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n° 16787Fiche technique22338 caractères22338
Temps de lecture estimé : 14 mn
28/04/15
corrigé 09/06/21
Résumé:  La part de divin que l'homme cherche en levant les yeux au ciel se trouve un peu plus bas, entre les fesses de sa partenaire.
Critères:  fh fellation fdanus
Auteur : Marc Chapelain  (Auteur amateur)            Envoi mini-message
Raide

Elle est à quatre pattes devant lui et offre son cul. Il bande avec une telle ferveur que sa verge en vibre.

Il s’apprête la pénétrer, elle tremble de l’attente. À genoux derrière elle il profite encore de ce moment qu’il aime par-dessus tout, juste avant de lui planter son membre. Le plus enivrant c’est quand son gland touche le sexe de la fille. Il y a comme une petite brûlure fraîche, juste avant le début de l’introduction qui devient alors impossible à différer mais qu’il s’efforcera de rendre lente, précautionneuse et résolue. À chaque fois cet instant lui coupe le souffle.

Elle balance légèrement les fesses, creuse les reins, montre qu’elle l’attend. Il a toujours su, exactement, que c’était ça le bateau ivre du poète. Elle est la vie, la vérité, l’offrande. Éperdu de tendresse et de vigueur il s’avance lentement, les reins tendus et l’œil cloué sur ce cul qui sait chaque millimètre de son approche. La respiration courte et la bouche entrouverte, il laisse involontairement échapper un peu de salive qui vient tomber entre les fesses de la fille. Il doit saisir son sexe qui darde aux étoiles pour lui faire baisser la tête, le ployer vers le chas qui l’attend.



Aussi loin qu’il s’en souvienne, il a toujours bandé avec une raideur de bois. En quelques occasions il s’était rendu compte que les femmes pouvaient en être surprises. Sans être exceptionnel ce n’était donc pas si courant. Il n’en tire pas de fierté, il n’y est pour rien. N’y ayant aucun mérite il n’en ressentait pas de fierté mais il aimait offrir ce sexe dur au plaisir de ses amantes et se réjouissait de sa chance.


Il a le souvenir qu’un jour une fille en avait bondit de surprise. Trois heures avant qu’ils ne fassent l’amour il ne la connaissait pas. Il avait été invité chez elle avec des amis qui souhaitaient les présenter l’un à l’autre, sans doute avec une arrière-pensée. Avant même le début du repas il avait compris qu’il ne laissait pas leur hôtesse indifférente et qu’elle avait envie d’un peu plus avec lui lorsque la soirée s’avancerait. Elle l’avait exprimé sans équivoque lorsqu’il aidait à débarrasser la table. Entrant dans la cuisine les bras chargés d’assiettes et cherchant où les poser, il avait été la victime très heureuse d’une caresse au bas du dos accompagnée d’un baiser furtif dans le cou et d’un mot chuchoté : « tu restes ? » Il n’en demandait pas tant.


Une fois les autres convives éclipsés, elle avait rapidement baissé les lumières et l’avait à peine embrassé sur la bouche, effleuré plutôt. Son regard était déjà trouble. Puis elle l’avait guidé par la main jusque dans sa chambre, là elle l’avait abandonné, debout et ne sachant quoi faire, pour disparaître dans un cabinet de toilette. Elle en était ressortie nue au bout de quelques secondes et avait de nouveau effleuré ses lèvres avant de s’allonger sur le lit, couchée sur le ventre, la tête enfouie dans l’oreiller. Il avait été étonné de cette absence totale de préliminaires, puis s’était absorbé dans le spectacle de cette femme de dos, offerte à son regard. Elle n’avait pas baissé la lumière de la chambre, sans doute volontairement, elle voulait être regardée. Aussi prit-il son temps pour la contempler en se déshabillant. Quand il fut nu, il bandait vigoureusement. S’asseoir sur le lit et commencer à la frôler d’une main ne lui sembla pas approprié avec une femme aussi directe. Il préféra grimper sur le lit à quatre pattes, l’enjamber et se placer à genoux un peu en arrière de ses fesses qu’il commença à caresser des deux mains, à explorer sans hâte. Elle gémit en ouvrant un peu les cuisses, obligeant l’homme à écarter les genoux et rapprocher son bas-ventre de son but. Il écarta un instant sa verge qui lui cachait la vue et observa avec une avidité ravie le sexe de la femme. Glissant sa main entre les cuisses et remontant vers lui, il en ouvrit doucement le sillon d’un doigt aussitôt inondé. Elle n’avait effectivement pas l’usage des préliminaires habituels. Il se pencha en avant, plaça ses mains juste au-delà des épaules de la belle abandonnée et ses couilles vinrent se loger entre des cuisses qui cherchaient maintenant à s’ouvrir plus largement cependant que leur propriétaire levait les fesses. Comme il baissait les hanches, sa verge vint effleurer le cul de la fille qui eut une réaction inattendue. Elle cria en se dégageant brutalement et roula sur le côté :



