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n° 16785Fiche technique28806 caractères28806
Temps de lecture estimé : 17 mn
28/04/15
corrigé 09/06/21
Résumé:  Sitôt son forfait accompli, Jeff le coquin s'évanouit. En bon latin qui se respecte, il prend la poudre d'escampette.
Critères:  fh groscul hsoumis fdomine vengeance confession -hsoumisaf
Auteur : Jeff le coquin  (Faible et lâche, Jeff le coquin aime les femmes.)      Envoi mini-message

Série : Marie, Emma et moi

Chapitre 04 / 06
Vilaine maman

Résumé des chapitres précédents :


Chapitre 1 : « On ne passe pas par le jardin » : rendant visite à ma copine Marie, j’ai surpris sa fille, Emma, en pleine séance de masturbation. J’ai tenté d’évacuer la gêne avec une plaisanterie, mais la situation a dérapé. J’ai fini par m’échapper avant de commettre l’irréparable.


Chapitre 2 : « Le coup du soutien » : une semaine plus tard, Marie m’a demandé de venir aider Emma en anglais. Ça sentait le piège, mais je ne pouvais pas refuser. Incorrigible, j’ai encore craqué et, sous la forte pression d’Emma, j’ai recommencé à m’intéresser à l’intérieur de sa petite culotte. Nous nous sommes arrêtés juste à temps, au moment où nous avons entendu Marie monter nous prévenir qu’elle s’absentait chez une voisine.


Chapitre 3 : « On récolte ce que l’on sème » : une fois seul avec Emma dans sa chambre, elle s’est montrée si persuasive et motivée que j’ai craqué pour de bon. Contre sa promesse qu’on en resterait là ensuite, j’ai succombé à la tentation. Elle a tenté de me convaincre que nous devions poursuivre notre relation, mais j’ai refusé et j’ai quitté sa chambre immédiatement.



___________________________





Vilaine maman



Je viens de refermer la porte de la chambre d’Emma derrière moi.

Je reste un instant sur le palier à me demander comment j’ai pu me fourrer dans un merdier pareil. Il faut quand même un certain talent pour déconner à ce point. C’est presque du grand art. Plus que la taille du gouffre qui s’ouvre devant moi, c’est sa profondeur qui m’interpelle. Combien de temps va durer la chute ? Quand est-ce que je me crashe ?

Allez, ouste… Il ne faut plus tarder maintenant, je dois filer. Je dévale les escaliers, j’attrape la poignée de la porte pour sortir quand derrière moi j’entends une voix : « Jeff… ? »


Je me retourne. Marie est là. Bras croisés, appuyée contre le mur. Elle n’a pas l’air ravi. Au regard navré qu’elle me lance, et à sa façon de faire non de la tête en pinçant les lèvres, je comprends que le gouffre n’était pas si profond car je viens d’en toucher le fond.

On se fixe gravement. Et elle dit :



Mais qu’est-ce qu’elle fout là ? Machinalement, je passe une main sur mon front, j’aimerais bien trouver un truc malin à dire, un truc futé, mais à bien y réfléchir, l’instant me semble finalement assez peu propice à l’humour. Et puis je manque cruellement d’inspiration. Alors, très vite, je baisse les bras. Je rends les armes sans même essayer de combattre :



Elle s’avance vers moi, je me prépare pour la gifle. Elle me passe devant et ouvre la porte. Elle tend une main vers dehors, me signifiant la direction à prendre. J’obtempère aussitôt.



Et sur ce, elle claque la porte assez bruyamment. Est-ce pour avertir sa fille qu’elle est revenue de chez Jeanne, ou bien s’agit-il d’un geste d’humeur ? Je serais tenté de répondre « Les deux, mon capitaine ! Et ça va chier pour ton matricule… »

Inutile de préciser que je passe une soirée maussade, suivie d’une courte nuit que je qualifierais de tourmentée. « On aura sûrement plein de choses à se dire », a-t-elle précisé. Je réalise enfin concrètement combien j’ai déconné. Trop tard…


Le lendemain matin je me rends chez Marie comme convenu. Je ne vois pas trop l’intérêt que j’aurais à me défiler. Autant crever l’abcès. Elle veut causer, alors on va causer. C’est avec la boule au ventre que je sonne à sa porte. Marie m’ouvre. On se fait la bise, fraîchement. Elle m’offre un café que j’accepte et elle m’invite à m’asseoir à la table de la cuisine. C’est donc là que va avoir lieu l’interrogatoire.

