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23/06/15
Résumé:  Ce dimanche matin de fin décembre, en peignoir noir, assis devant mon portable posé sur la table de la salle à manger, je rédige un billet pour le forum de Rvbb...
Critères:  fh hépilé fépilée rasage entreseins fellation cunnilingu nopéné -revebebe -couple
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message
L'origine forestière du monde




Simple cogitation…

Le titre est une allusion directe à un célèbre tableau.



Ce dimanche matin de fin décembre, en peignoir noir, assis devant mon portable posé sur la table de la salle à manger, je pose ces premiers mots puis, déroulant le fil de ma pensée, je continue sur ma lancée…



Avoir un minou poilu était, il y a quelques années, chose naturelle pour une femme. C’était un petit buisson qui dissimulait une source à laquelle il était convié de se rafraîchir, après avoir franchi divers barrages de tissu et de frou-frous…


En cette époque pas si lointaine, mais que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître, nous étions bien au courant que les Orientales – dans le sens très large du terme – n’avaient pas les mêmes spécificités forestières ; mais c’était exotique, curieux et fantasmatique.


Pour ceux qui étaient au parfum de certaines choses, dans nos contrées, le pubis rasé ne se rencontrait que chez les soumises, chez certaines actrices et les travailleuses du sexe. Parfois ces trois femmes se fondaient en une seule.



C’est en parcourant le forum de Revebebe que j’ai eu l’idée de ce texte. Ce n’est pas la première fois que j’aborde ce sujet, mais comme ces derniers temps le site n’était pas trop animé, j’ai décidé de coucher sur l’écran mes idées fugaces et de voir s’il pouvait y avoir un peu plus de mouvements.


Je regarde autour de moi ; le salon-salle-à-manger est vide, ma femme est dans notre chambre, sans doute sur un site en train de converser avec d’autres personnes… Elle adore dialoguer, c’est son nouveau péché mignon. Je continue ma prose…



Pour les actrices X et travailleuses du sexe, c’était une façon d’en faire voir encore plus, d’avoir le petit truc en plus. Au fil du temps, le bosquet avait rétréci à en devenir un simple ticket de métro, voire une flèche ou un petit triangle indiquant la direction à suivre. L’étape logique suivante était de s’en passer. Si on pousse le raisonnement, à quand la première actrice avec peau translucide pour enfin voir dedans ?


Pour les soumises et les esclaves, c’est une marque évidente d’infantilisation. Le poil a très souvent représenté l’âge adulte, et donc la décision. En ôtant le poil entre les jambes d’une soumise, on lui dénie ce passage à l’âge adulte, et on insiste lourdement sur le fait qu’elle est sous la coupe de son Maître.



Je m’accorde une petite pause pour aller piocher dans le réfrigérateur une boisson fraîche ; j’ai besoin d’un peu de carburant pour continuer. Ceci fait, je m’assieds à nouveau face à l’écran tant que l’inspiration ne me fuit pas.



Pourquoi maintenant la mode demande-t-elle aux femmes d’être glabres ? Bonne question !


Je pense qu’il y a trois faits qui concourent à cela :


– le string et autres maillots échancrés,

– la pornographie,

– l’argument de l’hygiène.


Il est clair et net que mettre des strings et avoir une toison fournie n’est pas toujours très compatible : ça déborde ! Et ce qui aurait pu être vécu comme excitant a été considéré comme peu esthétique. La mode des maillots étant souvent brésilienne, ceux-ci avaient la fâcheuse/heureuse manie de rétrécir ; la bande de tissu étant réduite de plus en plus au strict minimum, il fallait donc que ce soit plus lisse. La bande devint un cache-fente, quand elle ne disparaît pas purement et simplement dans cette même fente…


Pour la pornographie, la plupart des jeunes mâles zieutaient des vidéos remplies d’actrices sans minou poilu ; il était logique qu’ils demandent à leurs copines d’en faire autant, et éventuellement de se livrer plus facilement à des exercices intimes et buccaux fort plaisants pour la demoiselle qui les « subit ». Cette dernière voyant que son homme avait enfin compris qu’un clito, ça pouvait exister, elle se fit alors un plaisir de manipuler l’épilation et le rasoir pour avoir sa part de plaisir renouvelé.