Elle lui fit face et se tut soudain, décontenancée. En se dégageant elle l’avait repoussé sur le flanc, il ne bougeait plus, désarçonné au propre comme au figuré. Hésitant, il interrogea :



Confuse elle bredouilla des justifications embarrassées :



Il ne comprit pas et resta pensif pendant qu’elle reprenait sa position initiale. Un peu refroidi, mais pas assez pour abandonner, il mit cependant quelques instants à se remettre en train. Il la prit en levrette, avec précaution et en s’attendant à une autre dérobade. Mais elle ne broncha plus et sembla même apprécier. Un orgasme un peu décevant lui fit clouer son sexe au plus profond d’elle. Un moment plus tard, elle lui demanda si ça avait été bien pour lui. Il répondit que oui, bien sûr, mais qu’il aimerait bien comprendre ce qui s’était passé au début. Elle ne releva pas et déclara que pour elle ça avait été formidable. Il ne reposa pas sa question et douta beaucoup de la sincérité de cette déclaration.


Ils se revirent plusieurs fois et firent l’amour avec méthode et, trouva-t-il, une certaine froideur. Elle s’intéressait beaucoup à sa verge et toujours dès le début de leurs entrevues. Elle tenait à la voir et la toucher alors qu’elle n’était pas encore dure. Elle aimait l’observer pendant la montée de l’érection comme pour se convaincre qu’il n’y avait pas de trucage. Plusieurs fois elle alla jusqu’à déplorer le fait qu’il bandait avant même d’avoir enlevé son slip. Un peu agacé, il répondait qu’elle aurait tout loisir de s’appliquer à le ranimer un moment plus tard. Elle le caressait alors avec intérêt, obtenait des érections puissantes et semblait ravie de palper et même serrer à l’en écraser ce sexe si dur. Puis elle l’enjambait et s’empalait dessus, c’était ce qu’elle préférait. Il avait l’impression qu’aucun désir réel n’habitait sa partenaire mais qu’elle le considérait comme un phénomène dont elle expérimentait techniquement la raideur. Un jour elle le prit dans sa bouche et commença à le mordiller puis le mordit vraiment, ce qui lui fit horriblement mal, perdre tous ses moyens et réclamer une explication. Elle lui avoua qu’elle trouvait sa rigidité si forte qu’elle en était intriguée et cherchait à en en comprendre le fonctionnement. Elle lui avoua que le jour de leur première rencontre elle avait cru au contact de sa verge sur ses fesses qu’il tenait un objet avec lequel il s’apprêtait à la pénétrer. Il trouva cela d’autant plus étrange qu’elle ne le considérait visiblement pas autrement qu’un gode et lui fit observer qu’à ce moment-là il avait ses deux mains posée devant ses épaules. Il ne pouvait donc rien tenir. De méchante humeur il lui conseilla de s’en offrir un, de gode. Sans paraître aucunement regretter de lui avoir fait mal, elle argumenta que les sextoys ne sont pas assez perfectionnés pour passer de l’état mou à l’état dur sous ses doigts. En constatant les marques de dents sur sa bite amollie, il répliqua qu’elle y trouverait quand même un avantage : elle pourrait les mordre tout à son aise sans se faire plaquer.



