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Temps de lecture estimé : 16 mn
30/05/15
Résumé:  Nous découvrons les plaisirs antillais.
Critères:  fhh couleurs cocus vacances bateau voir fellation cunnilingu fdanus fsodo -totalsexe -cocucont
Auteur : Kristal      Envoi mini-message
Vol AF 3552

Vol AF 3552, direction Fort de France



Nous survolons l’Atlantique, direction Fort de France pour deux semaines de vacances. À mes côtés, Kris est souriante, décontractée, et nous nous imaginons déjà tous deux sur le sable martiniquais… C’est l’occasion que je saisis pour aborder le sujet qui m’occupe l’esprit. Vous vous souvenez peut-être de la matinée torride que ma tendre épouse a partagée avec son beau-père il y a quelques jours ? Je ne lui en ai pas encore parlé.



Kris sourit à nouveau, nous échangeons un tendre baiser avant de nous laisser aller à somnoler, la tête pleine de rêves.



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Trois jours passent. Nous avons gentiment récupéré le décalage horaire ; notre épiderme commence à se colorer agréablement. Il est temps de partir à la découverte de l’île. Une carte, une voiture de location. Nous voici partis à l’aventure ! Une sortie à bord d’un catamaran pour un baptême du rhum sur les fonds blancs de la « baignoire de Joséphine » nous attend.


Ambiance excellente ; l’eau est tiède, le rhum très chaud et, après le repas sur un îlet, les Antillais lancent la danse. Zouk à gogo, surtout pour Kris qui passe de longs moments sur la piste sablonneuse. Elle me rejoint enfin, mais accompagnée d’un Antillais. Un bandana sur la tête, en short et tee-shirt, il a très fière allure. Grand, le corps souple et musclé, le sourire charmeur, une petite cinquantaine d’années. Les présentations sont faites. Patrick est pêcheur mais accompagne parfois les organisateurs de l’excursion. Quelques zouks plus tard entrecoupés de ti-punchs, il nous propose de visiter les îlets à bord de son propre bateau dès le lendemain. Rendez vous est pris.


Avant de réembarquer, un dernier zouk qui a tendance à se prolonger. Kris et son cavalier ondulent très collé-serré… Les grandes mains sombres glissent souvent sur la peau nue de mon épouse, jusqu’aux limites de son maillot deux pièces qui met en valeur son corps de femme épanouie. Kris semble apprécier et se serre encore plus contre Patrick. Le zouk ressemble plus à un simulacre de coït qu’à une danse rythmée, mais ce n’est pas moi qui vais m’en offusquer. Enfin elle l’abandonne, et nous rejoignons les autres touristes.




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Le lendemain, nous embarquons avec Patrick. Le soleil, l’eau limpide, Kris à l’avant du bateau, drapée dans un paréo qui nous laisse deviner ses courbes pulpeuses… On se croirait devant une pub pour le Club Med ! Sauf qu’à l’arrière, Patrick tient la barre et que je peux aussi constater qu’il a « la barre » sous son short déformé par une protubérance prometteuse. Je suis dans le même cas, d’ailleurs. Nous naviguons en admirant Kris dont le vent de la vitesse soulève le fin tissu qui la couvre. Notre figure de proue se retourne de temps en temps vers nous en souriant, heureuse d’être, cheveux au vent, admirée, désirée. Elle ne fait d’ailleurs rien pour rabattre son paréo qui découvre par à-coups ses seins splendides… Patrick et moi profitons largement de ce spectacle en échangeant un sourire complice. J’ai la certitude que les évènements vont se précipiter !


L’îlet, but de notre promenade nautique, approche. Patrick manœuvre habilement puis coupe le moteur. Le bateau vient s’échouer lentement sur le sable blanc. Un petit coin de paradis !

Notre capitaine au long cours farfouille dans un coffre d’où il sort une glacière, une bouteille ambrée, et trois verres en plastique.



Patrick saute sur le sable, se retourne pour tendre la main à Kris et l’aider à mettre pied à terre. La hauteur du bateau l’oblige à la saisir par la taille tandis qu’elle s’accroche à lui, les deux bras autour de son cou. Kris pose les pieds sur le sable mais reste enlacée à notre ami. Elle le remercie d’un grand sourire et d’une bise sur chaque joue, la seconde tout près des lèvres de Patrick qui la maintient contre lui. Coquine ! Et provocatrice, car je viens moi aussi de sauter sur le sable et, de ma place, je remarque les légères ondulations du bassin de ma tendre épouse. Elle frotte lentement son ventre contre le short de notre capitaine. La bosse que j’avais remarquée sur le bateau fait l’objet d’une indécente caresse !


