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Temps de lecture estimé : 13 mn
11/05/15
Résumé:  Un peu de soleil, une grosse envie de toi, un fantasme de piscine, bref une belle histoire d'EAU.
Critères:  fh vacances piscine tutu
Auteur : Unehistoireunjour      
Histoire d'eau

Nous voici au bord de la piscine, il fait tellement chaud que je n’ai pas résisté à plonger, te laissant seule enfiler ton maillot.


Je passe ma main sur mes yeux. Tu m’apparais de l’autre côté, à travers l’eau qui trouble encore un peu ma vision. Le soleil en arrière-plan me fait plisser les yeux et découpe ta silhouette.


Assise sur le bord de la piscine, les mains posées derrière toi pour te maintenir droite, légèrement penchée en arrière, tu joues doucement avec l’eau en remuant les jambes.


Ton maillot accentue la couleur de ta peau et m’hypnotise, tant il t’habille et te déshabille en montrant les formes attrayantes de ton corps. Le mouvement lent de tes jambes entrouvre et referme légèrement le triangle de tissu de ton pubis. Ce petit maillot te va si bien, il moule parfaitement ton intimité, je vois se dessiner les deux lèvres de ton sexe, mes yeux sont comme hypnotisés par les pointes de tes seins qui saillent au travers du tissu.


J’atteins presque tes jambes qui ont ralenti leur battement. Ton visage n’a pas bougé, il s’éclaire de tes yeux un peu moqueurs qui me jettent un regard entendu. Ton sourire esquissé semble refuser ma venue et la souhaiter tout à la fois. Ton ventre s’avance légèrement, cambrant imperceptiblement tes reins, pour précéder et accueillir mon contact.


Tu pousses un petit cri de surprise et de soulagement lorsque je m’accroche à tes chevilles. Ta peau est chaude sous mes mains. Je pose mes pieds sur le fond et hisse mon visage à la hauteur de tes genoux. Je t’enlace les jambes et te donne un baiser sur chaque genou. L’eau me couvre à peine les épaules et tes pieds se sont réfugiés sous mes bras et me serrent.


Au baiser suivant, tu laisses échapper un petit rire gêné, ta langue vient cacher tes dents découvertes par le sourire, comme si tu avais un peu honte d’accepter ce qui va se passer.


Ton ventre recule pour signifier que tu te replies sur toi-même, que tu te protèges et pour ne pas me laisser croire que c’est si facile de te prendre. Tu te cambres à nouveau quand j’écarte tes jambes et glisse un baiser à l’intérieur de ta cuisse droite. Tes cuisses se sont resserrées doucement sur mes joues et je sens que tes résistances fondent


Je passe tes jambes au-dessus de mes épaules en continuant à embrasser la peau douce et chaude de la partie de tes cuisses qui mène au bonheur. Je remonte imperceptiblement à chaque baiser mais tu es trop loin du bord


Ta tête se redresse, tu n’ouvres pas les yeux, je serre tes jambes autour de mon cou pour que tu prennes appui, et tu t’avances vers moi. Je pose mes mains contre tes hanches que je peux maintenant atteindre, tes jambes se posent à nouveau sur mes épaules et s’écartent naturellement. Mon visage est à quelques centimètres de ta culotte de maillot et de tout ce qu’elle cache. Une intense impulsion me parcourt entièrement et je sens comme une réaction à l’intérieur de mon sexe. Je le sens libre et léger dans l’eau malgré le caleçon de bain qui le couvre.


Mes lèvres s’approchent puis effleurent le tissu de ton maillot, sentant la finesse de ta toison. J’allonge un peu le cou pour atteindre ton nombril et y insinuer ma langue pendant quelques secondes. Ma bouche descend par petits baisers. Ton ventre se contracte puis se tend à nouveau, plusieurs fois, par petits coups. Je reste un peu à l’élastique de ta culotte tentant d’introduire ma langue sous le tissu, touchant du bout du nez les premiers poils qui me chatouillent.


J’essaie doucement de te mordre le pubis à travers le coton trop rigide et parcours ton mont de Vénus dans tous les sens pour t’habituer à ma présence afin que tu ne sursautes pas au prochain attouchement. Ma langue se met à parcourir ton aine droite et t’arrache un soubresaut ponctué d’un soupir plus long que le précédent. Alors ma verge se tend un peu plus et je sens l’eau sur mon gland qui commence à se découvrir.


