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n° 16807Fiche technique10042 caractères10042
Temps de lecture estimé : 7 mn
10/05/15
Résumé:  Un arrêt sur une aire de repos ; un homme, puis deux...
Critères:  hhh inconnu parking voyage voiture anulingus hdanus hsodo
Auteur : Tom            Envoi mini-message
Une banale pause-pipi

Un dimanche d’été où je rentrais d’un voyage à Cahors pour une transaction, je roulais sur la voie rapide et le temps commençait à me paraître long. Un panneau m’indique une aire de repos à deux mille mètres ; je décide donc de m’y arrêter le temps d’une pause-pipi. Je sais que ce genre d’endroit fourmille parfois de personnes à la recherche d’une rencontre sexuelle, et le fait d’y penser me donne des fourmillements dans le bas-ventre. Ça y est : je vais commencer à être excité alors que je suis seul et qu’il me reste de la route à faire. Clignotant mis, je sors en direction du parking et tourne pour me diriger sur l’aire des voitures. Il y a assez peu de voitures et je trouve une place aisément.

Le moteur arrêté, je m’apprête à sortir de la voiture, mais mon regard est attiré par un homme au loin qui semble chercher un endroit dans les fourrés. Je souris intérieurement: j’avais raison.


Je me dirige vers les toilettes. Au passage, je vois qu’il y a sept ou huit poids-lourds stationnés sur l’aire qui leur est réservée. Devant le bâtiment des sanitaires, un homme est appuyé au mur, fumant sa cigarette. J’entre pour faire ma petite commission devant des urinoirs moulés en un seul bloc et dégoulinants d’eau. J’y suis seul heureusement, car pour avoir de l’intimité, ce n’est pas le lieu idéal.


Quand je ressors, l’homme n’est plus là. Je le revois en redescendant vers ma voiture : il est à côté d’un fourré et se branle nonchalamment en me regardant, son sexe sortant de son short court. Je ralentis et le regarde ; son sexe n’est pas trop gros mais bien droit, et je remarque son gland : la main qui fait des va-et-vient le fait disparaître sous le prépuce, puis le décalotte complètement, ce qui, sur l’instant, m’hypnotise. Comme attiré par un aimant, je ne peux faire autrement que de me diriger vers cette main en espérant y mettre la mienne à la place, ou mieux : ma bouche.



Je passe alors, sans plus attendre, ma main sous son short et commence à lui caresser les testicules. Ils sont doux et rasés. Je les palpe un moment sous mes doigts, puis monte ma main vers son sexe, rasé lui aussi, et commence à le lui branler. Il me dit :



Nous remontons vers le bâtiment des sanitaires ; je pense entrer dans une cabine de WC pour être tranquille. À l’intérieur du bâtiment, un homme qui avait observé la scène à travers un brise-vue en bois se dirige vers nous.



Surpris, je ne trouve rien à répondre. Marc dit alors :



Nous nous regardons avec Marc.



En l’espace de quelques minutes, me voici avec deux autres hommes, en direction d’un camion pour y faire l’amour à trois…

Nous montons dans la cabine spacieuse, et sans perdre de temps nous nous dévêtissons. Une fois nus, la vue de nos corps fait monter notre excitation, bien visible rapidement. Marc commence à nous pomper tous les deux, chacun notre tour, masturbant le sexe qu’il n’a pas en bouche, puis le reprenant pour le sucer et ainsi de suite. Je dois dire qu’il suce bien et je ne voudrais pas jouir ainsi. Je lui dis :



Il s’exécute. Je me place donc à quatre pattes entre ses jambes et entreprends de le sucer à mon tour. Sa queue est un délice, et je ne pense plus à rien d’autre qu’à le garder dans ma bouche. Pendant ce temps, le routier s’est mis à me branler d’une main, et de l’autre il me caresse les fesses, me donnant une petite tape de temps en temps, ce qui me fait tressaillir à chaque fois, me faisant lâcher le sexe que j’ai en bouche et que je m’empresse de reprendre entre mes lèvres. Les fessées que je reçois ne sont pas désagréables, même plutôt excitantes je dois dire, mais elles commencent à m’échauffer le postérieur. Parfois, il cesse de me branler et remonte ses doigts en caressant mes testicules, puis les glisse dans ma raie en direction de mon anus où il s’attarde longuement, tournant autour puis enfonçant un doigt légèrement pour voir s’il entre. Le routier semble se satisfaire de mon fessier.


