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n° 16867Fiche technique26536 caractères26536
Temps de lecture estimé : 16 mn
20/06/15
Résumé:  Le dernier jour des travaux, Kris se laisse tenter, assumant ses envies.
Critères:  fh fhh extracon grossexe poilu(e)s jardin voiture cérébral voir exhib intermast fellation pénétratio
Auteur : Kristal      Envoi mini-message
Fin des travaux


Ma nouvelle enseigne fonctionne enfin ! (suite de : « En avril, ne te découvre pas d’un fil » et de « L’enseigne »).




Le lendemain matin, je m’éveille de bonne heure. Ma nuit fut bien plus calme… Savourant mon café sur la terrasse, je suis encore pensive. Alain est déjà parti travailler. Je profite des premiers rayons de soleil. Qu’est-ce qui me prend depuis deux jours ? Qu’est-ce qui m’attire vers Dominique ? Non ! Ce n’est pas de l’amour, je suis toujours folle d’Alain, mon cher mari ! Alors ? Il ne s’agit que d’une attirance physique, quasiment irrésistible ! Les sensations qu’il me procure sont totalement folles mais ça se limite au sexe. Je vais le revoir aujourd’hui… S’il tente une nouvelle folie, vais-je résister ? Honnêtement… non ! Avez-vous, vous mes consœurs, ressenti cela dans votre vie ? Je vous le souhaite ! Bon, nous verrons bien de quoi sera faite cette journée. Mais, bien avant de partir, je suis déjà toute prête à céder à nouveau aux exigences les plus folles de mon nouvel amant. Après tout, lorsque les travaux seront finis, je ne le reverrai plus.


Pierre est arrivé, transportant mon enseigne dans son camion. L’installation électrique est terminée ; il ne reste plus à Dominique et Yann qu’à la fixer, la brancher. Au bout d’un quart d’heure, ils arrêtent leur travail. Pierre jure grossièrement, se traitant lui-même d’imbécile. Il a tout simplement oublié d’emporter les fixations nécessaires ! Retourner jusqu’à son atelier signifierait une grosse perte de temps, mon enseigne ne pourrait être en place aujourd’hui. Il y avait eu assez de temps perdu depuis trois jours. (Ce n’est pas moi qui m’en plaindrai, ni Dominique et Yann..) Solution ? Faire un saut jusqu’au magasin de bricolage le plus proche. Pierre se tourne vers moi.



Dom et moi rejoignons ma voiture. Au moment de l’ouvrir, je lui propose de conduire, ne connaissant pas le chemin à suivre.



Nous avons acheté ce qui manquait à Pierre, puis nous avons repris la route pour les rejoindre. Domi conduisait prudemment, mais souvent sa main droite frôlait mes cuisses découvertes. Elle s’immobilisa à la lisière de ma robe, le bout de ses doigts caressant ma peau tout près de mon sexe… Sans réfléchir, mue par l’envie que déclenchait sa caresse, j’ai moi aussi laissé ma main gauche s’égarer sur son entrejambe déjà gonflé d’une bosse prometteuse. Cet homme avait vraiment un don pour m’attirer, faire naître en moi des envies folles ! Sur la nationale qui nous ramenait en ville, il ralentit, emprunta une route à droite filant vers la rivière toute proche.



Le désir me saisit à nouveau, mon corps s’enflamme doucement. Dom a dû le deviner car sa main se fait plus audacieuse encore, un doigt passe sur mon pubis puis presse mon clitoris. Je me crispe sur le manche qui déforme sa tenue. Les pointes de mes seins durcissent, une nouvelle poussée de désir envahit mes reins, mon ventre…



D’une main j’ouvre ma robe, malaxe un sein, triturant la pointe durcie ; de l’autre je caresse mon sexe humide. Je pose un pied sur le tableau de bord, offrant ma grotte béante à son index qui me fouille. Il stoppe la voiture sur la berge, derrière un petit bosquet, sans arrêter le moteur. Plus loin, j’aperçois un pêcheur qui se désintéresse de notre présence. Dom, toujours un doigt planté dans mon ventre, me regarde avec des yeux fous. Il libère son sexe monstrueusement gonflé, le caresse lentement. J’ai la tête et le ventre en feu.



Il me fait me retourner, dos au pare-brise, et enjamber la colonne centrale. Je me retrouve à cheval au-dessus du vide-poche, les jambes largement ouvertes. Mon minou bâille, indécent, offert ! Je saisis sa queue d’une main pour le branler doucement. Je n’ai rien vu venir lorsqu’il appuie sur mes épaules. Je sens entre mes cuisses les vibrations du levier de vitesse.



