Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 16802Fiche technique11505 caractères11505
Temps de lecture estimé : 7 mn
07/05/15
Résumé:  Quelques heures pour réaliser et partager des fantasmes communs, dans le respect de l'un et de l'autre.
Critères:  fh forêt caférestau fsoumise hdomine cérébral voir nopéné sm -initfh -fsoumisah -voiture
Auteur : VincentSarrebourg  (Homme 60 ans appréciant les femmes en toute complicité)            Envoi mini-message
Une biche en forêt

Depuis quelques soirées nous nous retrouvions sur internet, « Elle » et moi. Nous faisions connaissance et papotions gentiment, partageant nos solitudes sans nous découvrir beaucoup. Nous nous retrouvions, recherchant plus que ce que nous voulions bien dévoiler, mais tellement désireux d’aborder enfin le sujet pour lequel, en fait, nous nous étions inscrits sur ce site : pour partager nos fantasmes.

L’un comme l’autre, nous n’osions aborder trop directement, de peur de déplaire et d’interrompre les premiers petits nœuds conventionnels que nous avions noués.

Enfin je me décidai et lui demandai :



Tu viendras en robe boutonnée devant ; tu porteras des hauts talons et tu auras un petit sac avec ton nécessaire pour 24 heures.




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À l’heure prévue, je l’attends assis dans la voiture. Elle ne pourra pas me voir de suite. Je pourrai ainsi l’observer à son insu.

Il est l’heure ; son train vient d’arriver, les premiers voyageurs sortent de la gare. Enfin je la vois. Avec ses talons très hauts, sa démarche est incertaine ; on dirait une cane de retour de noce ! Elle cherche tout autour d’elle, espérant me voir. À l’abri des vitres noires de la voiture, elle ne peut me repérer. Un petit SMS de bienvenue semble la rassurer.


Nous avions convenu que les moments de soumission commenceraient dès son arrivée.

Le scénario était prêt ; les acteurs, bien qu’un peu fébriles, attendaient avec impatience pour les deux, et une certaine crainte pour Myelle, le top du départ.

Nouveau message :


« Tu es très belle ; je suis heureux de te voir. Es-tu prête ? Ton safeword sera "abeille" durant les moments de soumission. Si tu le prononces, tout s’arrêtera immédiatement. »


Sa réponse arrive sans tarder :


« Bien Monsieur, je suis toute à vous. »


Je sors de la voiture et je m’approche d’elle ; elle me sourit, soulagée.

Je l’embrasse sur la bouche, je prends possession d’elle.



Un moment plus tard, Myelle se décide enfin et part s’habiller.



Tout en s’asseyant, elle me tend un sac contenant la robe.



Elle répète plus fort, tournant le dos à la table voisine en espérant que le couple qui s’y trouve ne m’entende pas. Ceci attire d’autant plus leur attention.



Manifestement, nos voisins semblent s’intéresser vivement à notre conversation.



Elle se relève et se tient devant moi. Son équilibre est incertain avec ses talons si hauts. Elle se tient les jambes légèrement écartées, sa croupe bien mise en valeur. Elle est à croquer !



Nos voisins ne perdent pas une miette de notre conversation.



Elle se tourne, et au moment où elle fait face à la table voisine, je lui dis de s’arrêter.

Au moment de lui dire de continuer, je vois la femme assise à côté lui donner un bout de papier, qu’elle s’empresse de mettre dans sa poche. Je fais mine de ne rien voir, et garde cela pour plus tard.



Elle continue son tour, toujours délicieusement incertaine, et vient s’asseoir.

J’ai, durant ce petit tour, déposé un petit paquet devant sa place.



Elle s’empresse de déballer le petit paquet et découvre un collier en tissu, collier qu’elle pourra mettre autour du cou, et que je pourrai glisser selon mon envie devant ses yeux.



Je la vois dans le rétroviseur, un peu inquiète peut-être, mais assez sereine et souriante.



Elle commence doucement à le déboutonner totalement.

Je la rassure un peu en lui disant qu’à l’abri des vitres teintées, je serai le seul spectateur. Elle ouvre le manteau et me laisse découvrir ses dessous, en dentelle blanche pour le soutien-gorge ravissant, assez transparent pour souhaiter en voir plus, et un string bien joli laissant deviner une très légère toison manifestement préparée pour notre rencontre.



Elle rosit légèrement, contente de mes paroles et se cambre, fière de s’exposer à mon regard curieux et appréciateur.



Elle semble prendre plaisir à ce petit jeu ; moi au volant et elle derrière, elle se sent quelque peu à l’abri. Elle dégrafe avec élégance ce soutien-gorge qui n’était vraiment pas nécessaire à sa poitrine ferme aux pointes dressées au milieu d’aréoles bien marquées.



Nous arrivons à l’orée du bois juste avant la maison forestière. Je décide alors de prendre un chemin forestier avant d’aller à la maison.



La voiture est maintenant arrêtée au milieu des bois. Le soleil est de la partie, le temps se prête aux canailleries !



Elle sort doucement, regardant partout autour d’elle. Je la rassure un peu et lui dis de ne pas s’inquiéter, mais que de toute façon c’est moi qui décide, qu’il y ait quelqu’un ou personne.



Elle avance doucement, et cinq mètres devant l’auto se déshabille totalement. Je vois maintenant ses fesses joliment rebondies. Je ne reste pas insensible au spectacle ; mon pantalon me semble de plus en plus étroit ! « Encore un peu de patience, jeune homme… »



Elle se met en route ; le sol n’est aucunement blessant, mais la terre et les gravillons ne favorisent pas une marche aisée. Elle se contorsionne par moments, réagissant aux imperfections du sol.

Le spectacle est superbe : une biche nue au milieu de la forêt.

Je ne tiendrai plus longtemps ; l’envie de la prendre dans mes bras devient insoutenable.