Je continue de promener ma bouche aux frontières du maillot, passant de plus en plus près de ton sexe, appuyant à chaque fois un peu plus sur ton clitoris protégé par la couture intérieure du vêtement.


J’utilise ce petit bourrelet de tissu, poussé par ma langue, pour faire rouler ton petit bourgeon dessous.


Ta bouche s’est entrouverte et ton visage s’est tourné vers le ciel, laissant à mes désirs ce qu’ils veulent faire de toi. Mes dents ont saisi la couture pour que le contact soit plus fort, je passe à nouveau sur ta petite perle nacrée que je suis pressé de découvrir et prendre entre mes lèvres. J’ouvre ma bouche pour prendre tout ton sexe et te sentir plus près de moi. Le tissu de la doublure glisse maintenant plus facilement sur ton sexe que tes lèvres ont ouvert. Ma langue insiste à l’endroit où c’est le plus chaud comme pour traverser ton maillot et pouvoir s’introduire en toi.


Ma main gauche quitte ta hanche, caresse ton ventre qui se creuse, se glisse sous l’élastique un instant pour ressentir le délicat contact de ton buisson dans mes doigts, le quitte à regret, puis attrape le bord gauche de ton maillot pour faire apparaître ton sexe.


La vue de ton intimité, si belle, si offerte, que tes petites lèvres ne dissimulent plus, provoque en moi une nouvelle contraction. Mon sexe se redresse complètement et je sens au contact du tissu sur mon gland que je suis entièrement décalotté.


Je résiste à l’envie de sortir de l’eau pour te montrer combien je suis fier du désir que tu m’inspires, à l’envie que tu poses ta main sur moi, que tu enserres mon sexe de ta main, que tu me regardes en me caressant, que tu voies combien il est rouge de l’excitation que tu me procures, que tes doigts s’amusent à me donner du plaisir. Que je suis heureux d’avoir un tel désir pour toi, que je suis heureux de pouvoir te le montrer, que je suis heureux que mon sexe te prouve que tu es belle, attirante et quelquefois si violemment désirable et sensuelle.


Enfin ma bouche peut se poser sur ton sexe, goûter au miel exquis qui en sort. Mes lèvres jouent avec les tiennes, s’humectent du fin liquide un peu huileux qu’elles trouvent partout. Je passe ma langue dans les plis de tes lèvres pour les écarter un peu plus, pour sentir leur douceur de pétales recouverts de velours et me perdre dans la complexité de leurs formes.


Je la fais se mouvoir lentement, parcourant ta fleur ouverte, tournant à l’entrée de sa corolle pour s’y introduire doucement et recueillir à sa source le nectar merveilleux que tu me dispenses sans compter. Les bords de ton vagin sont lisses, luisants et humides comme l’intérieur des lèvres de ta bouche.


Ma langue insiste pour s’y introduire et en ressort troublée de la saveur qu’elle en retire. Tu m’en donnes tant que je dois déglutir, emportant en moi ton nectar.


Mes lèvres trouvent enfin ton clitoris, à peine sorti de son capuchon, dur et tendre, petit diamant au cœur de mon existence.


Tu t’avances vers moi pour te donner et t’ouvrir un peu plus. Ma langue a remplacé mes lèvres sur ton petit bouton sensible et le caresse doucement. Tes soupirs sont plus nombreux, plus fréquents. Les mouvements de ton bassin me donnent la mesure de ton plaisir. Mes caresses sur ton clitoris deviennent plus fortes, plus rapides, plus précises. Ma langue va quelquefois chercher un peu d’aide autour de l’entrée de ton sexe pour ramener un peu de la douceur qui te fera paraître ma caresse plus douce encore. Tes balancements s’accélèrent, tes cuisses se serrent autour de ma tête, je ne sens plus l’eau autour de moi et je ne sais plus si c’est ma bouche ou bien moi tout entier qui se frotte sur toi. Le bout de ma langue se durcit un peu pour te donner la force de la caresse que tu attends. Elle circule très vite autour de ton clitoris en essayant de l’emmener à chaque passage, en essayant de le faire grandir pour mieux l’attraper en repassant. J’essaie de trouver où tes soupirs plus violents m’indiquent l’endroit du plaisir le plus grand.