Passant une main sur mes reins, l’autre sur mon épaule, il me fait avancer légèrement, abaissant mon bassin au-dessus du manche improvisé. Le contact doux, lisse du cuir contre mes lèvres et ma petite perle de chair m’arrache un long frisson. Dom imprime à mes reins de lents mouvements d’avant en arrière. Le pommeau se lubrifie de lui-même dans l’humidité qui perle au bas de ma toison. La pression sur mon épaule augmente insensiblement, mes chairs s’ouvrent autour du mandrin improvisé. Une ultime pression et je le sens me dilater, me pénétrer, distendant les parois de mon vagin, emplissant mon ventre, plus loin, plus profond qu’un sexe d’homme. Mes fesses reposent sur le vide-poche ; je suis pleine, empalée par ce sexe de cuir et de métal.



J’ai brutalement poussé un hurlement ! Dom venait d’appuyer légèrement sur l’accélérateur. La voiture au point mort, les vibrations du moteur se transmettaient au levier de vitesses qui s’animait en moi. Mon tortionnaire prenait un malin plaisir à jouer de l’accélérateur, variant le rythme des vibrations à sa guise, suivant dans mes yeux la montée du plaisir.



Mon « gorille » frémissait sous mes doigts, j’ai serré fort ma main autour de sa tige, me suis mise à le branler comme une folle ! Lui a enfoncé l’accélérateur doucement, faisant monter en puissance le jeu du mandrin mécanique. Son index est venu énerver ma perle de chair, son autre main s’est emparée de mon sein droit, se crispant sur mon mamelon. J’ai recommencé à hurler.



Il tourne la tête vers la vitre à ma gauche. Je fais de même… pour découvrir le pêcheur que mes cris ont attiré. Debout près de la portière, il nous observe, une main coulissant sur une queue raide qu’il a libérée. Mon excitation fait un bond en avant, j’explose en un fabuleux orgasme devant mes deux admirateurs. Dom n’en a pas terminé. Il m’arrache du mandrin gluant, me faisant mettre à genoux sur mon siège, les seins pendants face à la portière sous les yeux de l’inconnu qui se masturbe toujours. Protégée par la vitre fermée, mon regard est hypnotisé par cette nouvelle vision. Dom se redresse, prend mes hanches, s’enfonce en moi. Je vois la vitre s’abaisser… L’inconnu fait un pas en avant… Le sexe de mon amant fait de même, progressant dans mon ventre, me poussant inexorablement vers une nouvelle folie.



J’ai fixé l’inconnu dans les yeux, tendu la main vers lui, saisi son sexe et entrouvert mes lèvres. Une nouvelle tige, inconnue, venait de s’enfoncer dans ma gorge ! Un goût différent, une texture étrange… Une excitation nouvelle ! Dom dans mon ventre, cet inconnu entre mes lèvres, il n’en faut pas plus pour que je décolle à nouveau vers des sommets de jouissance. Je me laisse aller ! Plus j’aspirais la queue inconnue, plus Dom s’excitait et me pourfendait. Quand l’homme s’est crispé et a jouit en criant, Dom s’est raidi. Il s’est longuement déversé dans mon ventre alors que le pêcheur s’arrachait à ma bouche et remontait son pantalon. Il a déposé un baiser sur mon front, m’a caressé la joue en murmurant :



De retour en ville, Dominique a débarrassé la voiture du matériel acheté. Pierre nous attendait. Il m’a adressé un regard malicieux, un sourire qui en disait long sur ses pensées.



Oubliant cette parenthèse, chacun s’est remis à l’œuvre. Moi dans mes papiers, épars sur mon bureau, eux armés de leurs tournevis parmi les fils et les panneaux d’aluminium. À croire qu’ils chronomètrent leurs travaux ! Juste avant midi, Pierre vient me trouver :



J’assiste enfin à l’illumination de mon enseigne. Trop jolie ! Je suis ravie ! Du coup je les invite à boire un dernier verre. Nous nous retrouvons autour du bar. Pour l’occasion, c’est une bouteille de champagne que je demande à Pierre d’ouvrir pendant que je sors quelques amuse-gueule. Nous trinquons joyeusement ! Yann et Dom embarquent le matériel dans le camion, me font la bise et se sauvent. Pierre reste un moment pour régler les problèmes de facturation.



