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n° 16804Fiche technique41463 caractères41463
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Temps de lecture estimé : 23 mn
08/05/15
Résumé:  La femme d'un mari impotent se donne à un ouvrier qui retape sa maison.
Critères:  fh fhh fplusag fagée groscul handicap
Auteur : Badalic
Petits plaisirs et grand calvaire

Paraplégique ou tétraplégique ? Je ne saurais trop dire… Le fait est que le père Garnier était salement handicapé, cloué dans un fauteuil roulant depuis des lustres et impotent au dernier degré. Il ne pouvait même plus parler, à peine bouger la tête, un vrai légume, il se contentait généralement de vous regarder avec un regard complètement éteint. Sa femme devait lui donner à manger, torcher son cul, changer ses couches et le laver. Heureusement qu’elle était aidée par une auxiliaire de vie, mais cela ne suffisait probablement pas à assurer son bonheur. Cela faisait presque dix ans que son calvaire durait et rien ne laisser présager qu’il allait s’arrêter prochainement, son mari n’avait même pas encore la soixantaine !

Martine était une femme triste vraiment morose, avec un visage toujours fermé, torturé et sérieux ; je crois bien que je ne l’avais jamais vue ne serait-ce qu’esquisser un sourire.


Depuis que je travaillais dans la région, j’habitais dans le même patelin que les Garnier. J’avais racheté une vieille masure à deux pas du cimetière, bicoque que j’avais peu à peu retapée et aménagée en lupanar. Chez moi, les filles défilaient, rencontrées pour la plupart le samedi soir dans les boîtes de nuit que je fréquentais assidûment. Mais ces relations fugaces duraient rarement plus de quelques jours – et souvent même quelques heures – car je n’avais pas spécialement envie de m’attacher, et encore moins de fonder un foyer. Mon job de charpentier, ma zicmu à fond les enceintes, un ou deux pétards de temps en temps… La vie s’écoulait ainsi, tranquille et peinarde, entre les soirées bibine avec mes potes et les parties de jambes en l’air avec ces petites pétasses.


Pour payer mes à-côtés et donner à boire à ma tire (une vieille Chevrolet Camaro au moteur bien trop gourmand), j’arrondissais mes fins de mois en faisant du black chez des particuliers. Et c’est grâce au bouche-à-oreille que la mère Garnier avait eu vent de mes talents.


Physiquement, Martine Garnier était une grosse brune assez rustique, avec un visage rougeaud plutôt marqué. Ses multiples cheveux blancs et quelques taches de vieillesse indiquaient qu’elle avait depuis longtemps dépassé la cinquantaine. Elle m’accueillit froidement et de façon peu aimable en me jaugeant avec des yeux de vautour ; elle devait penser que j’étais un petit branleur, peu sérieux et je-m’en-foutiste. Mon jean déchiré et mon attitude dégingandée avaient l’air de particulièrement lui déplaire. Elle me fit quand même entrer dans la pièce principale, me proposa même un café, s’absenta un moment avant de revenir avec un dossier cartonné qu’elle ouvrit devant moi.


Elle voulait transformer un vieux garage à moitié effondré en pièce supplémentaire pour son mari grabataire. Elle avait même fait un petit crobar pas trop mal ficelé où elle expliquait exactement ce qu’elle voulait changer. Comme je m’inquiétais de savoir si elle avait demandé un permis de construire, elle tomba des nues. Elle pensait que ce n’était pas vraiment indispensable, vu qu’elle ne faisait que transformer quelque chose qui existait.



Mais comme cela ne l’inquiétait pas, elle balaya d’un geste. Ce qui la perturbait, c’étaient plutôt les considérations financières, combien cela allait lui coûter. Elle joua alors sa petite Cosette :



N’empêche que de nos jours, on n’a rien sans rien, alors j’ai préféré la prévenir :



(Mais en disant cela je pensais plus à quelques palettes tombées du camion ou mystérieusement disparues lors d’un inventaire qu’à une réelle promo ; je l’avais d’ailleurs déjà expérimenté pour ma propre baraque).


À force de jouer sa pauvrette, la mamie finit par m’apitoyer ; j’en avais presque la larme à l’œil. Alors qu’elle chipotait encore sur mon tarif horaire, j’ai finalement conclu par un « Votre prix sera le mien » du plus bel effet. Pour la forme, j’ai quand même négocié pour qu’elle consente, en guise de dédommagement, à me céder deux ou trop babioles qui s’entassaient dans son grenier et qui ne lui étaient vraiment d’aucune utilité, genre vieux soc de charrue, jougs de bovins, outils rouillés, des choses dont on tire parfois un très bon prix chez certains brocanteurs.

