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n° 16821Fiche technique19838 caractères19838
Temps de lecture estimé : 13 mn
19/05/15
Résumé:  Tous nos projets s'écroulent quand Anaïs part en stage à Paris.
Critères:  2couples fbi hotel fellation double partouze yeuxbandés -fbi
Auteur : Tito40      Envoi mini-message
Quitte et double

Anaïs, ma petite amie, m’a assommé brutalement le mois dernier. Elle était en stage à Paris pour six mois ; une formation Master qui lui tenait à cœur. Les deux premiers mois, nous nous parlions chaque soir au téléphone. Je lui manquais, elle me le répétait. Elle m’adorait. Elle n’oubliait jamais de me le dire plusieurs fois. Puis je l’ai sentie petit à petit plus distante, moins loquace. Je redoutais une aventure lors des soirées entre étudiants dont elle revenait fort tard, mais elle me jurait que non. Alors j’ai profité d’un week-end prolongé pour aller la voir. Elle avait essayé de m’en dissuader, mais j’ai insisté et j’ai pris le dernier train du vendredi soir de Grenoble à Paris.


Je suis allé à son hôtel en taxi. Elle m’attendait dans le hall. J’ai compris à sa tête que ça allait être un week-end de merde. Elle m’a d’abord fait apporter un whisky en éludant mes questions. Puis un second. Et enfin elle s’est livrée. Elle avait rencontré quelqu’un. Le ciel m’est tombé sur la tête. Elle pleurait en me parlant. Comme si elle voulait faire comme moi. Je ne l’ai pas suppliée. La seule question que je lui ai posé c’est « Qui ? » Elle a tourné en rond avant de m’avouer qu’il s’agissait d’une femme. Blanche. Quel prénom de merde. Une femme !


On ne peut pas lutter. Un mec, j’aurais pu faire le cake, lui défoncer la tronche, le ridiculiser. Mais une femme. Vous voulez faire quoi ?



Anaïs ne savait plus quoi faire de ses mains, se les malaxant nerveusement. J’avais presque autant de peine pour elle que pour moi. Ma vie était en train de s’effondrer, et je ne pouvais rien faire. Envolés, les rêves d’une vie entière avec elle. Envolés, les rêves d’une grande famille unie…


Je me suis levé, sans trop savoir ce que j’allais faire. Anaïs m’a proposé de dormir dans sa chambre. Il n’y avait plus de train à cette heure tardive. J’avais envie de fuir, mais gagner encore un peu de temps avec elle m’a convaincu. Mais je rêvais. Elle m’a aussitôt dit que Blanche allait arriver, qu’elle allait me la présenter. Un coup à l’estomac.



Je n’avais physiquement pris aucun coup. Mais je me suis senti comme un boxeur qui serait arrivé sur le ring avec les yeux bandés et les mains attachées dans le dos avant de se prendre des droites et des gauches en pleine face. Marcher jusqu’à l’ascenseur a été une vraie punition. Une punition encore quand Anaïs a inséré sa carte dans le lecteur pour ouvrir la porte. Je me demandais ce que je foutais là, et pourtant il m’était impossible de ne pas y être.


Elle était là. Debout, de dos, regardant par la fenêtre. Son short-jean trop court laissait dépasser le bas de ses fesses. Elle s’est tournée vers moi, tout sourire. Son tee-shirt moulant s’arrêtait au-dessus d’un nombril orné d’un bijou scintillant. Ses seins pointus étaient libres de ballotter. Une crinière remontée en un chignon chaotique lui donnait un air de harpie mal réveillée. Elle devait avoir des origines africaines et asiatiques. Quelle bombe !


Ma petite Anaïs, si pure, si belle, avec cette garce, ce n’était pas possible. Et pourtant…


Blanche s’est avancée quasiment en dansant, l’air gai et enjoué. Elle m’a fait la bise comme on embrasse du bon pain, puis a carrément roulé une pelle à celle qui fut ma promise, sous mon nez. J’ai eu des envies de meurtre. Mais j’ai mon éducation et une certaine fierté. Blanche m’a fait un bla-bla insipide pour s’excuser de la situation et me remercier d’avoir bien voulu la rencontrer. Tout ça sans interrompre les caresses qu’elle prodiguait négligemment à Anaïs, lui passant la main sur les fesses, puis lui caressant le dos. Une fois sa prose terminée, elle a repris la bouche d’Anaïs qui se trémoussait, sans me quitter des yeux.


