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Temps de lecture estimé : 9 mn
24/05/15
Résumé:  D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours préféré les femmes un peu salopes. Avec elles, les choses sont claires : elles veulent du sexe, elles veulent jouir. Et nous, les hommes, nous sommes là pour leur donner tout ça. Et plutôt dix fois qu'une !
Critères:  confession -amourpass
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message
Mémoires pseudépigraphiques

Avertissement : ne pas confondre narrateur et auteur…



D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours préféré les femmes un peu salopes. Avec elles, les choses sont claires : elles veulent du sexe, elles veulent jouir ; et nous, les hommes, nous sommes là pour leur donner tout ça ! Et plutôt dix fois qu’une !


Car un homme, c’est fait pour baiser, et une femme, pour être baisée ; c’est aussi simple que ça. Pas besoin d’avoir fait de hautes études pour constater cette évidence. Bien sûr, certaines et certains feront des chichis, des circonvolutions, mais si la nature a donné une queue aux hommes et une chatte aux femmes, c’est pour que la queue pénètre la chatte, point barre. Sinon, à quoi ça servirait ? Et si la nature nous a aussi donné la jouissance quand on met sa queue dans une chatte, ou quand la chatte reçoit la queue, c’est pour qu’on y revienne. Sinon, elle aurait fait comme avec les mantes religieuses : une fois que le mâle a servi, il sert de repas à la femelle. Or ce n’est pas le cas chez les humains. Quoique…


Quoique, dans certains ménages, c’est bien la femelle qui prend la tête au mâle, qui lui pique tout son pognon et qui lui pourrit la vie. Mais bon, ce n’est pas le cas dans tous les ménages, encore heureux !


Bien sûr, il y a des hommes qui préfèrent les hommes et des femmes qui préfèrent les femmes. Pourquoi pas ? Ils font ce qu’ils veulent. Du moment que personne ne vient piétiner mes plates-bandes, c’est le principal !


Revenons à nos queues, à nos chattes et à nos salopes.


J’ai eu la chance dans ma vie de rencontrer des belles salopes, des jouisseuses d’enfer, des suceuses magnifiques, des folles du cul, des dingues de la pine. Bref, de bien belles salopes, dont une en particulier. Celle-ci l’était tellement à sa façon que, pour en profiter un maximum, je l’ai épousée ! Même si elle était parfois très chipie à ses heures et qu’elle était pleinement consciente de ses avantages, je n’ai jamais regretté d’être passé devant monsieur le Maire. Mon seul et unique regret, c’est quand elle est partie… partie, hélas, pour un autre monde…


Mais avant ce sinistre jour, qu’est-ce que j’ai pu user et abuser de ma chère femme ! Et elle aussi envers moi ! Toutes les cochonneries nous semblaient naturelles, évidentes, sans péché, ni forfaiture. Nos réciproques envies et désirs s’affranchissaient de ces ridicules barrières morales qui sont plutôt là pour frustrer son monde qu’autre chose ! Quand on désire vraiment et sincèrement quelqu’un, plus rien d’autre ne compte. Ni remords, ni regret.


Je ne vais pas me lancer dans un vaste catalogue ; j’espère que vous avez assez d’imagination, bien que ce que je crois être pour moi de la simple gnognotte soit parfois vécu comme le summum de la dépravation chez d’autres ! Par exemple, le simple fait de s’offrir une branlette espagnole avec un copieux arrosage des belles masses qui ont fait votre plaisir, eh bien, rien que pour ça, certains frôlent la crise cardiaque. Je ne vous causerai même pas des joies de l’encu… pardon, de la sodomie et de l’après-sodomie ! Alors là, c’est direction six pieds sous terre après déflagration du cerveau !


Quant aux trios, quatuors et plus, c’est du domaine de la science-fiction pour certains ! Enfin, il y a ce qu’on dit et ce qu’on fait ou qu’on aimerait faire, car j’ai bien constaté dans ma vie que ceux et celles qui hurlent le plus sont très souvent les plus hypocrites.


Et quand ma femme hurlait, c’était de plaisir ! Car j’y mettais tout mon cœur pour la satisfaire, encore et toujours, inlassablement, le plus souvent possible, le matin au lever pour bien commencer la journée en lui offrant un petit déj un peu spécial, le soir avant de dormir du sommeil du juste, et quand on le pouvait, entre matin et soir. Oui, pire que des lapins ; mais des lapins heu - reux !


Nos élans étaient rarement planifiés ; nous avions simplement envie l’un de l’autre, et tant pis pour la morale. Peu importait l’endroit : nos désirs étaient synchronisés, elle pour moi et moi pour elle. Mon envie, elle la sentait ; son envie, je la devinais. Combien de fois avons-nous fait l’amour, prestement, dans l’urgence, dans un recoin, dans des toilettes, dans un escalier, dans un ascenseur, que sais-je ? Combien de fois notre lit a été dévasté, voire même cassé ? Je goûtais son corps avec passion, avec tendresse, avec rudesse. J’explorais toutes ses courbes, tous ses monts, toutes ses vallées, ses plaines sans jamais me lasser, même si j’en connaissais chaque millimètre carré.


