n° 16829 | Fiche technique | 29689 caractères | 29689Temps de lecture estimé : 18 mn | 24/05/15 |
Résumé: En 1944, à Berlin, une secrétaire tombée sous le charme du colonel pour lequel elle travaille ne peut s'empêcher de tenter une approche. Elle sait cela risqué, mais quitte à mourir, elle préfère que ce soit des mains du colonel plutôt que de la guerre. | ||||
Critères: f fh uniforme hdomine intermast fellation pénétratio -fsoumisah | ||||
Auteur : JeanDunbar Envoi mini-message |
11 mars 1944, Berlin.
La guerre fait rage depuis plusieurs années au cœur de l’Europe, les victimes s’accumulent, les morts s’entassent et le nombre croissant de veuves finit par offrir au pays de nombreuses femmes pour peu d’hommes. Au cœur de la capitale allemande, une femme est assise sur un banc de Tiergarten Park.
Hildegarde est grande, élancée, sportive à souhait et surtout elle correspond aux critères, elle est blonde. Mais elle est aussi pleine de qualités pour une femme de son époque. Elle est bien éduquée, amatrice de musique, adepte de la littérature, férue de théâtre, et est obstinément passionnée par les hommes.
C’est nonchalamment assise sur ce banc qu’Hildegarde observe, elle observe les hommes qui passent, elle écoute les bruits de la ville et essaie de passer outre les vrombissements de la guerre. Elle n’aime pas sentir ce stress permanent, elle préfère s’effondrer dans le plaisir et la luxure, se sentir puissante dans les bras d’un homme, laisser agir ses charmes et assouvir ses envies. Et aujourd’hui elle a jeté son dévolu sur un militaire. Oh ! bien sûr ce n’est pas le premier, elle a déjà même goûté à presque toute l’échelle hiérarchique militaire. Mais celui-ci est différent, il est sûr de lui, il déborde d’assurance et de charisme, il marche d’un pas sûr, il prend une place importante dans le monde qui l’entoure et il aime ça. Il aime sentir son influence, son pouvoir et avoir la mainmise sur absolument toute sa vie. Cet homme, c’est le colonel Siegfried Aufchtate.
Tous les samedis, en début d’après-midi, Hildegarde doit se rendre au ministère de la Guerre pour justifier de son travail de secrétaire. Adepte de la machine à écrire, elle pratique également l’art de la sténographie et elle met ses atouts au service d’un vieil amiral ayant fait ses preuves pendant le premier conflit mondial mais qui a récemment pris sous sa tutelle un colonel fraîchement nommé par un général de l’armée régulière allemande. C’est donc sur un banc, avant de prendre son service, que notre sulfureuse blonde attend que le colonel croise sa route. Il passe par cette allée du parc tous les jours pour aller au ministère. Elle commence à connaître le colonel, mais elle ne l’a rencontré que dans le cadre du travail, elle en veut plus, elle veut le découvrir, le dévorer des yeux et, pourquoi pas, profiter de son corps musclé. Justement, le voilà.
Interloqué, le colonel relève la tête et remonte lentement son regard, des pieds fins glissés dans des escarpins à talons, de fins mollets musclés, pas de défaut, la peau semble immaculée. Il remonte le long de ses cuisses, une jupe de tailleur blanc cassé parfaitement ajustée, une fine ceinture marron. L’esprit encore sous le choc, le colonel remonte encore, un ventre plat, une magnifique paire de seins avec un galbe parfaitement dessiné. La dentelle est à peine visible, les dessous sont donc très fins et laissent parfaitement l’imagination jouer son rôle. Et au-dessus, un col rond assez large dévoilant une peau blanche, sans défaut, une fine chaîne en or, un cou qui appelle à la caresse et aux baisers et enfin le visage de notre belle Hildegarde. Couronnée de ses cheveux platine, elle arbore un regard intense et bleu en direction du colonel, et son sourire le plus espiègle.