Patrick, les mains sur les hanches de Kris, tire doucement sur le tissu du paréo qui glisse, dénudant un sein rond, lourd et orgueilleux dont la pointe est déjà dressée, comme un appel à la caresse. Caresse que s’empresse de lui prodiguer d’une main notre ami avant d’incliner la tête pour prendre entre ses lèvres le téton sensible, faisant gémir Kris. Cambrée en arrière, elle s’offre à la bouche vorace, les yeux clos, savourant cet instant de pur plaisir. Ce qui ne l’empêche pas de glisser une main entre leurs deux corps pour la poser sur la tige virile qui déforme le vêtement de son partenaire. Patrick desserre légèrement son étreinte tout en continuant à téter goulûment le sein offert. Il fait glisser son short sur ses hanches, libérant une splendide barre d’ébène. Les doigts de Kris se referment sur le pieu vibrant. Elle entame une lente caresse, la main coulissant autour du sexe turgescent, découvrant doucement un gland soyeux, descendant jusque sur des bourses lourdes avant de remonter le long de la tige dressée en son honneur.


Face à ce couple fascinant, je ne peux m’empêcher de m’approcher, dans le dos de Kris. Je tire doucement sur son paréo, achevant de découvrir ses seins, puis je défais les deux petits nœuds qui maintiennent son bas de maillot. Elle est désormais entièrement nue entre les bras de son futur amant. Je caresse longuement ses épaules, son dos, ses hanches tandis que Patrick laisse une main courir sur son ventre, s’insinuer jusque sur son pubis dévoilé. Frémissante, Kris se laisse glisser à genoux dans le sable. Elle a rouvert les yeux et semble fascinée par le sexe qu’elle caresse toujours. Elle tourne la tête ; nos regards se croisent. Dans ses yeux, je vois comme une question, une prière. Je souris, lui faisant comprendre qu’elle peut se laisser aller à toutes ses envies.



Elle approche très lentement les lèvres du gland décalotté, le picore un instant du bout de la langue, lèche doucement toute la longueur de la colonne, descendant jusqu’aux bourses lourdes de sève pour remonter enfin jusqu’à ce que ses lèvres rejoignent la prune de chair violacée. Patrick, immobile, regarde Kris avec des yeux fous. Un long gémissement lui échappe quand les lèvres de ma femme s’ourlent autour de la tige et qu’elle l’engloutit par à-coups, millimètre après millimètre. Toujours derrière elle, j’assiste à l’un des spectacles les plus érotiques, excitants que je connaisse. Voir mon amour, ma femme, offrir la douceur de sa bouche à un sexe étranger. Je suis presque au bord de l’explosion moi-même !


Une main coulissant le long du pieu sombre, l’autre soupesant tendrement les bourses rondes, Kris approfondit sa caresse, absorbant plus de la moitié de la queue tendue, la recrachant pour mieux l’engloutir à nouveau. Ce petit jeu affolant dure de longues minutes avant que je ne voie notre ami se raidir, cambrer les reins comme pour se ficher plus loin encore dans la gorge de mon épouse. Il pousse un cri rauque et jouit brusquement. Kris déglutit à plusieurs reprises, avalant les longues giclées de semence que Patrick libère dans la bouche gourmande !

Lorsqu’il s’échappe du piège soyeux des lèvres féminines, il est toujours raide, tendu et fier. Impressionnant : il bande encore (ou déjà) !



Patrick éclate de rire et nous propose un nouveau verre de ti-punch. Installés à l’ombre d’un grand buisson, face à la mer, nous dégustons nos verres. Kris prend une cigarette, en offre une à Patrick et se penche vers lui pour l’allumer. Notre ami tend une main, empaumant un sein lourd. De l’autre il attire ma chérie, la fait basculer sur lui, se couchant dans le sable chaud. Allongée sur le torse musclé, elle se débat en riant mais les mains noires se posent sur ses fesses, empêchant toute fuite.



Saisissant Kris par les hanches, il la fait se redresser au-dessus de son ventre, puis il la force à descendre doucement. Les jambes ouvertes de part et d’autre de son amant, elle m’offre la vision de ses fesses rondes, écartelées par sa position, son sexe entrouvert, et surtout la tige dressée de Patrick. Celui-ci l’attire encore un peu plus bas. Je peux contempler le mandrin sombre qui s’enfonce maintenant jusqu’à la garde dans le ventre béant.



