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Temps de lecture estimé : 8 mn
20/06/15
Résumé:  Un groupe de jeunes gens, filles et garçons, installèrent leur campement dans une prairie entourée par une forêt, non loin du littoral aquitain. À quelques centaines de mètres, un chemin rejoignait les dunes. La mer n'était pas loin...
Critères:  f fh ff ffh copains vacances forêt revede fmast fellation cunnilingus 69 pénétration fantastique
Auteur : Codem  (Sexe amour humour)            Envoi mini-message
La forêt de l'invisible




Première partie : Marina et la forêt de l’invisible



Un groupe de jeunes gens, filles et garçons, installèrent leur campement dans une prairie entourée par une forêt, non loin du littoral aquitain.

À quelques centaines de mètres, un chemin rejoignait les dunes. La mer n’était pas loin. L’emplacement était idéal, bien que le camping sauvage soit interdit à cette saison.

Ce lieu se nommait « La forêt de l’Invisible » à cause d’une légende que l’on raconte encore aujourd’hui. Le chevalier Hugues d’Arzac se serait pendu dans ce bois par désespoir après la mort tragique de sa dulcinée qu’il aimait à la folie. Des témoignages prétendent qu’il hanterait encore ce lieu.


Le lendemain, les jeunes partirent avec leurs planches de surf sous le bras, profiter de ce beau matin du mois de juillet.


Marina était restée seule, au campement. Elle ne se sentait pas très en forme à cause d’un cauchemar qui lui avait gâché sa nuit. Elle avait décidé de récupérer un peu de sommeil. Elle s’allongea sur son matelas avec l’intention de pouvoir se reposer un instant avant que la bande de copains ne revienne de la baignade.

L’attention de Marina fut attirée par un bruit de craquements de branches sèches. Il semblait venir du bois proche du campement. Elle sortit la tête de sa tente. Un coup d’œil à droite, puis à gauche. Le bruit semblait se rapprocher mais elle ne voyait toujours rien.


Peut-être un chien errant ? pensa-t-elle.


Marina sentait pourtant une présence humaine. Elle percevait même une odeur très caractéristique de certains hommes. La peur s’installait progressivement.

Les battements de son cœur s’accéléraient. Soudain, elle sentit une chose passer dans ses cheveux. Ce qui provoqua chez elle, un frisson dans tout son corps. Peut-être le vent ? Pourtant les branches des arbres ne frissonnaient pas. Il n’y avait pas un brin de vent dehors. Elle ne voyait toujours rien aux alentours du campement. Est-ce le manque de sommeil et la fatigue qui lui jouaient quelque mauvais tour ?


Cette caresse dans les cheveux s’accentuait. Ce n’était plus le vent, elle venait de rentrer sous sa tente. C’était bien la sensation d’une main chaude qu’elle sentait descendre sur sa nuque. Comme des mains qui lui massaient les épaules puis descendaient vers sa poitrine.


Marina se parlait à elle-même :



La nuit précédente, elle avait fait la fête avec des amis dans son village et s’était couchée, très tard, au lever du jour.


Cette sensation d’être caressée devenait de plus en plus évidente et la peur, curieusement, s’atténuait.

Elle semblait accepter maintenant ce climat étrange qui régnait sous sa tente. Pourquoi avoir peur, elle ne sentait aucune menace.


Marina commençait même à trouver cette situation excitante. Elle enleva le peu de vêtement qu’elle avait sur elle et se retrouva presque nue sur son matelas. Elle n’avait gardé que le bas de son maillot de bain. Cet invisible la faisait fantasmer, elle se sentait toute bizarre, comme une envie irrésistible de faire l’amour. Un souffle chaud dans son cou suivit de baisers et de petites morsures bien agréables ne faisait plus de doute, Marina avait même l’impression de sentir une bouche lui prodiguer des succions sur sa poitrine. Elle se laissait aller au plaisir que lui procurait cette étrange créature invisible.



Habitant le village voisin, elle connaissait la légende de cette tragédie. Ce chevalier n’était pas cruel mais un homme bon, d’après ce qui se racontait.


Marina enleva la culotte de son maillot puis instinctivement passa sa main entre ses cuisses et constata qu’elle était toute mouillée. La main de l’invisible se posa sur la sienne et la guida dans ses caresses intimes. L’autre main lui caressait ses petits seins au bout déjà bien pointus. Elle n’avait jamais ressenti de si douces caresses.

Marina n’en pouvait plus. Son plaisir montait de plus en plus, intensément, comme si un petit démon s’était éveillé en elle et avait pris le contrôle de son corps. Elle voulait sentir ce sexe invisible. Comme s’il lisait dans ses pensées, Hugues lui prit sa main et la posa sur son membre. Elle se sentait soumise par cette force incontrôlable.

Marina avait vraiment l’impression d’avoir un énorme sexe, en érection, tout chaud dans sa main. La hampe de son beau Chevalier, palpitait contre la paume de sa petite menotte. Elle commença à le branler puis très vite sa petite bouche toute arrondie, s’approcha de cette tige invisible. Elle sentait cette chose si bonne entre ses lèvres charnues. La coquine prenait un réel plaisir. Marina savourait cet instant et n’en pouvait plus, elle avait trop envie du mystérieux chevalier. Elle se mit à quatre pattes pour s’offrir en levrette à Hugues …


Elle aurait bien fait rire sa bande de copains, si elle l’avait surprise dans cette position, seule sous sa tente. Ses potes n’auraient sûrement rien compris.