Voyant le mouvement s’amorcer, les fabricants de rasoirs et autres appareils épilatoires se firent un plaisir (eux aussi) d’ajouter l’argument qui tue : l’hygiène. Car tout le monde le sait bien : le poil, c’est mal !


Bref, la conjonction de ces trois « arguments » fit qu’une femme se devait de ne plus avoir grand-chose sur les lèvres intimes et le pubis.



Ah, j’entends du bruit… Ma femme s’agite dans son coin. Je me demande bien ce qu’elle fait. J’ai la réponse assez vite quand je l’entends marcher dans le couloir vers les toilettes. Je replonge alors dans mon texte et le fil de mes idées.



L’esthétisme, c’est très variable selon les époques. À la Belle Époque justement, les danseuses aguichaient les hommes en levant les bras fort haut et dévoilant ainsi des aisselles agrémentés de poils bouclés, prélude d’un bosquet niché au fin fond d’une jambe qu’elles levaient aussi bien haut. Aux personnes qui me feraient remarquer que le nid en question est niché au bout de deux jambes, je leur répondrai que lever ces mêmes deux jambes en même temps n’est pas chose aisée…


L’argument de voir son sexe entrer dans celui nu de la femme n’est pas à rejeter. Il y a une certaine jouissance à se voir plonger dans l’anatomie accueillante et ouverte de la femme qui s’offre à vous. Ceci dit au passage, voir son membre disparaître dans un bosquet n’est pas à négliger non plus.




Je sursaute ; je me retourne : ma femme est juste derrière moi. Je ne l’ai pas entendue arriver.



Je pivote et j’agrippe sa taille. Puis je l’oblige à s’asseoir sur mes genoux. Obliger est un bien grand verbe, car elle n’oppose aucune résistance. J’aime avoir ma femme à moi, contre moi.



Et elle commence à lire. Moi, malgré son genou et sa cuisse bien dévoilés dans l’échancrure de son peignoir entrouvert plus bas, je rassemble mes idées, je les mets en forme dans mon cerveau, et quand je vois qu’elle est arrivée vers la fin du texte, je commence à rédiger la suite.



Enfin passons à l’argument médical : la plupart des médecins hurleront en disant que si la Nature a mis des poils à cet endroit, c’est qu’il y a une raison. Supprimer la forêt expose le sol aux attaques directes et agressives. Non, ce n’est pas plus hygiénique : c’est simplement qu’on trouve le lisse plus esthétique. Point final. D’ailleurs, en ce qui concerne la pilosité des hommes, l’argument qui se répand n’est pas celui de l’hygiène, mais le fait que « Sans fougères à son pied, le cocotier paraît plus grand. » (Argument véridique déjà vu maintes fois).



La dernière ligne lue, elle se tourne vers moi :



Je pose ma main sur son genou dévoilé, et je commence à le caresser.



Ma main remonte de plus en plus haut sur sa cuisse, sous son peignoir… Avec un petit sourire aux lèvres, elle me regarde, songeuse.



Comme elle, je me contente de sourire. Je reconnais que je ne suis pas trop timide avec une femme dans l’intimité, mon but avoué étant notre plaisir à tous les deux, et je préfère avoir des remords d’en avoir trop fait que des regrets de n’en avoir pas fait assez…


Je la serre un peu plus contre moi tandis que ma main caressante est arrivée, sous le tissu, sur sa hanche.



Alors, quittant à regret sa peau toute douce et chaude, toujours avec ma chère femme sur les genoux, je rédige la suite.



Pour notre part, Véronyk (le pseudo de ma femme) et moi, nous avions franchi le pas de la toison féminine sacrifiée, il y a quelques années car nous glissions petit à petit vers la Domination/soumission. Puis un beau jour mon épouse décida de voir ce que ça pouvait faire de ne rien avoir. Ce fut par curiosité de sa part, non par réelle soumission, car nous sommes tous les deux des joueurs. Comme elle avait un peu peur de se couper elle-même, et comme c’est moi qui jouais le rôle du Maître, ce fut donc à moi de manier dextrement le rasoir.