Affaire conclue autour d’un apéro… Et vu qu’elle me promettait en plus de me nourrir pendant toute la durée du chantier, c’était finalement pour moi plutôt une bonne affaire. Cela m’éviterait pendant quelque temps de me faire chier à faire les courses et la cuisine.



_____________________________



Deux ou trois semaines plus tard, j’ai entamé ce chantier. J’avais demandé à ma future employeuse de vider son garage mais, comme je m’y attendais, elle n’avait absolument rien fait. Alors nous nous y sommes mis tous les deux, un soir au sortir du boulot.

C’est ce jour-là que je l’ai vue pour la première fois perchée sur une échelle. Elle portait une espèce de vieille blouse usée, décolorée. Elle était grimpée tout en haut de son escabeau, les pieds sur la plateforme, et était en train de décrocher diverses babioles qui pendouillaient du plafond. Lorsque je suis passé à côté d’elle, machinalement, j’ai levé les yeux et regardé sous ses jupons, comme je le faisais généralement en pareil cas avec les filles. La façon dont elle était positionnée me donnait une vue imprenable sur le haut de ses cuisses et sur sa culotte ; rien de bien extraordinaire en fait, mais instinctivement j’ai quand même maté. Elle avait des cuisses énormes et charnues ; quant à la culotte, c’était le modèle le plus ordinaire qui soit. C’est alors qu’elle s’est retournée et qu’elle a vu que je la reluquais. Sur le coup, elle a paru un peu surprise et quelque peu gênée. Elle a immédiatement changé de position pour que je ne puisse plus rien voir, tandis que de mon côté je répondais à ce geste prude par un sourire amusé… Tout cela ne portait guère à conséquence, j’avais tellement l’habitude de jeter un œil dès que je voyais une paire de fesses ou un bout de nichon que je n’y faisais plus vraiment attention. Alors la culotte d’une vioque, vous pensez, je n’en avais vraiment rien à cirer. Ma patronne est redescendue de son perchoir et nous avons continué à vider la pièce, sans rien dire, cet incident lui ayant cloué le bec pour le restant de la journée.


Après avoir fait place nette, j’ai entrepris la démolition qui a dû prendre une quinzaine de jours. Je venais le soir après le taf et travaillais jusqu’au dîner. Nous échangions peu avec la mère Garnier, elle était peu loquace ; et moi de mon côté, je n’avais pas grand-chose à lui raconter. La benne se remplissait de tous les gravats ; un de mes amis devait passer la récupérer quand les travaux seraient terminés.


Les fondations semblant vraiment très saines, j’étais déjà en train de reconstruire les murs. Le chantier avançait bien et mon employeuse était contente de voir son évolution de jour en jour. Les soirs où je travaillais, elle me chouchoutait en me concoctant de bons petits plats et, en guise de prime exceptionnelle, elle m’avait même offert les deux fusils de chasse dont son mari n’aurait plus besoin. Je n’avais donc pas affaire à une ingrate et ne regrettais nullement d’avoir accepté ce job.


Généralement, je n’aimais pas trop aller dans la baraque et encore moins me retrouver seul dans une pièce avec le vieux. Ça me rendait nerveux et mal à l’aise de voir cette vieille épave décrépite avec ses yeux de moribond. Mais les choses changèrent du tout au tout quand madame Bertaut, l’auxiliaire de vie habituelle – une femme aussi austère que la mère Garnier – partit en vacances pour quelques jours. Elle fut remplacée par une jeunette, une petite blonde pas spécialement délurée mais dont la sensibilité épidermique ne demandait qu’à éclore. Je me mis alors de suite en chasse et, à chaque fois que je voyais cette petite mignonne, j’étais tout le temps fourré avec elle ; je lui faisais du rentre-dedans et elle ne semblait pas complètement insensible à mes avances. Certes, elle était beaucoup plus jeune que moi, mais d’autres, avant elle, étaient tombées dans mes filets.


