contracte et se dilate avec une force grandissante au fur et à mesure de mes caresses. Je sens mon sexe se contracter ; les contractions sont plus longues, plus amples, et elles sont de plus en plus rapprochées les unes des autres. J’accélère mes caresses. Mon bassin ondule de plus en plus fort, au rythme des palpitations grandissantes du cœur de ma verge. Mes gémissements et mes râles s’intensifient… Je m’abandonne totalement à mon plaisir. Je pense très fort à toi.


Je fixe ma queue, le bout surtout, mon gland luisant tant il est tendu. Instinctivement, mon corps se plie, ma tête se rapproche de mon pénis. Mes cuisses s’écartent au maximum. Les mouvements amples de ma main sur mon pénis se font plus lents, mais plus précis. Tout mon corps est transi de plaisir, je suis au bord de l’orgasme, à la limite extrême avant la jouissance. Je vais jouir, je vais éjaculer, je vais gicler, je vais me vider. Ma verge palpite, mon gland violet d’excitation est dilaté à l’extrême. Les palpitations au cœur de ma verge deviennent très fortes, des palpitations profondes et brûlantes. Je ralentis encore mes caresses sur mon sexe tout en les faisant plus précises, sur mon gland, sa couronne, sans en oublier le frein, endroit si sensible, si délicat, et tellement érogène… Je sens que je vais venir… Je sens comme une boule dans la racine de ma queue, elle se dilate ; cette dilatation me fait pousser un long râle de plaisir. Puis elle se dilate encore, puis encore. Je fixe mon gland, ce que je ressens est extraordinaire. Ça vient, oui ça vient ! Ce plaisir est pour toi. Une série de violentes contractions me fait écarter les jambes au maximum. Je projette ma tête vers mon bassin en me pliant en deux. Ça me brûle dans la racine de ma verge, c’est sublime ! Je pousse un long gémissement rauque… Je perçois avec une grande intensité cette explosion de la boule dans la racine de ma verge. En même temps que je ressens cet éclatement, une très vive sensation de plaisir brûlant envahit la base de mon pénis et le fait se dilater à l’extrême. Je la vois en même temps que je la ressens, cette dilatation ; mon gland se dilate aussi, faisant s’ouvrir le méat, dont la béance annonce l’imminence de mon éjaculation.


Je fixe le bout de mon gland. Je relâche mes muscles que je ne peux contrôler qu’une ou deux secondes ; une ou deux secondes de paradis ! La base dilatée de mon pénis se contracte. Je sens mon sperme brûlant monter et traverser mon pénis. Je projette mon bassin vers l’avant en même temps que je sens et que je vois jaillir du méat béant de mon gland au bout de mon pénis le premier jet de semence. Première giclée, j’aime regarder et voir les giclées de mon éjaculation qui jaillissent de la petite bouche de mon pénis ! Je suis heureux ! Contempler les giclées de ma semence qui jaillissent en jets brûlants de mon bâton congestionné de plaisir me porte au comble du ravissement et de la jouissance. Chaque jet de sperme giclé par ma verge m’arrache un long gémissement rauque. Au moment exact où un jet de sperme est en train de sortir et de jaillir du bout de ma verge, je projette mon bassin en avant.


Trois ou quatre puissants jets de sperme jaillissent de ma verge, me faisant jouir avec une intensité inouïe. Chaque jet me fait énormément de plaisir. Je jouis, j’éjacule. Le plaisir irradie aussi dans mes boules qui sont remontées pendant la montée de mon plaisir et qui se sont plaquées contre la base de ma verge dès la première contraction. Je contemple chacun des jets de mon sperme qui gicle de ma verge en fixant intensément mon gland durant toute mon éjaculation. Pendant que j’éjacule, je masturbe ma queue plus lentement qu’avant d’éjaculer. Je sens bien chaque jet qui monte dans mon sexe. Un jet retombe sur mon ventre, puis un autre sur mon visage près de ma bouche ; je m’empresse de le lécher avec ma langue pour me goûter comme tu le fais. Les jets suivants sont d’une intensité moindre, mais m’arrachent toujours un gémissement rauque de satisfaction et je continue de projeter mon bassin en avant jusqu’à la fin des contractions de mon orgasme. J’éjacule quatre ou cinq de ces petits jets, chacun me procurant une jouissance très intense, mais sensiblement moindre que les puissants jets du début de mon éjaculation. Je ramène toujours ma verge de manière à ce qu’elle soit bien droite, à la verticale de mon corps ; cette position met très en valeur à la fois mon pénis et les jets de semence qu’il est en train d’éjaculer en me faisant jouir.


Je continue de me masturber en ralentissant mon va-et-vient le long de ma verge, au fur et à mesure que j’éjacule. Les dernières contractions de ma verge font s’écouler ce qui reste de semence en elle en grosses larmes chaudes qui coulent du méat de mon gland, puis sur mes doigts et dans les poils de mon pubis. Ces dernières et ultimes contractions de faible intensité me font encore beaucoup de bien. Chacune me fait gémir et me contracter en projetant mon bassin en avant. À cet instant de ma jouissance, je commence à serrer puis à desserrer alternativement mes jambes en contractant mes cuisses et mes fesses. Mes doigts remontent complètement jusqu’à l’extrémité de mon gland pour vider ma verge des quelques gouttes de sperme qu’il reste.


Mon corps est maculé des petites flaques de sperme. J’adore sentir ma semence, mes jets retomber sur ma poitrine et mon ventre dès qu’ils ont jailli de ma verge, j’aime le sentir sur moi, le sentir couler sur mon corps, le sentir s’écouler le long de mon sexe, puis le sentir couler dans les poils de mon pubis. Je suis bien, extraordinairement bien. Je viens de vivre un plaisir sublime grâce à toi.


Je penche ma tête sur le côté, mes jambes se détendent, tout mon corps se détend. Je ne bouge pas, je profite de la douce torpeur dans laquelle le plaisir me fait baigner. Ma verge s’est ramollie dans ma main. Je la garde comme ça, décalottée et comme endormie dans ma main. Elle est toute mouillée de son sperme. Je pense aux instants merveilleux que je viens de vivre, au sublime plaisir que tu viens de me donner. Les yeux fermés, je revois ma jouissance, j’entends mes râles, mes gémissements de joie. Je me revois en train d’éjaculer, mon sperme giclant du bout de ma verge en longs jets chauds, au repos que nous vivons tous les deux après l’orgasme. Comme j’aimerais m’endormir dans tes bras, là ! Mes pensées sont toutes au plaisir que je viens de vivre pour toi. Je suis bien, détendu et heureux de mon bonheur. Je m’enfonce tout doucement dans le sommeil et une douce torpeur. Je suis sur un nuage de bien-être et de sérénité. Je m’endors, repu de plaisir et de jouissance. Un sourire se dessine sur mes lèvres ; sourire de bonheur qui t’est destiné, charmante lectrice.