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Temps de lecture estimé : 10 mn
12/06/15
Résumé:  Récit réel mais romancé, cru et un brin machiste de mon aventure avec une jeune basketteuse.
Critères:  fh copains taille fellation pénétratio
Auteur : Janus du Temple  (Janusdutemple)      
La basketteuse

Voici quelques jours de cela, une de mes fuck-friends favorites décide de changer de cap dans notre relation. Mue par une poussée de confiance, elle voudrait dominer. Sans doute les prémices d’une volonté de recadrer notre amourette sur du long terme, de bâtir sur du sérieux, ce genre de chose auquel on s’attend un jour.


On sent bien la patte venimeuse des « meilleures » copines qui souvent par jalousie de ne pas pouvoir vivre la même situation libertine et volage, voudraient la voir s’aligner sur leurs mornes vies de bobonnes en tuant en elle cette relative joie de vivre et ce petit bonheur insouciant que confère l’épanouissement frivole d’appartenir à un bandit du cœur de mon espèce ; en un mot, elles voudraient voir s’effacer son sourire aux lèvres naturel qui doit immanquablement les renvoyer à leurs fades routines.


Oui je connais les femmes entre elles, comme elles se comparent, se manipulent, comme elles trichent, comme elles s’attaquent.


Souvent, pour se tromper, elles mettent en avant des vertus plus ou moins nobles ; dans les sociétés modernes, le bonheur des autres est d’autant plus insupportable aux haineux qu’il leur est proche, lorsqu’une femme ou un groupe de femmes se met dans l’idée de faire imploser une relation de couple trop embarrassante par exemple, revient souvent la thématique du féminisme comme prétexte : « Tu crois pas qu’il se fout un peu de toi ? Qu’il en a rien à foutre de toi ? Qu’il respecte pas les femmes ? Qu’il te considère comme sa chose ? »


« Comme sa chose », le mot du mal est lancé… Bien entendu intérieurement elles brûlent souvent d’envie d’être victimes de ce qu’elles condamnent.


Ce n’est plus qu’un secret de polichinelle, plier comme un roseau sous une puissance virile est ce qui parle le mieux à l’excitation féminine : force, brutalité, maîtrise, colère mâle, fougue, violence, folie qui viennent arracher et inspirer des sentiments opposés propres à la nature du sexe adverse : la peur, perte de contrôle de soi, abandon total à l’autre, trouble, cataplexie, soumission, devenir sa chose… devenir son Yin ! Voilà toute l’expression du point G résumée.


Cette analogie vaut également pour les relations hors sexe à ceci près qu’elle doit être exprimée de façon beaucoup plus nuancée et subtile dans un référentiel de mœurs contemporain plutôt saugrenu et déshumanisé. L’homme est captif de son temps, pauvre citadin de mégalopoles éprouvé avant l’heure !


Il me fallait donc riposter à ma manière et graver une fois pour toutes dans le marbre de mon piédestal l’organigramme des dominations en cours.


Là je joue ma grosse bite pour vous esbroufer, je ne suis en réalité qu’à la tête d’une moribonde troupe d’à peine trois ou quatre femelles dont une seule vaut vraiment le détour… ma lycéenne !

Sur ce bombage de torse incongru, je me résigne dans l’après-midi, c’est décidé, j’appelle une de ses copines, la plus facile :



Dans le langage du non-dit actuel entre un homme et une femme, je ne sais pas si vous avez remarqué mais lorsque l’un ou l’autre lance cette réquisition et que son interlocuteur y répond favorablement on peut d’ores et déjà considérer qu’il y a eu préliminaire et donc qu’il y aura fornication !

Tout y est, la formule est choquante, personnelle, intrigante, intime, le style fleurant la convocation installe d’emblée un cadre dominant/dominée. Je ne connais pas de façon plus indirecte, plus perfide et plus efficace d’inviter au cul.


Cette fois encore, ça n’avait pas loupé, je l’ai su lorsque je l’ai vue arriver dans sa robe-minijupe dos nu ras la moule, les cuisses satinées, escarpins à talons malgré sa taille déjà impressionnante ! Quelle pute !


Une envergure de condor des Andes. Je dirais 1,86 m pour 79 kg peut-être.

Bizarrement elle ne fait pas ronde à cause de sa taille, ses cuisses sont impressionnantes malgré tout. Une basketteuse trop charpentée mais encore sexy.


Je n’aurais cette fois encore pas besoin de me forcer, la copine l’a briefée pour moi sans le vouloir. La satisfaction des uns exalte la convoitise des autres…


Elle est donc là, assise à mes côtés dans mon salon et sa jupe remonte sur le haut de ses interminables jambes hâlées de manière trop provocante pour ne pas y décoder une invitation à s’offrir.

Dans la discussion je me lance :



En la lorgnant de la tête aux pieds puis des pieds à la tête.