Je me tourne vers ma femme, dont le visage est juste à côté du mien, et je lui demande, posant à nouveau ma main sur son genou :



Je me penche un peu pour déposer un double bisou sur ses seins, dans le décolleté à présent plongeant de son peignoir. Puis, quittant à nouveau son genou et louchant très souvent sur la fente séparant ses seins lourds, je continue malgré tout ma prose :



Je reconnais que, quand on le fait pour la première fois en intégral (j’avais déjà pratiqué avec succès les partiels), sur le moment, rasoir en main, on a des sueurs froides ! Oui, on est fort excité de la situation, mais on redoute le moindre faux mouvement qui entraînerait la vraie coupure. Je vais employer une analogie anale en parlant de sodomie : quand vous concrétisez votre première sodomie, vous ne vous sentez plus de joie ! Mais en même temps, vous savez que si votre partenaire a trop mal, plus de petit trou offert pendant belle lurette !


Il y a un grand plaisir à dégager petit à petit un mont de Vénus, puis à révéler l’ourlet des lèvres intimes. Puis quand tout est enfin fini, que le stress s’est évacué, à contempler un sexe féminin poli par vos soins, à le caresser et à déposer des bisous sur une peau fraîchement douce… sans parler de l’évidente satisfaction d’étrenner ce nouveau sexe offert…




Elle se contente de sourire. Elle sait très bien que le rasage intime de son pubis fait partie de nos petits jeux, et qu’une fois son mont de Vénus tout lisse, je me fais un plaisir de l’honorer à ma façon !



Pour toute réponse, ma main glisse à nouveau sur sa cuisse et s’en part caresser sa hanche, puis elle revient sur son ventre, entrouvrant encore plus son peignoir, me laissant voir sa chair si appétissante !


Mutine, elle enlève cette main vagabonde.




Mis à part la nouveauté qui l’amusait beaucoup, ma chère femme décréta que c’était plus mignon ainsi. Mais de temps à autre, elle laisse repartir la Nature avant que, plus tard, mon rasoir ne fasse à nouveau son œuvre. Car il est bien entendu que c’est moi qui m’occupe de jardinage… dans tous les sens du terme.


D’après ma femme, être lisse à cet endroit procure d’autres sensations. Comme il n’y a plus d’intermédiaires, elle perçoit mieux certaines choses, qui peuvent s’avérer troublantes. C’est ainsi que de fil en aiguille, elle perdit peu à peu l’usage de la petite culotte (et du string), surtout en été, afin de mieux ressentir les effets de la brise sous la jupe et la douce caresse du tissu.



Elle me regarde d’un air hautain.



Elle passe ses bras autour de mon cou.



Et sans vergogne, je plonge le nez le premier dans son trop tentant décolleté. Comme de coutume, je dépose des baisers voraces et brûlants sur sa poitrine toute douce. Puis je dévoile un sein dont le téton n’attend que ma bouche. Mes lèvres enrobent tout de suite ce bouton rosé déjà bien dur. Ma femme réagit la plupart du temps au quart de tour, ce qui est flatteur pour mon ego ! Bien sûr, elle se laisse lutiner tandis que ma bouche vorace commence à devenir de plus en plus exigeante. Je sais qu’elle aime ce genre de petite démonstration envers sa personne. Et je ne me prive pas de la satisfaire…


Elle aime qu’on s’intéresse à elle, qu’elle se sente désirée et désirable, que je m’occupe d’elle, spontanément, sans plan préconçu, sans aller forcément jusqu’au sexe pur et dur. Des mains baladeuses, des paroles flatteuses, des lèvres farfouilleuses, quelques minutes d’intimité…


Souvent, dans la journée, dedans ou dehors, je m’offre une petite main sur ses fesses afin caresser la rondeur de ses hémisphères dodus, action d’autant plus facilitée que, comme déjà précisé, elle ne porte presque plus de petite culotte, ce qui me simplifie la vie.


Et je fais de même avec quelques bisous dans son décolleté, son suave décolleté qu’elle m’offre tous les jours, voire plus qu’un décolleté. Et comme je suis très tactile, ça tombe bien ! Et je me contre-fiche de l’endroit où je suis quand je mets mon nez entre ses magnifiques seins, même si ma chère femme s’en fiche un peu moins ; elle se préoccupe un peu plus que moi du « qu’en-dira-t-on ».


Parfois je m’aventure plus intimement ; parfois elle me gronde, mais il est assez rare qu’elle m’oblige à retirer définitivement ma main…


Soudain, elle se lève, échappant à ma bouche avide.