D’autres expériences lui avaient déjà fait comprendre que la vigueur de ses érections n’était pas très répandue. Tout jeune homme il vécut deux années d’une relation éblouissante qu’il considéra longtemps comme la plus riche expérience de sa vie. Avec cette femme la sexualité était quotidienne, ardente et bousculait gaiement les tabous, il apprenait beaucoup. Elle lui fit découvrir des merveilles, des pratiques d’une sophistication inattendue pour lui, des merveilles. En ce qui concerne le sexe, son adolescence s’était limitée à désirer fourrer sa bite dans le con des filles et il n’imaginait tout simplement pas l’étendue de ce qu’il lui restait à apprendre. Elle le conduisit à aimer avec son corps, à réaliser pleinement le sens de l’expression faire l’amour, il en fut changé. Elle était non seulement plus expérimentée que lui mais aussi infiniment moins empêtrée de conventions sur ce qui peut se faire à deux pour donner et recevoir du plaisir, en prendre ensemble. Elle le masturbait avec une science appliquée et fervente, l’attachait parfois pour le faire, et paraissait en ressentir un plaisir intense. Il s’abandonnait à ses mains entre lesquelles il vibrait et se vidait jusqu’au tréfonds des couilles, se sentant un peu coupable que leurs plaisirs ne soient pas mêlés à ces moments-là. Elle serrait sa verge très fort au moment de l’orgasme et se délectait lorsqu’elle pouvait sentir dans sa main la vibration électrique qui foudroyait la hampe qu’elle avait longuement branlée. Elle inventait sans cesses de nouvelles techniques et savait immédiatement en juger les effets. Chercher les gestes, les pressions, les rythmes qui le faisaient arriver à des orgasmes dévastateurs était pour elle un acte d’amour dont l’accomplissement la ravissait.


Un jour il crut s’évanouir de plaisir. Elle était étendue sur la moquette de leur appartement et il s’était allongé sur elle. Il frottait sa verge durcie contre son ventre soyeux cependant qu’elle ondulait sous lui. Elle glissa ses deux mains entre leurs corps, saisit fermement son sexe et l’attira, l’obligeant à se mettre à genoux au-dessus de ses seins. Elle paraissait dévorer des yeux ce membre tendu juste au-dessus de son visage. Elle en explora chaque centimètre, le branlant brièvement puis le cajolant, expérimentant les caresses. Elle sut avoir trouvé une piste intéressante lorsqu’il devint plus raide qu’un manche de pioche. Du pouce et de l’index de la main droite elle avait fait un anneau unique, sans user des autres doigts, qu’elle serrait juste en dessous du gland, assez fort, avant de le faire glisser lentement et le plus loin possible à la base de la verge où elle maintenait quelques secondes une forte pression. Puis elle le lâchait soudain, sans remonter vers le gland, avant de replacer ses doigts et de reprendre le lent et puissant décalottage qu’elle lui imposait. À chaque fois qu’elle ouvrait son anneau, la verge se redressait presque à la verticale. Elle devait alors en abaisser la pointe de l’autre main puis replacer son cerclage avant de recommencer l’étranglement progressif. Saisie d’une inspiration, elle fit un autre anneau identique de sa main gauche qu’elle plaça en haut des bourses, à leur base, et serra assez fermement. Puis elle tira vers le bas. Les couilles vinrent se blottir dans sa main cependant que la bite descendait lentement à l’horizontale, en résistant beaucoup. Pour lui la sensation fut vertigineuse.


Quand elle reprit le lent passage de ses doigts sur la verge, elle sentit vibrer tout le corps de son amant. Réglant la traction pour maintenir le plaisir et faciliter son travail, elle vit le gland prêt à éclater qui se gorgeait de sang, devenait violet. Quand elle accéléra et le branla vraiment sans plus ouvrir l’anneau à la fin de sa course, quatre ou cinq allers-retours suffirent à déclencher un orgasme d’une puissance qu’il n’avait jamais connue. Elle en sentit la vibration espérée dans les deux mains, lui crut perdre connaissance. Les paupières closes pour empêcher le sperme répandu sur son visage de couler dans ses yeux, elle ne bougea plus tenant le sexe et les bourses pressés jusqu’à ce qu’il ait complètement débandé. Elle avait l’expression d’extase de quelqu’un qui vient de découvrir un trésor. Il tremblait sur ses genoux et se croyait mort. Quand il ouvrit les yeux, il vit son bonheur et l’entendit doctement commenter :