Abandonnant un moment mes fesses, il s’approche pour me lécher le petit trou. La caresse est agréable et je sens son souffle chaud sur mon fondement. Sa langue insiste sur ma rosette et me pénètre sans difficulté. Quelle volupté, sa langue qui entre et sort, me limant comme avec un sexe humide et chaud… Humm, c’est trop bon !


Marc veut de nouveau sucer lui aussi. Il se tourne donc à 180 degrés tel un contorsionniste au vu de l’étroitesse de la couchette et se place sous moi en position de 69. Sa bouche tourne autour de mon gland afin de le positionner prêt à entrer, puis il me gobe jusqu’aux couilles. M’aidant d’une main, je prends, moi aussi, son sexe en bouche. Quel bonheur de donner du plaisir tout en se lâchant complètement au bon vouloir de l’autre ! Je le suce tout en ne pensant qu’au plaisir que je ressens en me faisant sucer profondément.

C’est tellement bon, que mon sphincter doit être relâché, car je m’aperçois que lorsqu’il les retire, le routier devait avoir introduit deux ou trois doigts en moi.



« J’aime ça, mais je n’ai rien prémédité. » me dis-je.

Je sens son sexe bandé s’appuyer sur ma rondelle et entrer d’un seul trait sans plus de façons. Je suce tout en me faisant sucer, et j’ai une bite dans cul, tout ça pour une pause-pipi au départ ; si je le racontais, je ferai rire…


Le routier est fortement excité ; je le sens dans ses coups de boutoir et à son souffle court. Visiblement, mon postérieur lui fait de l’effet et j’ai du mal à garder la pose, tant il me lime fort, mais sans brutalité : « virilement », voilà le mot pour ce que je suis en train de subir. J’ai du mal à garder le sexe de Marc dans ma bouche ; lui, par contre, a trouvé le rythme imposé par le routier, et si la pénétration ne m’avait pas fait débander un peu, je jouirais sûrement tant cela fait du bien. Le routier finit par dire :



Mais comme il ne se retire pas, j’en conclus qu’il veut jouir dedans ; ce sera une première pour moi. Dans un dernier coup, le routier s’enfonce à fond en moi, et les secousses de son chibre me donnent une idée de la puissance de chaque giclée de sperme envoyée. Quand son sexe se calme enfin, il reste un peu encore dedans, le temps de retrouver ses esprits puis se retire très lentement.

J’ai le cul dilaté et rempli de foutre prêt à sortir. Marc me dit alors :



Je m’avance donc légèrement. Je sens déjà le filet de sperme commencer à couler le long de ma peau. Je descends mes fesses sur son visage et me retrouve à genoux, le cul assis sur lui, et comme une outre remplie de sperme je laisse ce nectar se déverser dans sa bouche. Sa langue fouille dehors et dedans la moindre goutte à laper encore ; puis quand il a fini, il me repousse légèrement les fesses avec ses deux mains pour que je me relève.


Le routier semble avoir donné toutes ses forces dans un combat épique et s’assied le temps de reprendre son souffle. Je me penche pour lécher le sperme restant sur son gland et me retourne vers Marc pour le faire jouir à son tour. Sa bite me fait encore très envie et j’aimerais beaucoup le faire jouir dans ma bouche.

Je m’approche de lui ; il comprend ce que je souhaite et s’allonge pour me laisser faire. J’approche mon visage de son sexe, ouvre la bouche et laisse ce pieu divin s’enfoncer dans ma gorge, puis resserre mes lèvres autour et me mets à faire des mouvements de va-et-vient le long de ce vit tant désirable. Je m’applique à le sucer du mieux que je peux, guettant les mouvements de son corps m’indiquant les caresses qu’il préfère, afin de les lui prodiguer encore pour l’amener à l’extase. Enfin je sens son pieu gonfler dans ma bouche ; il dit dans un souffle :



Je redouble mes efforts pour ne pas laisser retomber le soufflé, et là enfin la récompense de mes efforts : je sens son sperme épais s’éjecter sur ma langue en un flot continu. J’essaie de l’avaler en même temps, je ne voudrais pas en perdre une goutte. Puis son sexe perd de sa vigueur, commence à diminuer de volume et de taille, mais j’ai récupéré toute sa sève jusqu’à la dernière goutte. Content de moi, j’ai fait jouir deux hommes, et visiblement ils sont satisfaits : il ne m’en faut pas plus.

Marc me dit :