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n° 16825Fiche technique41660 caractères41660
Temps de lecture estimé : 25 mn
22/05/15
Résumé:  Souvenirs et fantasmes d'une femme au foyer...
Critères:  f fh ff fhh vacances plage piscine noculotte journal
Auteur : Nana69
Carnet orange (-18)

L’été bat son plein sur les plages et moi je jalouse ces jeunes femmes qui, allongées sur le sable sentiront leurs pointes de sein se raidir, et à se trémousser légèrement les frotteront coquinement contre leur maillot.


Aujourd’hui je décide de jouer les allumeuses. J’essaie un premier maillot dans ma chambre et face aux miroirs de mon placard, sur la pointe des pieds, je relève mon cul tout en me cambrant.

Voilà, déjà je sens mes petites lèvres intérieures glisser les unes contre les autres. Quand je suis bien dans mon corps, l’effet est immédiat : mon sexe s’ankylose petit à petit.


Alors je commence à glisser le majeur dans mon maillot et masse doucement sous mon clitoris. C’est baveux comme d’habitude, je répartis ma mouille gluante au-dessus et sens immédiatement cette fameuse petite veine devenir dure et battre la chamade.

Cette excitation monte à présent dans mon bas-ventre, j’imagine alors la sensation d’un pénis ou plutôt d’un gland bien huilé masser le fond de mon vagin. Mes joues deviennent chaudes. Je décide de changer de maillot, en trouver un plus salope. La taille basse m’a toujours moulé la chatte, rien de tel, allongée sur un drap de plage pour me rendre garce.


C’est décidé, j’irai à la plage avec celui-là d’autant qu’une fois mouillé il me rentre dans le cul… alors les maris qui s’ennuient se branleront ce soir sous la douche en pensant à moi. Avec un peu de chance ils pourront me mater plusieurs jours à la plage, je laisserai un bout de mes lèvres dépasser involontairement, c’est pour leur bien.

Voilà ce maillot mis, j’ai beaucoup de mouille sortie, ma chatte n’en peut plus, je dois me mettre assise sur le bord de mon lit. Face au miroir, j’écarte les cuisses puis délicatement entrouvre le côté du maillot. Petite cochonne que je suis, je malaxe mes grosses lèvres avec mon lubrifiant naturel.


Alors je rêve d’une main de mâle, propre et douce qui saisirait ma vulve entière et me maîtriserait les parties intimes. Vilaine fille que je suis, je pourrais l’autoriser à me donner de petites tapes, histoire de les faire gonfler un peu plus. Finalement il me passerait sa langue large et baveuse sur les côtés intérieurs de mes grosses lèvres.


Je dois m’arrêter et aller à la plage.

J’enfile une robe en coton, un peu courte mais au retour à vélo, sans maillot dessous, mon sexe prendra l’air. Je sais que mes lèvres en appui sur la selle seront légèrement écartées et laisseront la brise les caresser.

Me voilà partie un peu rassasiée, les après-midis chauds de l’été sont sucrés.


J’arrive à la plage et cherche un spot pour avoir de quoi allumer : jeunes ou moins jeunes, ils en ont tous besoin. Assouvir, exciter, telle est ma devise !


Première position, allongée sur le dos, immédiatement je bombe la chatte. Les hommes adorent l’idée d’avoir de quoi butter.

Le soleil chauffe mes pointes, la chair de poule s’installe, je laisse monter…


Je me souviens avoir, quelques années auparavant, expérimenté un bain de soleil sur mon abricot nu, le matin au réveil dans le jardin d’un ami à la campagne. J’étais sortie de la maison en chemise de nuit moulante et m’étais installée sur une chaise longue.

Sentant les rayons envelopper mon corps, j’avais entrouvert petit à petit mon entrejambe. Timide de prime abord, je souris en découvrant la sensation de la chaleur sur toute l’étendue de mon sexe. Je décidai de pousser le vice, tant pis si mon ami me surprenait. Donc je caressais mes poils chauds. Comme ils devenaient soyeux, je passai le plat de toute ma main de haut en bas, quelle détente !

Je ne rêvais que d’une chose, avoir un sac à portée de main avec un gel quelconque pour m’enduire la fraise, la nourrir. Aussi mon ami se positionnerait discrètement en face dans les buissons et sans que je le découvre il aurait sorti sa queue bien droite de son pyjama et aurait assouvi son désir de masturbation.



Je vous laisse vous faire plaisir… moi aussi !



… Ma chatte est très chaude, j’ai même dû me mettre sur le ventre sur ma serviette de plage. Je sens les vallons du sable sous mes seins et ma butte enflée. Je me tortille langoureusement mais raisonnablement, me cale de façon à avoir un léger monticule à frotter contre mon clitoris.

Mais la décence sur la plage m’oblige à me rendre dans l’eau pour calmer mon excitation. Je marche jusqu’au rivage en sentant mon sexe gonflé comme celui d’une femelle en rut. Une fois dans l’eau, je peux me toucher, frotter mon maillot sur les zones en alerte. Je rassemble le devant de mon maillot au milieu de mes lèvres. Elles sont écartées. Puis je me frotte les seins, quelle salope je fais !