J’ai glissé mes doigts entre tes jambes, à la rencontre de tes lèvres, pour ensuite les porter à ma bouche et goûter son délicieux nectar, droit devant toi. Je me débrouille très bien dans ce domaine ; mes doigts curieux ont vite trouvé le petit trou juteux à travers ses tendres replis. Ils sont rentrés et sortis plusieurs fois d’affilée à une vitesse qui te fait soulever le bassin à force de plaisir. Les parois de ton vagin et ton clitoris sont comme de la soie sous mes doigts. Tu écartes largement les cuisses pour t’offrir au maximum.


Ma verge me fait mal à force de vouloir grandir et ma peau s’est complètement retirée. Je m’imagine qu’elle rentre en toi et j’en viens presque à te mordre à cette idée. Ma caresse est devenue soudain plus violente et ton ventre s’échappe quelquefois. Tu bouges de plus en plus et ma langue te perd parfois pour te faire sursauter à chaque fois qu’elle rencontre ton petit bourgeon.


Ma bouche t’aspire et t’embrasse. Fébrile et excité, je détache les nœuds et ta culotte s’ouvre en me laissant enfin le champ libre. Ma main gauche libérée attrape ton sein et en caresse l’extrémité qui durcit immédiatement. Tes sursauts sont erratiques et j’ai du mal à continuer à t’embrasser. Ta tête se met à bouger de tous côtés et tes hanches se soulèvent de plus en plus vite. Ta respiration se bloque, tes bras ne te portent plus et tu t’allonges sur le sol tiède, indécente et magnifique. Ta bouche se contracte et ta tête remue encore deux fois violemment sous ma langue qui torture ton clitoris. Tes jambes me serrent soudainement, ta main gauche se pose sur ma tête pour lui demander de ne plus bouger.


Tu as joui.


Je n’ose plus faire un geste, la bouche collée à ton sexe, j’attends que tu aies fini de profiter de cet instant. Ton visage semble endormi et ta respiration est redevenue régulière. Je profite de ce moment pour faire glisser mon caleçon de bain qui gêne mon érection. J’essaie de ne pas bouger ma tête alors que ma main droite se débat maladroitement avec le tissu qui se plaque à ma peau. Avec mes pieds je m’en libère enfin et il remonte à la surface et s’éloigne lentement de moi.


Je pose ma main sur mon sexe pour le soulager de ma tension et fais remonter et descendre deux ou trois fois ma peau sur le gland. Cela me donne encore envie de t’embrasser, malgré que ta main sur ma tête m’indique que tu ne le souhaites pas encore. J’enfreins tout de même l’interdiction en déplaçant ma langue vers ton vagin pour t’en caresser doucement l’entrée en tournant autour.


Le goût sucré et onctueux se répand à nouveau dans ma bouche en me faisant pousser un petit cri de plaisir et d’envie. Tes doigts sur ma tête bougent légèrement et jouent avec mes cheveux. Ma main droite mouillée repose sur le bord, près de ta cuisse. Je n’ose te toucher pour ne pas te transir de sa froideur.


Ma bouche continue à t’aspirer gentiment et à se nourrir de toi. Tu te relèves en t’appuyant sur tes coudes, les yeux à peine entrouverts, un petit sourire coquin détend ton visage. Ma bouche quitte ton sexe, et je pose mon menton sur ton pubis pour te renvoyer ton sourire.


Je ne cherche pas à te répondre et passe mes mains sous tes fesses pour t’attirer vers moi. Tu te redresses et te penches vers moi pour passer tes bras autour de mon cou. Je te soulève pour te faire glisser dans l’eau. Tes jambes se sont nouées autour de ma taille et tu descends doucement le long de mon corps, aidé de mes mains qui te portent. Nos bouches se rencontrent et nos langues se cherchent un instant avant de se toucher et commencer à jouer ensemble.