Elle dépose les tasses sur la table et s’assoit. Elle me fixe durement (le même regard noir que sa fille), et elle se lance :



J’ouvre de grands yeux :



« Quand j’étais sur le palier »… Ça ne part pas bien.



« Oh la vache ! »… Ah oui… ça me revient… Mais ça n’arrange pas mes affaires. Je vais m’en prendre plein la tête.



Faire le malin serait totalement suicidaire, mais j’essaie quand même d’y voir plus clair, de cerner l’étendue du problème qui m’est posé :



L’aveu me terrifie un peu plus. Glaçante, elle décide de s’expliquer :



Je me ratatine sur ma chaise. Je croyais m’être fait piéger par Emma. C’est Marie qui m’a eu. Jeff le crétin, oui…



Je me tais. J’attends que le ciel ait fini de me tomber sur la tête. C’est long. C’est lourd aussi.



J’encaisse, j’encaisse… et c’est pas fini :



Elle sait qu’elle est en train de m’accabler, mais elle est résolue à vider son sac :



Vlan ! Dans ma gueule… Je pense que son sac est loin d’être vide, mais avec ce qu’elle vient de me déballer, j’ai déjà trouvé à m’occuper pour un bon bout de temps.



Elle me fixe. Froide. Elle attend visiblement de vraies réponses. Je pose une question :



De la tête, elle fait signe que non.


Je préfère ça. Mais c’est maintenant mon tour de m’expliquer :



Marie est dubitative. Elle soumet chacune de mes paroles à une appréciation sévère. Je voudrais la convaincre que les choses ne sont pas allées aussi loin qu’elle est légitimement en droit de le croire, mais j’ai du mal à trouver les mots. Je patauge dans mes explications, c’est glauque. Et aussi incongru que cela puisse paraître, évoquer Emma sous le regard inquisiteur de Marie commence à m’exciter. L’imaginer derrière la porte, à nous écouter, pendant que… Et puis elle est vraiment sensuelle, Marie, surtout quand elle est en colère comme ça et qu’elle me foudroie de son regard noir et profond. Je sens que je commence à bander… « Tu es malade, Jeff. Il va falloir te faire soigner. »


Marie reprend la main :



Je lui raconte tout. Ou presque :



Ce détail la trouble, mais elle m’écoute avec attention.



Atterrée par mes révélations, Marie appuie sur les syllabes :



On se tait un instant. On n’a pas touché à nos cafés. Elle me relance :



Je préfère éviter de donner trop de détails sur ce que j’ai fait à Emma dès ce jour-là.



Marie hoche la tête et fait la moue. Elle est décomposée.



L’ampleur du désastre me paralyse. Je voudrais me réveiller dans la seconde et réaliser que ceci n’est qu’un affreux cauchemar.

Mais Marie veut tout savoir :



Je juge préférable de ne pas relever la petite pique. Elle poursuit dans l’ironie :



Elle est en train de me démolir, mais je ne peux m’empêcher de la trouver belle et terriblement excitante. L’entendre parler si crûment n’améliore pas la situation dans mon pantalon. Je ne lui connaissais pas ce talent et je ne suis pas au bout de mes surprises. Loin de là. Je dois encore décroiser les jambes et tirer sur la toile de mon jean pour faire un peu de place là-dedans. Je reprends une position plus confortable sur ma chaise. Mais elle entend que je réponde à sa question et elle insiste :



Elle se fout de moi ouvertement et, malgré la gêne évidente qui distrait ma pensée, je tente de reprendre le fil de la conversation :



Elle est féroce. Elle croise les bras et me demande :



Je ne sais vraiment plus quoi dire. Il me semble pourtant qu’elle a obtenu ce qu’elle voulait. Aveux complets et contrition. Que veut-elle de plus ? Me faire payer ma vilenie à sa façon ? Elle ne me laisse pas le temps de gamberger davantage et me balance :



OK… Ça, c’est fait. J’attends la suite…



Elle pose les coudes sur la table, et sa tête dans la paume de ses mains. Elle me fixe intensément et j’ai du mal à soutenir son regard. Elle est vraiment belle. Elle est même classe. Dans le triangle que forment ses avant-bras, je vois ses deux gros seins se comprimer de façon totalement indécente. Putain, y a du monde… Elle a évidemment remarqué où vient de se porter mon attention. J’aurais dû être plus discret, mais ça m’a comme aimanté. Et puis je me demande si elle n’a pas fait exprès de me présenter ses attributs aussi ostensiblement pour me tester. Elle fronce les sourcils. L’air inspiré, elle dit :



Le genre de préambule qui ne me dit rien de bon.