J’écarte encore plus mes lèvres avec mes doigts. J’ai peur d’être incontrôlable. Je décide que je sortirai de l’eau seins nus, pointes dressées l’air de rien.

Je n’en peux plus à l’idée que ces hommes me portent dans leurs fantasmes, qu’ils fassent ce qu’ils veulent de moi dans leur tête, je suis open.


Je remballe mes affaires après avoir essuyé mon corps et mes gros seins. J’enfile ma robe et retire discrètement mon bas de maillot, la discrétion est la meilleure des excitations. Certains ont noté que j’étais nue sous ma robe, telle une petite salope qui va rentrer direct se masturber.

J’aime ça au point que je pourrais me baisser, ramasser quelques coquillages avant de quitter la plage en laissant entrevoir la naissance de ma fente. Ils auraient vu alors qu’elle est rouge, gorgée de désir. Ils auraient imaginé me prendre soudainement par derrière, glissant direct dans les parois moelleuses de mon vagin comme s’il avait été enduit de beurre. J’aurais laissé sortir alors un petit cri de surprise, un sourire d’aguicheuse, me redressant toujours avec une longue bite en moi…


… J’enfourche mon vélo, je fais exprès d’écraser ma chatte sur la selle pour me contenir jusqu’à la location. Lorsque je pédale, mon déhanchement fait passer mon clitoris en érection de droite à gauche, il doit être déjà sorti de deux centimètres.

Je rentre et range mon vélo sous le petit préau en bois, à l’abri de la glycine. Je décide de relever ma robe et de chevaucher à nouveau la selle. Je fais glisser ma chatte d’avant en arrière, je huile littéralement le cuir de l’assise avec mes sécrétions. J’appuie mon clitoris tant que je peux, tout en tenant le guidon. J’entends les passants de la rue qui ne se doutent de rien.

Quelle chaudasse je suis !

Je remarque qu’en mettant les pieds sur les pédales, je peux balayer la selle plus amplement.



Je me finis ainsi… faites-en autant.



Voilà bientôt l’heure du dîner, je suis encore nue sous ma robe de plage, je me mets sur le balcon. La chaleur de l’été commence à s’atténuer, mais je suis toujours excitée comme une puce. Vu comme la journée a démarré, je sais que la soirée sera chaude, j’ai envie qu’elle soit hot !


Pourquoi ne pas jouer les garces et partir à la chasse en ville ?


Les hommes aiment les chattes bien taillées, alors je décide d’une séance d’épilation sur mon balcon.

Je fais chauffer le pot de cire et m’installe sur la chaise longue, commence à faire couler la cire sur mes poils pubiens. Me les arracher active la circulation de mon sexe qui se gorge de sang, ma peau est rouge.

J’halète et ne peux plus m’arrêter et m’épile entièrement la chatte. Elle se durcit et devient tonique. Je commence à m’enduire d’huile et débute un semblant de tam-tam sur mon sexe. Puis je me le malaxe tant que je peux, vais au frigo me chercher des petits glaçons. Je me les passe dessus et en fais entrer un, c’est glacial.


C’est encore reparti, je deviens folle et décide de prendre une grosse carotte que je lave bien et frotte bien. Elle est froide aussi quand je l’introduis dans mon vagin. Je marche avec jusqu’au balcon, insérée en moi. Je me tiens debout contre la rambarde, j’ai au moins vingt centimètres de légume introduit l’air de rien.


Je suis fière, perverse, j’aime ça.


Je décide de m’accroupir tout en maintenant la carotte à l’intérieur, du coup je la sens remonter dans mes entrailles. Puis je contracte mon vagin pour la faire sortir et la laisser tomber. Je recommence plusieurs fois. Je me remets sur le transat avec une bombe de chantilly, ma carotte réchauffée dans les mains.

Je m’enduis la butte de mousse puis introduis l’embout dans mon sexe pour en propulser à l’intérieur. Ensuite je me caresse la chatte, la mousse fond, je rentre entièrement la carotte qui fait ressortir toute la mousse fondue telle du sperme expulsé de mon intérieur. Tout glisse à merveille.

Je me laisse imaginer oser me rentrer cette longue carotte dans le cul allongée sur la chaise longue. Ce soir je la mangerai en pensant par où elle est passée.



Faites pareil, imaginez…



… Ma chatte est reposée de sa séance « taille ».


Je me suis rincée sous une douche froide, mon corps est parfumé. Je m’habille jeune fille innocente avec un beau décolleté d’épaule, mes cheveux détachés sont très longs et caressent mon dos. Ma peau est dorée et ma chatte imberbe comme à mes treize ans. La balade de bord de mer est remplie de terrasses de cafés, le claquement des drisses de bateaux s’entend au loin, la marina accueille beaucoup de passionnés de navigation.


