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n° 16789Fiche technique30680 caractères30680
Temps de lecture estimé : 17 mn
29/04/15
corrigé 09/06/21
Résumé:  Après avoir vécu des fantasmes SM, nos amis découvrent la suite des installations des de Valmont. Ils commencent à comprendre le motif de leur présence.
Critères:  2couples grp fbi hbi couple couplus extraoffre hépilé sauna gymnastiqu douche collection fsoumise hsoumis chantage trans fellation 69 fgode préservati fdanus fsodo hdanus hgode hsodo échange partouze attache piquepince policier aventure
Auteur : Patoune  (Auteur Libertin)      Envoi mini-message

Série : Marie & Joseph

Chapitre 04 / 07
Balnéothérapie

Résumé des épisodes précédents : (N° 16758, 16766 et 16777)

Marie et Joseph, un couple libertin, ont organisé un week-end dans un gîte avec un autre couple, Catherine et Henri, rencontré sur un site internet. Après avoir fait connaissance, ils se sont amusés à un jeu comportant des gages tous plus coquins les uns que les autres, puis ils sont allés se restaurer, ce qui a été l’occasion de se livrer à d’autres activités libertines. À la fin du repas, ils sont invités par les propriétaires du gîte à découvrir certains aménagements très particuliers de leur établissement, puis ils leur font absorber une mixture qui exacerbe leurs sensations.



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Balnéothérapie




Nous nous débarrassons de nos peignoirs et, nus, nous suivons nos amis sur un chemin de sable vers l’entrée de cette grotte



Marie me souffle à l’oreille :



Personnellement je ne suis pas frileux ; je suis nos guides en totale décontraction, et je peine à croire qu’elle ne fait que cinq degrés. Mes amis me regardent avec circonspection.



Et je nage vers Alain et Joyce qui se bécotent tendrement.

Quand on vous dit c’est froid et que vous avez peur du froid, cela ne donne pas envie.

Marie de dire :



Elle prend les mains de nos deux amis et les entraîne. Quelle n’est pas leur surprise lorsqu’ils comprennent que la sensation est réellement celle annoncée.



Eh oui, l’explication est simple, ce qui me ramène à d’autres remarques de nos amis sur les inimitiés dont ils ont du se prémunir ; j’ai le sentiment que nous ne sommes pas au bout de nos surprises.



« Nous y voilà ! pensai-je. La faveur de monsieur et madame de Valmont de nous montrer leurs installations de folie ne se bornait pas à jouer avec des libertins ; leur véritable intention était toute autre… »


Catherine se penche vers moi et me susurre à l’oreille, non sans humour :



J’estime qu’il ne doit pas être loin de minuit ; il est vrai que nous n’avons plus de vêtements, ni de bijoux, et encore moins de smartphones qui, de toute manière, sous terre, ne serviraient pas à grand-chose.



Nous les suivons vers le fond de la grotte ; des peignoirs nous attendent sur un banc. Sur la gourmette – un bracelet à nos prénoms – bracelet en cuir et en acier style Emporio Armani, très chic, et à la hauteur du lieu.



Alain et Joyce, main dans la main, poussent une porte et nous invitent à les suivre. La porte se referme. Je la pousse ; rien ne vient. Je la repousse et nous tombons dans une pièce qui ressemble à un sas. Sur un banc :


« Belle soirée, et à demain pour le lunch qui se tiendra à partir de 12 h 30 à l’orangerie du domaine. J. & A. »



Je regarde ma douce avec amusement.



Henri et Catherine ont une idée pour poursuivre.



Et elle se met à taper dans ses mains en déclamant :



Un panneau que l’on croyait fixe coulisse.



Face à nous, une grande salle qui est en définitive un gymnase avec sur la périphérie de la pièce des accessoires de cardio, qui à y regarder de près peuvent tous être équipés d’accessoires coquins ; faire de l’elliptique ou du vélo pourrait devenir encore plus jouissif…



Nous nous retournons : deux garçons et deux filles nous regardent, tout sourire. Ils sont habillés de lin blanc, et on les devine nus sous leurs vêtements.