Et le colonel repart pour le ministère de la Guerre.
Il ne faut pas longtemps à Hildegarde pour réagir et la voilà aux côtés du colonel, mais que faire ? Engager la conversation ? Lui prendre la main ? Est-il marié ou fréquente-t-il quelqu’un ? Toutes ces questions, la jeune fille n’avait jamais pensé à se les poser. Le colonel est peut-être tout simplement inaccessible. En jetant un œil sur sa gauche, elle peut observer son profil, un nez aquilin, des cheveux ordonnés, mais surtout un regard intense, profond et qui en dit long sur la volonté et le caractère du colonel. C’est décidé, elle veut cet homme et elle l’aura entre ses jambes et dans ses bras coûte que coûte. La seule question qui subsiste, c’est comment provoquer l’occasion sans se faire virer ou, pire, tuer. En temps de guerre, les prétextes à la pendaison ont été revus à la baisse. Alors, charmer un colonel, vous imaginez.
Pour un premier contact en tête à tête, ce n’est pas exactement comme ça que la demoiselle imaginait la scène. Mais elle n’a pas dit son dernier mot, loin de là, elle compte bien séduire le militaire et laisser faire ses envies.
La voilà derrière son bureau à taper des courriers pour le général. La journée a été calme malgré les avancées de la guerre, le général a été quasiment tout l’après-midi en conseil de guerre et le colonel était avec lui. Hildegarde l’a revu après le conseil pour une séance de sténographie afin de transmettre les ordres du général aux différentes zones du front russe. Mais impossible de ne serait-ce que lever les yeux vers le colonel pour un regard de braise. Elle ne doit pas se déconcentrer devant le général.
Par la fenêtre, la grande cloche de la cathédrale de Berlin se met à sonner, il est 21 h. La jeune secrétaire est exténuée, elle finit tout juste de taper son dernier courrier. Elle a mal partout, elle ressent la fatigue dans le moindre de ses muscles, son dos est raide, ses doigts fourbus, et elle meurt de faim. Elle profite de ce petit instant pour laisser son imagination vagabonder. Le général est parti depuis près de deux heures, mais le colonel est toujours à son bureau, donc elle doit rester elle aussi. Elle se voit bien rentrer chez elle, profiter des quelques denrées encore difficilement disponibles à cause du conflit et si elle a de la chance, elle aura suffisamment d’eau chaude pour se couler dans un bain et s’oublier. Le corps nu entièrement immergé dans la baignoire du premier étage, elle sait qu’enfin elle pourra penser sans crainte au colonel et laisser aller ses envies.
Dans la vie, Hildegarde est très correcte, bien éduquée et prude à souhait, mais quand vient l’heure du bain, il n’est pas rare qu’elle laisse vagabonder son esprit et, avec, ses doigts. Elle connaît son corps à la perfection et depuis qu’elle connaît les joies du plaisir solitaire, elle s’engage à toujours être surprise par les réactions de son propre corps. Et elle sait d’avance que ce soir, ses pensées seront tournées vers l’idée que le colonel pourrait être la source de ce plaisir. Les yeux fermés, rassérénée par la douceur de cette eau chaude après une telle journée, Hildegarde laissera glisser sa main gauche sur son sein, l’effleurera, caressera le galbe, juste assez pour frémir, et elle caressera son téton, petite colline rose qui trône fièrement sur ses seins sublimes et fermes. Une fois son téton glissé entre deux doigts, elle sait qu’elle laissera sa main droite s’insinuer le long de son ventre pour glisser entre ses cuisses. Elle n’est jamais surprise de ce qu’elle trouve au premier contact de son entrejambe, la peau y est lisse, douce, chaude, chaleureuse même. Mais c’est un choix de sa part de s’entretenir de la sorte. Une fois la main posée sur son mont de vénus, et le sein fermement maintenu, elle sait qu’elle va s’abandonner à ses propres caresses.