Je me poste à un endroit stratégique après repérage, près d’un groupe de jeunes ayant visiblement passé la journée en mer. Je reste discrète, souriante, accessible, et rapidement l’un d’entre eux me propose de les rejoindre pour parler voile et plus si affinités.


Au fil de la discussion je ne peux m’empêcher de me remémorer cette régate de 24 heures au large de la Californie, vers mes vingt ans…

Coïncidence j’avais joint un groupe de trois hommes d’environ trente ans pour une journée sur l’eau. Je me rappellerai alors toujours de leur hospitalité. Ils étaient très bons amis, très blagueurs de ce que je pouvais comprendre en anglais. Au fil de la navigation, ils se lâchaient et allaient uriner à l’avant du bateau, et commençaient à me chercher en retirant leur tee-shirt. Je ne pouvais en faire autant !

J’avoue qu’au fur et à mesure, je sentais mes envies devenir coquines. Sans doute les phéromones les ont atteints.


Au moment où je décide de descendre aux toilettes, deux d’entre eux se font des clins d’œil. Je suis aux toilettes et à peine fini, j’entends toquer à la porte, je l’entrouvre et l’un d’entre eux me fait comprendre qu’il m’a écouté faire.

Je rougis. Et alors que je tente de sortir, il me colle, me bloque contre la porte et me caresse les cheveux, passe sa main subitement sur ma braguette et caresse intensément à cet endroit. Il prend une de mes mains et la pose sur sa braguette, je le sens déjà au garde-à-vous !


Il semble bien membré !


Très sensuellement il me lèche l’oreille et la descente de mon cou, la chair de poule me submerge. Ma chemise entrouverte sur mon décolleté et la naissance de mes seins l’attire. Il me déboutonne délicatement et glisse ses doigts jusqu’à rejoindre mon téton déjà en érection. Maintenant je rapproche mon entrejambe de sa cuisse et commence à me frotter la chatte en appuyant comme pour soulager une démangeaison.


Il aime puisqu’il me plaque sa cuisse de plus en plus haut.


Nous commençons à mêler nos langues, nos bouches sont si bonnes. Il me maintient les cheveux de plus en plus vigoureusement, je n’en peux plus. Un désir fou de voir son mât s’introduire en moi m’oblige à l’emmener dans la cabine. Je m’empresse de baisser mon jean, il retouche et frotte ma chatte à travers ma culotte, il doit sentir que je l’ai déjà bien mouillée. Je finis de dégrafer ma chemise et il me sort sa queue toute belle, prête à déguster !


Je commence à le décalotter et vite je happe son gland rouge turgescent. Je le passe sur les parois intérieures de mes joues, puis lui fais de petites aspirations et le remouille abondamment de ma salive. Son gland sent bon et il est extrêmement doux comme une sucrerie. Je joue avec et n’en peux plus de le maîtriser de ma bouche gourmande.


Il me tient par les oreilles et insuffle un mouvement de va-et-vient qui m’enfonce son sexe un peu plus. Nous continuons ainsi pendant cinq minutes. Je décide de le branler et tout en continuant, je me tourne et baisse ma culotte sur mes chevilles. Je lui montre clairement que j’ai envie qu’il éjacule sur ma chute de reins. Je frotte encore et encore soit sa queue ou son gland sur le début de ma raie. D’un seul coup sa bite se dresse tel un étalon. Il fait alors gicler son sperme en jurant « My God ! ». Je décide de m’écarter doucement les fesses pour lui montrer que son jus coule lentement vers mon anus.

Je lui dis :



Je suis prête à me le faire à la suite, quelle chaudasse !


Tout à l’heure ils se sont fait des clins d’œil, qu’ils assument !

Le temps que son pote arrive, je me mets à quatre pattes sur la couchette toujours en gardant ma culotte aux chevilles. Je relève bien le cul, sens le sperme dégouliner dans ma fente jusqu’à mon vagin.

Le deuxième frappe à la porte :



Je n’ose même pas imaginer l’effet immédiat sur cet homme en me voyant dans cette position. Je ne me retourne pas et attends la pénétration, je fantasme, je ne connais pas encore son sexe. Je le sens approcher son gland et jouer sur mes lèvres avec le sperme de son ami. C’est délicieux, je commence à onduler, me tortiller, il enfonce juste son gland à l’entrée et me masse les petites lèvres. Tout glisse d’un seul coup à l’intérieur de moi, je sens la forme de son champignon astiquer mes parois gonflées.


À présent il me tient par les hanches et décide de rentrer plus profondément. Je n’ai jamais connu une aussi prolongée pénétration, la sensation au fond de mes tripes commence à me faire venir et geindre comme une chienne. Je suis surprise de voir d’un seul coup le troisième homme nous mater par le hublot. Je m’abandonne et jouis en même temps que mon astiqueur appliqué.



Je vous laisse un petit temps pour vous faire du bien vous aussi…



Épuisée par ce plaisir, je décide qu’une troisième mi-temps aura lieu plus tard, à bon port, avec celui qui est en reste. Chacun reprend son poste de navigation l’air de rien.