Le divin plaisir de la voir jouir comme une petite folle et de jouir moi aussi en elle en totale communion, pour ensuite se blottir contre elle, de bénéficier de sa chaleur, de sa tendresse… Elle, mon unique femme, mon adorable maîtresse, ma si belle salope…




Quittons cette délicieuse salope en particulier et revenons à nos belles salopes en général…



En général, une bonne salope laisse croire que c’est l’homme qui pilote. Parfois, elle prend l’initiative dans le feu de l’action, ce qui aide bien quand même ! Elle sait dire les mots qui excitent, qui rendent fou, même si ce n’est pas toujours la vérité vraie. Ainsi, même si je sais que je suis normal de ce côté-là, j’aime quand une femme réclame ma grosse, mon énorme queue en elle !


Moi, de mon côté, je clame sans complexe qu’elle est la plus belle femme au monde, qu’elle a les plus magnifiques nichons de la galaxie, le cul le plus attractif de l’univers, qu’elle est la plus extraordinaire cochonne sensuelle et impudique de tout ce que vous voulez… Sur le moment, dans le feu de l’action, j’y crois ; elle aussi, même si nous savons que c’est un tantinet exagéré. Mais du moment que nous avons passé tous les deux un bon moment, un très bon moment, c’est le principal ; le reste n’est que du détail…


Pour en revenir à des considérations plus terre-à-terre, perso, je n’aime pas trop les préservatifs. Je n’aime pas du tout avoir du plastique sur ma bite : ça casse l’ambiance, je ressens moins bien les choses. Dans ma jeunesse, le sida, ça n’existait pas. Tout au plus, on pissait des lames de rasoir pendant quelques jours, on avalait des antibiotiques, on trempait sa nouille ramollie dans un verre de lait, et une fois guéri, c’était reparti pour un tour ! Quant à l’absence de pilule contraceptive, il fallait bien calculer son coup et éviter la période de fécondation afin de ne pas avoir une petite surprise braillarde neuf mois plus tard. Sinon, il restait bien d’autres façons d’expulser son trop-plein : bouche, seins, trou du cul et j’en passe…


Ah, la bouche… Des lèvres chaudes et sensuelles, une langue agile ! J’adore quand ma bite est choyée de cette façon ; ça vaut largement une bonne chatte bien humide. Et comme je ne baise qu’avec des belles salopes, quel délice de les voir avaler goulûment mon sperme chaud ! Sans parler de leurs lèvres luisantes et leur menton dégoulinant. Sans parler aussi – et surtout – du petit sourire pervers qu’elles ont sur leur beau visage radieux quand c’est ainsi… Un vrai régal ! Ça vous choque, cette fascination à ce que ma semence soit dégustée comme on boit un bon vin ? Moi, pas du tout. Je passerais bien mon temps à nourrir de mon bon sperme tout un harem !


Ah, les seins… La cravate de notaire, la branlette espagnole ! Oui, je sais, il faut se dénicher une femme avec ce qu’il faut au balcon, et malheureusement toutes ne sont pas pourvues dans le soutien-gorge. Mais quand on a affaire à une belle dévergondée aux lourds nibards, c’est divin de laisser son mandrin être emprisonné entre ces deux belles masses de chair, masses tièdes et voluptueuses ! Puis jaillir tel un petit geyser pour voir son sperme retomber sur ces nichons qui, de rose, deviennent luisants, je ne vous dis pas ! Sans parler qu’il n’est pas rare de se faire offrir ensuite un agréable petit nettoyage buccal et labial.


Ah, le trou du cul… Cette rondelle sombre, ce puits mystérieux ! Il faut le dire : c’est moins facile à trouver, une femme qui accepte de se faire royalement enculer. Mais comme j’ai toujours préféré les femmes un peu salopes, voire très salopes, je n’ai pas trop de problèmes à satisfaire cette privauté. Bien sûr, on ne rentre pas par derrière comme on rentre par-devant. Il n’y a que les petits cons pour croire tout ce qu’on voit dans les films X. Devant, c’est lubrifié ; pas derrière. Donc, faut mettre la main à la pâte, si j’ose dire ! Mais les préliminaires du cul sont très excitants, sauf si on est un maniaque de la propreté et de l’eau de Javel ! Ah, bien sûr, si on s’évanouit à la moindre tache brune, c’est mal parti ! Et les lavements, c’est bien beau, mais ça casse le rythme et la spontanéité de la chose… N’empêche que voir un trou du cul dégouliner de sperme, ça vous fait quelque chose ! Je ne saurais pas bien l’exprimer, mais moi, ça m’émeut, même si ce n’est peut-être pas le terme approprié. Oui, ça m’émeut…


Remarquez, une chatte qui déborde du sperme qu’on vient d’y mettre, c’est beau aussi ; beau comme un coucher de soleil…


Et puis, il y a plein d’autres variantes que de passer tous les endroits que je viens de citer. Quand il s’agit de faire des cochonneries, les êtres humains ont en général beaucoup d’imagination ! Et côté imagination, je me débrouille pas mal… Finalement, une queue, on arrive à la planquer partout, sur et dans le corps d’une femme.


