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Temps de lecture estimé : 16 mn
10/05/15
Résumé:  Jaco retrouve son copain d'enfance Nico pour une semaine de rando en Ardèche. En randonnée, ils découvrent des jeux érotiques. De retour au camping, Nico fait découvrir à Jaco les plaisirs du sexe entre gars, en toute fraîcheur et simplicité.
Critères:  hh copains vacances forêt campagne douche exhib hmast rasage fellation hsodo init
Auteur : Jacques44            Envoi mini-message
Nico et Jaco vont en rando

Nico et moi sommes des amis d’enfance. Nés tous deux en 1960, on a fait notre scolarité ensemble à Grenoble. Le bac en poche, Nico est parti faire ses études de médecine à Lyon, et je suis resté à Grenoble.

En juillet 1980, nous décidons d’aller passer une semaine en Ardèche méridionale pour y faire de la randonnée. Nous nous retrouvons à la gare Part Dieu et partons dans sa 4L. On s’installe au camping des Vans, et le lendemain de bonne heure nous partons pour le bois de Païolive et les gorges du Chassezac.


On s’est levé à 7 heures, tout fringants dans l’air vif du matin. Petit café, douche, et nous voilà partis dans la belle 4L de Nico. Vingt minutes de route dans des paysages superbes, et nous sommes arrivés à un petit parking.



Nico et moi avions la même tenue : sandales de marche, tee-shirt et short. Nous avions pris un petit sac à dos contenant une bouteille d’eau, des sandwichs que nous avions préparés le matin même, une serviette de bain et mon appareil photo.

Nico était – est toujours – blond, cheveux longs (comme toujours à l’époque), 1,82 m, 70 kg environ, yeux marron-vert. Moi 1,78 m, 76 kg, yeux marron-vert aussi. Malgré sa grande taille, il donne une impression de délicatesse, une certaine préciosité que d’aucuns voyaient comme féminine, sans pour autant avoir des manières de « folle ». Sa voix était d’ailleurs assez grave et profonde. J’ai noté par la suite que ce mélange de virilité et de délicatesse féminine plaît souvent beaucoup aux femmes. Sa franchise, sa douceur, sa compréhension, sa tolérance attiraient chez certains la moquerie si fréquente chez les adolescents, chez d’autres la confidence et le relâchement. Je faisais partie de ces derniers. Dès le collège, nous avions lié des rapports très proches, et j’avais toujours été sensible à son charme.


Il m’avait récemment parlé librement de ses aventures sur le plan sexuel, avec des filles… et des garçons. Pour ma part, j’étais plus inhibé, et cette « confession » m’avait perturbé. J’y avais souvent repensé depuis, et je dois dire que je m’interrogeais depuis sur les fantasmes homosexuels qui depuis lors m’assaillaient et avaient déclenché une certaine frénésie masturbatoire. J’avais alors découvert le plaisir anal ; d’abord avec le doigt, puis avec une bougie. J’avais du mal à me l’avouer, mais j’avais envie de plus.

Nico savait me mettre à l’aise, car je savais ne pas être jugé. Je lui parlais donc plus librement qu’à n’importe quel autre ami ou membre de ma famille. Pas toutefois assez librement pour lui livrer mes penchants / interrogations homos inavouables pour moi alors. Mais je crois qu’il m’avait percé.


Après deux heures de marche, vers 10 heures, Nico a proposé une petite pause clope au soleil.

Nous nous sommes installés sur des rochers, avec une vue splendide sur les gorges de la rivière. Le soleil filtrait à travers le feuillage des petits chênes. Des taches de lumière mouvante ondulaient sur les rochers de calcaire gris clair. Un moment de pureté céleste. Somptueux.


Nico s’est placé un peu devant moi, légèrement en contrebas sur ma gauche, étendu sur le dos, appuyé contre le rocher. Il a roulé une cigarette et l’a allumée. Nous avons bavardé au sujet de cette ballade, de l’ambiance du camping, des copains et copines, etc. On voyait des canoës sur la rivière, et les cris joyeux des vacanciers nous parvenaient atténués, soulignant le calme de notre perchoir. Le tee-shirt de Nico était légèrement relevé, de sorte que de ma place je pouvais deviner son slip par l’entrebâillement de son short. J’aimais bien voir ça, sa chevelure blonde, ses bras longs et fins, ses jambes presque glabres. J’ai senti une certaine confusion quand j’ai réalisé que ça enflait doucement dans mon short.


