Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 16839Fiche technique17466 caractères17466
3154
Temps de lecture estimé : 13 mn
30/05/15
Résumé:  Une belle-soeur intrigante et généreuse, un homme qui va redécouvrir les plaisirs de la vie...
Critères:  fh alliance hmast fellation nopéné
Auteur : S & Compagnie
Laure, la faiseuse de miracles

Il était 22 heures le dimanche soir.


Je venais de passer la journée avec ma femme Élisabeth, jolie et adorable trentenaire, et sa sœur Laure, tout aussi sympathique, tant dans sa personnalité que physiquement.

Arrivée le matin même directement de La Baule, elle nous avait demandé si elle pouvait passer la nuit chez nous avant de repartir le lundi pour un rendez-vous professionnel sur Paris. Comme nous habitions Nantes, cela nous faisait plaisir de l’accueillir et de partager un moment avec elle. Nous ne l’avions pas vue depuis plusieurs mois.


Élisabeth et Laure était très complices depuis l’enfance, même si – comme toutes sœurs – elles avaient déjà eu des périodes de froid plus jeunes, notamment à cause des mecs. Laure était consciente de ses charmes et aimait être le centre de l’attention des hommes de son entourage. Pourtant, Élisabeth avait, elle aussi, un certain succès. Cela avait d’ailleurs valu quelques jalousies et coup bas entre elles, adolescentes. Comme lors d’une fête entre amis, après quelques bières et suite à un stupide pari perdu, elle en avait profité pour branler le petit ami d’Élisabeth dans les toilettes, devant ses potes. Durant plusieurs années, elles sont restées en froid, puis petit à petit, le temps faisant son chemin, s’étaient retrouvées et devenues plus complices que jamais.


Pour ma part, et depuis mon arrivée dans la famille il y a une dizaine d’années, j’avais pu profiter de quelques fantaisies subtilement diluées par Laure, et bizarrement rarement en présence de sa sœur, et dont j’avais souvent de sérieux doutes sur la nature hasardeuse de ces moments… En vacances familiales, un sein débordant innocemment de son maillot de bain lorsque j’étais seul face à elle dans la piscine particulière ; ou encore à Noël, une sortie de salle de bain en serviette nouée négligemment et laissant apparaître une hanche nue et où l’on pouvait aisément deviner la naissance de son entrejambe… ou même lors d’une soirée de mariage où nous avions dormi ensemble dans la même pièce, ma femme, Laure, son mec et moi. À mon réveil, je constatai être le seul, avec Laure, encore couché. Visiblement, elle s’était réveillée avant moi, et en se levant elle passa par-dessus mon matelas pneumatique pour accéder à la porte… J’avais pu alors constater un très joli string rose sous sa nuisette qui arrivait mi-cuisses. Je me souviens alors m’être dit qu’elle ne pouvait ignorer la vision qu’elle me laisserait alors. Tout du moins, peut-être que je l’espérais…


Tous ces exemples, étant bien évidemment complétés par les nombreux détails croustillants sur sa vie amoureuse, et surtout sexuelle. J’appris ainsi que Laure appréciait volontiers nombre de positions telles que la levrette, mais aussi que « bien amenée », la sodomie faisait partie des pratiques qu’elle aimait à essayer de temps à autre. Elle n’était pas non plus contre une expérience avec une autre femme. Mais l’exemple le plus parlant étant le jour où elle nous avoua, devant ma femme et moi, avoir un jour sucé son petit ami (de l’époque), et que lorsqu’il avait joui et en voulant avaler le sperme, cela lui « était passé par le mauvais tuyau », et en toussant, lui était ressorti par le nez. Plus tard j’ai appris que cela s’appelait « le coup du dragon ». Mais moi, ce que j’avais alors retenu, c’était que Laure non seulement acceptait que l’on jouisse dans sa bouche, mais qu’en plus elle avalait… Pour beaucoup d’hommes, ce détail est important pour éveiller le désir…