Je ne tardai pas à m’apercevoir que ce petit manège agaçait fortement la mère Garnier et qu’elle me faisait plus ou moins la tronche lorsque j’allais conter fleurette. Un jour que la belle Aline était en train de prodiguer ses soins à son mari et que j’étais, une fois de plus, en train de la draguer, la vieille acariâtre rentra comme une furie dans la chambre où nous nous trouvions et me sermonna d’un ton très sec :



Je l’ai suivie en maugréant. Elle avait ramené l’escabeau et comptait ranger les bocaux dans le placard du haut, ceux-là même que nous avions récupérés dans le garage et qui s’entassaient depuis des semaines, certains sur une desserte, les autres en vrac à même le sol. La vieille revêche grimpa alors sur son perchoir.



Je lui tendis une à une ses conserves, servilement et sans enthousiasme. Mais je l’avais plutôt mauvaise : dire qu’elle me considérait comme un petit toutou alors que j’avais une toiture à finir et que j’entendais Aline, toute guillerette, qui chantonnait dans la pièce d’à côté… Mais la matrone me rappela une nouvelle fois à l’ordre :



Elle avait changé de place pour attaquer un autre placard. Elle avait changé de position également. Et quand mes yeux se levèrent… quel spectacle ! À nouveau une très belle vue sur ses cuisseaux bien dodus, mais cette fois-ci, en plus, elle était sans culotte et ses grosses fesses blanches étaient entièrement nues. Sur le coup, j’ai failli lâcher le bocal pour me frotter les yeux ; j’avais du mal à le croire… J’ai ravalé ma salive. Au bocal suivant, j’ai regardé plus attentivement pour avoir confirmation : mais aucun doute, je n’avais pas rêvé, elle était bien cul nu sous sa vieille blouse défraîchie. Vingt dieux !


Par la suite, à chaque passage, j’ai reluqué son fessier sans gêne, d’autant plus facilement d’ailleurs que, tout à son rangement, elle semblait ne pas faire attention à ce curieux manège. Ses cuisses épaisses, ses gros fessiers, sa touffe de poils, sa fente charnue : à force de regarder, j’avais les yeux qui sortaient presque de leurs orbites. Car non contente de me montrer son derrière, elle me montrait maintenant sa chatte poilue sous prétexte de ranger les dernières conserves dans le placard du coin.

Une fois le dernier bocal à l’abri, ma patronne redescendit de son perchoir comme si de rien n’était. Elle ne semblait n’avoir rien remarqué, n’avait pas imaginé une seconde qu’elle venait de m’offrir ainsi le spectacle de sa nudité (elle devait pourtant bien savoir qu’elle n’avait pas de culotte !). Elle me retrouva dans un sale état.



Elle n’attendit pas de savoir ce que j’en pensais ; elle me poussa fermement vers la sortie et me jeta presque dehors. Troublé par les grosses fesses nues de la vieille femme, j’ai erré dans le patelin et mes pas m’ont entraîné inexorablement vers le bar-tabac où j’ai noyé mon trouble dans un verre d’alcool. Avec un peu de recul, j’étais quasiment sûr qu’elle l’avait fait exprès, cette vieille folle, de me montrer son cul et sa chatte ; ce n’était pas possible autrement ! J’étais certain qu’elle avait tout manigancé pour montrer ses grosses fesses. Vicelarde ! Cochonne !



Je me souvins soudain du petit air satisfait de la mère Garnier lorsqu’elle m’avait éjecté de la maison… Que voulait-elle ? Se débarrasser d’Aline ? À quoi rimait cette jalousie dont elle faisait preuve depuis quelque temps ? Peut-être avait-elle envie que je lui touche les fesses ? Je n’avais même pas essayé de lui mettre la main au cul, et maintenant je le regrettais et m’en voulais. Qu’aurait-elle fait si je m’étais mis à la peloter, avec son mari et la petite jeunette dans la pièce juste à côté ?


Le lendemain, aucun changement pour moi. Ce qui s’était passé la veille ne m’empêcha nullement de recommencer à draguer la belle Aline ; j’avais envie de me la faire avant qu’elle ne s’évapore dans la nature, car je savais que madame Bertaut allait bientôt rentrer de congés. Mais la mère Garnier prit à nouveau la mouche et, rien que pour nous faire chier, ne nous laissa pas une seconde tranquilles, tournant et retournant inlassablement autour de nous jusqu’à ce que je consente enfin à regagner mon toit.