Celui qui n’a pas encore pu apprécier mes parties intimes ne fait que me fixer, je lui renvoie des clins d’œil. Il semble désespéré. Je décide de lui dire :



Nous accostons en fin d’après-midi, tout est calme, je dégrée le bateau à toute vitesse, le dernier en lice et moi nous faisons des sourires. Même si ses amis lui ont mis l’eau à la bouche, il ne sait pas ce qui l’attend.


Le moment des douches approche, je suis pour ainsi dire une des seules femmes à avoir navigué aujourd’hui. Je fais la remarque que je dois être la seule femme dans la Marina ! Mon petit moussaillon a compris que je lui donnais rendez-vous dans les vestiaires des femmes et s’il ose transgresser, il aura de bons souvenirs.


Tout est cosy, comme neuf, je suis détendue et commence à me mettre nue. Je décide de faire un hammam pour me chauffer. J’ai cette habitude d’avoir toujours un petit gel lubrifiant pour m’astiquer dans ces endroits embrumés.

J’entre.

La chaleur intense me donne la chair de poule.


Je m’assois en position du lotus et très rapidement m’enduis la chatte de gel, je me masse des deux mains, fais des palpers-roulers, me triture le clitoris comme si c’était la naissance d’un mini pénis. Il se durcit, je fais semblant de me masturber comme un mec. Ça m’excite ! Puis je me mets à me le taper légèrement, quelle belle salope !


Si les autres femmes me voyaient ! Peut-être ferions-nous toutes la même chose en même temps ou bien l’une à l’autre. D’un seul coup j’entends la porte claquer. Il m’a surprise en pleine action, ma chatte bat la chamade. Je le laisse s’approcher tout en continuant mes attouchements.


J’avais cru apercevoir sa queue basse en rentrant, rapidement elle se lève. Je décide de m’approcher et de lui enduire le sexe de mon gel et le masse vigoureusement en faisant un léger garrot à chaque montée et descente de mes mains enduites.

Ce soir il faudra qu’il m’encule ou rien !


Je décide de me positionner sur les différentes marches et de commencer à me masser l’anus toujours avec ce même gel. De temps à autre, je me rentre un doigt ou deux pour préparer l’accès. Je me place comme si je montais les marches à quatre pattes, il s’approche et tout en me maintenant les mains, il glisse sa queue dans mon entre-lèvres jusqu’au moment tant attendu où il s’introduit délicatement dans mon œillet.

La dilatation avait été préparée donc c’est « easy ».

La chair de poule me reprend.


Désormais il se comporte comme un vrai mâle rutilant dans mon cul. Cela va être un challenge pour moi. Je le sens car je n’ai pas souvent été perforée par derrière. Mais là, vu ce qui m’est arrivé avant avec les deux autres, il semble que je me sois lâchée aujourd’hui. Je ne m’étais jamais fait baiser par deux hommes à vingt minutes d’intervalle.

Je suis gourmande d’expériences, aujourd’hui mes trois orifices auront été honorés. Désormais il va-et-vient en sortant complètement à chaque fois, me donnant vraiment l’impression d’être pilonnée.


Voilà, mon cul s’engourdit et je me contracte fortement. Mon anus se resserre subitement, il semble que son pénis est alors happé et reste à présent dans mon intérieur. Je me mets à crier de plaisir, je jouis du cul ! La chair de poule s’empare de tout mon corps. Il se braque et se met à gueuler aussi fort que moi, pour sûr, il vient de vider son jus en moi.


Nous avons besoin de sortir, la chaleur est intense. Je le laisse retourner dans ses vestiaires et me remets de mes émotions sous une douche bien fraîche !



Essayez, c’est extra !



… Ce soir le scenario se reproduira-t-il avec ces trois hommes rencontrés en terrasse au bord de mer ?


Nous passons un très bon moment à dîner face au coucher de soleil. Leurs conversations sont très intéressantes. L’un d’entre eux me propose de prendre un verre dans leur location pendant que ses amis font un tour en ville. C’est alléchant ! En arrivant l’ambiance est zen et je découvre avec joie qu’ils ont une piscine. Nous nous installons dans des hamacs.


Portée par le bercement je fais exprès de laisser entrevoir mes cuisses en laissant glisser malencontreusement ma jupe. J’ai oublié de vous dire que bien sûr, je n’ai pas mis de culotte sur ma chatte complètement épilée, souvenez-vous.


Ses amis arrivent avec deux nouvelles recrues, nous nous présentons et discutons plus d’une heure. Je n’ai malgré tout qu’une seule envie : que cet homme découvre mon sexe imberbe. Il va kiffer, je sais que les hommes adorent.

Tous les six nous commençons à nous chercher, le feeling passe bien. L’un d’entre eux commence à emporter une des filles et se jette dans l’eau avec elle. Elle n’a pas de soutien-gorge et son tee-shirt mouillé laisse voir ses pointes de seins excitées par la partie qui va commencer.


Les garçons décident de faire un chat dans l’eau et rapidement coursées, l’autre fille et moi-même finissons à la baille tout habillées. Celui avec qui je me balançais sur le hamac il y a cinq minutes se rapproche et me retire mes vêtements.