Lui aussi semblait gagné par l’érotisme de la scène, car j’ai aperçu son gland pointer de son slip. Nico avait toujours été plus libéré que moi, qui me débattais dans un mélimélo d’inhibitions, de culpabilité, de pseudo moralité. J’admirais sa capacité à dire ses sentiments et expériences. J’avais rougi jusqu’aux oreilles le jour où il m’avait dit en toute sincérité et naïveté qu’il aimait se promener nu dans la nature. J’avais par la suite fantasmé là-dessus, et m’étais masturbé, la tête en feu. Pour moi, la nature a toujours éveillé ma sexualité.

Il a écrasé son mégot.



Il a bu de longues gorgées.



Il m’a rendu la bouteille, et j’ai bu à mon tour. L’eau était encore assez fraîche. Délicieuse. J’ai eu envie de faire tomber quelques gouttes dans l’entrebâillement de mon short, très excité par l’idée de gouttes d’eau dévalant vers mon pénis. Comme il ne pouvait toujours pas me voir, j’ai remonté mon tee-shirt juste au-dessus de mon nombril et j’ai penché doucement la bouteille vers la cuvette de mon nombril. Un peu d’eau est venue remplir mon nombril. Ça m’a fait penser à mon sperme. Je me suis précautionneusement redressé, en veillant à ce que l’eau ruisselle bien vers l’entrée de mon short. Divin. J’avais alors une belle érection.

Nico a-t-il senti qu’il se passait quelque chose ? Il s’est retourné et a vu mon trouble et mon tee-shirt que je n’ai pas eu le temps de rabaisser. Il a marqué un temps d’arrêt, puis il s’est levé et est venu se placer à côté de moi, à ma droite. Il s’est étendu sur le côté gauche, tourné vers moi.



Il m’a semblé qu’il rentrait son ventre, de sorte que je voyais bien son gland tout lisse dépasser de son slip. J’avais terriblement envie d’étendre la main, de le branler, le sucer, de m’asseoir dessus, de… mais je n’ai pas osé. Quel con ! J’avais envie que cet instant dure une éternité, mais dans mon trouble, histoire de meubler un silence pesant, j’ai dit :



On s’est levé et on a repris la marche, ce qui me permettait tout en bavardant de mater à loisir ses longues jambes, sa démarche souple. J’ai tiré mon short vers le bas de manière à laisser ma bite apparaître. J’avais tellement envie de m’exhiber, mais j’étais trop coincé. J’ai pris un petit bâton avec lequel je me suis mis à me donner des petits coups sur le short et ma queue qui dépassait. Je me suis aperçu que la position de son bras gauche laissait supposer que sa main était près de sa braguette, alors que sa main droite tenait la bretelle du sac à dos sur son épaule droite. « Ma parole… il se branle, le coquin ! » À bien y regarder, la ceinture de son short semblait bien plonger vers l’avant… J’ai lâché mon bâton pour glisser ma main dans mon short, saisir ma queue à la base et la serrer très fort. Mon cerveau était tout entier occupé par les images que faisait naître ce que je voyais, devinais, et ressentais.


C’est à ce moment qu’un couple de promeneurs silencieux est apparu à quelques mètres devant, au détour d’un virage. Pris au dépourvu, Nico s’est tourné pour cacher sa belle bite qui sortait fièrement de son short. Je ne l’ai aperçue qu’une fraction de seconde avant qu’il ne remballe le matériel, étant moi-même occupé dans la panique à remballer le mien. On a croisé le couple, et j’ai vu à leurs sourires qu’ils avaient eu le temps de surprendre notre manège.


On a poursuivi notre descente vers la rivière, nous agrippant aux plantes, faisant attention à assurer nos pas. Détourner notre attention a permis à nos sexes de prendre un peu de repos, retournant sagement dans leurs espaces confinés. Arrivés sur la berge caillouteuse, nous avons posé nos affaires et sommes allés en slip directement dans l’eau. Il y avait bien sûr très peu de fond en été, tout juste 50 cm environ au plus profond. Elle était fraîche et claire. On a joyeusement chahuté et barboté, éclaboussant avec force rires les canoteurs de passage, peu nombreux à l’époque. Je l’ai poussé, ceinturé pour le faire tomber à l’eau. Je me souviens de ce plaisir de sentir nos corps se toucher, avec le prétexte du jeu.