Perché près de mon tas de tuiles, j’avais une forte envie de l’étrangler. Incapable de travailler, je me suis alors mis à maugréer en me complaisant dans une totale inefficacité. « Mais qu’est-ce qu’elle veut, cette vieille conne ? Qu’est-ce que ça peut lui foutre que je me tape cette petite jeunette ? Elle est vieille, elle est moche, elle est conne, elle a un cul énorme et elle m’emmerde ! Ce n’est pas en me montrant ses grosses fesses qu’elle va me donner envie de la niquer ». Je fulminais.


La nuit tombait déjà, et comme je n’avais pas spécialement envie de m’éterniser et que j’étais plein de haine et de rancœur, je suis rentré directement chez moi sans prévenir personne.


Le lendemain, nouveaux reproches : j’aurais quand même pu prévenir que je m’en allais, c’était un minimum de politesse, elle m’avait attendu très longtemps pour dîner… Je l’ai tout de suite remise à sa place et, dans un accès de mauvaise humeur, je l’ai même envoyée bouler, lui suggérant l’idée que si elle n’était pas satisfaite de mes services elle pouvait toujours se trouver quelqu’un d’autre pour finir les travaux. Ensuite je lui ai tourné le dos et, haussant dédaigneusement les épaules, je suis allé rejoindre Aline.



Après avoir un peu tergiversé, la blondinette accéda finalement à ma demande. Du coup, cela me donna du baume au cœur et je pus terminer de poser mes tuiles avant la nuit, en sifflotant.

La mère Garnier contemplait d’en bas mon ouvrage.



« Dispute ? Quelle dispute ? » J’ai préféré ne pas répondre.



Quand je redescendis du toit, elle s’avança vers moi et me tendit la main.



Sensible à son repentir, je me suis laissé convaincre. De toute façon, je n’avais rien à faire de particulier ce soir-là et j’avais vraiment la dalle. Et je dois dire que j’avais bien fait car le repas était excellent, encore meilleur que d’habitude, en plus arrosé d’une très bonne bouteille qui détendit l’atmosphère.



Elle me resservit alors une part de cet excellent gâteau, attention à laquelle je répondis par un :



Ce n’était pas gagné !

Tandis qu’elle me faisait un café, je suis allé m’asseoir dans le salon, sur le divan, face à la téloche. Je commençais à avoir mes petites habitudes dans cette maison ; il faut dire que la maîtresse de maison me chouchoutait plus que ne l’avait jamais fait ma propre mère. Quand elle était bien lunée, elle m’offrait même le pousse-café avant de partir s’occuper de son mari. Cela étant, je restais ou je ne restais pas, suivant le programme, pour profiter de leur grand écran car chez moi je n’avais qu’une toute petite télé. Elle me laissait généralement choisir mon programme. De toute façon, elle avait rarement le temps de regarder. Elle me laissait faire ce que je voulais. J’aurais aimé avoir une mère aussi cool.


Ce soir-là, j’eus droit à un petit calva. Ensuite elle s’éclipsa, comme à son habitude, pour s’occuper de son mari, mais revint très vite pour s’asseoir dans le gros fauteuil face à moi. Fait inhabituel, elle se servit un petit verre de gnôle. D’ordinaire, elle ne buvait pratiquement jamais, se contentant généralement de tremper un sucre. L’atmosphère semblait assez bizarre, quelque peu électrique. Que voulait-elle ? Discuter ? Baiser ? J’ai continué de zapper en tournant la tête vers elle de temps en temps ; il n’y avait pas grand-chose de bien passionnant ce soir-là, en tout cas rien qui m’intéressait.



Elle se pencha légèrement en avant, me tendit son verre, et nous pûmes alors trinquer cordialement à la réussite de notre chantier. Après ça elle se rassit et, tandis que je sirotais mon eau de vie, je m’aperçus soudain qu’elle avait légèrement écarté ses jambes et que sa blouse était maintenant négligemment relevée au-dessus de ses genoux. Elle faisait mine d’être naturelle mais sa main droite n’arrêtait pas de tirebouchonner nerveusement le tissu. Elle paraissait passablement stressée. « Elle allume, la salope ! » Cette soirée était vraiment très particulière…


Quand mes yeux revinrent à nouveau vers elle quelques instants plus tard, il me sembla que la blouse avait encore remonté d’un cran et que les jambes s’étaient encore un peu plus écartées. « Si elle continue comme ça, elle va bientôt se retrouver complètement à poil ! » J’ai remarqué aussi que ses jambes n’étaient pas nues ce soir-là, car elle portait des bas, ce qui n’était pas dans ses habitudes.