Je suis nue dans l’eau.


Les autres filles se sentent obligées de faire pareil. Les hommes leur demandent de monter sur leurs épaules. Me voilà soudainement la vulve collée à la nuque de cet homme. Les autres ont vu que je n’ai aucun poil. Les filles semblent jalouses, les hommes survoltés. L’un d’entre eux susurre quelque chose à l’oreille de celui qui me porte. Sans doute l’informe-t-il qu’il a une chatte immaculée autour du cou.


Nous sommes surexcités et commençons à jouer, les filles se poussent dans l’eau. Rires et sensations s’installent. Puis discrètement un couple se retire. Les esprits des autres s’apaisent. Nous partons tous les deux dans un coin de la piscine et l’autre couple formé aussi. La piscine est assez grande, je sais que nous ne nous dérangerons pas.


Les sensations montent en moi lorsqu’il commence à m’embrasser tendrement. Nous nous appuyons sur les marches, laissant mes seins à fleur d’eau. Du coin de l’œil je mate les autres déjà en train de faire l’amour dans l’eau.


Il décide de mettre en marche les buses jacuzzi de la zone de descente de la piscine. Les bulles effleurent mes pointes de seins, tout se raidit, je le sens en touchant son sexe. Je décide d’être coquine et exhibitionniste. Je me mets à genoux face aux buses et approche mon sexe pour me prodiguer un massage. Quelle récompense après l’épilation douloureuse !


Je vois bien qu’il n’en revient pas de sa chance d’être tombé sur celle qui a fait une épilation intégrale.

Je note son œil lubrique et ses lèvres qui gonflent. Je ne vois pas ses mains, j’imagine qu’il se paluche.

Je joue vraiment la salope à me faire masser mon abricot par l’eau et les bulles. L’autre couple se fait entendre de plus en plus par des gémissements.


Je m’étends sur les marches de la piscine et écarte les jambes en appel de détresse. Les spots sous l’eau éclairent mon corps, il le scrute puis décide de s’introduire. L’eau ne facilite pas le début du passage, mais une fois percée la glisse s’opère mieux. Je vois sa queue large s’engouffrer telle un pilon dans ma chatte pulpeuse. À présent deux couples s’envoient en l’air à quelques mètres d’écart.

Un truc fou va se passer.


Je chuchote à l’oreille de mon pilonneur que j’aimerais me rapprocher de l’autre couple et tenter le pilonnage de son copain. Ses yeux étincellent de joie. Au fur et à mesure que nous nous approchons d’eux, la fille détourne son regard sur moi et je sais qu’elle comprend.


Je prends mon partenaire par la main et le dirige vers l’autre fille. Je me positionne alors derrière l’autre homme et délicatement lui prend le membre dur et commence à le caresser. Nous laissons le nouveau couple faire l’amour devant nous. Puis le tirant doucement par la queue, je le dirige contre le mur juste à côté des autres. Tout en le plaquant contre le bord de la piscine je relève mes pieds contre le mur, quasiment à fleur d’eau. Je rapproche mon sexe du sien et commence à m’empaler sur sa longuissime queue.

Ça n’en finit plus de rentrer en moi.


J’opère de longs va-et-vient qui le font sourire. Je fais bien mon job, tellement bien qu’il sera le premier de nous quatre à jouir. Nous resterons collés quelques minutes en attendant de voir les autres jouir, son anaconda toujours entier dans mes tripes.



Il faut que vous vous fassiez quelque chose !



Nous sourirons comme des ados et je repartirai enfin rassasiée chez moi.


Le lendemain je décide de me faire faire un massage dans un assez grand institut. J’ai vraiment envie de lâcher mes chakras et souhaite un moment très relaxant : je vais être comblée !


Coup du hasard incroyable, ma masseuse s’avère être la troisième fille d’hier soir qui bien sûr, ne nous a pas vus tous les quatre nous envoyer en l’air dans la piscine. Je ne sais pas pourquoi l’idée me met très confortable.

L’ambiance est très réussie : bougies, musique…


Aussitôt elle commence à m’enduire d’huile, l’odeur des huiles essentielles m’enchante. Elle m’écarte un peu plus les jambes pour mieux me masser l’entrecuisse. Elle m’effleure les côtés de mon sexe à chaque passage de ses mains. Cela ne semble pas la déranger, moi non plus !

Lorsqu’elle me masse le dos, elle descend ses mains sans hésitation sur mes fesses et la naissance de ma raie pour bien masser le coccyx. Je me sens de plus en plus libérée et pourtant je n’ai jamais été touchée ainsi par une femme.

Ça commence à m’asticoter là où je pense.


Elle me demande de me retourner puis me masse le ventre. Tous mes attributs sont nus à sa vue. Elle commence doucement à remonter autour de ma poitrine et mes pointes subitement me trahissent. Elles érectent et je ne peux maîtriser ! Alors s’ensuit un moment magique entre nous deux : son sourire et sa maîtrise du geste me confortent à me laisser faire. Ma respiration se fait plus profonde lorsque ses mains expertes me caressent ou me malaxent les seins.