On est retourné sur la berge.



J’ai étendu ma serviette et on s’est installé dessus. J’ai sorti les sandwichs et la bouteille, et on a attaqué ce petit pique-nique. J’avais hâte d’en terminer car j’avais d’autres idées en tête. Une fois mon sandwich terminé, je me suis installé sur le dos, avec le sac à dos comme oreiller. Nous étions toujours en slip, et encore constellés de gouttes. Il s’est étendu sur la serviette, perpendiculairement à moi, et a posé sa tête sur ma cuisse gauche.



Je me souviens avoir goûté le contact de sa tête sur ma cuisse. J’ai regardé son slip bleu mouillé, laissant deviner les formes qu’il contenait. Sa main gauche est venue se poser sur son ventre, puis est descendue et s’est glissée dans son slip. J’ai vu sa verge qu’il tenait dans sa main. Elle était, me semble-t-il, un peu moins grande que la mienne, mais large et bien droite, avec une grosse veine bien apparente, le gland bien lisse. Sa toison pubienne était blonde et peu fournie. Il était clair qu’il voulait me faire voir ça, me provoquer. C’était réussi. J’ai senti moi aussi ma verge gonfler jusqu’à sortir de mon slip, tout comme la sienne. Sa main droite est venue se poser sur ma cuisse. Puis lentement, elle est remontée vers mon bassin, jusqu’à se frotter sur ma bite à travers le tissu.



J’ai un merveilleux souvenir de cette scène, de l’érotisme de cet instant, de cette légèreté qu’il a su installer. C’était magique, le site paradisiaque, la douceur de l’été, les bruits alentour, et cette sensualité légère. Le sexe comme ça, c’est la vie à 200% !

Nico a glissé sa main sous mon slip par ma jambe, a saisi ma verge dure et l’a serrée à la base. J’adore ! Les hommes – moi en tout cas – aiment qu’on leur brutalise gentiment la bite ; c’est un truc que souvent les femmes ne comprennent pas. J’ai étendu le bras droit pour moi aussi aller visiter son pieu, mais je n’y arrivais pas ; il me manquait 20 cm. Voyant ça, il m’est venu en aide : il a baissé un peu son slip et pivoté un peu de manière à se rapprocher. Son sexe était bien appétissant : sa toison blonde peu fournie, ses couilles et sa tige imberbes… Il a tiré un peu sur mon slip pour le descendre à mi-cuisses, exhibant mon sexe poilu.



Il m’a massé l’engin avec la paume, le faisant rouler de droite à gauche, tout ça avec un large sourire. Il jouait !



J’avais pas imaginé que les mecs pouvaient entretenir leur toison comme on va chez le coiffeur.



J’ai trouvé très excitant et rigolo cette idée de coiffeur pubien. Un beau métier, que je pratiquerai en amateur bien des années plus tard.



Du coup, j’avais trop hâte d’être de retour à la tente… Mais bon, ne brusquons pas.



Mais les sous vêtements n’étaient toujours pas secs. Nico a enlevé son slip et mis son tee-shirt et son short à même la peau. J’ai trouvé ça super excitant. Je me souviens de ces jeux de gamins pas si innocents avec infiniment de tendresse et de nostalgie. J’ai fait pareil. On a mis nos sandales, remballé les affaires dans le sac, et nous voilà repartis. Il devait être environ quinze heures. On est remonté vers le haut de la gorge. À mi-course de la remontée, Nico le coquin, qui marchait devant moi, s’est retourné et m’a dit :



Il avait ouvert sa braguette, et sa belle queue bien raide pointait fièrement par l’ouverture, ainsi que ses boules glabres. Et il se marrait comme un gamin en me regardant dans les yeux. J’étais aux anges.



J’ai fait de même, me livrant à mon penchant pour l’exhibitionnisme. Un penchant qui, dans les années à venir m’a procuré bien du plaisir ! Et nous voilà repartis, côte à côte quand le chemin le permet, le cœur en fête, la bite comme un étendard, affichant un sourire béat. Un torrent d’images lubriques déferlait dans ma tête. J’avais tellement envie de le caresser, de sucer sa queue, d’explorer toute son anatomie… Et vice-versa. Et par dessus tout la perspective du rasage intime promis !