Fraîche, lavée de mes folies du matin, j’enfile une nouvelle petite robe. Eh oui, j’ai tout ce qu’il me faut sur place, sauf mes soutien-gorge ; tant pis ou tant mieux pour les regards masculins. Nous voici en terrasse, juste à côté de mon établissement. Le repas est agréable, comme l’ambiance entre nous deux. Pierre me dévore des yeux, me fait rire de mille facéties… Le vin y ajoute une pointe de piment. Je me sens détendue, heureuse… Nos regards se croisent souvent, empreints d’une complicité nouvelle. L’ami de notre couple me semble plus intime. Loin d’Alain, de nouvelles sensations naissent en moi. Pierre est charmant, enjôleur, amusant et… terriblement attirant ! À l’inverse du personnage de Dominique, il est plus doux, plus attentif, plus… « Arrête ! Tu délires ! »


Hélas… De retour dans le bureau, le café que nous partageons ne fait qu’aggraver mon cas. Je me sens fondre sous le regard de notre ami. Des pensées délirantes s’emparent de moi. Mon esprit, mon corps ne sont pas calmés par mes incartades précédentes. Au contraire, le souvenir du plaisir que j’ai pu éprouver ne fait que renforcer l’envie qui me tenaille à nouveau. Pierre est aussi troublé que moi, me semble-t-il. Que pense-t-il ? Que peut-il savoir, deviner, supposer de ce que j’ai pu faire ces deux derniers jours ? Dominique ou Yann auraient-ils été indiscrets ? Après tout, je m’en fous ! Je me sens trop bien près de lui. J’ai envie de prolonger ces instants presque intimes.

Mais, pour Pierre, il faut bien se résoudre à établir la facture des travaux ; et pour moi à sortir mon carnet de chèques. Je suis contente : j’ai fait une bonne affaire ; lui aussi ! Pierre se lève pour prendre congé. Déjà ? Mon cerveau tourne à toute vitesse ! J’ose ou je n’ose pas ? Je fonds sous l’emprise de son regard.



Pierre s’éloigne. Je ferme mon petit commerce, rejoins ma voiture. En roulant, mon esprit vagabonde… Alain ne rentre que très tard. (Et même s’il devait arriver à l’improviste, ce ne serait pas grave.) Les yeux de Pierre, sa bouche, son sourire défilent dans ma tête… Brusquement, j’ai une folle envie de le séduire, de me laisser emporter par le nouveau trouble qu’il a su créer en moi. Je n’ai plus aucuns remords de l’avoir invité. De plus, rien ne dit que… « Menteuse, je sais que tu vas tout faire pour le tenter ! » Ma décision est prise !


Dès mon arrivée à la maison, c’est comme une collégienne avant son premier bal que je me précipite vers la salle de bain. Vite, une douche pour me rafraîchir, un petit coup de brosse dans mes cheveux, un nuage de parfum, me voici devant mon dressing. Une courte robe en lin, un regard dans les miroirs. Négligente, j’ai laissé trois boutons ouverts au niveau de mon décolleté et deux en bas. Sans prétention, je me trouve bien mignonne, appétissante. Un petit frisson parcourt mon dos, mes reins, en imaginant les regards de Pierre…


Un quart d’heure plus tard, nous nous retrouvons sur la terrasse, derrière la maison. Connaissant les habitudes de Pierre, j’ai déposé sur la table basse une bouteille de bière fraîche, un verre. Moi je me contente d’un grand Perrier avec un zeste de citron et beaucoup de glace. Je suis assise face à lui, dans le canapé de jardin, lui dans un fauteuil. J’ai le soleil dans le dos alors qu’il cligne des yeux, ébloui et gêné.



Ce n’était pas une perche que je lui tendais, mais un poteau télégraphique ! Cette fois, les dés étaient jetés : j’avais franchi le pas. Pierre eut un sourire.



Il se pencha vers moi, passant un bras sur le dossier du canapé, autour de mes épaules. Il m’embrassa dans le cou, remonta sur ma joue avant de frôler ma bouche. Enfin, le grand frisson… Nos lèvres, nos langues se mêlèrent, le baiser était tendre, langoureux, juste comme j’en avais envie. Dans le même temps, la main sur mes épaules s’insinua tendrement dans l’ouverture de ma robe pour empaumer mon sein gauche. L’autre atterrit très haut sur ma cuisse, là où la peau est la plus douce. Contrairement à Dom, il avait les mains fines et douces ; ses caresses étaient un véritable délice. Il prit tout son temps pour écarter les pans de ma robe, découvrir mes seins, les admirer, les caresser avant d’en prendre les tétons entre ses lèvres. La tête en arrière sur son bras, j’ai savouré ses caresses en gémissant doucement. Il pétrissait doucement les globes gonflés de désir, mordillait leurs pointes durcies…


Entre mes cuisses, les doigts se firent aussi plus curieux, remontant lentement jusqu’à frôler mon pubis. Ses gestes étaient doux, attentifs. Du pouce, il découvrit ma perle sensible tandis qu’un doigt progressait dans mon sexe déjà humide. Ce n’était pas une masturbation ; son doigt en crochet vers le haut appuyait sur le petit renflement interne de mon pubis, à la recherche du point trop sensible qui me ferait décoller. Il y est parvenu, délicatement, habilement ! J’ai longuement tremblé comme une feuille, sentant monter en moi la grande vague de l’orgasme qui m’a brutalement submergée.