Parfois elle pince légèrement mes pointes et je sens alors comme des décharges électriques descendant vers mon sexe.


Elle doit le sentir puisqu’elle décide de verser de l’huile sur ma nouvelle chatte de jeune fille. La sensation sur mon sexe complètement épilé est délicieuse. Elle maîtrise ses gestes parfois légers ou appuyés et je découvre certaines particularités de mon anatomie pubienne.

C’est incroyable ! Même le plus expert des hommes qui m’ait branlé est très loin de ce qu’elle me prodigue.


Je suis envoûtée, mon corps commence à onduler puis comme une petite sauvageonne je plie mes jambes en tailleur comme pour mieux lui offrir tout mon sexe. Avec ses deux mains maintenant elle me malaxe et introduit un pouce, véritable tête chercheuse qui va rapidement tomber sur mon point G. Ma chatte s’électrise, entre en transe. Quel délire ! J’en ai presque les larmes aux yeux. Je ne ressens plus du tout mon corps mais juste son pouce sur ce point dynamité.

Je lui maintiens les mains alors que mon orgasme arrive.


La salope, elle continue encore à me titiller sur ce point mais c’est décidément trop dur à supporter après ce séisme. Je l’implore alors de tenter de lui faire la même chose pour qu’elle s’assouvisse à son tour. Elle ouvre alors sa blouse blanche sous laquelle elle a juste un caraco et un shorty de satin. Elle s’empresse de les enlever et nous nous retrouvons nues toutes les deux. Je décide de m’approcher sensuellement. Je n’ai jamais fait ça.


Je commence à frotter mon corps huilé sur le sien comme une débutante. Alors elle décide de s’enduire d’huile les seins et la chatte très légèrement velue. Je décide de frotter mon minou sur le sien, c’est drôle comme sensation, nous sourions, complices désormais. Je lui avoue ma virginité avec les femmes. Elle va alors me guider, utiliser mon pouce pour découvrir le sexe d’une autre femme.


Le feu est à nouveau en moi en découvrant la sensation d’introduire un doigt à une femme. Maintenant elle se branle littéralement avec mes doigts. J’aime la regarder rougir de plaisir. Mon sexe recommence à être excité. Je décide en parallèle de frotter mon sexe sur sa cuisse, tout glisse à merveille et j’ai l’impression que ma chatte a doublé de volume.

Elle se met alors à avoir des spasmes et tremble de jouissance. J’ai réussi à lui stimuler son point G aussi. Il me faudra certainement plus de pratique mais je suis fière. Elle reboutonne sa blouse, me caresse la joue et me remercie. Je la remercie aussi et je sortirai vraiment détendue.



À vous de le tenter aussi…



Désormais pour le reste de l’été, je saurai où aller pour me faire câliner fémininement.


Cette station balnéaire est remplie de souvenirs, notamment mon dépucelage. Quel beau cadeau pour mes dix-huit ans.

Cet été-là, j’obtiens un job à mi-temps dans un restaurant-bar assez grand. Nous sommes une bonne équipe, beaucoup de jeunes serveurs. Je sympathise rapidement avec quelques-uns et nous commençons à nous retrouver dans nos temps libres à la plage les matins. Ceux qui viennent à nos baignades sont bien sûr célibataires et commencent rapidement les mains baladeuses lors de nos jeux : on se fait rouler dans le sable, on se fait jeter à la baille, on s’étale la crème solaire.


Vous imaginez facilement ces petits attouchements super fantasmés. Dans l’eau surtout nos jeux sont très tendancieux. Les garçons nous volent nos hauts de maillots de bain, ce n’est pas sans m’exciter ! Mais je suis pudique alors je n’ose jamais sortir de l’eau seins nus. Je remarque que c’est souvent le même qui me ramène mon maillot pour que je puisse sortir. Un jour il se propose de me le nouer derrière le cou et il en profite pour me baiser la nuque. Rien de plus, j’adore quand les préliminaires sont longs, le désir monte !

Le lendemain mon gentleman réitère son approche et il se retrouve à me peloter les seins avant de me rattacher mon maillot.


Puis nous nous roulons des galoches et sentons l’excitation monter. Il me propose alors d’aller chez lui, il habite ici à l’année et ses parents ne sont pas là, ils travaillent. J’accepte ! Lorsque nous arrivons, il me fait vite découvrir sa chambre. Il est étudiant en quatrième année de médecine. Rapidement il me met nue et me déshabille du regard. Je suis gênée, il le voit, alors il se met nu aussi.


Première fois que je vois de but-en-blanc un sexe d’homme en érection au grand jour, ça a l’air tellement rigide et très relevé ! Je rougis de plus en plus.

Je ne sais pas ce qui va m’arriver, se passer.