Déjà elle quitte la pièce, me laissant un tantinet frustré. De ce fait, n’ayant pas trop le choix, je décide de continuer mon texte pour y écrire les dernières lignes :



Comme tout n’est qu’éternel recommencement, un sexe trop nu se doit d’être décoré. C’est ainsi qu’on voit fleurir des bijoux fort intimes pour égayer le petit nid trop lisse. Sans oublier les tatouages. Pour sa part, Véronyk a opté depuis quelques années pour deux anneaux avec lesquels il est loisible d’imaginer bien des usages… L’inconvénient en retour est que le passage du rasoir en est compliqué. Mais on ne peut pas tout avoir, le beurre, l’argent du beurre… mais très heureusement, j’ai déjà la crémière.



Soudain, je sens sa présence.



Elle se plaque contre mon dos, me faisant bien sentir sa poitrine avenante.




Voilà, c’était mon humble avis sur la question.

À vous de me dire votre façon de voir les choses.

Joyeux Noël à tous !



J’enregistre une dernière fois mon texte, puis je lance :



Avec toujours ses seins lourds et pleins dans mon dos – et mon désir qui monte – je fais mon copier-coller entre le traitement de texte et le forum, après avoir créé un nouveau topic. Un dernier clic de souris, et je contemple ma prose sur le web. C’est alors qu’elle se rehausse, posant vicieusement ses seins charnus autour de mon cou. Ça, c’est de la provocation pure et dure !


Prestement, je pivote, envoyant presque valser la chaise, afin de mieux me nicher entre ses nichons si doux ! Elle rit, plongeant ses doigts dans mes cheveux. Je sens sa chaleur, son odeur, sa douceur. Je suis si bien…



Du nez, des lèvres, de la langue et du menton, je m’offre une bonne cure de seins, de lolos, de roberts, de nichons, de rotoplos, de roploplos, de loches, de miches, de nénés, de nibards et j’en passe ! Sans parler des melons, des pamplemousses, des pastèques même ! J’adore totalement ses atouts, ses arguments, ses avantages en avant, ses attirants attraits, ses charmes chéris, ses agréables agréments !

Que ne ferais-je pour ses airbags, ses mappemondes, ses globes, ses ballons, ses dunes, ses pare-chocs, ses Athos et Porthos ! Il existe tant de mots pour désigner ces deux monts que je chéris !


Et bien sûr, ma chère femme me laisse faire le bébé aventureux. Et bien sûr, j’en profite allègrement !


Ça me fait alors songer que le sujet de mon petit texte était situé plus bas. Ce ne sont pas les synonymes qui manquent pour désigner son pubis, son mont de Vénus, sa fente, son abricot, sa conque, sa foufoune, son puits d’amour. Plutôt que de les énumérer, allons plutôt adorer comme il se doit cet endroit intime !


Ces derniers temps, ma femme préfère le glabre, ce qui a ses avantages. Mais une mignonne touffe a aussi ses privilèges. C’est selon. Il faut savoir alterner et varier les plaisirs…


Quittant ses lourds seins voluptueux, je fléchis sur mes jambes afin de glisser sur son ventre que je couvre de baisers ; j’en suis la courbe charnelle, je contourne son nombril puis je descends du bout des lèvres vers son pubis tout lisse. Je m’offre le doux plaisir de l’embrasser un peu partout avant de dénicher l’orée d’une fente odorante que je soupçonne déjà un peu humide.


Elle écarte les jambes afin que je me niche au mieux contre son nid tout lustré, m’agenouillant de part et d’autre de ses cuisses si douces. Ma position commence à devenir un peu plus acrobatique ; je ne pense pas que je saurai encore le faire d’ici dix à vingt ans, donc autant en profiter maintenant ! Carpe diem, comme on le disait il y a plusieurs siècles, voire quelques millénaires.


Oui, ma femme est déjà toute détrempée ; j’adore boire à sa source. Je cueille un peu de cyprine pour venir ensuite taquiner son petit clitoris. Je renouvelle l’opération plusieurs fois. Aux soupirs que j’entends, je comprends qu’elle ne déteste pas ! D’une main, je caresse voluptueusement ses fesses, et de l’autre je joue avec ses seins lourds, titillant ses tétons érigés, soupesant ses savoureuses masses charnelles.