Elle insinue ses doigts de part et d’autre de son sexe, laissant la chaleur pénétrer son bas-ventre. Ce contact est tellement intime, elle ne cesse de glisser, remonte légèrement avant de resserrer ses doigts et les déposer sur son sexe. Comme à son habitude, l’envie ne tarde pas et, avec elle, l’humidité au creux de ses cuisses. Elle ne tient plus, elle enfouit ses deux doigts en elle et dépose son pouce sur son clitoris. Elle sait qu’elle ne peut jouir qu’avec deux doigts investigateurs en elle mais depuis quelque temps, elle a découvert qu’en se titillant le clito en même temps, le plaisir était décuplé…
D’un seul coup, la jeune blonde est tirée de sa rêverie et, par réflexe, elle se lève et fonce dans le bureau du colonel.
Elle n’en revient pas, quelques instants à imaginer sa soirée et la voilà chaude comme la braise et, elle le sent, son entrejambe est humide et ne demande qu’une chose : le colonel.
Mais la vérité est tout autre, elle meurt d’envie de cet homme fort et qui la transperce de son regard, il la déshabille presque… Mais bien sûr ! Il la déshabille du regard, il faut qu’elle tente le coup.
Hildegarde avance vers lui, moins d’un mètre les sépare. Elle dépose son regard sur ses lèvres, elle n’attend qu’une chose, plaquer les siennes sur celles du bel homme. Elle sent la chaleur dans son ventre refaire surface, elle sent l’humidité se glisser à nouveau entre ses cuisses. En baissant le regard, elle aperçoit un mouvement, un renflement juste en dessous de la ceinture, elle sait. Elle en est sûre, le colonel lui aussi a envie d’elle et elle ne va pas rater cette occasion.
Et sur ces mots, elle plaque sa main gauche sur l’entrejambe du militaire tout en attrapant sa nuque de sa main droite pour l’embrasser avec passion. Le contact de ses lèvres est chaud et intense, elle n’hésite pas un instant, elle ne doit pas rater ce moment. Elle l’embrasse jusqu’à entrouvrir la bouche pour laisser glisser sa langue vers celle du colonel. Elle glisse sur ses lèvres et s’insinue enfin entre ses dents à la recherche de sa chair. Après tant de jours à l’espérer, enfin elle peut profiter et tout faire pour le rendre fou. Elle a envie de lui, elle veut vibrer sur son corps, elle veut qu’il l’implore de plaisir et ce moment est arrivé.
De sa main gauche, elle sent la bosse sous l’uniforme, elle sent le sexe de l’homme se charger de désir et elle ne va pas s’arrêter là. Elle le masse, elle le caresse, elle fait tout pour que le colonel bande comme jamais, que son membre se gonfle le plus possible grâce à elle. Elle avance encore vers lui, il fait un pas en arrière et se retrouve bloqué par le bureau. Elle ne veut pas le laisser partir, elle est lancée alors elle ne va pas s’arrêter là. Elle continue de masser le membre qui prend petit à petit une forme très avantageuse. Elle sent que ses doigts s’élargissent de plus en plus pour pouvoir mouler la forme du sexe avide du colonel.
De son côté, le colonel n’en croit pas ses yeux, il se retrouve plaqué contre son bureau avec une fille, une secrétaire qui plus est, en train de l’embrasser comme jamais. Il doit à tout prix reprendre le contrôle de la situation. Cela dit, depuis qu’il a vu cette grande blonde au physique avantageux dans l’antichambre du bureau du général, il la désire. Il a plus d’une fois fait jouer son imagination pendant les longues heures où elle travaillait pour le général en sa présence. Il l’a déjà détaillée des pieds à la tête en passant par le galbe de ses mollets, les courbes de ses hanches, la fermeté manifeste de ses seins généreux avant de finir par la peau parfaite de son cou et l’épaisseur de sa chevelure d’or.