Patrick continue à accompagner les hanches de Kris qui commence à onduler au-dessus de son partenaire, se soulevant jusqu’à quasiment laisser s’échapper le pieu de chair puis se laissant à nouveau glisser sur le mât viril. Elle pousse un petit cri chaque fois que le gland heurte son utérus, dévastant son ventre en feu.



Son amant saisit les pointes dressées qu’il pince du bout des doigts tout en malaxant les globes lourds de la paume des mains. Kris délire maintenant ! Elle se tord, profondément fichée sur le sexe qui vrille son ventre. Elle gémit, prononce des mots sans suite. Les mains posées sur le torse de son partenaire, elle ralentit ses va-et-vient, se soulève lentement et crie :



Le corps tendu comme un arc, mon amour se laisse retomber lourdement sur le mandrin vibrant, s’empalant totalement tandis que Patrick donne un ultime coup de reins pour se ficher au plus profond du sexe de mon épouse. Ils hurlent en chœur lorsque l’orgasme les submerge. La bouche ouverte, les yeux révulsés, tétanisée, Kris est agitée de spasmes brusques sous l’impact des longues giclées brûlantes qui inondent son intimité.


Le calme, le silence reviennent. Mon ange est allongée, abandonnée sur le torse de Patrick qui caresse tendrement son dos, ses reins… Le spectacle sulfureux m’a bouleversé ! Nous mettons plusieurs minutes à retrouver nos esprits… Kris se redresse, me fait face. Son visage est empreint d’un air de plénitude désarmant. Elle me sourit, me tend ses lèvres tout en posant une main sur le torse de Patrick en une douce caresse.



Nous nous baignons longuement, dévorons le petit en-cas apporté par Patrick, profitons largement du soleil, de la mer et de la solitude de l’îlet.


En fin d’après-midi, embarquement : retour à la vie civilisée ! Notre capitaine fait quelques détours entre une multitude d’îlets, nous offrant une jolie promenade. Kris rit des facéties de Patrick qui lui montre là une étoile de mer, ici quelques poissons multicolores… Elle est assise à côté de lui près de la barre, se penchant parfois pour mieux voir le fond de l’eau. Notre ami a passé un bras autour de sa taille pour éviter qu’elle ne tombe. Il en profite pour remonter fréquemment la main sur ses seins, sous le paréo, ou la laisser glisser bien plus bas, sur ses cuisses découvertes, jusque sur son intimité nue sous le fin vêtement. Quant à elle, elle a souvent une main sur la cuisse de son amant. Main très… curieuse ! En effet, de ma place, face à eux, je peux la voir caresser, au travers du tissu, une splendide barre qui déforme le short de Patrick. Notre ami ne semble pas rassasié des attraits de mon épouse qui, elle aussi, paraît tout à fait disposée à prolonger un peu les jeux coquins de l’après-midi.


Patrick cherche un instant mon regard, me fait un clin d’œil alors que mon amour est penchée et ne nous regarde pas. Je réponds au clin d’œil en levant le pouce, lui adressant mon plus chaleureux sourire. Il comprend que je lui laisse carte blanche. Il s’engage dans une petite anse abritée des vagues et met le moteur au point mort, laissant le bateau courir sur son erre, puis dériver doucement.



Elle boit une gorgée de son verre avant de lui sourire.



Ce disant, elle me regarde en souriant puis tend son visage vers Patrick, dont elle effleure les lèvres. Il l’attire à lui ; leurs bouches s’unissent en un langoureux baiser, leurs langues mènent un instant un combat fougueux. Les mains masculines écartent le paréo, s’emparant des seins aux pointes durcies de désir. Il les presse tendrement, agaçant les bouts érigés. Il se laisse glisser à genoux face à mon épouse qui frémit lorsque la bouche virile tète un instant sa poitrine avant de descendre plus bas, presque à la fourche des cuisses bronzées dont il ouvre lentement le compas.


Kris gémit, s’adosse au coussin qui borde le bateau. Les deux mains sur la tête de Patrick, elle l’attire vers elle. Un instant plus tard, les jambes largement ouvertes, passées sur les épaules de son agresseur, elle offre en toute impudeur sa vulve bouleversée à la langue habile qui la fouille et à mes regards ravis. De profil, je peux contempler ce tableau indécent jusque dans ses moindres détails. Kris donne des petits coups de reins pour mieux s’offrir à la langue qui furète sur son clitoris tandis que deux doigts fouillent ses chairs humides.