On jabote, on jaspine, elle m’allume jusqu’au moment où elle tient à me montrer ses tatouages. Classique ! Trop peut-être, le truc est téléphoné et casse un peu mon élan, elle m’a pris pour un bleu la pute !


Elle en a un sur le bas du dos et un autre sur l’omoplate, lorsqu’elle se retourne j’en profite pour la caresser sur la nuque en faisant mine de dégager ses cheveux, je la tiens par les hanches, elles sont vastes et larges.

Quand elle eut fini j’attaque en cash avec « un tapis » comme disent les joueurs de poker :



Elle s’esclaffe et continue :



Je déballe donc en ponctuant d’un :



En rapport à une private joke que nous partageons dans le contexte d’une anecdote avec son boucher. Elle simule la fille horrifiée :



En parlant de son amie (ma fuck-friend).



M’approchant de sa bouche en la tenant délicatement par la nuque :



Intérieurement, je suis exaspéré mais je laisse pisser…

C’est laborieux et froid ce geste qu’elle a d’aller chercher une capote dans le fond de son sac, d’autant plus qu’elle est habillée comme une putain, faire tant de manières dans cet accoutrement, franchement !

Elle me montre la capote emballée et me lance un « T’es sûr hein ? » comme pour se dédouaner.

Moi debout, elle assise sur le canapé je poursuis en m’approchant :



Elle pouffe comme une gamine qui va sucer une bite pour la première fois de sa vie.


Ses mains sont fines mais énormes, elle les pose gracieusement sur ma hampe avant de commencer à me branler avec douceur, à une seconde de sa bouche elle lance dans un dernier souffle un « D’accord ! » comme pour dire « Puisque tu insistes, c’est toi qui l’auras voulu. »


Sa bouche est douce et chaude, putain de capote ! Je me surprends une fraction de seconde à penser au laïus infini qu’avaient entrepris des amis au sujet d’une supposée escroquerie du lobby des capotes couplée à celle de la manne représentée par les campagnes de financements obscurs pour la soi-disant recherche contre le sida qui font pleuvoir des milliards chaque année ; concluant l’un et l’autre qu’un remède qui éradiquerait cette maladie serait un désastre économique pour les lobbys pharmaceutiques, les structures et emplois dédiées dans la recherche contre cette maladie et l’industrie des capotes.


Revenons sur terre, non, au paradis ! Elle travaille ma bite dans le bon tempo qui lui convient, à ce stade, cette gigantesque femme sensuelle est toute à moi !

La pipe est bonne, très bonne même mais reste à des années-lumière de certaines prostiputains de génie dont on pourrait facilement penser que leurs bouches ont inspiré le mécanisme de nos machines à laver modernes.

Elle s’applique mais on sent qu’elle veut trop bien faire, ça n’est pas très naturel ni fait avec amour, même guindée, cette pipe part d’un bon sentiment et reste appréciable.


Je malaxe ses seins qu’elle a petits pour sa taille à travers sa robe comme un vieux vicelard brutal, l’air rogue, le regard mauvais, l’ambiance n’est certes pas au romantisme, je veux la prendre à la hussarde, une baise-punition ; ma main descend entre ses jambes à demi fermées j’en ouvre une en la poussant sans ménagement d’un geste bourru vers l’extérieur de façon à m’offrir un accès direct à son chaud.


Elle prend une position adéquate, je la stoppe un moment et pars chercher une large serviette pour couvrir le cuir de mon canapé, on n’est pas des primitifs et je ne m’approvisionne pas chez Confo !

Pour le coup, elle a dû ressentir la même frigidité d’ambiance que moi lorsqu’elle était allée chercher sa capote dans son sac tout à l’heure.


On y retourne… Elle porte une culotte en coton avec des motifs de gamine, comment a-t-elle pu trouver ce truc à sa taille bordel ?


À propos, il faut savoir que je vomis les strings et autres tangas, je trouve ça très laid, trop commun, bienvenue à un peu d’originalité que diantre ! La petite culotte de collégienne moi ça me va très bien…


Ses hanches et ses cuisses sont énormes ! Comment ça je l’ai déjà dit ?… J’ai jamais vu un bassin aussi large de toute ma vie, je découvre sa chatte qui est une fente très longue avec des lèvres assez fines, inutile de vous attendre à un léchage en règle, je ne fais plus ça depuis des années ; avec le recul je me demande comment j’ai pu si souvent me laisser aller à cette inclinaison immonde, une chatte c’est affreusement sale, même lavée, quelle idée d’aller lécher cette merde !

Et dire que la plupart des lécheurs font des chichis pour boire dans un verre qui a déjà été utilisé, quand bien même il le serait par leur propre partenaire à qui ils bouffent goulûment chatte et cul pleins de mouscaille ! Les gens sont sordides parfois…


Notre dialogue stupide continue :



Avant que ne fuse un « Ta gueule ! » dans ma tête.