Le blond prend la main de Catherine et l’emmène en direction de la baignoire, Marie vers le hammam.



Nous suivons nos hôtesses qui nous ouvrent la porte non sans s’être déshabillées, nous offrant une vue sur leur magnifiques fesses avant de pénétrer dans l’alcôve de tremble ; Maeva et Dina sont leurs prénoms. Maeva est face à nous, les mains sur le pubis ; Dina referme la porte puis se repositionne à côté d’elle, les mains aussi sur son pubis.



Pour être cadeau, c’est cadeau : nos deux hôtesses sont dotées à la fois d’attributs masculins et féminins en parfait état de marche. Nous sommes assis l’un à côté de l’autre et nous profitons d’un savoir-faire buccal hors du commun, ballet d’une synchronisation parfaite, et tout en nous pompant, d’une main elles assouplissent notre rondelle, de l’autre elles se branlent leur bite.

Nous sommes maintenant allongés. Maeva glisse sa main dans un sac en toile discrètement accroché et en ressort deux paires de menottes munie de scratch, dont elles se servent pour nos poignets et nos chevilles ; une chaînette relie les deux extrémités, découvrant nos fondements. Dina a récupéré deux tubes de gel et en tend un à son alter ego.



Et toujours dans une parfaite synchronisation, les sexes des deux hermaphrodites nous pénètrent. Nous profitons du spectacle irréel de sentir l’humidité de leur fente qui suinte et de leur poitrine qui danse au-dessus de nous. Le fait d’être attachés décuple encore plus notre plaisir ; leurs mains jouent avec notre poitrine et nos attributs. Au bout de dix minutes de ce traitement, nos hôtes nous détachent.



Nous installons nos déesses à genoux en levrette sur le banc et nous nous installons pieds au sol non sans s’être équipés au préalable de latex, et nous investiguons leur cramouille pendant qu’elles s’astiquent la bite conjointement. Ce spectacle renforce nos convictions et nous poursuivons nos coups de sabre, changeant à l’occasion d’orifice, ce qui aux exclamations des filles est plus un encouragement qu’une récrimination. Notre éjaculation est proche ; nos partenaires, le sentant, se désengagent et se retournent pour que nous nous vidions en longs jets dans leur gosier affamé, partageant comme il se doit nos offrandes.



Nos deux androgynes se positionnent chacun sur un banc, et cul par-dessus tête s’adonnent à un léchage en règle à la fois de leur bite mais aussi de leur clito. Incroyable, leur souplesse ; à croire que les installations du gymnase proche et de l’entraînement quotidien portent leurs fruits. Et dire que je pourrais vivre cette sensation… Mais il est vrai qu’à l’époque, ma ceinture abdominale n’était pas si développée.



Et voilà qu’elles s’installent en 69. Un coup d’œil au sac à malices : Henri découvre deux doubles vibros et m’en tend un. L’humidité de nos deux coquines est telle que nous n’avons pas de difficultés pour les pénétrer, et les multiples vibrations des jouets leur font exprimer leur contentement.

Le sauna n’est certes pas trop chaud ; fort heureusement, car les exercices auxquels nous nous livrons depuis une demi-heure font qu’une douche serait la bienvenue. Dina et Maeva, sur la même longueur d’onde que nous, nous entraînent vers le bloc sanitaire équipé de douches hydromassantes.


Ceci fait, nous prenons la direction du jacuzzi où nous retrouvons nos dames, toujours en charmante compagnie, flûte de champagne – certes en plastique, conformément au lieu – à la main ; mais je devine à la finesse des bulles un millésime de bonne facture accompagné d’en-cas tout aussi appétissants les uns que les autres.




  • — John m’a emmenée tout d’abord dans une alcôve équipée d’une baignoire ronde hydromassante intégrée au sol. Tout autour d’elle, les murs étaient garnis de jouets, dont des godes-ceinture comme j’aime et que tu aimes, mon chéri. Devant ma mine réjouie, John m’a dit :
  • — Maîtresse, je suis ton soumis pour une demi-heure ; je suis là pour te contenter.
  • — Branle-toi, mon garçon, que Maîtresse voie ta bite. Hum, taille pas excessive, bourses bien remplies, et rondelle souple.