Et ce soir, comme par enchantement, elle est plaquée à ses lèvres, une main sur son entrejambe en train de le caresser, de le tenter, de faire déborder son plaisir. En à peine quelques secondes, son sexe s’est gonflé de sang pour prendre sa forme la plus avantageuse. Sous de simples caresses, le colonel n’en peut déjà plus, il lui en faut davantage et pour ça, il doit prendre l’initiative. Il glisse une main derrière elle pour saisir une poignée de ses cheveux et la tirer légèrement en arrière. Il arrive à décoller sa bouche de celle de la jeune fille, mais elle reste fermement ancrée à son pantalon et il semble que plus il la tire en arrière, plus elle resserre ses doigts sur son membre turgescent. De son autre main, le colonel enserre la secrétaire et descend lentement vers la courbe de ses fesses. Le voilà le regard plongé dans celui d’Hildegarde, les lèvres séparées d’à peine quelques centimètres, elle avec sa main gauche jouant sur son sexe dur et lui une main lui tirant les cheveux et l’autre en train de malaxer ce derrière qu’il n’aurait jamais pensé si ferme. Le décor est planté et aucun des deux acteurs ne semble vouloir s’en arracher. Les secondes s’égrènent, le temps semble s’être arrêté entre les deux Allemands, mais très rapidement, l’initiative a changé de côté et c’est l’apollon qui prend les devants en plaquant la jeune fille sur ses lèvres et en glissant sa main suffisamment bas sur le tissu de sa jupe pour en atteindre le bord et entrer en contact direct avec la peau de ses cuisses. Les doigts s’insinuent sous le tissu pour remonter lentement le long d’une jambe semblant appartenir à une déesse.
Le contact est léger, presque imperceptible, mais Hildegarde ne sent que ça, la rugosité des doigts du colonel remontant le long de sa cuisse. Les restes de sa rêverie passée sont encore bien présents et ce simple contact au plus près de son intimité suffit à embraser de nouveau son bas-ventre. Elle ressent chaque centimètre parcouru par ces phalanges expertes et elle se laisse sciemment aller car c’est tout ce qu’elle demande. À l’instant où elle glisse sa langue vers celle du colonel, elle espère sentir ses doigts s’insinuer en elle de la même façon, avec douceur, fermeté et surtout le plus profondément possible. Lentement, centimètre après centimètre, les doigts remontent le long de la peau de la demoiselle. Elle n’y tient plus, de sa main la plus habile, elle remonte depuis le sexe du colonel vers sa ceinture et commence à la défaire. Elle tire dans un sens puis dans l’autre et elle sent la pression se relâcher, la première étape est franchie. Les doigts, eux, ne sont plus très loin de leur destination, tels des alpinistes ils remontent l’aine brûlante de la secrétaire. Elle sent sa peau frémir, elle sent que sa respiration s’accélère légèrement et elle sent que le pouls du militaire vient de grimper en flèche.
La ceinture défaite, Hildegarde peut commencer à défaire les boutons du pantalon. Par chance, son expérience auprès d’autres militaires lui permet de savoir exactement comment faire. Une main non entraînée se perdrait en quelques instants. Elle finit de défaire le dernier bouton de la tenue du colonel et s’apprête à saisir ce membre impatient quand d’un seul coup les doigts du colonel sont à la porte de son bas-ventre. Trop concentrée sur le pantalon du colonel, elle n’a pas fait attention à leur progression. Mais c’est fait, ils sont là, prêts à s’insinuer en elle. Elle sent le militaire hésiter, elle plie légèrement les jambes pour augmenter la pression de son sexe chaud sur ces doigts. Mais la secrétaire veut conserver l’avantage, elle saisit le sexe de l’homme à pleine main, il est brûlant, dur, gorgé de sang, palpitant sous ses doigts fins. Elle le caresse en douceur mais avec envie, elle l’explore, elle remonte la hampe et découvre un parterre de gazon bien entretenu, pas trop long, pas trop court, juste assez pour profiter des sensations. Elle glisse sa main en dessous, le caresse de tout son long avant de revenir vers les bourses de l’homme ; elles sont fermes et déjà Hildegarde s’imagine en train de les explorer de sa langue.