Elle se masse brièvement le clitoris et fait aller ses doigts le long de ses lèvres comme pour préparer la fatidique entrée en scène de l’artiste ; s’offrait à moi alors son fruit déhiscent que j’allais polliniser.


Le premier coup de bite est précieux, il donne le la, il est le plus sensible, on part de zéro, c’est le premier plongeon à froid qui va conditionner la montée dans les tours et jauger la friction qui s’en ressentira.


Je ne m’y sens pas à l’aise et la sensation de chaleur est filtrée par le latex, après deux ou trois allers et venues, je simule alors une bite qui fourche maladroitement de son fourreau en ressortant trop large et dans un élan de fourberie, j’en profite pour déchausser subrepticement cette maudite capote avant de replonger ma bite toute crue que j’envoie jusqu’au fond de son cocon se vautrer dans sa cyprine, une sensation douillette m’envahit instantanément dans ce bain délicieux.

Je me doutais bien qu’avec de pareilles dimensions, cette garce n’allait pas non plus avoir la chatte constrictrice de ma lycéenne.


J’aurais voulu tenter une levrette mais ç’aurait été vain, elle viendrait beaucoup trop haut d’abord pour être praticable puis elle remarquerait le tour d’illusionniste avec la capote.


Je m’autorise toutefois certaines variantes, en levant et portant par exemple ses jambes lourdes sur mes épaules, cela m’offre une ouverture de vue sur la bagarre, j’adore regarder ma bite dans son activité d’usinage, libre de toute protection, la voir besogner à la chaîne comme une prolo maculée de sueur de chatte et pour qui seule la valeur travail compte dans la vie.


Dans un accès de conscience, je sors de mon statut animal. Une jambe est tombée, une autre est restée sur mon épaule, je la regarde, cette jambe longue, cette cuisse énorme, je me sens dépassé par les événements, ce gabarit hors normes d’A380 me trouble, je suis paumé… Je n’ai à cet instant qu’un seul souhait, qu’une seule envie c’est qu’elle sorte de chez moi au plus vite.


Je ne bande qu’à 70%, je compare avec ma meilleure femme avec qui je bande si fort et si dur que je pourrais même démolir le mur des lamentations en me cognant dessus !

Je fais contre mauvaise fortune bon cœur, je dois honorer mon statut, j’ai quand même été élu bite d’or plusieurs années consécutives, je ne peux pas abandonner un contrat de manière aussi lâche.


Vaille que vaille je termine mon boulot ; je me sens enfin venir après avoir fait le vide dans ma tête et m’être projeté dans une situation imaginaire : dans mon scénario, je l’imagine sous les traits d’une soumise venue se faire châtier par son bourreau, je ne pus cependant que récuser le fantasme tant le morceau était trop imposant pour incarner le rôle dévolu de victime, sans compter que le cadre ne suit pas, les gémissements sont trop complices, ça manque de tension et de drame mais enfin, je viens !


Je jouis sans plaisir, je suis dans la peau d’un asexué, cet orgasme n’a pas de sens, il paraît qu’on appelle ça un « orgaste », une sorte d’orgasme avorté.

Je sens ma bite petit a petit se noyer dans mon sperme au fur et à mesure de mes giclées dardées dans son antre, elle a dû le sentir aussi, car enfin, ce jus d’amour chaud qui l’inondait de l’intérieur ne pouvait passer inaperçu…


Je repère la capote que j’avais laissée non loin de moi, la récupère et fais mine de l’avoir fraîchement enlevée de ma queue pour ne pas subir la gronderie pour le coup de la capote, une fois je m’en suis pris une belle suite à ça, et même que ça m’avait bien excité, la fille était en train d’essayer de tomber enceinte de son mec qu’elle trompait pourtant allégrement avec moi ; furieuse de voir ma semence coloniale occuper leur nid et ainsi compromettre leur plan, elle m’avait violemment giflé puis on a rebaisé ensuite, je vous le donne en mille… sans capote !


Revenons à ma jument, notre affaire terminée, son sillon en était ressorti tout trempé, elle le voit bien ; elle s’en étonne à peine et se dirige jusqu’à la salle de bain la plus proche sans y faire la moindre allusion ; sa vulve dégobille et pisse mon foutre, je me délecte de voir un court instant cette partie de moi-même dégouliner le long de l’intérieur de sa longue et auguste cuisse malgré sa main qui tente désespérément d’en contenir le trop-plein.


Ma bite a comme moi le cœur sur la main et est plutôt généreuse quand elle donne.


Depuis on ne s’est pas encore revu, mais je sais que même si rien n’est dit, le sixième sens féminin fera bientôt son effet et changera la donne.