Laure était plutôt grande, environ 1, 70 m, un joli châtain travaillé de reflets blonds, des yeux bleus perçants, souvent très bien maquillés, et des formes généreuses avec une poitrine qui ne pouvait pas passer inaperçue. Elle était très souvent coquette, habillée avec goût, et semblait sûre d’elle dans sa façon de se déplacer, de bouger et de parler. Associé à une belle intelligence, cela lui avait valu une certaine réussite professionnelle. Mais après quelques années à ses côtés, je m’étais rendu compte que derrière cette working girl se cachait une femme fragile qui voulait être appréciée par tous les moyens, y compris sexuellement. Me concernant, je n’avais jamais su si je l’avais déjà intéressée, et n’étais toujours pas en mesure de savoir si elle testait de temps à autre ma fidélité, ou du moins mon intérêt unique pour ma sœur, si elle jouait avec moi comme pour m’allumer… ou si elle ne se rendait réellement pas compte de tout ça. Cela pouvait tout à fait se passer uniquement dans ma petite tête fantasmatique.


Après avoir bien mangé, ma femme décida d’aller dormir car elle se levait à 5 heures du matin pour aller bosser le lendemain. Quant à Laure, elle était partie prendre sa douche avant d’aller elle aussi se coucher. Son train était à 10 heures, bien que son rendez-vous ne fût prévu que pour 15 heures. Pour ma part, j’avais décidé de regarder un film qui repassait à la télé, 99 francs. Je profitai en attendant qu’il commence pour consulter mes mails.


Après une demi-heure et au moment de commencer le film, Laure arriva dans le salon, vêtue d’une nuisette en satin bleu, et s’installa dans le canapé à gauche du fauteuil où moi-même j’étais assis. Elle posa délicatement ses jambes sur l’assise du canapé, telle une Romaine, laissant paraître ses cuisses lisses et brillantes. Elle commença à déguster le yaourt qu’elle tenait dans ses mains.



Je me contentai de sourire à sa phrase.


Au bout de quelques minutes, nous vîmes à la télé un ado, sur les toilettes, en train de se masturber en regardant les pages d’un magazine de sous-vêtements. La scène qui se voulait comique fit qu’au bout d’un moment – et par hasard après que la mère du jeune l’ait appelé – au moment de jouir, les pages se tournèrent sur une image de chien pendant que l’on pouvait alors voir gicler des jets de sperme sur ces mêmes pages. À ce moment-là, j’entendis Laure s’esclaffer d’une façon un peu dégoûtée :



Je ne sais pas alors ce qui m’a pris, mais sans réfléchir j’ajoutai alors en riant :



Je ne savais pas comment désamorcer la conversation que j’avais très largement alimentée… Je me décidai à lui décrire l’histoire, non sans peine…



Je crois que Laure, bien que parfois volontairement un peu allumeuse, ne mesurait pas toujours l’effet de ses paroles sur les autres, et en particulier sur moi. Toujours utile, une fois de plus, et sans réfléchir, j’ajoutai :



Après un blanc de plusieurs minutes, en regardant le film, bien que je fusse déjà complètement déconnecté, Laure demanda :



J’en revenais pas que Laure aborde à nouveau ce sujet…



Elle se redressa sur le fauteuil comme si je venais de lui faire la révélation du siècle.



Je caricaturai une mine triste à cette phrase, histoire de rester dans une discussion plus drôle que sérieuse.



Laure se mit à sourire.



Avec humour, mais aussi par jeu et pour voir sa réaction, je me levai brusquement et fis mine de détacher ma ceinture. Amusée, Laure me regarda, puis avec sa main, me demanda d’approcher… Je la regardais, un peu paumé, ne sachant plus trop si elle était dans le jeu ou si elle me testait. Restant bouche bée, elle renouvela son geste. J’approchai donc.



J’étais maintenant à moins d’un mètre d’elle, debout. Elle était à présent assise dans le fond du canapé, légèrement avachie, et terriblement sexy. Je pouvais deviner ses tétons qui pointaient, et même ses aréoles semblaient m’apparaître. Elle remarqua mon regard, bien qu’il ne se fût posé sur sa poitrine qu’une fraction de seconde ; elle ne sembla ni surprise, ni outrée. Impassible, et avec un léger mouvement de menton, sans bouger le reste du corps, elle m’indiqua du regard mon entrejambe, puis dit :



Je posai mes mains sur ma ceinture, la défis, puis déboutonnai mon jean.