La jeune fille ouvre les yeux et regarde le colonel, il a les yeux fermés et profite de chaque instant, mais elle ne compte pas oublier que la main du colonel est proche de pouvoir enfin l’explorer. Elle retire donc sa main du pantalon et l’embrasse de nouveau à pleine bouche. Chaque action a sa conséquence, le colonel se reprend et se concentre sur sa propre exploration de cette grande blonde. Hildegarde joue avec le colonel, elle glisse sa langue sur ses lèvres, elle humidifie chaque millimètre carré disponible jusqu’à la commissure de ses lèvres.
De son côté, le colonel est aux portes du paradis, le sexe de la jeune fille est humide, même s’il ne l’explore pas encore, il le sent, mais il veut la faire languir un peu, il caresse son sexe chaud, il remonte vers son clitoris, le caresse, le pince même et redescend vers les lèvres ; il passe doucement un doigt entre elles et arrive à l’endroit même où il sait qu’ils vont disparaître, comme avalés. Il sent la langue de la jeune fille forcer aux portes de ses dents et à l’instant où il lui ouvre pour l’embrasser avec passion, le colonel glisse deux doigts au plus profond de la jeune fille. La résistance a été quasiment inexistante, ses doigts ont glissé d’eux-mêmes et jusqu’à la main. Le colonel n’en revient pas ; c’est brûlant, ruisselant de plaisir, et au vu de la respiration de la jeune fille, cela a eu l’effet escompté. Le colonel commence un léger va-et-vient en elle, il agite ses doigts pour caresser les parois internes de la jeune fille, peut-être à la recherche de ce point qui semble faire exploser les filles en quelques minutes.
Hildegarde perd le contrôle de la situation, elle ne doit pas laisser le colonel prendre le dessus. Le sexe c’est elle et elle seule qui mène la danse. Mais elle sent que cette constante lutte de pouvoir entre elle et lui pour prendre le dessus va rendre l’instant encore plus intense et passionnant. Mais que peut-elle faire ainsi assiégée par les doigts du colonel qui se font de plus en plus vivaces en elle ? Elle s’abandonne à lui, laisse sa langue jouer avec la sienne, elle écarte délicatement les jambes pour laisser davantage de place au militaire ; mais au moment même où il tente d’insérer un troisième doigt, elle en profite pour se saisir à nouveau du sexe gorgé de sang. Elle l’enserre de toute sa main et commence de légers va-et-vient. Elle sent la respiration de l’homme s’accélérer au même rythme que sa main. Alors sans prévenir, sous les allers-retours des doigts du colonel, elle sent ses jambes lâcher et d’un seul coup, elle tombe. Elle se retrouve à genoux, aux pieds du colonel. La demoiselle est surprise, elle ne sait pas comment en une fraction de seconde, elle est arrivée là. Elle ressent une intense douleur dans le genou droit mais, malgré cela, elle sait qu’elle doit se relever pour ne pas laisser au colonel cette occasion de lui échapper.