Il s’approche de mon corps et nous nous embrassons goulûment en nous touchant de partout. J’ai déjà fait beaucoup de touche-pipi avec les garçons mais toujours dans la pénombre. Le fait de voir nos corps aussi crûment me fait chavirer, c’est très grisant. Je sens alors le bout de son « bâton » me mouiller légèrement, il sécrète cette petite substance transparente qui sert à lubrifier.


Nous nous allongeons sur le lit, le corps à corps est de plus en plus intense. Il frotte sa queue de plus en plus près de l’entrée de mon sexe. D’un seul coup, il s’assoit sur le bord de son lit, tire de son tiroir un préservatif et commence à l’ouvrir. Je comprends alors son intention.

Je m’assois et lui demande ce qu’il fait. Surpris il me dit :



Alors je décide de me lancer et lui avoue que je n’ai jamais fait l’amour. Il est sans voix. Il me sourit et me dit que si j’ai envie de le faire avec lui pour la première fois, alors il faut que ce soit très réussi. Il me propose que l’on prépare ce moment à l’avance pour être dans de bonnes conditions.


Je le trouve adorable et accepte. Il va alors me masturber comme jamais je n’ai encore connu, allant jusqu’à introduire trois ou quatre doigts dans ma chatte encore vierge, puis il me demande de le branler.

Je me mets en tailleur derrière lui et lui astique le manche. Il éjacule sur son tee-shirt, je n’ai jamais vu ça ! Je découvre les jets de sperme, c’est génial !


Nous nous allongeons l’un contre l’autre et il commence à me poser des questions. Comment j’aimerais que cela se passe, où, quand ?

Il me demande si j’ai l’habitude de me masturber en introduisant mes doigts ou des objets et jusqu’à quelle profondeur je vais, si je mets des tampons. Il tente de savoir si la percée va être difficile ou pas.

Nous décidons de le faire le lendemain, ici, dans la matinée à la place de notre baignade habituelle.


Rendez-vous pris, nous nous retrouvons à nouveau dans sa chambre.

Il est aux petits soins avec moi. Il ne cesse de me demander si tout va bien, si j’ai besoin de quelque chose. Il me met très à l’aise, je n’ai aucune appréhension. Il faut dire que dans mon adolescence, j’ai pas mal trituré mon trou pour explorer ou me faire jouir. Je peux dire que j’étais assez fervente de la masturbation. Souvent dans mon bain, je me passais le pommeau de douche sur ma chatte ouverte, me délectant ainsi des sensations des jets sur mes parties intimes.

Ensuite bien excitée je me séchais rapidement, prenais un tube d’aspirine et me l’enfonçais.


J’allais ensuite dans ma chambre entourée de ma serviette, m’enfermais et m’allongeais sur mon lit. Nue et toujours avec le tube d’aspirine dans ma chatte, je prenais mon oreiller en boule entre mes cuisses et frottais tant que je pouvais jusqu’à assouvir mon plaisir.

Je ne connaissais pas encore le godemiché. On fait ce qu’on peut avec les moyens du bord. Tous ces moments où je me frottais, je fantasmais l’entrée du pénis en moi. Voilà qu’aujourd’hui ç’allait être chose faite. Je crois que je salivais d’avance.


Sa chambre est tamisée, sûr de lui, il m’allonge sur son lit et me déshabille tendrement. Mes vêtements glissent lentement, frôlant mon corps que je dévoile petit à petit. Il a mis une musique de fond qui me détend comme il faut, tout est chaleureux et ses mains douces me caressent. Il m’explique avoir amené un gel lubrifiant qui sublimera ma première pénétration. Il commence alors à chauffer ce gel dans ses mains et débute un massage autour de mon sexe puis en remet sur mes parties plus intimes.


Je lui dis que j’ai hâte et il commence à me susurrer tout ce que je vais ressentir en détail.

D’abord l’approche de son corps sur le mien, tout est sensuel, l’excitation me prend. Puis il m’écarte les jambes et je sens son bassin contre le mien et sa queue dure et droite contre mon bas-ventre. Elle va jusqu’à mon nombril, je l’imagine en moi.

Il s’amuse à presser son sexe sur mon bas-ventre et me demande si je peux lui enfiler le préservatif. Alors pour la première fois, je mets une capote à un homme. Mes gestes sont ceux d’une débutante, il m’aide, sa queue devient plus grosse, je la vois enfler.


Je sens mon sexe vibrer ! Nous allons revenir dans la même position et il me rajoute alors encore un peu de lubrifiant. Délicatement il va introduire la première partie de sa queue et jouer à entrer et sortir lentement. Je sens nos respirations s’intensifier, il m’observe, je plonge dans son regard.

Je sens « sa boule de queue » (son gland) me masser l’entrée du vagin : c’est à miauler comme une chatte en chaleur qui attend d’être percée.


Petit à petit je sais et sens qu’il va de plus en plus profondément, je n’ai absolument pas mal, ces premières sensations me transportent. Ses va-et-vient si délicats me ravissent, tout glisse à merveille, je lui souris, lui aussi.

Heureusement qu’il m’a bien enduit la chatte.

Son sexe est très chaud et je suis remplie, quelques petits bruits s’échappent, ceux du gel lustrant nos parois.