Nos regards se croisèrent et je vis que c’était plus une affirmation qu’une question. Devant mon absence de réponse, elle haussa les épaules et prit son air miteux avant d’ajouter :



Flash-back ; elle se mit alors à me raconter sa vie. Je l’écoutais poliment, ne pouvant pas m’empêcher par moments de jeter un œil sur le grand écran où se disputait un match de foot, pourtant sans importance. Mais, par politesse, j’avais quand même coupé le son.

Elle en était donc aux confidences et retraçait sa vie : un premier mariage vraiment merdique qui lui avait enlevé ses illusions, puis un amant sans scrupules qui l’avait peu à peu délestée de tous ses biens. Enfin un second mariage plus conventionnel, assez heureux mais sans grande passion, tout ça avant ce terrible accident qui lui avait définitivement pourri la vie…



L’alcool ne la rendait pas gaie, bien au contraire. Elle nous servit un troisième verre et nous nous sommes remis chacun de notre côté à biberonner.



La mère Garnier se parlait plus à elle-même qu’elle ne parlait à moi. En se rasseyant à nouveau, elle avait encore relevé sa blouse et je pouvais maintenant voir le haut de ses bas et le début de ses cuisses. Il était maintenant clair qu’elle avait plutôt chaud aux fesses. Mais qu’attendait-elle au juste de moi ? Que je me jette sur elle et que l’on fasse l’amour ? Passablement éméchée, elle avait les yeux incroyablement brillants. Elle se mit alors à ricaner en disant :



Et elle me surprit alors en relevant tout d’un coup une de ses jambes et en la posant négligemment sur l’accoudoir, comme si c’eût été une position très naturelle. N’ayant ni slip ni culotte, donc totalement nue dessous, elle me dévoilait maintenant toute son intimité et m’offrait en pâture une large chatte couverte de poils bruns clairsemés.



L’instant d’après – un coup de manche malheureux – il se brisa par terre.



Et elle riait, elle riait, elle ne pouvait plus s’arrêter de rire après cette bonne farce.



Encore un rire forcé et cette voix rauque de sorcière.



Et la voici maintenant qui glissait sa main sur son pubis et qui s’emmêlait les doigts dans ses poils drus. Et elle ricanait, elle ricanait… avant de se relever tout d’un coup d’un bond.



Martine, complètement paf, s’avança vers le bar en titubant.



Elle se pencha une première fois vers le bar puis se redressa.



Alors que je pensais que le spectacle était terminé, je la vis saisir sa blouse et la remonter lentement tout en haut de ses cuisses avant de se pencher à nouveau en avant. Son cul apparut, majestueux, impérial. Un derrière énorme d’une blancheur éclatante. Elle m’offrait une vue imprenable sur son gros fessier. Putain, quelle beauté ! Je n’en perdais pas une miette. Elle tourna alors légèrement la tête pour s’assurer que je la regardais bien, avant de se mettre à dodeliner lentement du derrière en essayant de se déhancher.



À mon grand regret, elle se redressa et laissa retomber sa blouse avant de revenir vers moi avec son précieux bocal. J’eus juste le temps de rattraper celui-ci au vol avant qu’il ne s’écrase sur la table basse, ce qui fit glousser Martine avant qu’elle ne s’affale près de moi de tout son poids, en éclatant de rire comme une véritable foldingue.



Que pouvais-je faire ? Lui dire « Madame Garnier, vous êtes complètement bourrée, vous ne savez plus ce que vous faites » et la remettre fermement à sa place ? Mais je n’en avais pas spécialement envie car elle était là, chaude, brûlante et désireuse de sexe… Alors je me suis jeté sur elle et lui ai caressé les miches, ce qui l’a fait à nouveau glousser. Puis, voyant qu’elle se laissait généreusement peloter, je l’ai basculée sur le divan et ai troussé sa blouse pour bien reluquer sa belle chatte poilue. De longs poils noirs, des lèvres épaisses bien ourlées et de longues lèvres brunes qui ressortaient un peu. Je me suis bien vite retrouvé la tête entre ses cuisses pour renifler son parfum de femelle et goûter sa fente humide.