Elle se redresse et au moment de se relever, elle pose son regard sur le sexe de cet homme. Il est gonflé, dur, et impressionnant d’aussi près. Elle ne peut pas le laisser s’échapper. Elle dépose sa main dessus et elle y approche sa bouche. Elle voit au bout du membre, une petite goutte qui a perlé, elle ne peut s’empêcher de passer le bout de sa langue dessus. Elle caresse ainsi le gland de l’homme. Ce dernier va d’ailleurs très vite perdre pied sous les assauts incessants de cette langue douce, chaude et humide. Elle ne peut décemment pas s’arrêter là ; et puis elle a envie de le faire chavirer. Autant faire son maximum pour qu’elle ne perde pas son boulot au ministère. Alors elle entrouvre la bouche, rétracte ses dents et glisse ce sexe en elle. Il est tellement dur, elle l’humidifie abondamment et commence des va-et-vient. Elle enroule sa langue autour, elle essaie de le faire aller le plus loin possible au fond de sa gorge mais elle s’arrête juste avant d’avant d’avoir le cœur qui se soulève. Toujours avec une main sur la hampe de l’homme, elle veut lui en faire vivre davantage et, pour cela, elle se saisit des bourses de l’homme, elle les caresse, les malaxe, les serre, les chatouille… et la réaction est encore plus inattendue, le sexe se dresse encore un peu plus, s’étend de plus en plus dans la bouche d’Hildegarde. Elle s’affaire, elle enroule sa langue sur le gland, elle lèche la hampe de toute sa longueur, elle aspire même les bourses et elle sent le sexe de l’homme commencer à frémir. Elle sent des petits soubresauts parcourir son membre.
Elle sent les mains du militaire la saisir sous les bras et la soulever avant qu’elle ait fini son office. Elle se relève donc et comme mue par une sauvagerie soudaine, le regard intense, presque féroce, le colonel soulève la secrétaire avant de l’asseoir sur le bureau. Ainsi assise, il remonte sa jupe avec fermeté et elle sent qu’elle ne doit pas protester si elle ne veut pas que le colonel utilise la force. Par réflexe, elle referme quand même les jambes une fois que ses dessous ont été mis à jour. Mais il ne va pas la laisser faire, il la fusille du regard, lui intimant de lui redonner l’accès à son entrejambe avant qu’il ne le fasse de force. Il se saisit de sa culotte et commence à la tirer vers lui. D’un coup sec, il la décolle de la table et commence à la faire glisser le long des cuisses de la demoiselle. Elle est trempée, elle sent bon le plaisir féminin et certifie au militaire qu’elle en a autant envie que lui. Il laisse la culotte tomber au sol et pose les mains sur ses genoux en intimant silencieusement d’écarter les jambes. Elle ne fait que resserrer son emprise. Elle ne veut pas se laisser faire. Alors, seconde après seconde, il force de plus en plus écartant lentement ses cuisses sans lui laisser le choix. Une fois assez large pour se glisser entre, il l’attire vers lui, se retrouvant ainsi son sexe proche du sien et prêt à le recevoir. Il glisse ses bras sous ses jambes afin de lui soulever les genoux et de pouvoir encore davantage la rapprocher de lui. Son sexe effleure ses lèvres chaudes et humides et sans un mot, Hildegarde saisit ce membre pour lui indiquer la route la plus courte vers le plaisir. Elle le prend à pleine main, le caresse légèrement et le pointe juste devant l’entrée de son sexe. C’est en soi presque un ordre pour que cet homme la prenne enfin et la libère de cette attente.
Autant dire qu’il ne se fait pas prier, fermement ancré sur ses jambes, il la pénètre de tout son long. Il glisse sa hampe au plus profond d’elle et la chose est aisée tant Hildegarde est humide. Le colonel commence de puissants va-et-vient en elle. Pas très rapides mais très profonds. À chaque nouveau coup de boutoir, ses bourses viennent claquer contre les fesses de la demoiselle. Hildegarde s’agrippe au bureau pour ne pas bouger, pour ne pas reculer et perdre ne serait-ce qu’un seul centimètre de pénétration. Elle sent ce sexe l’envahir complètement et elle ne compte pas le laisser faire. Passée maître dans l’art de faire du bien aux hommes, elle commence à bander chacun de ses muscles afin de refermer son fourreau autour de ce sexe qui la fouille. Elle se concentre pour intensifier son étreinte sur lui mais c’est tellement bon, elle peut difficilement tenir sous un tel assaut. Hildegarde commence à sentir monter au creux de son ventre un plaisir qu’elle connaît bien et s’il est bien alimenté, elle sait pertinemment qu’elle va jouir sous les assauts infatigables du colonel. Elle sent qu’il commence à ralentir, et elle se demande pourquoi. Le feu commence à s’éteindre en elle alors elle tente de lui jeter un regard l’implorant de continuer. Pour seule réponse elle n’a qu’un regard impérieux et puissant lui intimant le silence. Un dernier coup au plus profond de la demoiselle et le militaire se retire. Hildegarde est tellement déçue, comme beaucoup d’autres il a dû se soulager en elle ne pensant qu’à son plaisir. Elle avait surestimé le militaire.