J’ai repris conscience, les bras autour du cou de Pierre, ma tête sur son épaule, sereine, comblée. Quel délicieux moment de plaisir ! Rien de comparable avec ceux, plus sulfureux, que nous avions partagés, Dom et moi.



Nous sommes passés dans l’abri en bout de terrasse, ouvert sur les arbres du jardin. Pierre a relevé le couvercle du spa puis s’est tourné vers moi. Délicatement, il a fini de dégrafer ma robe qu’il a fait glisser sur mes épaules. Ses lèvres ont entamé un doux périple de mon cou à mes seins. Nue, il m’a aidée à franchir le bord du jacuzzi. Dans l’eau chaude jusqu’au cou, je l’ai regardé se déshabiller lentement. Vision que j’avais déjà connue, mais là il a terminé de se dénuder. Son sexe était dressé contre son ventre, fier, noueux, tendu de désir. De la main j’ai effleuré le gland, lissé la colonne de chair douce et ferme avant de l’attirer jusque dans l’eau.


J’ai déclenché les bulles. Nos corps étaient désormais masqués par l’eau bouillonnante, mais ma main enserrait encore la tige virile. Je l’ai caressée lentement, tendrement. Nous étions face à face, les yeux dans les yeux. Je lui ai tendu mes lèvres ; nous nous sommes embrassés longuement, nos langues se livrant une agréable bataille. Il a pris mes seins, les enserrant fermement, faisant naître de délicieuses décharges électriques dans mes mamelons presque douloureux tant ils étaient gonflés de désir. Sous mes doigts, son sexe frémissait, grossissait encore.



Il s’est redressé et assis. J’ai continué à le masturber lentement. Juste à hauteur de mon visage, son beau sexe palpitait toujours. D’un doigt, j’ai doucement agacé le gland brillant, tapotant sur le méat. Penchée en avant, j’ai ouvert la bouche et gobé ce joli fruit, faisant jouer ma langue sur la peau soyeuse. J’ai approfondi ma caresse, embouchant plus de la moitié de la colonne puis j’ai commencé à l’aspirer, la relâcher pour mieux la reprendre encore. J’y mettais toute la douceur dont j’étais capable. Je voulais qu’il garde un souvenir inoubliable de ce moment de plaisir.


Il commença à gémir, basculant les reins en cadence pour s’enfoncer plus encore dans ma gorge chaque fois que je le reprenais entre mes lèvres. Son gland avait encore grossi, emplissant tout l’espace entre ma langue et mon palais. Maintenant, je voulais le boire, déguster sa chaude liqueur, le sentir couler dans ma gorge. Mais j’avais aussi envie de le sentir dans mon ventre, m’envahir, se planter en moi jusqu’à la garde, fouiller longuement mon intimité offerte avant d’exploser au plus profond de mon sexe pour m’inonder de longues giclées de sève.

J’ai abandonné un instant ma caresse.



J’ai repris un instant son gland entre mes lèvres, englobant d’une main ses bourses gonflées pendant que de l’autre je coulissais sur la tige dure et chaude. Je l’ai abandonné pour me redresser, appuyée sur le rebord du jacuzzi, face à lui. Il est venu se glisser entre mes cuisses largement ouvertes. Son gland a joué un moment sur mon clitoris, me faisant frémir de désir. Tous les deux, nous avons regardé la lourde colonne s’enfoncer doucement en moi. Lorsque son pubis a touché le mien, je l’ai agrippé par les hanches pour l’attirer au plus profond de moi. Les yeux dans les yeux, nous avons entamé un long ballet de nos deux corps soudés. Je contractais mon ventre pour enserrer le mât de chair qui m’arrachait de longs gémissements, fouillant mes chairs en feu, me transperçant puissamment. Ses mains malaxaient mes seins. Nos lèvres se joignirent encore. L’orgasme montait lentement en moi.



Pierre s’est figé, raidi. J’ai encore senti son gland gonfler, buter sur mon utérus avant qu’il me remplisse de plusieurs giclées de sève qui déclenchèrent mon orgasme. Nos cris de bonheur et de jouissance ont été étouffés par notre baiser. Nous sommes restés enlacés plusieurs minutes avant de reprendre nos esprits.

Il est reparti, bien plus tard. Nous avons encore échangé un long baiser, des paillettes brillantes au fond des yeux.

Chaque fois que j’entrerai dans mon commerce, en passant sous l’enseigne je me souviendrai de ces trois jours de folie, de joie et de bonheur. Quant à Alain, je sais qu’il me pardonnera tout. Car je vais tout lui avouer !