Je me suis saisie d’un gode muni d’une poignée. Les blocs de gel sur les murs ne sont pas tous destinés à la beauté du corps : celui qui est vert sert à faciliter les pénétrations. John, toujours face à moi, a écarté son compas, s’est penché vers moi, facilitant l’accès à sa rondelle que je me suis empressée de pénétrer tout en me régalant de sa bite.


  • — Mon chéri, je te veux ; délivre-toi de ta jouissance. Je veux boire ton jus frais de jeunot, donne-le à la cougar que je suis. Allez, jute !



Dina et Maeva nous regardent en souriant. Il est vrai qu’elles ont réussi à se glisser dans le jacuzzi sans montrer leur particularité androgyne. Avec Henri, nous les prenons par la main ; elles se mettent debout face à nos compagnes.



Et de concert elles se jettent sur le vit des filles, ce qui donne l’idée à Stan de faire de même pour Henri et John de se mettre aussi à mes genoux pour déguster ma prune et mes pruneaux. Nous finissons par sortir du jacuzzi pour rejoindre un ring en cuir de 4 x 4 mètres afin de poursuivre les jeux et les figures à huit mains.



Les jeunes nous tendent chacun un flacon, et cul-sec nous absorbons un breuvage amer proche de l’aloès.



Nous reprenons une sente qui grimpe légèrement, puis nous arrivons devant une porte. Stan pose son index ; la porte s’ouvre. En passant, par reflexe professionnel, je ne peux m’empêcher de regarder le système ouverture : il est du fabricant pour lequel je travaille. Cela fait tout de même le troisième hasard depuis le début de la soirée ; je me demande si les compétences de Catherine s’accordent avec les intérêts de Valmont.


Nous pénétrons enfin dans notre gîte. Nos affaires sont rangées dans nos chambres ; sur la table, en évidence, nos bijoux et smartphones. Sur le mien, un message des Valmont nous remercie pour la bonne soirée qu’ils ont passée grâce à nous, et ils nous disent à demain. Nos amis bordelais et Marie trouvent un message identique. Je regarde l’adresse sur laquelle le message a été envoyé, reflexe qu’a également Henri ; nous constatons que le message est sur toutes les boîtes individuelles et communes ; idem pour Marie et Catherine. Marie déclare :



Oui, devin. Jusqu’à quel point ? Jusqu’à quel point souhaite-t-il nous manipuler, souhaite-t-il nous entraîner ? Quel est son objectif ? Quel est celui de Joyce qui, dans cette histoire, ne me semble pas si suiveuse que cela ? Beaucoup de questions, mais peu de réponses…



Et Catherine joint le geste à la parole avec une pelle dont elle a le secret. Il n’y a pas de fainéants ; un dernier coup d’œil à la pendule : il est 3 h 45.



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Crac-boum ! Elle est décidément insatiable, ma Marie… À croire que nos parties de jambes en l’air depuis hier 16 heures ne l’ont pas calmée ; à croire même que ses sens sont exacerbés.



Couilles velues ? Et de me découvrir un pubis noir de jais avec des poils de dix centimètres ; certainement une conséquence des décoctions bues la veille. Marie réalise également et se découvre un pubis fourni comme jamais elle n’en a eu un depuis longtemps. C’est à ce moment qu’Henri et Catherine émergent de leur chambre. Nous constatons qu’ils ont récupéré également une toison pubienne qui nous permet de constater une blondeur nordique à Henri, qui nous déclare :



Les mots « Liqueur de Jouvence » me viennent à l’esprit. Je regarde mes mains, mes pieds, mon sexe ; stupeur : mon vitiligo qui me dépigmentent la peau depuis un jubilé a totalement disparu. Un coup d’œil à la glace pour constater la disparition de mes cheveux blancs. Les flacons que nous avons bus auraient-ils aussi la faculté de faire rajeunir ? Pouvoir retrouver la chevelure de sa jeunesse rentre-t-il dans un projet industriel en rapport avec le savoir-faire de Catherine ? Plus de questions encore que de réponses !