La seule imperfection de leurs ébats se trouvait dans les fellations qu’elle lui prodiguait avec la même application décidée. C’était un mélange se souffrance et de plaisir car elle était résolue à ne pas y mettre les mains, peut-être pour donner à chacun de leurs jeux une identité bien distincte. Elle l’étendait devant elle, lui ouvrait largement les cuisses entre lesquelles elle se tenait à genoux et se penchait sur son sexe en lui posant ses mains sur les hanches. Il bandait comme un démon, la bite plaquée sur le nombril. Elle allait alors chercher le gland du bout des lèvres et devait pour cela appuyer son front sur le ventre de l’homme. Puis elle restait immobile un instant, la bouche grande ouverte, les lèvres touchant à peine l’extrémité du gland. La chaleur de son souffle et la sensation de ses cheveux se posant de part et d’autre de son membre lui faisaient redouter d’éjaculer dans la seconde. Puis elle posait la langue au bout de la verge et la suçotait quelques instants avant d’emboucher franchement le gland, pas plus loin. Elle redressait alors la tige à la verticale en se servant uniquement de sa bouche. Sa raideur résistait bien malgré lui et, immanquablement, lorsqu’elle descendait ensuite le long de la colonne pour le pomper, il sentait ses incisives le meurtrir. Il la suppliait de lui maintenir le sexe vertical d’une de ses mains. C’était un mélange de sensations complexe, où parfois l’inconfort l’emportait. La raideur n’a pas que des avantages.


Elle proposait aussi de véritables révolutions dans leurs amours. Un jour qu’à genoux entre ses cuisses elle s’adonnait à son jeu favori en le masturbant, il sentit se relâcher son application coutumière. Elle semblait ne pas être à ce qu’elle faisait, c’était si inhabituel qu’il en ouvrit les yeux. Il rencontra son regard brillant et résolu, elle avait convoqué son attention. Tenant toujours fermement sa verge d’une main, elle avança son bas-ventre jusqu’à frôler les couilles avec sa toison. Elle plongea sa main libre dans son propre sexe, ferma les yeux en le fouillant lentement et les rouvrit en lui présentant deux doigts abondamment mouillés qu’elle lui enfonça ensuite doucement dans l’anus en recommençant à le branler. Il résista un peu puis s’ouvrit et s’abandonna à ce nouveau plaisir. À compter de ce jour elle voulut être activement et exclusivement sodomisée, ce qu’il n’aurait jamais osé lui demander, ni même envisager. Elle lui présentait son cul haut levé, le visage plaqué de côté sur les draps et les épaules touchant le lit. Ses reins creusés au maximum et ses cuisses largement ouvertes la montraient totalement offerte. Son sexe était béant, dans lequel il devait puiser le lubrifiant qui permettrait à sa bite de se glisser dans le cul. Il avait des vertiges en regardant son gland brillant de jus peser sur cet anus inondé puis disparaître entre ses fesses comme s’il avait été gobé. Il jouissait immédiatement, trop vite, dans ce boyau soyeux. Aussi prit-elle l’habitude de le branler avec efficacité en guise de préliminaire, pas trop longuement, mais de façon à lui donner un premier orgasme rapide avant qu’un peu plus tard elle ne lui tende le cul pour une longue et profonde sodomie qui la transportait de jouissances incroyables.


Elles ne souhaita pas s’arrêter là dans leur exploration des pratiques et un peu plus tard l’informa en lui étranglant amoureusement le dard et lui plantant de nouveau deux doigts lubrifiés dans l’anus, qu’elle avait l’intention de se procurer une ceinture équipée d’un gode pour pouvoir le sodomiser tout en le masturbant. « Comme ça ! » dit-elle en retirant ses doigts, le soulevant par la bite et plaquant fermement sa motte sous ses couilles. Elle voulait aussi, à l’aide du même instrument, associer une autre femme à leurs ébats, une femme qu’elle sodomiserait pendant qu’elle-même se ferait prendre par le cul. Elle rêvait de jouir de la vue qu’on a en plongeant dans un anus tout en en ressentant les effets. Il refusa de se laisser sodomiser, sans doute par peur d’altérer ce qu’il croyait être son image de mâle. Il était trop jeune, stupide… conventions. Privée de la dynamique qui lui était indispensable, ce qu’il comprit plus tard, leur relation s’étiola. Il la quitta quelques mois après pour une très belle fille qui ne le branlait pas, le suçait à contrecœur et jamais jusqu’à l’orgasme. Elle se contentait de lui laisser limer son cul splendide, exclusivement par-devant et paraissait choquée qu’il cherche parfois à lui glisser un doigt dans l’anus. Il s’en lassa vite. Il commença à regretter sa bêtise en découvrant que les femmes qui ont vraiment des dispositions pour le sexe et s’y adonnent avec passion sont rares. Il sut aussi que ces dispositions n’ont rien à voir avec la plastique et qu’un corps de déesse peut se révéler sans intérêt au lit. Il se mit alors à rechercher des relations dans lesquelles la sexualité exploratoire tenait une place importante et abandonnait vite celles qui se cantonnaient à une routine convenue.