Un peu vexé qu’elle s’imagine me dominer et qu’elle ait le dessus sur moi, je baissai mon pantalon sur mes cuisses. Son regard changea alors, et je décelai un peu de gêne. Elle venait de remarquer que je bandais légèrement. Et bien que mon caleçon fût toujours en place, elle ne pouvait avoir aucun doute : je n’étais pas Rocco, mais mes 18 cm semblaient suffisants pour lui faire de l’effet.

Elle me regarda alors, et en faisant « non » de la tête, me dit à voix basse :



Je commençais à remonter mon pantalon, plutôt fier d’avoir gagné ce petit jeu, quand je sentis la main de Laure se poser sur moi, arrêtant du fait mon geste. Je la regardai, surpris.



Un peu perdu comme un ado découvrant le sexe pour la première fois, je me redressai. Après quelques secondes d’hésitation, je baissai mon caleçon lentement. Puis mon sexe jaillit de mon caleçon, et bien que j’aie un peu débandé, je restais bien gonflé. Cela m’excitais de savoir que Laure était à présent en train de regarder ma queue… et qui plus est, à moins d’un mètre de son visage.



Laure me demandait de me masturber devant elle. J’hallucinais. Je commençai alors à me branler devant ses yeux qui ne lâchaient plus mon sexe de vue… Je prenais soin d’aller lentement, et il me fallut moins d’une minute pour être droit comme jamais. Elle me regardait maintenant dans les yeux, sérieuse, et passa sa main droite sur sa poitrine, juste en effleurant le galbe de ses seins. Cela ne faisait même pas cinq minutes que j’avais enlevé mon caleçon, et j’avais déjà envie d’exploser. J’osai alors dire à voix basse :



Je me penchai légèrement vers elle, attrapai sa main droite et la posai sur ma queue. Elle referma sa main, et sans lâcher son poignet je l’obligeai à faire des va-et-vient, lentement. Elle serrait fort, et je ne pouvais plus tenir. J’arrêtai le mouvement et lui dis, haletant :



Mais son regard, lui, laissait paraître le trouble dans lequel elle était. C’était la première fois que je la voyais si fébrile. Puis, de sa main libre, Laure retira la mienne de son poignet et approcha son visage de mon sexe sans me lâcher du regard.



Je la sentais humide et chaude, aspirant mon sexe ; je sentais ses joues se coller à ma queue et sa langue longer la hampe de mon sexe avec de légers mouvements de succion… j’allais venir. Je plaçai mes mains de chaque côté de son visage, comme pour la prévenir, puis lui imprimai moi-même les allers-retours dans sa bouche en donnant des coups de hanches de plus en plus rapides. Elle plaça alors ses mains sur les miennes.


Je ralentis le rythme, et enfonçai un peu plus ma queue dans sa bouche. Elle poussa un très léger gémissement, presque imperceptible. En la regardant alors je ne pouvais plus résister, un coup un peu plus brutal, rapide et profond dans sa bouche, et pratiquement instantanément je me mis à gicler un premier jet que je sentis puissant. Elle gémit plus fort, bien que sa bouche fût remplie de mon sexe. Je sentais ses mains qui retenaient les miennes, comme pour freiner mes mouvements. Mais j’étais trop excité pour arrêter. Je continuais à enfoncer ma queue loin dans sa bouche, puis je recommençai encore, un peu plus violemment, et encore, et encore… J’enfonçai ma bite dans sa bouche et déchargeai à n’en plus finir. La dernière fournée finie, ce qui me sembla une éternité, je restai quelques secondes immobile, figé dans cet écrin humide et chaleureux tout en la regardant. Elle aussi me regardait, semblant heureuse et un peu perdue. Elle me caressa les mains, puis les fesses. Elle se retira, mit sa main devant sa bouche, se tourna légèrement et déglutit. Elle me poussa légèrement avant de se lever, et en replaçant ses cheveux derrière sa nuque, elle s’approcha de mon oreille et me susurra :



Elle partit se coucher. Il me fallut au moins une heure avant moi-même de me décider à me mettre au lit.


Mais bien que la soirée se fût finie comme jamais je n’aurais pu l’imaginer, ce n’était rien par rapport à ce qui m’attendait le lendemain matin…