Et la question tombe :



J’ouvre de grands yeux :



Toujours appuyée sur ses coudes, elle joint maintenant ses mains très calmement sous son menton :



Qu’est-ce qu’elle me fait ? Elle est extra-lucide ou quoi ? Confus, je bredouille :



Elle me coupe sèchement :



Il va bien falloir que je réponde…



Je suis KO. Elle n’a pas les yeux dans sa poche. Je me sens comme un petit gamin qui se fait tancer par la maîtresse. Et la maîtresse semble de plus en plus maîtresse d’elle-même. Elle s’adosse à sa chaise et me toise avec autorité :



Aïe… J’ai encore failli dire « Pardon ». Je me suis repris juste à temps. Marie répète :



J’ai mal compris, je ne vois pas d’autre explication… Je la regarde… Elle s’impatiente :



J’ai déjà entendu ça quelque part… Mais c’est que je bande comme un âne, moi ! Je ne peux quand même pas lui étaler tout ça sous le nez…



Je baisse la tête. Si je comprends bien, nous abordons la phase « punition ». Je passe un doigt sur la table immaculée pour en chasser une miette inexistante… j’hésite… j’hésite… et puis merde ! Je recule ma chaise d’un petit mètre. Je place mes mains sur ma braguette et j’en dégrafe les boutons un à un. Le regard de Marie se pose instantanément sur la bosse qui déforme mon slip. Je me demande depuis combien de temps elle n’a pas touché un sexe d’homme. Comme par réflexe, elle a ouvert la bouche. Étonnée.

Je soulève l’élastique de mon slip et glisse une main dedans. Comme on me l’a demandé, j’en extrais mon sexe et mes bourses. Cette gaule que j’ai… la honte ! Le « paquet », comme elle dit si poétiquement, repose maintenant bien en évidence hors de mon slip et j’ai la tige qui palpite au grand air. Je me sens soulagé. Je n’y tenais plus là-dedans. Marie ne lâche pas mon membre des yeux et y va de son petit commentaire flatteur :



Shocking ! Et c’est moi le « gros cochon »…


D’un air sévère, elle dit :



Dans ma situation, je ne me vois pas trop lui répondre non. De la tête, je lui fais signe que oui. C’est ce qu’on appelle de la soumission.



J’acquiesce à nouveau.



J’opine du chef.


Elle se lève de sa chaise. Elle contourne la table. En prenant tout son temps, elle arrive jusqu’à moi. Nous y sommes… Elle s’incline légèrement et prend mon sexe dans sa main. Divine sensation. Elle le tâte et le comprime. Assurément experte en la matière, elle en éprouve la taille, l’épaisseur et la rigidité avec une satisfaction évidente. J’ai l’impression que je passe le test avec succès. Elle place ensuite sa main sous mes couilles. Elle les soupèse, les palpe avec soin et délicatesse pour en évaluer la consistance et le poids et, peut-être, me dis-je alors, le taux de remplissage. Sur ce point, je suis certain de ne pas la décevoir. « Nom de Dieu, que cette main est bonne ! Continue, Marie, continue… Je t’en supplie, Marie… »


Sans interrompre ses manipulations, elle se penche un peu plus et colle ses lèvres à mon oreille. Canaille, elle murmure :



Jamais je n’aurais imaginé que Marie, ma douce et tendre Marie, puisse se montrer si audacieuse et si directe. Un autre qualificatif, souvent associé à son prénom dans la marine fluviale, me traverse aussi l’esprit. On croit connaître les gens…

Le souffle de sa respiration si proche et sa voix sensuelle me font frissonner. Elle devient plus scandaleuse encore :



Je bois ses paroles. J’aime l’odeur de ses cheveux. Je l’entends respirer. Je l’entends déglutir. Je l’entends se mordre les lèvres. C’est l’extase absolue. « Est-ce qu’elle va me sucer ? » Elle prend tout son temps. Son haleine est chaude et douce. Sa voix caressante est presque inaudible, comme si elle avait honte de se livrer à des confessions si obscènes. Je suis envoûté et me laisse malaxer dans l’abandon le plus total. Je ferme les yeux. Sa main s’enroule autour de mon sexe qu’elle commence à masturber lentement. Toujours collée à mon oreille et frémissante, elle chuchote sa litanie malpropre en prenant grand soin de faire de très longues pauses entre chaque phrase, comme pour mieux s’en délecter elle-même :



Si elle continue comme ça, elle va me faire partir en trente secondes. Mais si je fais ça, je sais que je suis un homme mort. Le problème, c’est qu’elle continue comme ça :