Elle se relève et avant même d’avoir ouvert la bouche, l’homme lui saisit les épaules, la retourne littéralement et la plaque de nouveau sur le bureau. Il remonte de nouveau cette jupe qui fait barrière entre leurs sexes et s’offre ainsi une vue imprenable sur ses fesses. Elle en a le souffle coupé, elle est plaquée sur le bureau, elle sent sa main posée sur son dos l’empêchant de se relever. Elle est littéralement offerte à l’homme. Elle sent l’air frais passer sur son sexe et remonter entre ses fesses. Elle n’a jamais laissé faire cela. C’est toujours elle qui domine la situation. Est-il possible qu’elle ait trouvé plus forte qu’elle ? La pression sur son dos ne diminue pas en revanche, elle sent ce sexe à l’entrée de son antre et elle sait que ça va être très bon. Peut-être va-t-elle accepter de laisser la situation lui échapper quelques minutes et se consacrer simplement à son plaisir à elle.
Une seconde… Une seconde, c’est le temps qu’il a fallu au colonel pour enfoncer de tout son long son sexe en elle. Il a posé ses deux mains sur son dos et s’appuie sur elle pour s’enfoncer encore plus en elle. Les coups de boutoir reprennent de plus belle et le feu se rallume au fond du sexe de la secrétaire. Il intensifie ses coups et pour couronner le tout, il attrape une poignée de cheveux de la jeune fille et commence à la tirer en arrière. Surprise, elle se cabre pour ressentir chaque centimètre du sexe qui n’a de cesse de la pénétrer. Elle sent le plaisir jaillir en elle, elle est prise de spasmes et de contractions musculaires qui ont sur le colonel un effet explosif et ce dernier la suit dans la jouissance. Elle n’a jamais pris un tel pied ; cela dit, elle n’a jamais été autant soumise à un homme pour son plus grand plaisir à elle et, semble-t-il, pour son plus grand plaisir à lui aussi. Elle sent encore les contractions du membre en elle et ce liquide chaud qui l’emplit. Ne dit-on pas que l’homme est l’esclave de la soumission de la femme ? En se laissant faire, elle a pris un pied qu’elle n’aurait jamais imaginé. Peut-être que dorénavant, elle ne cherchera que des hommes capables de lui prodiguer le même plaisir. À moins que le colonel renouvelle l’expérience.
Le souffle court, le colonel se redresse, la puissance de l’orgasme l’a fait s’effondrer sur la demoiselle. Il se retire et, satisfait, il observe ce corps, il repasse sur chaque centimètre des courbes de cette femme qui jusque-là n’était que la secrétaire de son supérieur. Que doit-il faire ? Il est marié, mais il n’avait jamais vécu une expérience si intense avec Ingrid sa femme. Il s’était lassé d’elle et ne faisait sa besogne que par défaut. En se retournant, Hildegarde plonge son regard dans le sien et comprend qu’il est perturbé par le même flot de questions qu’elle.
C’est avec le regard baissé que la secrétaire lui répond :
Et en plongeant son regard dans le sien, avec une pointe de défi, elle ajoute :
À quelques kilomètres de là, on entend une explosion ; les bombardements ont repris durant la nuit. Se sont-ils arrêtés pendant quelques dizaines de minutes ou bien ces instants étaient-ils hors du monde ?