On a donc repris la marche à travers ces paysages magnifiques. En chemin, on a vu plusieurs petites constructions de pierre en ruines, superbes. Jadis des abris pour les bergers et les bêtes. On a parlé de cette balade, de nos vies, de choses et d’autres. Ouf, ça faisait un peu redescendre la pression qui, depuis ce matin, menaçait de faire exploser nos shorts.

Une heure après on retrouvait sa 4L. En route, on s’est arrêté au Vans pour faire quelques courses, dont une bouteille de muscadet. Vers 17 heures on était de retour au camping.



Comme il avait raison !



J’ai ouvert la bouteille de muscadet, nous ai servi deux bons verres, et on a mis des pâtes à cuire, le menu camping de base. On a mangé et bu rapidement, peut-être sous le coup de l’excitation. Les images du rasage à venir tournaient dans ma tête, surtout avec le muscadet qui commençait à faire son effet. Impossible d’articuler deux mots intelligibles.



Et nous voilà parti pour les douches du camping, vides à cette heure-là. On entre à deux dans une cabine en rigolant comme des gosses. Libérés par le muscadet, on se met à poil, et Nico règle la température de l’eau. Je regarde sa queue en semi-érection ; elle me fait envie ! J’ai envie de la presser contre la mienne, de la malaxer, de la gober, de…


Je prends le gel douche et je commence à me laver, histoire de faire quelque chose. Nico fait pareil, et on est là tous les deux à nous savonner en pouffant. À un moment, j’attrape Nico, le ceinture et me frotte contre lui. Sensation délicieuse que nos deux corps glissants de savon se frottant, nos sexes qui se touchent, et tout ça dans les rires et l’insouciance. J’en garde un souvenir impérissable.

On s’est séché, on a remis nos shorts (toujours sans slip) et on est retourné à la tente. Mon coeur battait à 120 pulsations par minute dans l’attente de ce qui m’attendait !



On est rentré dans l’antique canadienne trois places.



Je m’exécutai, le feu aux joues… et ailleurs. Il sortit un rasoir jetable et une paire de ciseaux.



J’étais terriblement excité par la situation : moi à poil dans la tente, et lui armé de ciseaux, s’apprêtant à me raser les poils pubiens ! Et il a commencé. D’une main, il saisit ma verge déjà bien raide, de l’autre il rasa précautionneusement les poils du bas de manche. À sec, sans mousse. « Scratch… Scratch… », j’entendais le petit bruit caractéristique du rasoir sur mes poils. Nico plaqua mon engin sur ma cuisse droite pour bien raser les poils du côté gauche, puis sur la cuisse gauche pour raser ceux de droite, puis força mon manche vers le bas pour raser ceux du haut. Il faisait ça lentement, avec le sourire, en faisant de drôles de mimiques, l’air gourmand et manifestement ravi.


Je dois convenir que quand il a terminé ma bite, elle était vraiment magnifique. Bien dégagée jusqu’à la base, elle avait fière allure. Il la laissa reposer sur mon ventre et, toujours à l’aide de son rasoir, entreprit de dégager mes boules des poils qui les envahissaient. Il rasa tout jusque près de l’anus, méthodiquement, en faisant bien attention. J’appréciai au plus haut point ce moment, le contact de ses mains, celui du rasoir, l’érotisme fulgurant de la scène, son côté cocasse aussi. Je me laissais aller, lui faisant totalement confiance. C’était divin.

Quand il a fini les couilles, il a pris ses ciseaux et un peigne pour tailler dans les poils du pubis. À la manière d’un coiffeur, il en réduisit la longueur de moitié, mèche par mèche. Là encore, c’était calme et méthodique.



Préliminaire à quoi ? Je n’allais pas tarder à le comprendre.

La séance avait bien duré une vingtaine de minutes. De pur bonheur. Il ramassa tous les poils coupés et les balança hors de la tente. Je me suis redressé et j’ai passé les mains sur mes boules, que je découvris toutes lisses.