Sur ces belles paroles, elle me relâche et se redresse. Elle va me bouffer tout cru. Elle fait descendre sa fermeture Éclair, elle dégrafe le bouton… Chaud… Elle me tourne le dos et elle glisse ses deux pouces à l’intérieur de son pantalon. En les passant aussi dans l’élastique de sa culotte, elle fait descendre le tout jusque sous ses fesses. « Oh, la vache… » Sous mes yeux éberlués se dévoile le cul de Marie… le sublime cul de Marie… Un magistral cul blanc. Un cul somptueux, volumineux et lourd. Moi non plus, je n’ai pas les yeux dans ma poche et je constate qu’effectivement, la vilaine maman n’a pas menti sur l’état de sa culotte. Elle m’avait prévenu, mais là… quand même… elle s’en est vraiment mis partout. Elle a raison, c’est dégoûtant.


Je comprends qu’elle a choisi de venir s’asseoir sur moi, comme ça, de côté, sans autre formalité. Je trouve l’idée redoutable d’un point de vue conceptuel. Décidément, la punition est d’une sévérité exemplaire. Je me laisse faire. Elle tend sa croupe à hauteur de mon sexe, dont elle s’empare de la main droite. De la main gauche, elle s’écarte une fesse et, d’un geste plein de maîtrise, elle entreprend alors de se frotter la vulve avec ma queue. Je ne sais plus où j’habite. Elle se branle avec ma queue ! Elle me graisse le gland et toute la tige. Elle fait une drôle de tambouille… Penchée en avant, les fesses en l’air, impudique, elle prépare son joujou.


Je voudrais la prendre par les hanches immédiatement et m’enfoncer en elle jusqu’à la garde, mais les instructions ont été clairement formulées. Je ne suis pas censé prendre d’initiative. Je la laisse mener sa petite affaire. Jugeant le moment opportun, Marie entame alors sa lente et voluptueuse descente. Pour ponctuer chaque centimètre gagné sur sa victime, elle lâche de petits « Oh… » de satisfaction. Arrivée à destination, elle se libère d’un « Aaaah ! » plus fort et salvateur, bouche grande ouverte, tête penchée en arrière et en fermant les yeux. Elle m’a gobé tout entier. Elle savoure.


Elle est maintenant bien assise. On profite de cet instant de calme pour récupérer de nos émotions. Les fesses de Marie s’écrasent sur mes cuisses. Osant un premier geste, je passe les mains dessus et, tendrement, je les câline avec tout le respect qui leur est dû. Encouragée par la douce impulsion de mes caresses, Marie se met à onduler du bassin. Puis, petit à petit, elle reprend de l’élan et commence à soulever son derrière pour le faire retomber de plus en plus lourdement sur moi. Elle se met tout ce qu’elle peut.


Je sens qu’elle réclame plus de rudesse. Pour répondre à ses désirs, je m’agrippe à ses hanches et je l’aide à rebondir sur moi plus régulièrement. Et surtout plus franchement. À chaque coup, elle m’avale entièrement. À chaque coup, ses belles et lourdes fesses viennent s’écraser sur moi en faisant du bruit. À chaque coup, elle pousse un cri.


La chevauchée s’emballe. Marie a du mal à contenir ses émotions et use encore de quelques expressions salées pour m’encourager à poursuivre dans cette voie plus brutale. Compte tenu des circonstances, je lui pardonne bien volontiers ses nouveaux écarts de langage, mais ils font encore monter la tension et, à la vitesse où nous allons, je ne me donne pas plus d’une minute à vivre. On fornique sans modération et sans trop de finesse, avec un objectif commun totalement assumé. Nous savons exactement où nous voulons aller.


« Et toi Marie ? Combien de temps te reste-t-il à vivre ? »


Soudain, nous ralentissons. Les coups et les mouvements se font plus lents, plus saccadés, plus profonds, plus définitifs. Je vais jouir. Elle le sait et dit : « Vas-y ! » Il ne m’en faut pas plus. Au moment où part le premier jet, Marie se met à jouir aussi. Pendant que je me vide en elle, parfaitement vissée sur mon sexe, elle active son bassin d’avant en arrière en se frottant sur moi comme une forcenée. Les muscles de son vagin se contractent sur mon sexe. Elle aspire tout avec voracité. Elle ne veut pas que ça se termine. Comme une machine, elle répète « Oui, oui, oui ! ». Et à son tour, elle s’abandonne, le corps tout entier parcouru de frissons.



Fin de la séquence « punition ».