Une forte odeur émanait de son con, une liqueur puissante et très aphrodisiaque, hormones féminines fumantes ; sa grotte était à proprement parler débordante de cyprine. J’y ai fourré mes doigts : elle était fin prête pour faire l’amour. J’avais d’ailleurs rarement rencontré femelle aussi excitée. J’aurais pu la prendre là de suite, l’empaler, la pilonner, mais j’avais avant envie de la foutre à poil. Alors j’ai agrippé sa blouse et ai tiré de toutes mes forces. Deux boutons, tour à tour, ont cédé. Elle a éclaté de rire.



Du coup, pour les trois derniers, elle m’a aidé. Et j’ai pu alors sortir deux seins mous d’un soutien-gorge blanc.



Mais, pour toute réponse, j’ai léché et tété ses nichons pendant un long moment, et ce n’est qu’ensuite que j’ai baisé Martine avec force et une certaine violence. Elle s’est mise à haleter, à gémir, à hurler ; elle criait son plaisir sans retenue, sans chichi ni fausse pudeur, devenant de plus en plus expressive au fur et à mesure que je la tournais et retournais dans tous les sens au rythme de mon inspiration. Elle avait déjà bien pris son pied ; plusieurs fois de suite, il me semble, et elle semblait maintenant fourbue, presque épuisée, même complètement hagarde. Pourtant j’ai continué à la limer encore un bon moment avant de venir en elle et de me vider de toute me semence.



Elle s’est relevée, a rajusté maladroitement sa blouse.



Elle s’est dirigée vers la salle de bain où je l’ai entendue gerber, l’effet de l’alcool sans doute. Puis de l’eau a coulé. Elle devait être en train de se rincer la bouche. Quand elle revenue, elle était livide.



Vu ce qui venait de se passer entre nous, je n’avais guère le choix, ce n’aurait pas été correct de m’éclipser.



Puis elle s’est en allée, me laissant seul, allongé à moitié à poil sur le divan du salon. Dire qu’il fallait régulièrement qu’elle s’occupe de ce vieux légume… C’était une charge de tous les instants. Mais elle, Martine, qui s’occupait d’elle ? Cela devait faire bien longtemps qu’elle n’avait pas baisé, vu l’envie qu’elle avait manifesté ce soir-là. Quelle triste vie de pénitence que de servir ainsi de garde-malade !

Quand Martine Garnier revint une demi-heure plus tard, je n’avais pas bougé. Elle retira de suite sa blouse ainsi que son soutif et ses chaussures, se retrouvant toute nue avec juste ses bas. Puis elle se jeta sur moi comme une furie.



Elle se mit alors en 69 juste au-dessus de moi, me présenta sa chatte encore poisseuse et engloutit ma bite. J’eus un peu de mal à lécher ce con encore luisant de foutre et préférai me laisser sucer. Elle ne se débrouillait d’ailleurs pas mal et, une fois ma colonne bien droite et bien raide, elle vint s’asseoir sur moi, s’empalant bien à fond sur mon pieu de chair. Elle me chevaucha ainsi au moins dix bonnes minutes en se démenant comme une furie, ses seins bougeant sans complexe dans tous les sens. Puis elle hurla une nouvelle fois sa jouissance et retomba lourdement sur moi. Comme je n’avais toujours pas joui, je la fis mettre à quatre pattes sur la moquette et la terminai ainsi en levrette tout en fessant son gros derrière blanc.



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Les jours qui suivirent furent plutôt torrides. Dès que j’arrivais, mon employeuse me sautait dessus et nous faisions l’amour dans l’urgence, soit dans la nouvelle pièce que j’étais en train de terminer, soit dans sa chambre, parfois même dans la cave, en prenant soin quand même de ne pas nous faire voir par madame Bertaut. L’auxiliaire médicale, qui était revenue de ses congés, avait la mauvaise habitude de fureter un peu partout, et je ne sais pas quelle aurait été sa réaction si elle nous avait surpris en pleine copulation.


Après avoir bien baisé, Martine mettait souvent une culotte épaisse. Ça lui permettait de se balader dans la maison sans que mon jus coule le long de ses cuisses. Plus tard, cette cochonne revenait vers moi et baissait son slip pour me montrer tout le foutre qui s’était écoulé de sa chatoune.



C’était son plaisir à elle de jouer ainsi avec le foutre et de toucher ce jus poisseux ; elle l’étalait partout avec délice : sur ses seins, son ventre ou son pubis et suçait ses doigts en se pourléchant les babines.