Elle accompagne par divers mouvements de bassin les agaceries de ma langue, sachant bien me faire comprendre où il est souhaitable de persévérer ou conseiller d’aller ailleurs. Sa cyprine est abondante ; c’est un véritable plaisir de la boire et de s’en servir pour en barbouiller sa fente si savoureuse !


Je la sens qui ondule, se contracte. Ses doigts dans mes cheveux se font plus rapaces, son souffle de plus en plus court. Le nez enfoui entre ses lèvres, je lape, je lèche sans relâche, je suçote vicieusement son petit bouton rose ; le bout de ma langue suit ses plis et replis.


Soudain elle explose dans un long gémissement tandis que son mouvement de bassin devient plus pressant encore. Sa jouissance ressemble à une série de vagues puissantes qui déferlent en elle et dont mes lèvres cueillent les résultats et les vibrations. Je continue à jouer de la langue dans son intimité.


D’un geste brusque, elle repousse ma tête tandis qu’elle continue audiblement de jouir. Je me recule un peu pour admirer ma femme dans tous ses états, debout, son corps tremblant de plaisir, son ventre frémissant, ses seins lourds agités de soubresauts, sa tête lancée vers le plafond !


Elle s’apaise peu à peu, les tremblements s’espacent. S’éloignant de moi, elle s’effondre dans le canapé voisin, les bras le long du corps, les jambes écartées. Je me contente de la regarder, de voir sa jouissance s’atténuer. De longs instants s’écoulent, sans pouvoir les mesurer…



Me relevant, je m’approche d’elle. Elle me lance :



Amusée, elle soupire, toujours avachie impudiquement sur le canapé :



Je suis face à elle. Ma chère femme remarque tout de suite que quelque chose est en parfaite condition entre mes jambes. Elle remarque :



Tandis qu’elle parle, j’en profite pour abaisser mon pantalon et mon caleçon afin de faire prendre l’air à mon mât de chapiteau bien raide. Je déclare, péremptoire :



Ce qui ne l’empêche pas d’avoir un grand sourire et de presser ses seins pour me les présenter. Je m’agenouille de part et d’autre de son beau corps repu et j’enfouis ma queue bien dure entre ses douces masses molles. C’est délicieusement bon ! Les joies espagnoles nous conviennent à tous les deux. Elle aime voir le sperme se répandre – une preuve concrète du désir des hommes pour elle – sans parler d’une certaine facilité de nettoyage ensuite. Et moi, vicieusement, j’aime la souiller, voir ses beaux seins luisants, un peu gluants.


Je fais glisser mon mandrin entre ses seins ; c’est doux, c’est extra, c’est divin ! Je resterais bien ainsi un temps infini pour profiter pleinement de cette sensation délicate et céleste. Il y a quelque chose d’étrange et de voluptueux à coulisser entre deux masses de chair tendre et chaude, d’aller se nicher dedans, puis de ressortir afin de recommencer. Pas la même sensation qu’une bouche suave, pas la même impression qu’un vagin accueillant, pas la même perception non plus qu’un anus transgressif.


Il ne me faut pas longtemps pour sentir se lever en moi une irrésistible envie de me vider. Je me réprime encore un peu pour mieux profiter ensuite de l’instant. Mais c’est assez difficile de résister quand votre queue turgescente est choyée de la sorte par une adorable salope qui aime visiblement le sexe ! Sans compter l’effet que procure le frottement doux et chaud d’une peau sur celles de vos couilles… Un pur délice !


N’y tenant plus, je me soulage, expulsant mon trop-plein sur le doux corps de ma femme, entre ses seins, sa gorge, son cou. J’explose. C’est si bon, si paradisiaque ! Quand c’est ainsi, on ne se sent plus sur Terre : on est ailleurs, autrement, puissant, céleste. Divin, même !

Oh oui, c’est si bon… Très bon… Trop bon !



Oui, qu’est ce qui m’en empêche en effet ? Alors, me rehaussant, je pose ma bite toute molle et poisseuse sur les lèvres de ma femme. Sans aucun problème, elle accueille ma queue flasque et gluante, m’offrant une de ces géniales sucettes dont elle a le secret !


Oui, décidément, mon adorable salopiotte a raison : il faudra que j’écrive plus souvent sur ce forum !