La chaleur de nos bouches contraste avec la légère fraîcheur de l’eau. Sans interrompre notre baiser, tu continues à descendre tout doucement. Ton corps est léger, porté par l’eau, tiède et collé à moi. Ton sexe finit par toucher le mien et nous poussons ensemble un soupir à travers notre baiser. Une nouvelle contraction involontaire de mon sexe me fait souhaiter qu’il entre en toi maintenant.


Ta main droite quitte mon cou et se glisse entre nos corps qui s’écartent légèrement jusqu’à atteindre mon pubis. Elle s’y attarde un instant, puis descend encore pour me saisir les bourses dont l’eau et l’érection ont tendu la peau.


Ta bouche me quitte, et je ferme les yeux sous l’intensité du plaisir. Tu me regardes une seconde avant de rapprocher à nouveau ta bouche et recommencer à me caresser. Ta main remonte et suit ma verge jusqu’au bout pour caresser imperceptiblement mon gland entre ton pouce et ton index. Une nouvelle explosion de désir m’arrache un cri et une contraction qui redresse mon sexe jusqu’à toucher le tien. Ta main m’enveloppe maintenant plus fermement et fait glisser ma peau rapidement sur mon gland pendant que ta langue frénétique explore ma bouche.


Je ne souhaite plus qu’entrer en toi. Tu le sens et remontes ton bras autour de mon cou. Mon bras gauche te saisit autour de la taille et ma main droite vient diriger mon gland vers ton sexe. Je sens tes lèvres et cherche à les écarter pour trouver l’entrée du bonheur. Tu déplaces ton bassin légèrement sans me lâcher pour faciliter ma recherche et je sens soudainement un petit creux qui immédiatement réchauffe mon gland et qui me dit que je suis arrivé. Je desserre l’étreinte de mon bras autour de ta taille et mon sexe entre enfin en toi, tu glisses et m’enveloppes dans la douceur de ton vagin, réchauffant ma verge transie par l’eau. Je réprime tout de suite une folle envie d’éjaculer tant ce premier mouvement de descente est merveilleux. Notre baiser qui ne s’est pas interrompu est devenu plus fort et nous perdons un peu les pédales sous la force du plaisir. Je m’accroche des deux mains au bord de la piscine pour garder mon équilibre. Mon sexe est tendu en toi comme il ne l’a jamais été.


Plusieurs de mes contractions successives de désir au fond de toi te font soupirer et augmentent la pression de ton corps sur le mien.


Ma main droite se pose sur ton sein sous l’eau et s’attarde sur le bout qui doucement devient plus ferme. J’ai encore envie d’aller plus loin en toi. Je me cambre et te soulève pour gagner quelques millimètres de plaisir supplémentaire. Je te sens extraordinairement sur mon sexe complètement décalotté et livré à la pression de ta chair. Tes cuisses se serrent sur mes hanches pour te permettre de remonter un peu puis redescendre lentement. Nos bouches se sont séparées, ta tête est un peu plus haute que la mienne et je me jette sur ton cou pour le couvrir de baisers. Tu remontes à nouveau jusqu’à ce que mon sexe soit près de sortir et tu redescends encore en me faisant pousser un cri rauque.


La tête me tourne du plaisir que tu me donnes. La chair chaude et glissante du paradis qu’est ton sexe me donne l’impression d’être entièrement en toi. Tu sens ma présence comme si tu l’avais toujours attendue, comme s’il manquait en toi cette partie de moi qui devrait y vivre tout le temps. Mon gland s’accroche aux parois de ton vagin en un massage interne, délicat et sensuel.


Je t’aide maintenant d’une main sous tes fesses à remonter et te laisse redescendre toute seule. Tu as posé ton visage dans mon cou, tendrement et j’entends ta respiration qui se rythme au gré de nos mouvements. Mon excitation devient telle que j’ai peur d’abréger notre plaisir. Je place mes bras autour de ta taille pour t’immobiliser alors que mon sexe est profondément en toi. Je te porte et me déplace vers l’endroit où la profondeur de l’eau est moindre. Ton visage dans mon cou ne bouge pas.


J’imagine que tes yeux sont fermés et que tu te laisses aller à ma volonté.


