Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 16801Fiche technique13715 caractères13715
Temps de lecture estimé : 9 mn
06/05/15
Résumé:  Samia et Fred, en couple depuis douze ans, ne semblent plus éprouver de sentiments l'un pour l'autre. Ils décident d'aller consulter un marabout, mais celui-ci va profiter de la situation.
Critères:  fhh humilié(e) jalousie contrainte fellation yeuxbandés confession sorcelleri
Auteur : Marco69      Envoi mini-message
Le marabout pervers

Salut ! Je m’appelle Samia ; j’ai 33 ans, et je suis en couple avec Fred – 34 ans – depuis déjà seize années. Je vais vous raconter ce qui nous est arrivé il y a maintenant sept mois.

Tout d’abord, il faut savoir que ça n’allait pas très bien dans notre couple ; et sexuellement, ça n’a jamais été le septième ciel, dû certainement au petit diamètre de sa bite que j’avais du mal à ressentir dans ma chatte. Je l’aimais toujours autant pour d’autres qualités, certes, et préférais garder mon homme.


Nous décidâmes d’aller consulter un marabout pour guérir notre couple de toutes ces tensions, et surtout pour retrouver un désir sexuel l’un envers l’autre. Nous ne connaissions rien de ce domaine, mais avons été conseillés par une amie qui avait vu un documentaire sur ce genre de pratique.


Un dimanche matin, Fred se décida et fit une recherche sur internet pour trouver un marabout. Il saisit son mobile et composa le numéro d’un guérisseur situé à 40 km de notre domicile. Après deux tonalités, un homme décrocha et se présenta sous le nom de professeur Endia, avec un accent de Noir africain. Fred lui expliqua en deux mots nos tensions ; le marabout lui coupa la parole :



Fred accepta, et notre nouveau toubib lui demanda de venir en couple. Nous prîmes la route vers 13 heures pour ne pas arriver en retard car nous avions placé un grand espoir dans cette démarche. Sur le trajet, une envie de faire pipi me stressait un peu plus que je ne l’étais, et j’ai donc demandé à Fred de s’arrêter sur la prochaine aire de repos, ce qu’il fit cinq minutes après. Une vingtaine de mètres que je parcourus à la vitesse grand V me séparaient des toilettes. Arrivée devant la porte de la seule cabine mixte, je trouvai une note qui en annonçait la condamnation car hors service. Déterminée à me soulager, je partis derrière un buisson, baissai ma culotte en tenant ma jupe et m’accroupis.


Au moment où je lâchais mon urine, j’entendis des pas qui se rapprochaient en face de moi. Je pensai que c’était Fred, mais en regardant entre deux branches du buisson derrière lequel je me trouvais, je vis un inconnu, du moins de la taille jusqu’aux genoux car j’étais accroupie. J’avais peur qu’il vienne jusqu’à moi, mais en voyant qu’il s’était arrêté et ne soupçonnait pas ma présence, je décidai de ne plus bouger. Je regardais le peu que je voyais de lui en espérant qu’il ferait demi-tour et en me demandant ce qu’il faisait par ici, lorsque je le vis descendre sa braguette et sortir une énorme bite qu’il décalotta pour laisser apparaître un gros gland et commencer à pisser. Moi qui n’avais jamais vu une grosse queue en vrai et de près, j’étais servie ! Elle était tellement surdimensionnée et impressionnante que je fus comme hypnotisée en regardant ce bel engin. C’est sûr que, comparé à la quiquette de 14 cm de long et 4 cm de diamètre en plein effort de Fred, il y avait là de quoi attirer le regard… De plus, elle était au repos ; alors, je n’imagine même pas sa taille en pleine érection ! Je le laissai finir son pipi, secouer et ranger son gros calibre et partir avant de remonter ma culotte.


Lorsqu’on reprit la route, j’ai raconté à Fred mon petit épisode aux toilettes. Lorsque j’eus fini, il me demanda si j’aurais aimé essayer cet homme ; je lui répondis que non, mais que comme toutes les femmes sur terre j’avais déjà eu le fantasme de me faire pénétrer par une queue que je sentirais écarter ma chatte. Fred a souri et a allumé la radio.