La source de son léger cri, de ces quelques mots, de ce gémissement ne m’a pas échappée. Un doigt curieux et souple tourne tendrement sur sa rosette plissée. Je le vois même retourner chercher à la source de quoi se lubrifier suffisamment pour ne pas blesser Kris. Enfin, lentement, délicatement, il force ses reins. Prise ainsi entre la bouche et les doigts de son partenaire, elle ne peut réprimer un orgasme violent. Je dois avouer que moi aussi, je suis au bord de la catastrophe !

Mais tout a une fin (ou presque…) ; Kris s’ébroue comme un jeune chien, jette un regard méchant à Patrick.



Penchée en avant, elle tend le bras. Feignant d’être toujours en colère, elle plaque la main sur l’entrejambe de notre ami, tire son short vers le bas et enserre la tige raidie. Presque violemment, elle gobe le gland gonflé, embouche presque la totalité de la colonne sombre. Ses lèvres aspirent goulûment le sexe d’ébène tandis que sa main s’agite sur le reste du mandrin qu’elle ne peut engloutir. Patrick se laisse faire, ayant compris qu’il ne court que le risque d’exploser prématurément ; il profite de cette caresse inédite en poussant de petits soupirs d’aise. Kris lève les yeux, accroche son regard comme dans un défi. Patrick se laisse dévorer quelques minutes avant de repousser mon épouse qu’il saisit par les bras pour l’obliger à se relever. Elle n’est pas de force à lutter contre sa puissance. Il la retourne, la bascule en avant sur le dossier, penchée au-dessus du bastingage. Elle ne peut que se retenir des deux mains pour éviter de tomber à l’eau. Il en profite pour poser les mains sur ses hanches. Je le vois plier les genoux, se redresser, son sexe fiché entre les cuisses de mon ange. Dans un ample coup de reins, il s’enfonce profondément en Kris.



Il se lance dans une longue cavalcade, fouillant, forant, envahissant le ventre de Kris qui se met à crier longuement. Je m’approche pour caresser les seins de mon cœur, déposer une multitude de baisers dans son cou, sur sa nuque pendant que Patrick la besogne à grands coups de reins. Je glisse la main entre les fesses de Kris et le pubis de Patrick pour atteindre son petit trou. Je commence à le masser avant de m’enfoncer dans ses reins. Elle pousse un nouveau cri mais me laisse aller et venir en elle. Je sens, le long de mon doigt, le sexe de Patrick qui coulisse de l’autre côté de la fine cloison. Nous échangeons un regard entre hommes avant que j’écarte des deux mains les globes charnus des fesses de mon amour, offrant à Patrick cette voie secrète qu’il a déjà préparée. Il recule, se redresse un peu, amenant son gland humide sur la rosette de Kris. Il la pénètre lentement, d’une seule et longue poussée jusqu’à ce que son pubis appuie sur les fesses féminines. Puis il a reprend d’amples va-et-vient, dilatant les reins consentants. Les cris de Kris se transforment en véritables hurlements. Elle ondule des hanches, se jetant violemment en arrière pour s’empaler plus fort encore sur le long mandrin lorsque son amant recule pour la reprendre de toute sa puissance.



À croire que les deux amants étaient faits pour s’entendre ! Patrick plante ses yeux dans les miens, se fiche une dernière fois dans les reins bouillants de mon épouse, soudé à elle, et pousse trois longs cris, accompagnant les trois giclées de semence qui inondent les reins de Kris. Elle se met à trembler de tout son corps ; son dernier hurlement meurt dans sa gorge, tant la jouissance est puissante. Tous les sens bouleversés moi aussi, je ne peux m’empêcher de jouir longuement, maculant le visage de mon amour de longues traînées blanchâtres.

Nous reprenons lentement nos esprits. Après un plongeon bienfaisant et purifiant, nous rejoignons le port. Nous nous séparons en nous promettant de nous revoir très bientôt.


De retour à l’hôtel, bien que comblés et repus, nous refaisons l’amour. Cette fois avec une tendresse infinie. La tendresse de l’amour qui nous permet de vivre de tels instants de plaisir sans abîmer notre couple.

À tous les couples libertins, nous ne pouvons que souhaiter un tel bonheur !