Depuis qu’il y avait été initié, il s’adonnait avec délice à la sodomie de ses maîtresses, le plaisir ressenti n’a guère d’équivalent. Les femmes aussi sont nombreuses à s’y prêter pour les mêmes raisons. Cependant sa rigidité excessive faisait que certaines de ses amantes, même offrant volontiers leurs anus à sa verge, trouvaient la chose un peu douloureuse, ce qui gâchait tout. Elles devenaient ensuite moins enclines à se laisser empaler, ce qu’il déplorait mais comprenait. Aussi il s’appliquait toujours avec ses amoureuses à des préparations longues et attentives. C’étaient de douces introductions de doigts lubrifiés à la corolle toute proche qui succédaient à de lents massages circulaires destinés autant à assouplir des muscles qu’il ne faut jamais brusquer qu’à faire monter le désir du pal soyeux dont il effleurait les fesses de la femme jusqu’à l’affoler. Quand elle ondulait d’ivresse en cambrant les reins, il la saisissait par les hanches avec une fermeté prometteuse, lui faisant supposer qu’elle allait être sodomisée dans l’instant. Il s’en gardait bien, ajoutant un palier supplémentaire à la montée vers le ciel en lui posant la langue sur l’anus.


Il léchait d’abord doucement uniquement de la pointe puis plus fort et largement, alternant les passages longs et lents de sa langue avec les courts et rapides qu’il ponctuait de tentatives d’introduction de sa pointe dardée. Lorsqu’il sentait le puits s’élargir de petits spasmes sous ses assauts, il savait qu’elle ne pouvait pas être plus préparée. Alors il approchait son sexe qu’il faisait balancer de sa main pour en frapper la porte brûlante de quelques coups de gong. Un dernier prélèvement de jus dans le con qu’il déposait au point précis où il faisait ensuite peser le front de son bélier et le miracle du gobage avait lieu. Une fois le gland entré il marquait un temps d’immobilité parfaite avant de s’enfoncer le plus lentement possible. Toute l’initiative revenait alors à la femme qui, le plus souvent, venait au-devant de lui. Lorsque la préparation avait pleinement atteint son but ou qu’il avait affaire à une adepte convaincue, elle ruait sur sa bite pour s’y empaler jusqu’aux couilles. La suite n’était qu’ivresse et halètements, orgasmes partagés, giclée de sperme puis apaisement des cœurs comme des respirations dans la moiteur d’un cul bien honoré dont il se retirait doucement.


En une occasion il ne débanda pas après l’orgasme et resta planté dans l’anus. Il attendit sans bouger, curieux de voir ce qui allait se passer et découvrit avec une surprise mêlée d’ivresse qu’il se sentait prêt à recommencer. La fille ne tarda pas à comprendre. Lui aurait-elle demandé de se retirer qu’il l’aurait fait immédiatement, à regret mais il l’aurait fait. Mais elle ne sembla pas exiger qu’il s’en aille et commença très lentement à bouger d’avant en arrière, d’abord imperceptiblement, comme pour tester sa propre résistance, s’assurer que cela ne lui faisait pas mal et se convaincre qu’ils allaient remettre ça. Il la laissa faire sans donner aucun coup de bassin, se concentrant sur son érection. Il se sentait vivre en entier dans sa bite et quand la pensée lui vient qu’elle était en train de le sucer avec son cul, il chavira de désir et répondit à ses coups. L’orgasme vint presque aussi vite que la première fois. Elle marqua plus tard son étonnement par cette seule exclamation : « Quelle forme ! » Cela ne se reproduisit jamais, même avec elle. Ce fut un cadeau des dieux auquel il repense de temps à autres. Il sait alors qu’il y a de bonnes chances qu’avant de rendre son dernier soupir, son ultime pensée le ramène à ce cul qui lui avait donné la joie des « deux fois sans sortir ». Une pensée qui en vaut bien une autre.



Lâchant sa verge, il ouvre un peu les fesses de la fille. Il voit sa salive accidentelle suivre la raie et s’arrêter sur l’anus qui frémit. Il ne faut pas ignorer les signes qu’on vous adresse.