D’un seul coup je me cambre, replie mes jambes et me trémousse un peu du bassin. Je sens alors qu’il va intensifier ses allers et retours, il me rassure et m’explique qu’il va bientôt jouir et éjaculer dans la capote.

Là pour le coup, je sens que son sexe me remplit plus et me fait un peu plus mal. Je vais avoir un homme jouir pour la première fois en moi, c’est beau. Je sens de légers tressauts dans mon bassin, une sensation de bien-être remonte dans mon ventre, c’est comme si ça me chatouillait.


Je retrouve la même sensation juste au point culminant de mes masturbations mais je kiffe plus ce qu’il fait car sa bite est en moi. Je pousse de petits gémissements, et lui, relâche un soupir dans sa raideur finale ! Nous restons quelques minutes entremêlés dans les draps.


Petit à petit son sexe se rétracte. Désormais je me sens femme ! Quelle belle première fois ! Tous les jours nous reprendrons rendez-vous ainsi et je verrai mon sexe s’habituer aux plaisirs sexuels.

Je vous souhaite d’avoir connu pareilles sensations.


Je reviens à ma masseuse câline, je vais retourner la voir et elle va alors me faire comprendre qu’elle veut plus mais pas qu’avec moi.

Elle me propose de revoir les garçons de l’autre soir sans l’autre fille.


Rendez-vous pris, elle a les clés du spa et elle nous propose de nous retrouver là-bas à minuit. En revoyant ces trois hommes, le souvenir de leur queue me revient. Tout le monde se fait des sourires complices, les filles savent à quelle sauce elles vont être mangées.


Nous nous introduisons très discrètement tels des cambrioleurs. Nous n’allumons que quelques bougies et allons dans la salle de massage double. L’ambiance est parfaite et cette masseuse me propose que nous nous masturbions mutuellement devant notre public masculin.


Sensuellement nous nous déshabillons et je suis surprise de voir qu’elle s’est épilé la chatte comme moi !

Nous nous enduisons petit à petit d’huile et elle commence à me masser les seins. Je me lance à lui masser sa chatte imberbe. J’aime ça, c’est très doux, comme la chatte de mes treize ans.

Pendant que nous nous attisons les corps, les garçons sortent leur queue à l’unisson, raides comme des bâtons. Discrètement je me rends compte qu’elles sont très différentes. Ils vont se les astiquer pendant dix minutes jusqu’à ce que la masseuse et moi nous fassions jouir comme de vraies gouines.

Ils aiment ça et se déshabillent complètement en se rapprochant de nous.


Les deux avec qui j’ai fait l’amour dans la piscine l’autre jour vont directement sur l’autre fille. Ils vont se mettre devant et derrière elle, je comprends alors qu’elle va se faire enfiler des deux côtés.

Sans doute aurai-je droit à la même chose. Cela ne m’est jamais encore arrivé d’avoir mes deux trous occupés en même temps.

J’appréhende un peu.


En attendant le troisième homme me plaque sur le ventre sur la table de massage et commence à me masser l’anus avec de l’huile. Petit à petit je vais relever mon cul et il va venir vers moi m’enculer doucement, la sienne est fine et c’est très bien pour un début de soirée.


Je vois sur le côté l’autre femme se faire prendre en sandwich debout. J’ai très envie de découvrir ça et leur demande d’échanger. Je leur explique que c’est la première fois, alors ils vont y aller doucement.

Le premier s’introduit dans mon vagin et m’écarte les fesses pour laisser l’autre s’introduire très doucement.

Mon anus ayant été préparé avant, tout rentre comme dans du beurre. La sensation est extraordinaire.

Leurs va-et-vient ne sont pas toujours en cadence ce qui me permet aussi d’apprécier des sensations différentes.

Cette double pénétration me rend vite très folle.


Mes joues sont chaudes et au bout d’un moment une sensation étrange dans mon arrière me fait penser que je vais bientôt jouir du cul.

Ce qui arrive bientôt et je sens son sexe se raidir dans mon anus, il jouit aussi.

Il se retire délicatement pour aller caresser l’autre femme.


J’ai toujours une queue dans mon vagin. Il va continuer à aller et venir tout en m’introduisant doucement son doigt dans mon cul. Il malaxe avec le sperme de l’autre l’entrée de mon anus. Rapidement je sens une nouvelle jouissance venir dans mon con.


La vue de cette femme se faire branler à côté de moi m’excite énormément. Mon corps va ouvrir ses chakras à nouveau et je vais littéralement m’astiquer sur son membre qui me lime désormais en cadence.

Alors que mon cul est encore sous l’effet d’une jouissance anale, je vais à nouveau jouir mais cette fois de la chatte. L’autre femme me suivra de peu. Quoi de plus merveilleux !


Nous irons rincer nos corps, pour moi encore sous l’effet de multiples jouissances. Nous repartirons chacun chez soi, la soirée ne pouvait pas être plus intense.



Et vous, n’avez-vous jamais dépassé vos limites ? Laissez-vous aller…