J’ai été un rude queutard, et je reste un bon queutard, malgré les années qui passent. Hélas, je fais moins d’exploits que quand j’avais vingt ou trente ans, mais une femme qui entre dans mon lit en ressort toujours ravie, car je mets un point d’honneur à l’envoyer au septième ciel et encore plus haut ! Indubitablement, les femmes aiment quand on s’occupe d’elles et quand elles finissent épuisées, alanguies, repues et rompues, dans un lit totalement dévasté, blotties comme le mâle qui leur a donné tant de jouissance. Un cliché macho et éculé ? Et alors, ça change quoi au plaisir qui a été donné et qui a été pris ? Il ne faut pas vous faire d’illusions : la plupart des femmes adorent, au fond d’elles-mêmes, être des petites choses qu’on protège tel un preux chevalier et dont, en même temps, on abuse joyeusement dans une débauche de jouissance et de cris d’extase.

Et puis, tel un coucher de soleil, quoi de plus beau et de plus flatteur qu’une femme rassasiée de sexe qui ronronne de plaisir et de contentement ?


En parlant de ça, je me souviens d’une fois où j’ai baisé en levrette une belle gourmande qui continuait à déguster sa glace au café au rythme de mes coups de queue en elle. La situation m’avait excité un max, et je lui ai réglé son affaire en déployant toute ma science. Elle a royalement joui, de la glace au café en bouche, sans avoir fini sa coupe tandis que je m’occupais de sa croupe ; et je vous prie de croire qu’elle a pris son content de crème chantilly dans sa chatte qui n’en pouvait plus !

Et la pipe chaude et froide qu’elle m’a offerte ensuite a été un grand moment de ma vie !


Des grands moments de ce style, j’en ai vécus d’autres, et j’espère bien en vivre encore bien d’autres. Je n’ai peut-être plus beaucoup de fantasmes à assouvir, mais je ne déteste pas remettre le couvert plusieurs fois. Avec ma femme, j’ai sans doute épuisé tout le catalogue des positions – même les plus acrobatiques – ainsi que diverses perversions, sans me lasser de recommencer ; elle aussi, d’ailleurs ! Et pas qu’avec ma femme, je l’avoue… Mais quand elle était encore de ce monde, elle était tellement… comment dire… « salope dans le bon sens du terme » que je ne voyais pas pourquoi j’aurais dû aller voir ailleurs. Contenter une telle femme était déjà plus que largement suffisant, même pour un queutard comme moi. Et une bonne chienne vaut mieux que deux tu l’auras !


Comment ça, un manque de respect ? C’est purement affectif, même si les mots sont crus. Et ça ne me gêne absolument pas de dire que certaines femmes sont d’adorables putains, surtout si je peux profiter de leurs charmes et de bien plus que ça.


Je ne veux pas jouer les rabat-joie, et encore moins les vieux cons, mais j’ai souvenir qu’on était moins aseptisé de mon temps. De mon temps ? Houlà, je parle comme les Anciens, ceux du coin de la cheminée. Tant pis, mais il est vrai que je passe sans doute pour un vieux croulant décati et impotent aux yeux d’une jeunette de vingt ans, moi qui frôle les quatre fois plus ! Les jeunettes de cinquante, de soixante ans, je ne les compte plus, celles qui viennent encore faire un petit tour dans mes draps ; et nous faisons toujours ensemble un petit tour sur la Grande Ourse…


Quand je lève les yeux au ciel, vers les étoiles, je pense souvent à ma chère femme. Y a-t-il un paradis là-haut ? Un enfer ? Je ne sais pas, mais c’est vrai que j’aimerais énormément pouvoir la serrer à nouveau dans mes bras. Oui, je sais très bien que je ne lui suis pas resté fidèle à travers la tombe, mais j’avoue avoir recherché l’oubli avec d’autres femmes.


Mais on n’oublie jamais…


Alors je continue à vivre pour revivre tous ces bons moments que j’ai… non… que nous avons pu avoir, elle et moi. Elle, moi, et d’autres parfois. Et s’il existe vraiment un dieu d’amour quelque part, alors c’est pour l’éternité que nous aurons tous le plaisir de nous envoyer encore plus loin qu’au septième ciel !