Nous sommes près de l’échelle et de l’eau émerge maintenant le haut de tes cuisses. Le niveau de l’eau est à mon nombril et les gouttes retenues un instant dans les poils de ma poitrine descendent entre nos deux corps. Je cherche ta bouche de la mienne pour te redresser et te murmure de te laisser aller en arrière et saisir l’échelle derrière toi. Je te soutiens les reins jusqu’à ce que tu sois allongée dans l’eau, horizontale, accrochée à l’échelle au moyen de tes bras tendus.


Tes cheveux glissent dans l’eau autour de toi, et le bout de tes seins affleure la surface. Mes mains te lâchent et tu flottes sans effort. Je te saisis par les hanches pour aller plus loin en toi. Tu me regardes à peine et refermes tes yeux sous le plaisir qui monte à nouveau.


À travers l’eau je discerne nos sexes liés l’un à l’autre que les mouvements de l’onde semblent tout à tour séparer et réunir. Je ne peux détacher mon regard de la liaison de nos corps, de ton pubis rougeoyant et je commence à bouger, à aller et venir en toi. Les mouvements imprimés à l’eau découvrent à chaque fois ton ventre et le petit lac que fait ton nombril.


Mon sexe frotte partout à l’intérieur de toi. Nos deux corps s’emboîtent parfaitement comme s’ils avaient été faits ensemble et séparés ensuite. Je sens mon gland rencontrer tous les paysages de ton anatomie interne, depuis l’entrée qui le serre, jusqu’au fond qui le libère en le retroussant de sa peau à chaque fois. Je ne sais pas si tu secrètes encore ton liquide magique dont j’ai encore le goût dans la bouche, mais le glissement dans ton fourreau est facile et merveilleux.


Je vais plus vite maintenant, mon gland te parcourt entièrement et nous donne des vagues de plaisir à chaque fois. Tu ne sais plus d’où vient le plaisir, il est parfois dans ton ventre, parfois dans ta gorge.


Tu ne veux plus ouvrir les yeux pour que la sensation ne change pas. Tu as l’impression que ma verge grossit encore en toi, qu’elle occupe tout ton ventre, qu’elle est devenue énorme et que mon gland vient trop loin en toi.


Dans le flot de sensations tu parviens à isoler un point de plaisir plus intense, puis un autre et tu souhaites que je repasse aux mêmes endroits. Tu déplaces légèrement ton bassin pour accentuer ton plaisir et faire passer mon gland où ces éclairs de plaisir sont apparus. Plusieurs fois tu les ressens et l’impression de ne plus pouvoir arrêter te submerge. Tu crois n’être plus qu’un sexe livré à un autre.


Tu sens que mon gland écarte l’intérieur de tes chairs à chaque fois qu’il revient, tu voudrais qu’il soit encore plus grand pour venir encore plus loin, qu’il soit encore plus gros pour qu’il te prenne complètement. Les pointes de plaisir sont de plus en plus fréquentes et il ne semble plus y avoir de répit entre elles. Le sang afflue à ton visage et te donne une bouffée de chaleur. Ta main droite lâche l’échelle et tu poses un doigt sur ton clitoris pour que le plaisir soit complet.


C’est à cet instant que tu cries comme jamais je n’avais entendu. Le plaisir est trop fort et tes inhibitions s’évanouissent. Tu jouis à nouveau.


Ton cri m’a signalé le moment de la délivrance et dans un spasme qui me projette au fond de ton sexe je déverse en toi mon sperme dans un cri de bonheur. Tu sens les contractions successives de mon plaisir lorsque mon gland que je continue à bouger en toi te donne encore les derniers jets de ma jouissance. Nous restons comme cela une minute encore à ressentir les dernières touches du plaisir, moi, allant et venant en toi lentement, toi, caressant ton clitoris tout doucement.


Mes bras enlacent tes reins et te relèvent. Mes jambes cèdent sous moi et je tombe à genoux. Tes jambes et tes bras se serrent autour de moi et je t’adosse à la paroi de la piscine. Ta tête a retrouvé mon cou et tu ne cherches plus à bouger. Je suis toujours dans ton écrin et je ne voudrais plus jamais le quitter.


Je me dégage enfin, ce que tu ne sembles pas apprécier. Je viens me coller sur tes seins, ils veulent encore que je les tète, nous restons un long moment, moi ma tête sur tes seins, et toi ta main dans mes cheveux