Nos relations prirent un tour encore plus scabreux le jour où je découvris que le vieux était dans la pièce où nous venions de faire l’amour. Martine avait pris grand soin de me cacher sa présence, mais il était bien là, posé sur son fauteuil de l’autre côté de la salle dans un coin sombre, et il nous regardait avec ses yeux éteints, si tant est qu’un mort puisse voir grand-chose. Quand je l’ai aperçu, j’ai failli ramasser mes cliques et mes claques et fuir à triple enjambées, mais ma maîtresse m’a retenu.



Je pensais qu’il s’agissait encore d’un truc tordu inventé par Martine, mais elle m’assura du contraire. Son mari était capable de communiquer et, selon elle, il avait émis le désir de nous voir faire l’amour devant lui. Comment pouvait-elle donc le savoir alors qu’il ne pouvait parler ? Encore un mystère pour moi.

En tout cas, il était là, bien glauque et baveux. Sa femme s’est levée, a traversé la pièce, complètement nue, s’est approchée de lui puis lui as pris le bras avant de porter la main du grabataire entre ses cuisses.



Que pouvait-il donc sentir avec son bras mort ? Elle porta alors ses doigts gluants à la bouche de son époux…




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Quelques jours plus tard, nouvelle étape. Ma maîtresse m’assura que son mari voulait cette fois participer à nos ébats. Participer comment ? Participer à quoi ? Fallait-il que je l’encule ou que je lui suce la queue ?

Dès que la mère Bertaut fut partie, Martine alla chercher son homme et tira son fauteuil jusqu’à sa chambre où nous nous enfermâmes tous les trois. Ensuite elle se déshabilla entièrement avant de s’approcher de son mari pour se frotter à lui langoureusement.



Puisque qu’elle le disait, c’était certainement vrai… Elle poussa le vice jusqu’à frotter ses tétons sur les lèvres du grabataire avant de se branler contre son genou en se frottant les tétons avec ses doigts morts. Visiblement, elle devait avoir l’habitude de faire ces gestes qui formaient comme une sorte de rituel établi entre eux deux. Cela devait lui faire quelque chose, au moins intellectuellement, car je pus déceler une certaine agitation ou un certain énervement dans les mouvements parkinsoniens de son autre bras. Cela dit, il continuait invariablement à baver.



Sa femme défit alors sa braguette et sortit le gros sexe mou de son mari.



Cela sembla énerver encore plus l’handicapé qui se mit à baver en abondance. C’était vraiment dégueulasse, j’avais envie de foutre le camp. Mais Martine, comprenant mon désarroi, me rejoint vite fait sur le lit.



Nous étions à deux mètres de son mari tout au plus et nous baisions maintenant comme des bêtes. Martine était véritablement déchaînée, comme si elle voulait montrer à son époux que sa jouissance était totale. Elle couinait, elle braillait, s’exprimait de toutes les façons qui soient et semblait jouir à répétition tandis que moi, infatigable, je la prenais dans toutes les positions.

Mais j’avais quand même du mal à me lâcher et ne parvins pas à jouir. C’était sans doute la présence du vieux, son regard éteint, sa bave aux lèvres et sa grosse queue molle ; tout ça me perturbait, mais ma compagne n’avait pas à s’en plaindre puisque je restais dressé et bien rigide et qu’elle pouvait encore en profiter. Au bout d’un long moment, après avoir bien pris son pied, elle se résolut malgré tout à s’occuper de moi et me finit avec sa bouche. Je me laissai alors aller en fermant les yeux, vidant complètement mes couilles dans la bouche de mon amante.



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Noël approchait ; la pièce supplémentaire était terminée et nos envies de baise s’étaient progressivement évaporées. De mon côté, faire l’amour devant le mari, ça allait bien cinq minutes, mais ce n’était pas ma tasse de thé et surtout pas le genre de fantasme qui pouvait à long terme me satisfaire. Je trouvais même ça passablement écœurant. Et, pour la mère Garnier, un petit jeune très indépendant, qui traînait par monts et par vaux, toujours enclin à courtiser les filles, ce n’était pas non plus vraiment ce qu’elle cherchait.


Mais ce court intermède avait eu quand même quelques avantages : il avait ravivé la libido de Martine, qui depuis s’est retrouvé un jules en la personne d’un de ses voisins, un vieux coquin aux cheveux gris. Et, en ce qui me concerne, il m’avait réconcilié avec les vioques. Depuis, j’ai laissé tomber les petites jeunettes pour me consacrer à des femmes nettement plus mûres car je sais maintenant que c’est dans les vieux tonneaux que l’on fait le bon vin.