Elle sentait, vraiment, la bite d’Hugues s’enfoncer lentement en elle. Ses mouvements étaient doux. Marina gémissait à chaque coup de reins.

Le bel invisible accélérait ses va-et-vient. Elle parlait maintenant à son « love ghost » comme elle l’aurait fait avec son amant…


Des rires et des cris réveillèrent Marina qui s’était assoupie. Julie pénétra sous la tente qu’elle partageait avec sa copine Marina.


Elle s’inquiéta de sa santé.



Julie insista pour qu’elle lui raconte de suite son rêve puis s’exclama :



Marina pencha sa tête vers sa poitrine et découvrit un suçon.

Elle pensa tout haut devant sa copine :





Deuxième partie : Marina et Julie



Elle pensa tout haut devant sa copine :



Marina n’osa pas répondre. Elle ne voulait pas que Julie se moque d’elle.

Devant le silence de Marina, Julie revient à la charge :



Marina allait commencer son histoire quand Laurent, Maxime et Kevin entrèrent dans la tente des filles.



Julie répondit :



À peine les garçons partis, Julie se retourne vers Marina :



Marina ne savait pas trop comment lui raconter son histoire à sa copine.



Julie s’allongea à côté de Marina pour écouter son rêve.



Julie éclata de rire.



Marina continua son histoire. Julie l’écoutait maintenant très attentivement.



Julie commençait à se tortiller discrètement sur le matelas. Elle appuya machinalement, sa main entre ses cuisses.

Marina devinait que son récit faisait de l’effet à sa copine.



Le visage de Julie se figea subitement. Elle ne parlait plus.



Elle regardait sa copine et voyait les cheveux de Julie onduler sous une caresse invisible. Quelques instants après, une bretelle de son débardeur glissa le long de son épaule.



Marina regarda sa copine fermer les yeux. Elle savait le plaisir qu’elle ressentait à cet instant. Le même qu’elle avait ressenti ce matin même.

La deuxième bretelle ne tarda pas à glisser aussi. Julie avait maintenant les seins nus. Marina matait la belle poitrine de son amie. Julie était une très jolie fille des Antilles avec une peau bien dorée, de longs cheveux noirs et un regard de braise.


Au lycée, elle avait un succès fou auprès des garçons et, même auprès de certaines filles. Son charme ne laissait pas, la douce Marina, indifférente. De la regarder prendre du plaisir avec Hugues, l’excitait maintenant.

Elle s’approcha de Julie et osa caresser ses cheveux puis ses caresses s’égarèrent sur le corps bronzé de l’Antillaise. Sa main un peu tremblante avança vers les seins de sa copine. Julie se laissait faire. Elle appréciait l’intervention de sa copine.

Marina sentait le souffle d’Hugues, dans son cou. Il lui déposa de doux baisers bien chauds. Puis Hugues ne fut plus auprès de Marina. Elle aida l’invisible à faire glisser la culotte de Julie en bas des chevilles. D’un coup de jambes la culotte valsa dans un coin de la tente.

Marina avait trop envie de profiter de la situation. Ses lèvres se posèrent sur la belle bouche de l’Antillaise. Julie rendrait le baiser, encore plus fougueux, à sa copine. Leurs baisers devenaient ardents, sensuels. Leurs langues s’entremêlaient. Julie avait l’air d’apprécier les caresses de sa copine.

C’était une première découverte pour toutes les deux, dans cette aventure saphique.


Julie eu un cri :



Un drôle de trio s’était formé maintenant. Les filles gémissaient. Comme si Julie obéissait aux désirs d’Hugues, elle se mit à quatre pattes comme il l’avait aussi demandé à Marina.


La douce Marina ne put s’empêcher d’aller tâter l’invisible à la recherche de sa bite. Voilà, elle la sentait bien dans sa main, toujours aussi puissante et chaude. Elle se mit à frotter sa copine avec ce sexe invisible.

Nul doute que Julie le sentait aussi. Cela devait lui plaire terriblement, elle n’arrêtait pas de pousser de petits cris et ses gémissements n’en finissaient plus…


Marina se coucha sur l’Antillaise en position de 69. C’était maintenant sa langue qui léchait sa copine. Julie ne tarda pas à faire de même. Les corps s’enchevêtraient.

Sous la tente ce n’était plus qu’un concert de gémissements et de cris. Heureusement que l’endroit était isolé. De multiples d’orgasmes qui s’en suivirent. Les filles en avaient oublié Hugues.


Avait-il disparu ou matait-il les deux superbes jeunes filles que la providence avait mises sur son chemin ?


Sûrement que le chevalier Hugues d’Arzac avait maintenant soulagé sa peine et que son âme sera désormais en paix !


Nos deux coquines campeuses reviendront bien, lui faire de petites visites, histoire de s’amuser un peu !