Puis, comble de l’humiliation, je me suis vu proposer le canapé pour la nuit pendant qu’elles profiteraient du lit. Je suis resté interdit, sonné, assommé. D’autant qu’il n’y a qu’une pièce. J’allais dormir à côté, comme un chien. La colère s’était estompée au profit d’une dépression totale. J’étais incapable de dire ou de faire quoi que ce soit. Je me demandais si elles n’allaient pas m’achever en faisant entrer un mec pour les sauter toutes les deux sous mes yeux et attendre que je me jette par la fenêtre.


Je me suis allongé le premier pendant qu’elles étaient à la douche. Ensemble. La harpie est sortie la première, dans le plus simple appareil, pimpante et motivée. Elle est venue se poster devant moi, debout, les mains sur la tête occupées à refaire son chignon. Je n’ai pas pu m’empêcher, malgré tout, de la trouver belle. Une liane : des jambes fuselées, des petits seins pointus aux tétons durs et longs, très foncés, une peau lisse et sans tache, des hanches dessinées, un visage d’ange de l’enfer.


Elle s’est penchée sur moi pour me faire une bise, puis sa bouche s’est posée sur la mienne. Elle a entrouvert ses lèvres, m’invitant à en faire de même. Elle ne manquait pas de culot, la salope… De la salive chaude sortait de sa bouche ; je ne pouvais pas résister à l’envie de la goûter. J’ai eu droit à une pelle sensuelle, appliquée. Alors que je restais comme un con, les bras le long du corps à me laisser embrasser, j’ai senti sa main chercher mon entrejambe. Difficile de cacher mon érection naissante.


Blanche a pris ma main, sans un mot. Elle m’a guidé vers le lit, m’invitant d’abord à quitter mes vêtements.



Elle a immobilisé mes mains une à une en les attachant je ne sais où. Puis j’ai entendu un bruit de porte qui s’ouvre. Anaïs venait de sortir de la salle de bain. J’ai voulu parler, mais j’ai senti une main sur ma bouche et entendu Blanche me demander de me taire.


Une bouche s’est emparée de la mienne ; une autre me léchait le sexe. Je reconnaissais la bouche de Blanche contre la mienne, et celle d’Anaïs qui me suçait le gland. Quatre mains parcouraient mon corps, délicatement, m’arrachant des soupirs de satisfaction. Petit à petit j’ai oublié mon malheur pour savourer l’instant présent et me laisser aller à mes sensations.


Puis j’ai entendu un second bruit de porte. Plus fort, plus sourd. Un bruit de pas. La bouche qui suçait la mienne s’est reculée, me léchant une dernière fois dans le cou avant que deux mains ne quittent mon corps. J’ai demandé ce qui se passait, et senti la main de Blanche me bâillonner à nouveau alors qu’elle me priait de garder le silence. Anaïs continuait de me sucer sans relâche, mais je ne ressentais qu’un plaisir diffus, superficiel. J’ai senti un poids alourdir le lit entre mes pieds, et presque aussitôt Anaïs a retiré sa bouche de mon sexe quelques instants avant de le prendre à nouveau. Sa tête semblait s’avancer sur mon ventre pour reculer et revenir. J’ai senti les mains de Blanche passer sous ma tête pour dénouer le foulard.


Nous n’étions éclairés que par les lampes de chevet. Un mec que j’avais croisé dans l’entrée de l’hôtel était à genoux derrière Anaïs. Il était en train de la pénétrer alors qu’elle me suçait. J’ai failli perdre connaissance, tellement cette vision m’est apparue insupportable. Non seulement elle m’avait trompé avec une femme et avec plusieurs hommes, mais en plus elle m’imposait une humiliation suprême en se faisant sauter devant moi.


J’ai voulu hurler, mais rien ne sortait de ma bouche. J’aurais voulu me débattre, mais mes mains étaient solidement attachées. Blanche est revenue prendre ma bouche. Tout en m’embrassant, elle me caressait le ventre, les épaules, puis elle est descendue à nouveau pour saisir la base de mon sexe et me masturber. Anaïs s’est redressée. Son amant lui a appuyé sur la joue pour qu’elle tourne légèrement le visage et lui a tendu sa langue. Il la baisait devant moi, et en plus elle se laissait embrasser. Pour moi, c’était presque plus intime qu’une pénétration. La langue, c’est là où passent les sentiments. C’était indécent. Le summum du vulgaire.