11 h 15. Le sommeil, c’est fait. Le café, je ne sais pas, mais ils ont eu la délicatesse de programmer la machine. De toute manière, j’ai cru comprendre que nous étions attendus pour un lunch ; maintenant, la bonne question est : qu’allons-nous avoir à mettre ? Car pour notre part, nous n’avons pas emmené de tenue de cocktail.

Catherine jette un coup d’œil par la fenêtre :



La porte s’ouvre sans plus de façon sur nos amis d’hier soir qui nous saluent ; Dina et Maeva, suivies de John, tirent un portique sur lequel on distingue dans des housses des robes et des costumes.



Nous rejoignons la terrasse où quatre transats sont installés en ligne ; une douche sur portique surplombe chaque transat.



Les jeunes virevoltent de l’un à l’autre, rafraîchissant nos pubis et nos cheveux pour John et Dina, Maeva et Stan œuvrant à la manucure.



Une douche bienfaitrice nous inonde. Nos jeunes amis prennent possession de nos corps pour nous oindre de gel parfumé et autres shampoings.



Nous traversons pour découvrir quatre tables de massage. Nous sommes invités à nous y installer, et nous nous laissons manipuler sur les accents des variations Goldberg.



Et Dina de dire en poursuivant son massage entre mes cuisses :



John nous tend à chacun une housse.



Surpris, nous nous laissons guider par Maeva et Stan, John et Dina s’occupant de nos amis.



Maeva et Stan profitent de notre position pour investir nos fondements de rosebuds d’un poids conséquent.



Ce sont deux pinces qui rejoignent nos tétons au moyen d’une chaînette dorée.



Et c’est un cockring qui habille mes bourses et la base de ma queue tandis que Stan enfonce un plug vibrant dans la chatte de ma belle. Puis Maeva m’aide à enfiler un string noir qui se referme sur la ceinture par trois clips de chaque côté, puis remet à mon cou un collier à mon prénom. Marie se voit dotée d’un boxer gris perle avec un haut assorti, sans oublier le collier. Une chemise blanche, nœud papillon noir et costume Armani ; Maeva me remet le bracelet à mon poignet droit, le nom écrit vers l’extérieur, et à mon poignet gauche ma montre. Marie, de son côté, enfile sa robe-fuseau bleu nuit, et Stan réajuste sa coiffure d’une barrette. Des italiennes rejoignent nos pieds ; il est vrai que mes talons, eux, sont plus bas que ceux de ma belle.



Marie glisse le sésame dans son sac à main que lui tend Maeva ; je glisse l’appareil dans ma poche intérieure.

Nous retrouvons Henri et Catherine dans le salon, cette dernière dans un ensemble jupe-tailleur Chanel, lui dans un costume Armani gris coupé à la perfection ; à croire que la maison dispose de couturières œuvrant le dimanche, à moins que nos garde-robes aient été visitées à l’occasion. Je laisse la question pour plus tard, tout comme notamment l’usage du téléphone que l’on vient de nous remettre.



Dehors, une voiture de golf nous attend avec une remorque aménagée pour le transport de huit personnes. Nous y grimpons avec Maeva et Dina, Stan au volant et John à côté de lui. Nous prenons la direction du lieu de notre rendez-vous.

Maeva et Dina se penchent et font coulisser à leurs pieds un casier où elles prennent chacune deux étuis, eux aussi marqués à notre nom, et nous le tendent en nous disant :



Il s’agit de loups de soie fort élégants, et Marie de déclarer :



Puis ils mettent un badge à notre prénom au revers de nos tenues.



Elle nous tend un paquet de cartes à notre prénom et l’initiale de notre patronyme, assortis d’une adresse mail éponyme, d’un nom de domaine @ajdev.org aux initiales de nos hôtes, et un 06 correspondant certainement aux téléphones remis tout à l’heure.

Je regarde ma montre : il est 12 h 30. Nous allons revoir Alain et Jocelyne, et connaître peut-être aussi le motif de notre présence.