« Bien sûr qu’il me plaît. Il me plaît de plus en plus… »



Il a mis de l’after shave dans sa paume et a entrepris de masser mon sexe, l’air satisfait de son travail. Nico m’a doucement maltraité la queue, l’a tordue, vrillée, l’a fait claquer sur les cuisses et mon ventre, l’a serrée fort. J’étais aux anges, totalement abandonné à ses bons soins. Puis il a approché sa bouche, et doucement commencé à sucer mon gland.



Il l’a gobée toute entière, me caressant les boules. Il a lubrifié ma queue avec sa salive, puis il s’est mis nu aussi, me dévoilant fièrement son sexe tendu, qu’il a entremêlé au mien. Le contact de nos deux sexes était un délice. Je me suis laissé faire, totalement passif et soumis.



Il s’est accroupi, s’est enduit l’anus de salive et s’est mis à califourchon sur moi, présentant mon membre à son anus. Doucement, très doucement, il se l’est enfilé en me regardant droit dans les yeux. Petit à petit il l’a fait progresser jusqu’à l’avaler tout entier. Il a commencé alors à faire des va-et-vient, très doucement, puis a augmenté la fréquence et l’amplitude. Je sentais ses fesses battre contre mon bassin. J’ai ainsi découvert pour la première fois et avec délice cette sensation de sodomiser un homme. Je n’oublierai jamais. C’était plus serré qu’avec une femme, surtout quand Nico se contractait, et l’excitation n’en était que plus forte. J’avais oublié toute inhibition, et j’ai contemplé son sourire radieux.



Je l’ai saisi par la taille pour accompagner ses mouvements et j’ai explosé en lui. Un orgasme comme je n’en avais jamais connu.

Il s’est allongé ensuite à ma droite et m’a tendrement caressé… amoureusement. Pour la première fois, il m’a embrassé. Nous avons exploré nos bouches de nos langues. Longuement, tendrement. J’aimais tellement ses caresses douces sur mon membre, grâce à lui, tout en beauté. Je me suis assoupi en caressant son torse, son visage. Instant de grâce, suspendu, silencieux. Ma main est descendue vers son membre toujours au garde-à-vous. Je l’ai caressé, ai essayé de lui donner le traitement qu’il m’avait merveilleusement administré un peu plus tôt. J’ai exploré ses fesses, masturbé sa tige, recommencé. Mon érection est revenue doucement.

Je me suis mis à genoux, penché en avant, les coudes à terre. Il a compris mon souhait, s’est placé derrière moi et commencé à me caresser l’anus, le lécher, le lubrifier. Il y a introduit doucement le médius en me serrant la verge de l’autre main. Je ressentais une certaine appréhension, mais savais je pouvais compter sur sa délicatesse. Il a pris son temps, approfondi ses caresses, mis l’index en plus, et a fourragé mon fondement. Je m’efforçais de me détendre. Et puis je l’ai senti bouger et ai senti son gland pointer à la porte. Il m’a saisi par les hanches et a pressé doucement.



Il m’a pénétré un peu plus, encore un peu plus. J’ai découvert des sensations inconnues. Contrairement à ce que je craignais, je n’ai pas ressenti de douleur. Au contraire, j’ai éprouvé un immense plaisir à sentir son sexe en moi. Il est progressivement entré à fond en moi et s’est mis à me pilonner de plus en plus vite, fourrageant à loisir.



Je me suis mis sur le dos. Il m’a glissé un oreiller sous le bassin pour le rehausser, et il m’a de nouveau enquillé, cette fois sans ménagement. J’ai relevé mes jambes pour mieux lui libérer l’accès et mieux le sentir. Je lui ai caressé la cuisse d’une main pendant que je me masturbais furieusement de l’autre.


Lui savait retenir sa semence beaucoup plus longtemps que moi. Il alternait moments lents et rapides, comme un musicien. Je contractais mon anus pour nous donner plus de plaisir. Nico ahanait de plus en plus fort, et je gémissais sans retenue. Tout le camping devait nous entendre. Enfin il a pris son plaisir, a éjaculé en moi pendant que je me vidais aussi une seconde fois. Il était temps, mon cul n’en pouvait plus !

Nous nous sommes écroulés sur le flanc, repus. De la main, il a récolté quelques gouttes de mon sperme et les a léchées en me regardant avec un sourire gourmand.



On est sorti fumer une clope dans la nuit tombante. On s’est couché de bonne heure.

Demain…