Entre les mains de Blanche, je ne débandais pourtant pas. Des sentiments contradictoires et violents m’ont envahi. Le plaisir que cette salope me donnait avec sa main était supérieur à celui que m’avait procuré Anaïs avec sa bouche. Ses mains m’électrisaient. Je me suis laissé aller.


Blanche a dû le comprendre, puisque presque aussitôt elle a libéré mes mains. J’aurais pu me lever et partir, ou sauter à la gorge de celui qui baisait Anaïs. J’ai préféré jouer le jeu, si on peut dire, et profiter de Blanche. Quelle salope, en effet ! Elle est venue sur moi et a guidé mon sexe dans sa vulve pour se pénétrer profondément. Je n’avais pas à donner le rythme. Elle s’occupait de moi. Tout en me baisant, elle me chuchotait des saloperies à l’oreille :



Anaïs était à côté, sur le canapé, les cuisses serrées autour du mec. Elle en prenait visiblement pour son compte. Je l’entendais crier, gémir, lui demander d’aller plus vite. Puis je l’ai entendue jouir ; un cri connu, strident, animal. Ça m’a tellement secoué que j’ai joui presque instantanément. Quand Blanche a senti que je venais, elle s’est faite plus tendre, me serrant entre ses cuisses. Je venais d’inonder la chatte de sa copine pendant que ma chérie hurlait son plaisir à sentir les jets de sperme de son amant.


Ma tête s’est mise à tourner. J’ai senti Blanche s’affaler sur moi, puis la bouche d’Anaïs prendre mes lèvres. Elle s’est allongée à côté de moi et a posé sa tête sur mon épaule. Comme elle faisait quand nous allions nous endormir ensemble. Je ne savais plus quoi penser.

Nous sommes restés ainsi tous les trois pendant que le mec nous regardait, assis dans le canapé. Je ne ressentais plus aucune tension, je ne pensais plus à rien. Blanche est revenue me sucer. D’habitude, il me fallait pas mal de temps pour retrouver de la vigueur, mais pas cette fois. Ses mains et sa bouche experte m’ont réveillé assez vite, au point que j’ai serré Anaïs contre moi pour l’embrasser à nouveau.


Le guignol qui venait de la sauter a quitté le canapé pour s’approcher du lit. Il était en forme lui aussi.

Il s’est approché de Blanche pour la prendre dans ses bras et la caresser. Elle a lâché mon sexe. Anaïs a pris le relais et s’est allongée sur moi de tout son poids. Elle me léchait le cou, les tétons. Un moment de tendresse infinie. Puis elle s’est reculée jusqu’à ce que mon gland vienne titiller sa vulve.



Elle était pleine du sperme d’un autre, et pourtant je n’ai pas trouvé ça moche. C’était sans doute la dernière fois que je sentais son corps sur le mien et que je pouvais ainsi respirer ses effluves, sentir sa moiteur, l’aimer.


J’avais perdu les deux autres de vue mais ça n’a pas duré. Le mec est apparu à nouveau dans le dos d’Anaïs. Elle a passé ses mains derrière elle pour écarter ses fesses. « C’est donc, ça la suite… » me suis-je dit. Elle allait se faire sodomiser. Curieusement, ça m’a excité. Après tout, foutu pour foutu, autant en profiter. Je l’ai serrée contre moi. J’ai senti des mains toucher mes couilles. Anaïs s’est redressée légèrement pour me faire sortir un peu avant que je sente le sexe du mec se coller au mien. Il a pris nos deux queues pour les guider comme une seule dans la vulve offerte d’Anaïs. Il n’allait pas la sodomiser, mais la pénétrer avec moi.


Nous n’avons pas eu besoin de nous parler pour trouver le bon rythme. C’est peut-être Anaïs qui le donnait, d’ailleurs. Nos deux manches rigides devaient la remplir à merveille. En tout cas, je l’ai sentie vibrer comme jamais. Ses cris étaient devenus rauques et continus. Elle a joui comme une folle sur nos queues. Et je me suis laissé aller moi aussi quand j’ai senti le sperme s’écouler du gland du mec. Double ration pour madame.

Blanche assistait à la scène depuis le canapé, les cuisses ouvertes, ses doigts savants à l’œuvre.


Anaïs, revenue de son extase, m’a regardé dans les yeux. Je me suis reculé pour m’extraire. La colère était revenue, mélangée à un profond dégoût. D’elle, bien sûr, mais de moi-même aussi. Cette partie de jambes en l’air débridée venait de tuer définitivement mon amour pour elle, comme d’ouvrir en moi une folle envie de recommencer. Mais pas avec une fille que j’ai aimée.