Arrivés devant la maison du professeur Endia, celui-ci nous attendait déjà à l’extérieur. Fred stationna la voiture, et nous nous sommes dirigés vers lui, un grand Black entre 45 et 50 ans à la tête rasée et arborant une petite barbe. Il nous invita poliment à entrer et nous dirigea dans une pièce à peine éclairée meublée d’un bureau et d’un lit. Monsieur Endia nous installa en face de lui et commença à nous questionner à tour de rôle sur notre vie, nos habitudes, nos rapports sexuels et d’autres détails qui devaient être indispensables pour orienter ses soins. Après vingt minutes de discussions, il sortit deux feuilles avec un règlement à signer que l’on devait respecter. Le marabout nous expliqua que la solution à notre problème consistait en un soin corporel assez spécial mettant en œuvre plusieurs produits naturels, que seul lui savait faire. De plus, si nous voulions que le traitement soit efficace, il ne fallait pas parler, pas voir, et obéir pendant le soin ; et si nous voulions que les résultats durent, il ne fallait en parler à personne. Curieux et naïfs, nous avons accepté. Le professeur quitta la pièce et nous demanda de l’attendre un instant.


Il revint trois minutes plus tard en apportant des articles en tissu. Il m’a tendu une sorte de robe blanche avec un bandeau pour les yeux et m’a demandé d’enlever tous mes vêtements et d’enfiler sa robe, de cacher mes yeux, et surtout de ne plus parler. Il donna à Fred un autre bandeau pour ses yeux, puis le marabout m’allongea sur le lit et fit asseoir Fred vers ma tête.


Je sentis tout à coup deux mains me saisir les chevilles et faire remonter mes jambes, puis elles se posèrent sur mes genoux pour me faire écarter les jambes. Je voulus lui demander ce qu’il me faisait, mais je me souvins de l’interdiction de parler et de l’obéissance pour que le soin fonctionne, alors je me suis laissée faire ; après tout, c’était une sorte de toubib… Il fit remonter ma robe ; ma chatte était désormais à l’air devant cet homme. Je sentis sa main commencer à me frotter la chatte avec une substance huileuse, certainement les produits naturels dont il nous avait parlé au début. Il demanda à Fred de baisser son pantalon et de sortir sa petite verge. Fred s’exécuta, et le marabout le plaça devant moi en déclarant :



Fred était déjà en érection, certainement à cause des quelques gémissements que j’avais laissé sortir malgré moi pendant que le marabout me frottait de sa grande main. Le professeur reprit la parole :



Je sentis la petite queue de Fred entrer en moi – sans doute après que monsieur Endia l’eut rapproché de moi – et je me demandai si je devais être gênée ou prendre un petit plaisir comme à la maison. Fred faisait des va-et-vient, et lorsqu’il faillit jouir, le marabout le tira vers lui pour qu’il sorte de moi. Il l’amena vers ma tête qu’il souleva avec délicatesse pour que je me redresse. D’une main, il m’ouvrit la bouche et de l’autre il poussa Fred vers moi de sorte que son sexe entre dans ma bouche pour y éjaculer. Monsieur Endia me boucha le nez pour que j’avale le sperme de Fred, puis le professeur me rallongea sur le lit et fit s’asseoir mon mec vers ma tête. J’entendis quelques pas, puis d’un coup une musique africaine qu’il avait choisie certainement pour les esprits. Ensuite, j’ai senti Fred se lever, et une sorte de crème chaude a été versée sur ma vulve que je sentais remonter en excitation. Je me suis dit qu’il possédait là de bons produits, efficaces et naturels. À cause de la musique, je n’entendais plus ce qui se passait, mais je crus entendre la porte, sans en être vraiment sûre. La seule chose que je savais, c’est que j’étais les jambes écartées, la chatte exposée, excitée et mouillée.


Au bout de quelques minutes, je sentis les grandes mains du marabout me tirer au bord du lit et me pousser par les genoux pour les faire presque toucher mes seins, sans doute pour exposer plus ma chatte ; il les retira aussitôt en me laissant dans cette position. Quelques secondes après, je sentis le gland de Fred contre mon clitoris, mais je le sentais bizarrement plus volumineux que d’habitude. Était-ce une impression, ou une réalité due à ces produits qui auraient agi sur la petite bite de mon Fred pendant le premier rapport? Je ne le savais pas, ne pouvant ni voir, ni parler pour le demander. Après moins d’une minute de frottements de Fred, je compris qu’il voulait entrer en moi car je sentais un gros gland à l’entrée de mon vagin, et surtout que ça forçait pour entrer.


Après quelques petites entrées du bout du gland dans ma chatte, je sentis le gland entier entrer en moi, et là je n’ai même pas eu le temps de prendre une inspiration que déjà il s’enfonçait difficilement en moi. Je sentis ma chatte s’écarter, tendue au maximum. Même quand il m’avait déflorée, je n’avais pas ressenti cette sensation, mélange de plaisir intense et de douleur. J’avais l’impression qu’il touchait mon estomac, et cela me coupait la respiration à chaque fois qu’il touchait le fond de mon trou. Je ne rêvais pas : mon Fred, que j’avais toujours connu avec un petit zizi – qu’il avait dû faire circoncire en plus pour moi – se retrouvait avec un vrai zob digne de ce nom qui me remplirait la chatte pendant aussi longtemps que l’on baiserait.


Cette musique africaine m’embêtait un peu car je ne pouvais rien entendre, mais disons que j’étais plus concentrée sur le gros sexe de mon mec qui me défonçait complètement pour la première fois. Il faisait des va-et-vient, et j’avais envie de crier ; mais avec l’interdiction de m’exprimer, je jouissais donc en silence ; mais qu’est-ce que c’était bon… Je le sentis accélérer puis se retirer d’un coup, et là je me suis dit que si le marabout le refaisait éjaculer à nouveau dans ma bouche, je pourrais confirmer que Fred en a maintenant une réellement grosse ; mais surtout, grosse comment ?


Je ne m’étais pas trompée, car à peine y avais-je pensé que je sentis la grande main du marabout me relever la tête ; et moi, pressée d’y goûter, je me suis aussitôt assise en ouvrant la bouche. Et là, stupéfaction ; je n’en revenais pas : son gland entrait à peine dans ma bouche ! Il avait du mal à faire des va-et-vient ; j’avoue que, même si je ne m’en plaignais pas, j’avais vraiment du mal à le pomper tellement il était devenu large. J’ai voulu estimer la longueur et le diamètre, alors j’ai attrapé le gros engin avec les deux mains, faisant mine de vouloir l’aider à éjaculer avec des caresses manuelles. Comme le marabout n’était pas intervenu pour m’en empêcher, je savais donc que j’étais autorisée à le faire. Impossible de le croire : je n’arrivais même plus à faire le tour de sa bite avec ma main… Pour le branler, il fallait que j’utilise mes deux mains !


Quand il a éjaculé dans ma bouche, il y avait encore plus de sperme que la première fois ; c’est dire à quel point je croyais à l’efficacité de ces produits naturels. Après avoir avalé tout le sperme – ce qui me prit cinq minutes – je restai assise, attendant la suite, et je me demandais ce qu’il allait se passer quand tout à coup la musique s’arrêta. Mon bandeau fut retiré et je vis Fred, déjà habillé et assis sur la chaise, les yeux encore bandés. Le marabout me fit signe de ne pas parler pour ne pas casser le rituel. Il fit pareil à Fred, et d’un signe me demanda de m’asseoir à côté de mon homme. Il sortit une feuille déjà imprimée où il était écrit :


« Impératif : avant d’être de retour chez vous, ne parlez pas, ne vous regardez pas, et n’ouvrez pas l’enveloppe que je vous remettrai après paiement de 70 €. Merci et au revoir. »


Fred paya et prit l’enveloppe ; nous rentrâmes chez nous en respectant les règles du marabout. Je ne voulais pas mettre fin au rêve devenu réalité. Arrivés chez nous, je me précipitai vers Fred pour lui demander de me montrer sa grosse queue ; quant à lui, il était plus curieux de savoir ce que contenait l’enveloppe. Je décidai de patienter une minute. Fred, qui avait ouvert l’enveloppe, commença à lire à haute voix :


J’ai une bonne et une mauvaise nouvelle à vous annoncer ; je commence par la mauvaise : monsieur a toujours une petite bite. Quant à la bonne nouvelle, c’est que madame a pu découvrir le sexe avec une grosse queue noire de 24 cm de long et 7 cm de diamètre pour seulement 70 €.


Fred et moi nous sommes regardés sans comprendre, et lorsque je lui ai demandé de me montrer sa queue, il la sortit et fut gêné lorsqu’il remarqua mon regard déçu. Je l’étais, et ne pouvais le cacher à la vue de son petit kiki habituel ; moi qui pensais le contraire…


Et c’est là que j’ai atterri et demandé à Fred combien de fois il m’avait baisée aujourd’hui ; quand il me répondit :



Je compris que j’avais été baisée par un autre homme qui avait une grosse queue. Fred ne m’en voulait pas ; mais c’est vrai qu’après, il avait beau faire du mieux qu’il pouvait, j’avais goûté un gros engin.

Et j’en étais folle.